Premiers Émois, Première Fois (1)
Attendre de partir mavait semblé une éternité
En effet, ma dernière colonie de vacances sannonçait sous les meilleurs auspices. Je mappelle Fabien et dans le Comité dentreprise de mon père à lépoque, on avait accès de 10 à 18 ans à de superbes endroits
Bretagne, Côté dazur et pour finir la dernière année, la Corse. Avec les amis que je métais fait au fur et à mesure des années, nous nous étions donné un dernier rendez-vous avant dêtre atteint par la limite dâge. Quand je pense que cela fait plus de dix ans
Cest là que jai connu pour la première fois une expérience sexuelle inoubliable.
Le voyage se passa agréablement, même si un peu long. Depuis le Nord de la France cela faisait du chemin ! A Marseille, une fois sur le ferry en direction de lIle de Beauté, nous commencions à sentir larrivée. Et nous ne fûmes pas déçus. Une fois Bastia dépassé, les paysages magiques de lîle Corsica, entre mer et montagne, se présentaient à nous. Un régal pour les yeux. Une fois arrivés au camping où se trouvait notre colonie, linstallation fut rapide dans ons tentes installées un peu à lécart, où il y avait des emplacements communs pour plusieurs colonies. Moi, Nicolas mon ami de colo le plus proche, ainsi que dautres colons, nous partîmes nous baigner directement. La plage à 200m, ça nattend pas ! Nous étions très heureux dêtre là mais le temps du voyage, nous avions eu le temps de nous confier notre déception au vu des filles présentes. En effet, nous retrouvions Elise, Magalie, Erica, des filles déjà présentes lors des colos précédentes, très sympathiques mais absolument pas attirantes pour nous. Les étés passés ensemble nous avaient donné plus une relation de camaraderie quautre chose.
Mais bon, nous nallions pas désespérer et les premiers jours furent consacrés à fumer des clopes (hé oui, on est idiot à 17 ans et on ne résiste pas aux prix pratiqués en Corse) et à mater les filles sur la plage. Chaque après-midi nous voyions passer de superbes jeunes filles mais nous étions tous très timides et aucun de notre groupe damis navait le truc pour draguer.
De retour au camping le lendemain matin, nous eûmes une surprise.
« A toi maintenant de travailler, à moi de profiter ! »
Jenduis délicatement mes mains de crème et me mit au travail sur Charlotte, installée sur le ventre, sur ma serviette que javais ramenée de la plage. Très vite, sous prétexte de ne pas faire de trace de bronzage, elle dénoua son haut de maillot. Je pouvais deviner le galbe de ses seins bien ronds, jimagine maintenant un bon 90 B, mais à lépoque jaurais bien été capable de le dire. Très concentré, jessayai de la détendre au maximum en appuyant aux points les plus sensibles : cou, épaules, mais je ne pus mempêcher de vite descendre vers ses fesses, sur lesquelles je métais mis à califourchon, cette fois avec un sexe au garde à vous. Heureusement, le slip intérieur de mon maillot de bain était serré et je ne faisais pas non plus un chapiteau avec ! Je me surprenais à oser tant de choses, mais à mon grand étonnement, Charlotte commença à remuer son cul pour se coller au plus près de mon membre. Je regardai rapidement autour de nous : personne à la ronde, une haie darbustes nous cachait de la voie secondaire de circulation du camping, qui se situait à quelques mètres. Toujours en silence, je pris les choses en main cest le cas de le dire. Je passai mes mains sous la couture de son shorty de bain et commençai à masser ses fesses rondes et musclés. Elle nétait pas en reste, elle avait accentuée ses mouvements de bassin. Incroyable, je connaissais cette fille depuis moins de 4 heures et nous étions allés aussi loin quavec presque toutes mes précédentes copines.
« Tu es vierge non ?
-Heu
ben, oui
Désolé. » Un peu penaud, je dis la vérité, et je crois que mon honnêteté la toucha. « Jai eu une copine longtemps, pendant 2 ans mais elle voulait du temps
Et finalement on sest séparés. Je suis un peu trop sentimental je crois
Mais toi là, tu me donnes confiance et même si on se connait que depuis quelques heures, je sens quil se passe un truc.
-Ne sois pas désolé je vais tapprendre. Vu quon na pas de préservatif, je vais déjà te détendre un peu. Relève-toi
»
Elle madressa un petit clin dil et je suivis son ordre. Elle se releva également, membrassa sauvagement et prit mes mains pour les mettre sur ses seins que je malaxai. Ils étaient fermes et durs, elle avait de petites aréoles très foncée. Parfaits. Puis elle sagenouilla devant moi et là ce fut tout simplement le bonheur. Elle baissa mon short aux genoux et entreprit, toujours seins nus, de me sucer. Vanessa, mon ex, mavait une fois (après avoir trop bu) proposé une fellation et javais trouvé ça moyen. Cela se limita surtout à des baisers timides et à un ou deus aller-retour dans sa bouche, au contact de ses dents. Elle avait refusé den faire plus et je dus finir de me soulager seul aux toilettes. Alors autant dire que la pipe de Charlotte fut une révélation : elle commença par passer sa langue du bas en haut de ma bite, avec le regard rivé dans le mien. Et le pire (ou le mieux) cest que ça ne ressemblait pas du tout aux pornos bas de gamme, elle faisait tout ça avec une certaine classe et en même temps une attitude très chaude. Ce mélange de grâce et de vulgarité était des plus excitants. Après avoir pris mes couilles délicatement dans sa main et les avoir léchées, elle enfourna ma queue dun seul coup dans sa bouche sans crier gare. Je ne pus réprimer un râle guttural de plaisir. Nétant pas exceptionnellement membré elle enfonçait à chaque va et vient ma bite profondément, tout en la léchant à tout va de coups de langue énergiques, accélérant le rythme sans cesse avec sa main droite, qui la tenait fermement. Au bout dune petite minute de ce traitement, je nen pouvais plus et je sentis mon sperme monter et prêt à sortir. Elle choisit ce moment pour sinterrompre pour reprendre son souffle.
« Ca va, ca te plait ? Me dit-elle avec un large sourire.
Pfff, là je suis ailleurs, tu me rends fou
Jétais à deux doigts déjaculer dans ta bouche.
Ah et bien reprenons là ou on a arrêté, lâche-toi Fabien, jadore faire plaisir
»
Et à nouveau après un petit clin dil, elle reprit de plus belle. Cette fois en allant encore plus loin, ma bite était quasiment dans sa gorge. Au bout dune trentaine de secondes, ny pouvant plus, jexplosai en agrippant sa tête : en la prévenant que jy étais elle redoubla defforts et mon sperme inonda dabord sa bouche. Mais les giclées étaient telles que je dus sortir ma queue. Alors que coulait déjà sur son menton un filet de ma semence quelle avait rejeté, je plaquai ma bite sur sa joue pour expulser le restant en me branlant de ma main droite, la gauche la tenant fermement par les cheveux. Ma belle ferma les yeux et la bouche, et de nombreuses rasades partir dans tous les sens, sur sa joue, le front, les cheveux
Impressionnée je pense par cette quantité de foutre, Charlotte répéta plusieurs fois « oh putain, vas-y, oui lâche toi ». En tous cas cest comme cela que je men souviens car pour tout dire, jétais dans un état second, seul comptait le plaisir de décharger ce sperme accumulé. Je pensai furtivement à mon ex, à Caroline la monitrice et son décolleté et pour finir mon regard se posa sur les seins de Charlotte, où avait coulé une quantité non négligeable de sperme. Cette vision me donna un dernier spasme et je contemplai Charlotte qui avait le visage recouvert du liquide blanchâtre. Je métais effectivement lâché, mais jappréhendai quelques secondes sa réaction, jy étais allé fort en perdant un peu la notion de réalité et je lavais souillée au milieu du camping, quelquun pouvait débarquer dans notre petit coin à nimporte quel moment. Mais à ma grande surprise cette éjaculation faciale un peu autoritaire lavait mise elle aussi dans un état second et elle sappliqua immédiatement à me sucer à nouveau. Le contact de ses lèves sur ma queue encore chaude et dégoulinante fut exquis mais je lempoignai vite, avec ses affaires pour lamener aux sanitaires. Sans parler nous rentrâmes dans une cabine et entreprîmes de nous doucher. Leau était glacée, ce qui nous fit un bien fou après cette aventure sous une chaleur torride. Mais cette pipe lavait rendue sauvage. Javais aussi une furieuse envie de la pénétrer, dailleurs mon membre avait repris à mon grand étonnement toute sa vigueur, mais nous navions aucun moyen de protection et mêtre soulagé mavait ramené à la réalité. Pourtant Charlotte me supplia presque :
« Sil te plaît fais-moi lamour
Je veux te sentir.
-Non Charlotte, jen crève denvie mais on ne va pas faire nimporte quoi, tu prends la pilule au moins ?
-On sen fout je te veux. Là, maintenant»
Elle joignait le geste à la parole en baissant son shorty quelle avait remonté pendant notre séance précédente, me faisant découvrir pour la première fois sa chatte, écartant le triangle parfait des poils. Javais autre chose en tête : lui rendre le plaisir quelle mavait donné. Je magenouillai sans dire un mot et fit un cunnilingus pour la première fois, chose que Vanessa mavait toujours interdit de tenter. Au contraire, voir Charlotte rouler les yeux dès mes premiers coups de langue me donna un sentiment de bien être incroyable. Avec le recul, ma découverte buccale du sexe féminin fut très maladroite sans doute, mais Charlotte me confia plus tard ne pas avoir été vraiment servi de ce côté-là par ses petits copains, qui lavaient initié aux plaisirs à donner, pas ment à recevoir. Dans tous les cas ma Charlotte, excitée comme elle était, ne tarda pas à jouir. Je sentis sa petite chatte se contracter lorsque je mapprochai du clito par le plus pur du hasard et elle poussa un cri sonore. Heureusement le camping était quasi vide à cette heure. Une fois douchés, je pris linitiative de lembrasser longuement. Soudain confiant en moi, avec des idées plein la tête et la ferme intention de perdre ma virginité, je lui dis :
« Ce soir, minuit, la plage ».
Et je partis rejoindre mes amis.
La suite bientôt !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!