Laure
Jai connu Luce par internet. Je baladais ma souris sur tout ce qui passait à portée quand jai vu une annonce particulièrement attirante, une photo était avec le site. Une belle fille aguichante, un peu décolletée sans trop. La photo correspondait bien à lannonce :
« Qui veut dune petite fille perdue, qui ne cherche que la protection dune autre fille «.
Ce nétait pas innocent de se présenter directement comme une adepte saphique. Je répondais aussitôt. Nous avons mit du temps pour nous décider à nous voir. Je me méfiais des annonces de ce style puisque je métais faite avoir une fois par un mec qui se présentait comme une fille gentille, pleine de charme : la photo ne représentait en rien la personne.
Pour prouver sa bonne fois, elle menvoyer une copie de sa carte didentité. La photo était la représentation de la même personne. Nous nous sommes jointes par fil. Sa voie était très douce, attirante, sexy avec un fond de voie cassée, rauque, comme une fille en manque. Nous habitions à une quarantaine de kilomètres. Pour éviter tout malentendu nous nous sommes données rendez vous à mi distance dans un restaurant.
Une simple dinette devait nous permettre de mieux nous connaitre. Nous devions porter un foulard rouge vif pour nous reconnaitre facilement. Jarrivais avant elle. Le garçon me plaçait en face la porte, presque au milieu de la salle. Je dégustais un martini, ma faiblesse quand jai vu une fille avec le foulard rouge. Elle ressemblait bien à une personne perdue.
Nous nous sommes embrassées comme des amies. Elle me semblait plus belle que sur les photos trompeuses. Nous avons parlé de tout, vers la fin du repas nous nous découvrions librement. Jétais veuve depuis deux ans environ, sans avoir eu de relation particulièrement marquante, sauf une courte aventure avec un homme bien plus âgé que moi qui me laissait sur ma faim. Elle était célibataire. Nous avions quand même 10 ans de différence, énorme !!!
Elle a pris ma main pour la caresser en me regardant dans les yeux.
Je la laissais faire puisquelle prenait le commandement.
- Tu sais, Claude, tu me plais beaucoup, tu es gentille, serviable. Jai envie de tembrasser sur la bouche.
- Moi aussi, Laure.
- Pas ici quand même.
Elle appelle le garçon, murmure à son oreille je ne sais quoi. Il répond positivement. Je reste dans le vague. De quoi sagit-il ? Elle ne veut rien me dire. Je comprends quand le garçon revient avec une clé de chambre. La coquine elle a envie de moi, comme moi delle, elle le cache depuis un moment.
Nous arrivons dans une grande chambre.
- Je lai loué jusquà demain matin.
- Tu as bien fait, jai envie de toi.
Nous voilà parti pour une aventure que jespérais, qui arrivais enfin.
- Moi aussi je te veux, je veux te faire jouir.
- Je te sucerais partout.
- Oui jaime ça.
- Tu as déjà fais lamour avec une autre femme ?
- Bien sur jaime les filles sinon quest-ce que je ferais avec toi ici, dans cette chambre, comme une grue, ce que jétais il ny a pas longtemps.
- Tu étais une pute ?
- Non, une belle salope seulement. Je sortais avec mes mecs pleins aux as. Jen tirais le maximum pour les plumer.
- Tu aimes les filles et tu couchais avec des vieux ?
- Oui.
- Comment faisais-tu ?
- Je me branlais comme pour me laver la chatte après.
- Jaime bien me branler ? Je nai jamais branlé de filles comme toi.
- Tu seras ma 6°, jai compté.
- Tu dois me faire bien jouir alors.
- Tais-toi, embrasse-moi.
Je lembrasse sur la bouche, nos langues, impatientes comme nous, jouent entre elles. Laure me serre contre elle. Je sens son corps contre le mien. Cest bizarre de sentir un corps de fille contre moi. Après tout, jai bien cédé, alors je vais me donner à fond dans le saphisme.
Laure a déjà prit le commandement depuis le début. Je me laisse faire.
Je sais surtout quelle me fait mouiller. Je me décide moi aussi a la caresser sur la poitrine. Je suis beaucoup moins habile quelle. Mes mains tremblent quand je suis sur ses seins. Le temps que jarrive à lui toucher la peau, elle relève déjà ma jupe. Je me demandais si je devais ou non mettre une culotte : jen portais une. Si javais su je restais cul nu puisquelle cherche ma chatte dès quelle arrive en haut de mes cuisses.
Je sens un doigt, un seul passer sur mes lèvres, les écarter, arriver sur mon clitoris qui bande comme rarement. Elle commence à ma masturber. Cest trop bon, je ne tiens plus debout, à dire vrai, je nai jamais pu faire lamour debout. Je me laisse aller sur le bord du lit. Son doigt sactive plus fort. Jhalète comme un chien qui a chaud. Jai à la fois envie et honte de ce quelle me fait.
Je me laisse aller complètement, je suis à sa merci, elle fait de moi ce quelle veut. Et ce quelle veut arrive quand un frisson remarquablement long arrive : je jouis de la main dune autre fille. Je me sens plus crevée que quand mon mari me baisait longtemps, profond. Si javais su ce quétait lamour au féminin, je me serais depuis longtemps convertie. Je naurais pas lair dune gourde maintenant.
Laure fini de me déshabiller, je nai plus honte dêtre nue devant une autre. Rapidement elle aussi se déshabille. Elle reste debout, je le regarde : elle est plus que bien, sexy et tout. Elle me plait. Je men serais voulu de ne pas être avec elle, là dans cette chambre prête à je ne sais quelles folies.
Je suis toujours assise au bord du lit. Je ne sais même pas pourquoi jai toujours les jambes ouvertes. Laure en profite pour les caresser doucement, avec une lenteur calculée. Elle mexcite encore rien quand caressant. Jattends sa main et cest sa tête qui arrive. Je sais ce quelle va me faire.
Sa langue fouille partout dans ma chatte à la découverte dendroits que je ne connaissais même pas. Je lattends sur le bouton, elle ne fait quun court, trop court passage. Elle plonge sur lanus. Ah, mon cul, jaimais quand mon feu mari menculait. Laure est incapable de me faire la même chose, elle na pas de bite, dommage, par contre sa langue est active, tellement active quelle me fait jouir. Je suis incapable de dire ce quelle a fait, au début je sentais le bout sur le rectum et ensuite, cest embrouillé dans ma mémoire.
Elle me fait me coucher normalement. En se couchant Complètement sur moi, elle fait comme si elle avait ce quil fallait pour entrer dans ma chatte. Son pubis est contre le mien. Elle les frotte ensemble. Je me laisse faire quand je sens quelle arrive à toucher le clitoris avec son bas ventre. Elle fait les mêmes mouvements quune baise « normale ». Je sens encore le bonheur sur moi. Elle arrête vite pour se mettre à lenvers sur moi. Sa figure est sur ma chatte. Elle veut un 69, je suis daccord. Je reçois dabord sa langue encore dans le sexe, cette fois elle entre dans le puits. Je me serais laissé faire si elle ne mavait pas donné son con.
Mon premier con à faire reluire. Si, au départ jétais un peu écurée de poser ma langue, cet organe sensible, sur sa chatte pleine de cyprine, je me lance. Elle me fait du bien, je men fais aussi en léchant cet endroit très doux. Je fais même comme elle en dépassant son bouton. Jentre dans son con. Cest chaud, presque trop. Jinsiste jusquau moment où elle jouit en gémissant.
Cest bon de faire jouir une autre fille, en sachant bien le plaisir ressenti. Comme elle je vais sur son anus.
Après ce premier 69 nous nous reposons un peu. Jaurais bien continué, elle la plus instruite en lesbianisme demande un peu de repos puisque ce qui nous attend est assez fatiguant. Je me demande ce quil peut y avoir de fatiguant en baisant entre nanas.
Nous passons un bout de temps à nous cajoler. Je sors ma langue pour lécher ses lèvres. Laure aime bien cette petite dérogation puisquelle men fait autant.
Elle rompt la trêve en me caressant le bouton. Je la branle aussi. Je pense que nous allons finir. Pas question, la chambre est réservée jusquau lendemain. Nous restons nues sur le lit ouvert quand elle appelle le room service pour le repas du soir.
Jallais mhabiller un peu quand elle me dit :
- Restons nues devant celui ou celle qui viendra nous servir.
- Tu es folle.
- Non, réaliste, si cest un homme il voudrait nous baiser ou nous enculer, si cest une femme, qui sait elle aimerait se joindre à nous ou se branler devant nous pendant que nous baisons ;
Là, jai honte de montrer que je baise une fille.
Cest une jeune femme qui sert. Elle fait comme si elle ne nous voyait pas.
- Tant pis, elle a loupé le coche. Baisons à ma manière.
Je suis sur ses genoux, elle me donne la becquée avec sa bouche. Puis quand nous finissons ce jeu, elle mentraine dans un autre jeu acrobatique.
Nous sommes presque assises, les jambes emmêlées, nos chatte toutes proches. Elle cherche, comme moi la bonne position pour que nos sexes soient contre lautre. Nous y arrivons pour prendre notre pied mieux que dans la journée, et plusieurs fois de suite;
Cette fois nous sommes satisfaites lune de lautre, je suis une bonne élève. Pas si bonne puisque la serveuse revient vers 23 heures, à la fin de son service pour se joindre à nous. Elle se met vite nue en souriant. Laure lattire en tendant les bras. Nous échangeons de longs baisers profonds.
Laure est à son affaire pour lécher un autre con que le mien. Je me contente de lécher le cul. Par contre cette serveuse sait bien branler. Elle nous fait encore jouir plusieurs fois.
Elle part vers 4 heures le lendemain.
Laure me plait trop comme fille, comme amante sans scrupule ni morale. Nous nous voyons chaque semaine au même hôtel dans la même chambre, avec comme dessert la serveuse. Elle nest pas belle la vie ?
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