Lui 3
On venait de rentrer et encore une fois je me retrouvais plaqué contre le mur, mis à part qu'ici, j'étais passée sur le divan et sur la table de la cuisine...
Il était couché toujours en moi, il reprenait son souffle et je dis :
- Giu, je peux te poser une question ?
- Oui, dis moi ?
- Il s'est déjà passer quelque chose avec ma chef ?
- Nous avons flirté un petit moment.
- ... Vous avez couchés ensemble ?
- Non.
- Promets le moi !
- Promis !
- Vous avez fait quoi ?
- Tu veux tout savoir ?
- Oui...
- Chaque fois que nous allions en boite, on se croisait, on passait notre vie dans la même boite donc tous les vendredi et samedi on se voyait, on sortait ensemble, un jour, on était complètement déchirés tous les deux, nous sommes aller dans la voiture, je comptais pas conduire et donc dormir dedans, elle m'avait accompagnée, elle s'est retrouvée nue, je l'y ai aidé à vrai dire... Elle ma sucée et je l'ai doigtée, au moment de la pénétration, son amie est venue frapper à la fenêtre... Et elle est partie...
- Et vous n'avez pas essayés de le refaire par après ?
- Non, à l'époque elle n'avait pas le permis et son amie à cesser de sortir là.
Je le regardais et il se remit à me mettre des coups de reins, il s'était remis à bander ! Je me sentis humiliée en sachant qu'en fait, il avait revu la scène, que ça l'excitais et que c'était en moi qu'il se comblait en pensant à ma chef.
Prise d'hystérie je me mis à crier et le repousser, je vis son incompréhension, je l'insultais aussi et partit dans la salle de bain que je fermais à clés et bien qu'il me parle gentillemment je ne cessais de l'insulter et de pleurer, je partis sous la douche, la je ne l'entendais plus et je me l'avais de sa saleté.
Je finis tout de même par sortir et il me dit :
- Ma puce ça va ?
- Laisse moi tranquille !
Je ne lui adressais plus un mot de la soirée, au soir il vint se coller près de moi dans le lit et mit sa main sur moi, je retirais ma main et me mit dos à lui sur le bord du lit.
Le matin, il ne su pas me réveiller, je pense que l'énervement avait fais que je m'étais réveillée plus tôt, lorsqu'il se réveilla, je m'étais déjà apprêté et j'avais déjeuné et prête à partir.
- A tout à l'heure !
- Attends, je vais te conduire.
- Non, le bus sera très bien.
Et ce fut ainsi pendant 2/3 jours, à ne plus parler à ma chef non plus et j'étais constamment de mauvaise humeur, il finit par venir me chercher au bout de 4 jours. Je vis ma chef de loin lui parler mais il ne s'attardait pas et arrivait près de moi, il attendit la fin de mon service et on partit.
Dans la voiture, il me dit qu'il m'aimait etc, qu'il ne comprenait pas que je pensais que c'était comme si il m'avait trompée, que c'était faux et puis il me dit qu'au travail je devrais faire attention et à la limite parler à ma chef en tête à tête afin de ne pas risquer mon job.
Risquer mon job, c'est vrai que cela je ne le voulais pas... On rentrait à la maison, il voulu me faire un bisou, je passais devant lui, je vis qu'il avait préparé plein de plat, je me fis réchauffer un plat tout fait au micro onde, je partis prendre ma douche et puis allait dans mon lit ou je m'assoupis.
Lendemain, je fis pareil, je partis en bus mais cette fois sans même lui dire au revoir.
A ma pause, en partant vers le réfectoire, je croisais et interpellais ma chef.
- Est-ce que je pourrais vous parler ? Lui dis-je sèchement.
- Oui, bien sur, j'attendais que tu te décides. Me dit-elle en souriant et me suivant.
Je lui expliquais donc ce qu'il m'avait dit et ce qu'il s'était passé, au moment ou je lui ai dis qu'il s'est remis à bander en moi, on aurait dit qu'elle était satisfaite, elle à eu une expression que je ne pu définir et elle me dit :
- Tu sais, Giu et moi ce n'était qu'un flirt, bien sur nous avons faillit coucher ensemble mais ça date de quelques années, on ne se fréquente plus et il suffit de voir comme il te regarde pour que je puisse te dire que moi il ne m'a jamais regardée ainsi, je n'aurais été à la limite qu'un plan d'un soir, toi comme il te le dis, tu es sa vie.
- Oui, mais, à savoir qu'il bande en passant à vous...
- Il m'as vu nue, ce soir là, excuse-moi de ma franchise mais nous étions vraiment tous les deux excités et on à eu une frustration, mais toi tu le combles avec toi il n'est pas frustré !
- Même... Il à bander en moi et recommencer ses va et viens en pensant à vous...
- Tu peux lui en vouloir, je lui en voudrais aussi à ta place, mais c'est un mec après tout, mais je sais que si tu es aussi agréable avec lui que tu l'es ces derniers jours, il doit se sentir rejetté et malheureux et c'est bête vous vous aimez... Entre lui et moi, il ne se passera jamais rien, c'est du passé, il est avec toi !
La pause se finit et je retournais travailler, j'étais moins de mauvaise humeur, surement du au fait que je pensais, il vint me chercher, je les vis parler ensemble, je vis sa main a elle sur l'épaule entrain de rigoler, je me fais des idées, je le sais...
Je tentais de prendre sur moi et de lui reparler, il était si gentils, c'est vrai, j'exagérais mais je n'arrivais pas à passer au dessus de cela !
Je tentais tout de même de faire l'amour avec lui, mais trop dans mes pensées, je faisais juste la planche, il s'arrêta et se retira, je vis de la tristesse dans son regard, il sortit de la chambre, et quand j'en sortit il était devant l'ordinateur, il ne parlait pas, triste...
Au soir, il fit à manger et je ne voulu pas manger, il tentait de me parler, mais je pense que parler à un mur aurait eu plus d'effet !
Il partit, je ne sais trop où...
Je vis son ordinateur allumer et je lançais une page facebook, je regardais dans ses messages et je vis que ma chef lui avait parler, je remontais tout au dessus afin de voir la conversation et elle lui disait que nous avions parler, qu'il devait être patient que tout irait mieux.
Lui plutôt sceptique, il répétait plusieurs fois qu'il ne voulait pas que ça se termine avec moi, au fur et à mesure de la conversation, je pu voir des phrases comme "tu imagines si nous avions fini ensemble ?" ou "A ce moment-ci, tu ne serais peut-être pas si triste" partant sur des phrases "humouristique" ou elle dit : "N'empêche je ressent encore ton sexe qui commence à s'insérer dans le mien et ma copine qui frappe à la fenêtre LOL" et lui qui répond : "lol.
Mais où il est là ? Je lui sonne, réponds pas !
Je sonne à ma chef pour voir si elle ne sait rien et elle me dit : "comment pourrais-je savoir ? Ce n'est pas mon mec !" je finis par m'emballer et déballer toutes la conversation avant de lui raccrocher au nez.
Je tourne en rond, ménerve, ressors les cigarettes que j'avais taper dans un tiroir en me disant : STOP.
On frappe à la porte, j'ouvre, ma chef... On sengueule, ou plutôt je l'engueule !
Elle me sort une phrase qui m'irrite :
- Si tu n'es pas capable de le combler, moi je peux très bien le faire !
Non, c'est trop, je pleure, et je n'arrive pas à me retenir, jusqu'à temps que la porte s'ouvre, c'est Giu.
- T'étais où ?!
- Au parc, pourquoi ? Et que fais-tu là Marina ? Dit-il calmement mais un peu déboussolé.
- Je passais faire coucou. Dit-elle.
- Au parc ? Tu te moques de moi ?
- Non. Dit-il en sortant son appareil photo de sa poche intérieur de sa veste.
Je prends l'appareil et visionne les photos, il était bien au parc et j'avais oublié que lorsqu'il était pas bien ou énervé il aimait aller là pour se calmer, et prendre des photos lui faisait oublier ses tracas comme il me disait toujours.
- Désolée... Dis-je.
- J'aimerais suggérer quelque chose. Dis alors ma chef, avant d'ajouter : Asseyez-vous.
On s'assit tous les deux dans le divan un à coté de l'autre, il y avait du progrès et elle en face de nous. Elle nous regardait l'un l'autre, les jambes croisés, d'ailleurs, elle avait de belle jambes en plus... Tout pour m'énerver.
- C'est vrai que Giu et moi avons faillit couchés ensemble, et je regrette que ça ne se soit pas passés, si il le voudrait, il pourrait me prendre maintenant sur la table !
- Mais ça va pas ! Dis-je.
- Je n'ai pas fini ! Oui, je lui ai fais des avances, mais excuse-moi, tu as un mec génial qui après aussi longtemps continue les petites attention, qui attends patiemment que tu cesses de lui en vouloir et qui tente encore tout pour que tu deigne lui reparler ! Donc, MOI je t'envie, oui, j'aimerais être à ta place qu'un garçon face le 1/4 de ce qu'il fait pour toi ! Et oui, il s'est excités en pensant à moi, tu peux pas lui en vouloir ! Il m'as vue nue et je ne pense pas être moche non plus !
C'est vrai, elle à pas tort, elle est pas moche, me dis-je.
- Coucher ensemble ! Dis-je sur un ton provocateur.
- Voilà ce que je propose, soit, tu te remets à lui parler, soit il te quitte là maintenant pour moi et on couchera directement ensemble avant même que tu sois partie ! Ou...
Je regardais Giu qui semblait faire de grands yeux étonnés, il n'avait pas l'air au courant et je dis :
- Ou quoi ?
- Ou alors, on fait un plan à 3.
J'ai cru que Giu allais s' et je dis :
- Le seul plan à 3 que je vois, c'est lui, moi et le bonheur !
- Je ne doutes pas qu'il est heureux en ce moment ! Dit-elle d'un ton ironique.
Il soufflait et se levait en marmonnant quelque chose, je pense qu'il est partit dans la cuisine.
- Ecoute ma chérie, un plan à 3 ça sera pour toi l'occasion d'avoir une nouvelle expérience, pour lui et moi de terminer ce qu'on à commencer et pour toi à nouveau, de voir qu'il bande plus en te voyant qu'en me voyant.
Je ne su dire un mot, je crois que j'avais les larmes aux yeux, d'ailleurs, non, je les avais un tas de pensée se fit dans ma tête et je n'eu d'autre réaction que de me lever et aller voir après lui, il n'était pas dans la maison mais sur la terasse, il s'était allumer une clope.
- Bébé, excuse-moi...
- C'est pas grave...
- Tu penses quoi de ce qu'elle dit.
- Je pense juste que tu as péter les plombs pour rien !
- Elle t'excite pas vrai ?
- Oui. Mais je ne l'aime pas.
Sa réponse un peu trop franche à mon gout m'avais un peu cassé, je retournais donc face à elle, la regardant de travers je dis :
- Tu l'excites, tu sais ça ? Si ça se passais, est-ce que tu me promettrais de ne plus lui tourner autour, que nos relations redeviendrais comme avant, qu'entre lui et toi ça serais juste bonjour au revoir ?
- Je te le promets. Dit-elle en se levant et venant face à moi.
- Tu fais quoi là ?
Elle me prit la main et me releva et m'embrassais, on retombais toutes les deux sur le canapé, j'étais étonnée mais je lui rendais le baisé, je suppose qu'on commençait notre plan à 3... A 2 ?!
Elle se mit à passer ses mains sous mon tshirt et me le relever, elle dégraffais mon soutien gorge et le retirais, caressais mes seins et me dit :
- Si seulement je pouvais avoir les mêmes...
Instinctivement, je mis mes mains dans son dos, la laissant jouer avec mes seins, je ne fis même pas attention qu'elle avait détaché mon pantalon, par contre je sentis qu'elle commençait à me l'enlever, mon string suivant le tout... Sa main effleurait mon intimité, je sentais une douce chaleur dans mon ventre, je pris le dessous de son tee short pour le lui relever, elle dégraffait elle même son soutien gorge, le retirant me montrant ses seins...
- Vois-tu, les tiens doivent mieux lui plaire que les miens !
Elle se relevait, retirant sa jupe, son string... Elle était juste en talons, elle vint se coucher contre moi, nos corps étaient tout deux bouillant, l'une contre l'autre, on s'embrassait, se caressait le sexe, les fesses... Elle finit par me mettre son sexe à hauteur de ma bouche, le mien à hauteur de la sienne et on commençait à se lécher l'une l'autre, c'était bizarre de lécher une autre fille, de caresser un sexe féminin avec sa langue, mais sentant bien l'excitation de l'autre monter c'était assez plaisant !
Alors que nous étions toutes deux entrain d'avoir un orgasme à peu de temps près, en ouvrant les yeux, je vis Giu et je sursautais comme si j'avais fais quelque chose de mal.
- Vous étiez prête à vous , et là vous vous lécher ?
Je l'observais un peu et je vis qu'il bandait, je suppose que c'est normal pour un mec... Elle changea de position et revint m'embrasser, elle me dit tout bas à l'oreille : "Suis-moi, fais comme moi"
Elle descendit du divan et je fis de même, à 4 pattes elle partit vers lui, je fis aussi de même et elle abaissais son pantalon et le boxer, elle se mit à le branler, j'y mis aussi ma main, elle passait sa langue sur son sexe, puis me le présentais je passais ma langue dessus aussi, on faisait ensuite passer son sexe d'une bouche à l'autre, entre temps parfois on s'embrassait toutes les deux, puis on se mettait chacune à le sucer plus sérieusement, j'étais excitée, je me caressais en même temps, je vis qu'elle fit pareil et il finit par venir, comme deux chiens qui se disputait un os on essyait chacune d'avoir le plus de liquide possible en bouche, je l'avalais à mon habitude et elle, vint pour m'embrasser, je fus surprise et un peu réticente mais je lui rendis le baiser, elle fit passer le plus possible de son sperme dans ma bouche et puis avec sa langue léchais le contour de ma bouche. Vu sa tête, Giu n'en revenais pas !
Elle prit nos mains à tous les deux et nous fit nous asseoir sur le divan, elle, s'assit sur ses genoux à lui, pendant qu'il m'embrassait et caressait mon sexe, elle l'embrassait dans le coup, frottant leur sexe, son autre main à lui était sur l'une de ses fesses à elle... Je du raté un épisode pendant que je l'embrassais car lorsque j'ouvris les yeux, il était en elle, la tenait par ses deux fesses et était entrain de faire l'amour ou baiser avec plutôt... Elle, avait l'air de mouillée en abandonce et poussait des petits cris, il finit par venir en elle et elle se mit à genoux pour le sucer, lui se remit à m'embrasser et lorsqu'elle arrêta de le sucer, il se releva et m'aida à me relever, il me prit par dessous les fesses, me soulevait et m'amenait dans la chambre, elle, nous suivit...
Il me couchait sur le lit délicatement, m'embrassais dans le coup puis me dis à l'oreille : "C'est toi que j'aime, juste toi..." et descendit entre mes jambes... Il commençait à caresser avec sa langue, s'appliquer comme il le faisait si bien, elle s'était couchée à coté de nous et se caressait toute seule, il la délaissais, elle m'embrassais et me caressait les seins avec l'autre main.
Il finit après un long moment, et 2 orgasmes plus loin à se redresser et venir au dessus de moi, elle vint entre mes jambes me lécher pendant que lui était entrain de me faire tendrement l'amour, j'eu des larmes de joie qui coulait... Elles vinrent toute seule, il était doux et je faisais bien la différence entre ce qu'il avait fais avec elle et ce qu'on était entrain de faire, de plus j'avais une boniche qui me léchais le sexe en prime !
Il finit par venir, restais un peu en moi puis se mit sur le coté, elle vint le nettoyer alors que lui s'était remis à m'embrasser, alors que l'on continuait à s'embrasser, elle vint me lécher à son tour, reprendre son sperme à lui...
Je pense qu'elle du voir qu'on ne prêtait pas attention à elle, elle sortit du lit et dit :
- Je vais y aller, je peux prendre une douche ?
Je lui montrait de l'index le lieu de la douche et elle sortit, lui me dit alors :
- Aucune femme ne pourra jamais me faire autant d'effet que toi, la prochaine fois que je recommence à bander après l'avoir fais avec toi, c'est juste parce que toi tu me fais un effet que je ne saurais définir !
- Je m'excuse pour tout... Dis-je avant qu'il place son index sur moi mes lèvres.
Il revint au dessus de moi et poussait son sexe mou contre mon entre jambe, il le frottait un peu, il se remit à m'embrasser et me caresser, peu à peu il redevint dur et le remis en moi...
Je ne sais à quel moment elle est partie car lui et moi, comme nous l'avions toujours été et voir plus encore à cet instant nous étions en osmose !
On ne vit juste un mot quelques heures après être sortit de NOTRE monde sur la table de la cuisine.
"Merci de m'avoir enlevé cette frustration, et faites moi plaisir, ne vous disputez plus jamais, personne ne pourra jamais être l'égal de l'autre avec l'un de vous deux."
Finalement, elle n'était pas si salope, je crois qu'elle avait tout calculé, ou presque, qu'elle y voyait son compte... Giu et moi nous y remettons de plus belles ! Il à acheté un jeu de guerre sur playstation, j'y joue aussi, on se fait des gages quand on est moins haut dans le classement l'un que l'autre.
On vieillit peu à peu ensemble, mais on est toujours deux gamins lorsqu'on est ensemble.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!