Rêve Ou Magie 7
Chapitre 7
Je les ai installés, chacune dans une chambre puis pendant quelles rangeaient leurs affaires, jai préparé le repas. Après manger je les ai accompagné jusquaux ruines envahies par la végétation puis je les ai quitté pour vaquer a mes occupations.
Le soir venu, elles sont arrivées très excitées, je leur ai demandé pourquoi. Lisa ma répondu :
- Je pense que nous avons trouvé lentrée secrète dune chapelle qui na pas été détruite, demain nous essaierons dy entrer
- Une chapelle pas détruite, ça métonnerais, je connais ce coin depuis que je suis tout petit, jai souvent visité ces ruines, il ny a pas un bâtiment qui ne soit ou entièrement détruit ou brulé.
- Non, ce nest pas un bâtiment, je pense que cest une cave qui a résisté au tremblement de terre, pour linstant elle est inaccessible a cause des éboulis qui sont devant lentrée, nous avons commencé à déblayer pour y voir plus clair.
La soirée fut courte après le repas les filles épuisées par leur travail aux ruines se sont couché et très vite endormies. Le lendemain, après avoir déjeuné, juste avant de partir vaquer à mes occupations, jai réveillé Lisa.
A midi quand je suis rentré elles nétaient pas la, jai mangé tout seul, fait une petite sieste puis je suis reparti travailler. A dix neuf heure quand je suis rentré elles étaient toutes la, pomponnées, le repas était prêt, Lisa ma proposé un apéritif, en me rappelant ce que mavais conseillé le docteur, jai accepté en lui disant
- Oui, je veux bien, mais un tout petit, lalcool mest quasiment interdit.
Elle ma servi un truc que je ne connaissais pas en me disant :
- Goute a ce truc, ça ne peu pas te faire de mal, ce ne sont que des plantes.
- Ce nest pas à moi, ça ?
- Non, cest une vieille dame qui passait par la à la recherche de plantes qui nous la donné ce matin dans les ruines.
- Une vieille dame, ce matin, dans les ruines ?
- Oui, cest elle qui fabrique cette liqueur avec les plantes quelle ramasse.
- Mais je ne connais pas de vieille dame qui fabrique de la liqueur dans la région.
- Ah bon pourtant elle nous a dit quelle te connaissait.
Je ne comprenais rien, je ne connaissais pas de vieille dame, encore moins qui fabriquent de la liqueur. Jai goutté au breuvage quelle mavait servie, jai reconnu tout de suite le gout, cétais la même boisson que celle qui mavait mis dans tous mes états pendant mon coma. Le gout en était plus agréable et surtout beaucoup moins fort mai cétais la même que dans mes souvenirs.
- Vous avez déjà goutté a ce truc Lisa ?
- Oui, juste un peu quand la dame nous la donné, cest très bon.
- Oui, cest très bon, il ne vous est rien arrivé après ?
- Non, pourquoi ?
- Pour rien, quest-ce que vous avez préparé ?
- Une salade de « ripountous » et du fromage, jespère que ça ira ?
- Vous connaissez les « ripountous »
- Non, cest la vieille dame qui nous en a donné un peu et qui nous a montré ou en trouver dautre et qui nous a indiqué comment les préparer.
- Ah !, je comprends mieux, les « ripountous », cest une salade magique de la région, nous nen préparons pas souvent cest très pénible de les ramasser. Par contre cest très bon, vous en avez déjà mangé ?
- Non, jamais, cest une première.
Nous avons mangé puis les filles ne semblant pas trop fatigué, nous avons joué aux cartes en buvant comme digestif de la liqueur de la vieille. Nous nous sommes couchés très tard.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, jai très mal a la tète et aux couilles. Jai les mêmes sensations que quand jétais dans le coma, je me lève, prépare le café, dans la boite a médicaments, je prends un comprimé et en regardant je vois une autre boite, je la prends, li la notice, cest lanti douleur que ma donné le pharmacien lautre jour. Je réfléchi, ce nest pas possible, jétais a la clinique. Il faut que je comprenne pourquoi cette boite est la, comment elle est arrivé.
Je la caresse doucement, elle gémis, ma main descend sur son ventre vers sa touffe noire, elle frissonne et écarte les jambes, mes doigts entrent en elle et la caresse doucement, elle râle de plaisir et ouvre les yeux. Je mimmobilise comme un pris en faute, Elle me regarde et dans un râle me dit :
- Continue, fait moi jouir.
Je recommence a activer mes doigts en elle, son orgasme la saisi très vite, ses yeux se révulsent, elle retient son cri, se relève, se met a quatre pates et me dit :
- Prends-moi, jen ai très envie.
Sans un mot, je baisse mon pantalon, passe derrière elle et la pénètre doucement. Elle feule tout le temps puis je sens son vagin se contracter sur moi, elle crie son plaisir la tète dans le coussin pour le bruit. Puis ses mains partent sous elle pour mattr les couilles et elle les malaxe doucement. Je ne résiste pas longtemps et jouis au plus profond de son ventre.
Nous nous écroulons lun a coté de lautre sur le lit. Un petit moment après, elle me dit :
- Que fais-tu dans ma chambre ?
- Je suis venu te réveiller comme tous les matins et comme tu ne répondais pas je suis entré.
- Ah oui, cétais merveilleux, je pense que Marie aimerais bien avoir un réveil aussi doux tu crois que tu pourrais lui faire le même réveil, elle ne sait pas ce que cest que se faire baiser, elle sest retrouvée en cloque alors quelle était vierge et elle se souvient de rien.
- Oui, je peux, tu veux tout de suite ?
- Oui, je viens avec toi, jaime bien regarder et je pourrais participer aussi.
- Allons-y.
Doucement nous sommes entré dans la chambre de Marie, Lisa la découverte en la caressant, elle était elle aussi comme dans mes souvenirs, magnifique, je me suis mis entre ses jambes et jai léché sa fente pendant que Lisa lui caressait la poitrine, très vite, elle sest mise à jouir et a ouvert les yeux.
- Cest très bon ce que tu me fais Lisa, cest un réveil merveilleux. Mais qui est avec toi ?
- Cest Marc, il va te faire connaitre le vrai plaisir, retourne toi, a quartes pattes
Sans un mot elle sest mise en position, je lui ai pistonné un petit moment le vagin avec mes doigts et quand jai vu les premières gouttes de mouille sécouler, je lai prise tout doucement, comme si je pénétrais une vierge, elle a adoré cette pénétration et sest agité pour faire monter son plaisir. Lisa lui caressait la poitrine et lembrassait, moi, je la possédais bien a fond, elle a jouis bruyamment trois foi avant que je la remplisse de mon plaisir. Quand je me suis retiré, Lisa a plongé sur mon sexe et sest mise à le sucer avidement. Sous ce traitement je nai pas débandé et elle ma dit :
- Comme tu es toujours en forme nous allons faire découvrir ce plaisir a Christine, elle nom plus ne connais pas le plaisir de se faire prendre par un homme.
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