Je N'Osais Pas Me Montrer Nue
Avant je nosais pas me montrer toute nue. Il ma appris comment montrer mes fesses et le reste en public. Quand nous nous sommes connus, jétais encore une pucelle engluée dans mes convictions réacs. Javais été élevée en Suisse dans une institution religieuse rigoureuse. Les seuls contacts avec le sexe était quil ne fallait pas en parler, pas y penser.
Une seule séance de cinéma a suffit. Cétait pourtant un film à leau de rose. Le vue de cet homme donnant un baiser sur la bouche de lactrice mettait le feux au ventre. Dans mes rêves je me voyais dans ses bras prête à tout ce quil demanderait. Il sest assis près de moi. Je regardais ce garçon que je ne connaissais pas avec des yeux envieux. Je voulais quil membrasse. Je le voulais tant que je touchais son bras. Il se tournait vers moi.
Raoul a compris que je voulais quelque chose. Lui me désirait aussitôt. Sa main venait sur mon épaule, je me penchais vers lui. Quand il posait ses lèvres sur le miennes, je me laissais faire. Jouvrais ma bouche quand sa langue forçait vers la mienne. Je ne pensais pas quun simple baiser soit aussi bon. Il a touché ma poitrine dans un geste doux. Je sentais gonfler mes seins. Sil avait voulu passer sa pain directement sur les tétons, je laurais laissé faire.
Mes bras entouraient son cou. Je fermais les yeux. Jattendais je ne sais quoi. Sans un mot il posait une main sur le genoux. Il montait la main entre mes jambes que jouvrais facilement. Je sentais que ma culotte se mouillait.
Avant la fin du film, il memmenait avec lui dans un jardin où nous nous asseyons sur un banc. Raoul remettait sa main vers le slip. Jétais à sa disposition. Quand il mettait deux doigts, je crois, entre les lèvres den bas je sentais le calme venir dans le bas ventre.
Je sentais quand il commençait à caresser. Mon bas ventre se tendait vers sa main. Je sentais son poignet juste sur ma cuisse. Ses doigts étaient agiles : il me donnait un drôle de plaisir immense, totalement inconnu.
Je tenais sa main pour quelle ne me quitte pas. Raoul recommençait à me caresser. Il murmurait des mots dencouragement pour que je jouisse encore. Cétait tellement bon que je le laisser recommencer. Il ma vite donné ce que jattendais.
Quand il a pris ma main pour la poser sur sa braguette, je sentais au début quil avait quelque chose de gros. Il la sorti. Jai pu voir sans sa queue dans la pénombre. Jai pris cet engin dans la main. Il me semble que cétait un petit animal qui frémissait.
Il ma demandé de le caresser aussi. Je ne savait pas trop comment faire. Sa main est venue entourer la mienne. Il ma fait descendre, remonter. Je sentais que sa queue avait encore grossi.
Jai continué seule à aller et venir sur sa bite. Avant quil jouisse il ma demande denlever mon t-shirt, ce que jai fais en confiance. Par surprise il enlevait mon soutien gorge. Mes seins à lair libre me faisaient mal. Il savait comment leur faire du bien. Sa bouche venait me téter. Sa langue léchait les tétons. Je me tendais vers la bouche. Je lâchais la bite. Il me faisait lever. Là il descendait ma jupe, ma culotte. Jétais nue dans ce jardin heureusement sans personne.
Sur ses genoux jétais bien, il me caressait partout le corps depuis les épaules jusquaux fesses. Il descendait son pantalon. Je pouvais voir son sexe en érection plus gros que linstant avant. Raoul me demandait me venir sur lui. Je masseyais sur lui, les fesses tendues vers son dos.
Il me guidait pour que je sois juste sur sa queue. Je sentais quand sa bite touchait la raie des fesses. Lui passait sa main vers ma chatte. Il me masturbait encore quand je le sentais juste sur lanus. Cétait excitant. En confiance je me laissais aller. Il écartait mes chairs autour du cul. Javais mal, je nosais pas le dire. Jétais complètement assise, je sentais ses poils contre mes fesses. Heureusement que je sentais ses doigt sur la chatte.
Mon premier orgasme dencore presque vierge. Je sentais sa présence dans le cul. Je le sentais jouir. Cétais encore excitant. Je me retirais lentement. Je pouvais voir un peu de semence autour du gland. Presque debout, je lembrassais sur la bouche. Sa queue encore dure me narguait. Je me retournais pour la prendre ailleurs que dans le cul. Mes cuisses autour de lui je pouvais lui donner mon con. Il écartait mes lèvres, passait sans dommage juste à lentrée du vagin. Dun seul coup il entrait dans mes chairs.
Javais presque aussi mal que quand il menculait. Là le plaisir est arrivé, trop vite. Je me souviens encore de cet envahissement du corps en entier quand je jouissais. Je ne voulais surtout pas quil sorte de mon corps.
Ce doit être à ce moment là que dautres amoureux sont venus. Ils étaient quatre. Les bancs en face de nous étaient vide. Quand je me tournais je les voyais comme nous, nus, se faisant mettre pour les filles et mettant pour les hommes. Je voyais une bite monumentale. La fille qui lavait en elle gémissait comme si elle soufrait. Moi, je jouissant encore rien quà regarder autour de moi.
Un soir Raoul me demandait laller chez des amis. Là je connaissais des plaisirs autres avec dabord une fille qui me léchait le clitoris et un homme qui me baisait en même temps. Jai appris ensuite quils étaient mariés.
Japprenait également que Raoul aimait également les autres hommes. Il venait derrière celui qui menculait comme jaime, profondément, brusquement. En bandant comme je le lai encore jamais vu, il posait sa queue sur le trou du cul de mon enculeur. Je lentendais souffler sur le dos de lautre. Je sais, puisquil me le disait quil avait prit un pied pas possible. Ce soir là jai pu connaitre les joies davoir deux queues rien que pour moi. Un de mes amants voulait que je sois sur lui.
Je suis devenue totalement libertine.
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