Comment J'Ai Gagné Mes Galons De Pute (7)
Dans les temps qui ont suivi, jai continué à baiser dans le dos de mon mari avec son fils. Nous prenions de plus en plus de risques, mais je men fichais, je voulais profiter au maximum de sa belle queue et de ses idées perverses. Jétais son sac-à-foutre disponible dont il pouvait faire ce quil voulait, en plus de Pierre qui passait le plus clair de son activité professionnelle avec la bite dans un des trous de sa secrétaire (ce vicieux avait pris notamment lhabitude de ne lire son courrier et ses mails du matin quaprès mavoir fait le chevaucher pour planter sa bite au fond de ma chatte ; je restais ainsi parfois près dune heure sans bouger, à attendre quil ait fini sa lecture. Quand cétait fait, il donnait quelques coups de reins et éjaculait au fond de mes entrailles. Sa queue était enfoncée si loin en moi que javais limpression quil me jutait directement dans lutérus, ce qui me faisait jouir comme une folle !)
Par ailleurs, Rémy ne se gênait plus pour me partager avec dautres. Toujours aussi assidu à la fac, il organisait des après-midi poker avec ses potes. A ces occasions, il négociait des « RTT » pour moi avec Pierre afin que je participe à ces après-midi. Vêtue de bas, de talons hauts et dune tenue de soubrette, je faisais le service des boissons. Quand cette activité ne moccupait pas, je passais sous la table pour sucer leurs bites rendues accessibles par labsence de pantalons, slips, ou caleçons. Tous se mettaient nus sous la ceinture avant de commencer la partie, et je devais sucer chaque bite en érection, sans oublier de bien leur lécher les couilles. Cétait toujours un peu brouillon au début, mais au fil de la partie les choses se calmaient et les queues se levaient presque chacune leur tour. Jétais alimentée en sperme toutes les 10 minutes environ. Bien sûr, quand je sortais de sous la table pour servir des verres, les invités en profitaient pour me palper la chatte et le cul, et faire des commentaires salaces à mon sujet auxquels je répondais par un sourire, voire un merci lorsque linsulte était particulièrement dégradante.
Jétais devenue à ce rythme une parfaite putain lorsque les vacances dété sont arrivées. Guy ma invité pour un séjour de 14 jours dans un hôtel à Lomé, au Togo. Guy avait auparavant adoré la Côte-dIvoire, il trouvait les paysages magnifiques (certes, mais la chaleur y était insupportable), la cuisine locale savoureuse (mais bien trop épicée pour moi!) et les gens chaleureux et toujours prêts à vous rendre service (je ne men étais pas franchement rendue compte, mais suite à ce séjour, jallais me ranger définitivement à lopinion de mon mari!). Guy se faisait donc une joie de ce nouveau voyage. Pour ma part, la perspective de passer 15 jours avec Guy me déprimait. Et puis je nétais pas encore partie que la bite de Rémy me manquait déjà. Cest la raison pour laquelle je nai fait que le sucer durant les 48 heures qui ont précédé mon départ, afin de faire le plein de son sperme! Toujours débordant didées, ce vicieux ma « aidé » à faire ma valise. Jallais en effet avoir mavait-il expliqué des devoirs de vacances à effec. Il nétait pas question selon lui que mon cul soit abandonné durant tout ce temps et que ma chatte soit fourrée une fois ou deux par mon mari (en réalité, je ne comptais pas sur Guy: son fils nétant pas là pour lui « préparer » le passage, il était hors de question quil me touche! « Jarriverais bien à trouver une excuse pour me défiler» pensais-je).
Voilà quels étaient mes devoirs de vacances de putain (presque) confirmée: celle du jour du départ comprise, je nai eu le droit de nemmener que 15 petites culottes, toutes de couleur de surcroît (ceci dit, à quelques exceptions près, Rémy les avait toutes choisies noires
). Rémy a exigé quà mon retour chacune delles soit maculée de sperme. Je devais promettre que ce ne serait pas celui de mon mari, ceci pour que ce ne soit pas trop facile et quil me faille aguicher les hommes comme une salope (ça, cétait pas trop dur: même si je le lui avais permis, ce pauvre Guy était bien incapable de me baiser une fois par jour!).
Néanmoins, ce petit jeu présentait un certain nombre de difficultés quil me faudrait surmonter. Premièrement, comment allais-je bien pouvoir faire pour fausser compagnie à mon mari tous les jours afin daller salir mes culottes? Deuxièmement, qui allais-je bien pouvoir trouver pour marroser tous les jours le conduit vaginal? Et enfin, comment faire pour que mon mari ne remarque pas létat de mes culottes? Jai pensé que je verrais tout ça sur place. Nempêche! Je navais pas intérêt à chômer, car le jeu commençait le jour du départ; si je ne trouvais pas le moyen de me faire sauter avant ce soir, je prendrais déjà du retard sur le programme, ce qui mobligerait par la suite à changer de culotte dans la même journée et à me faire sauter une seconde fois, avec tous les problèmes logistiques que cela pouvait entraîner. Heureusement, pour le premier jour, Rémy ma très gentiment aidée. Juste avant de partir pour laéroport, il a saisi une occasion pour me chuchoter:
-« Quand tu monteras dans la voiture, fais semblant davoir oublié un truc et reviens le chercher
»
Jai attendu que Guy démarre la voiture, je suis montée puis jai prétexté que javais envie daller aux toilettes.
-« Taurais pu y penser avant! On va finir par manquer lavion
» a grommelé Guy.
Aussitôt la porte dentrée franchie, Rémy ma attrapé et il ma appuyé sur les épaules pour que je me mette à quatre pattes. Toujours sans dire un mot, il a relevé ma robe légère sur mes reins, il a baissé ma culotte à mi-cuisses et a enfoncé sa queue dans mon vagin bien éduqué, puisquil shumidifiait dès que jétais dans la posture dune chienne! Rémy sest activé dans ma chatte à une vitesse folle pendant une minute ou deux et au moment de jouir, il a juté à lintérieur de ma petite culotte de dentelle mauve.
-« Foutue salope! » ma dit Rémy en membrassant légèrement (pour ne pas défaire mon maquillage) « Amuse-toi bien! »
La chatte baignant dans le sperme de son fils, je suis remontée dans la voiture, jai souri à Guy qui avait si aimablement patienté pendant que sa petite femme se faisait baiser et nous sommes partis. Le petit souvenir de Rémy que je gardais entre les cuisses ma mis du baume au cur et je me suis montrée très enjouée durant tout le trajet. Quand Guy ma dit quil était content de voir à quel point le fait de passer 15 jours ensemble me mettait de bonne humeur, jai eu toutes les peines du monde pour ne pas éclater de rire!
Jétais dailleurs tellement ravie de passer du temps avec mon cher époux que ma première préoccupation lors de notre arrivée à lhôtel à été de me retrouver seule pour entamer mes devoirs de vacances. Loccasion ma été offerte sur un plateau par mon mari en personne! Très impatient, Guy a voulu sortir sans attendre pour profiter du soir qui tombait. Je lui ai répliqué que je préférais dabord défaire mes valises et prendre une douche pour me détendre, mais quil pouvait y aller sans moi. Guy na pas insisté et je suis montée dans notre chambre. Cinq minutes après, on a frappé à la porte: cétait un jeune homme du service détage qui apportait les valises. Quand je dis jeune, je devrai plutôt dire mineur, ou majeur depuis pas très longtemps
Quoi quil en soit, il était mignon et avait une belle carrure de sportif, et jai tout de suite pensé quil ferait merveille entre mes cuisses. Nous avions emporté quatre valises plus un sac de voyage, il en avait monté deux et il lui restait donc au moins un voyage à effec.
-« Impossible de mettre la main sur ma petite culotte mauve! Voudriez-vous maider à la chercher, je vous prie? »
Il aurait été bien en peine de la trouver sur le lit, puisquelle était actuellement entre mes jambes! Il a approché sa main tremblante de mes dessous et les a vaguement manipulés du bout des doigts en roulant des yeux. Dans le même temps, je jetais des regards appuyés et gourmands sur la bosse qui déformait la toile de son pantalon et je me penchais pour quil puisse se rincer lil dans mon décolleté. Pourtant, toujours rien ne se passait. Je me suis assise sur le bord du lit et je lui ai demandé:
-« vous ne la trouvez pas?
- non, madame.
- peut-être que vous ne cherchez pas au bon endroit » ai-je répondu en écartant doucement mes cuisses.
Je pensais que jy allais un peu fort: sil navait pas compris à quelle garce il avait affaire après ça! Eh bien à ma grande déception, non! Je me suis finalement mise à quatre pattes (en prenant soin de bien écarter mes cuisses!) pour faire mine de chercher sous le lit. Je suis restée un peu dans cette position, mais mon jeune étalon est demeuré incorrigiblement immobile. « Quel empoté! », pensais-je, agacée. Que fallait-il donc que je fasse pour quil se décide à venir me coller sa bite au fond de la chatte? En désespoir de cause, jy suis allée franco. Au lieu de me remettre debout, je suis restée à genoux devant lui, le visage à hauteur de sa braguette et jai sorti le membre doucement. Je constatais à cette occasion que javais fait mon effet. Cest un beau braquemart bien bandé et prêt à cracher sa liqueur que jai extrait de sa prison de tissu! Je lai manié un peu avec admiration, puis, afin de lever toute incertitude sur mes intentions, je lai enfourné dans ma bouche. Mal men a pris, car je navais pas encore totalement refermé mes lèvres autour de la tige que le jeune homme a gémi comme une fille et ma expédié sa purée au fond de la gorge! Ce nétait pas du tout là où je voulais en venir, même si une bonne rasade de foutre, cest toujours bon à prendre! Jai siroté son sperme tout en réfléchissant à la suite: mon expérience ma tout de suite indiqué que le plus sûr était de le laisser rebander bien au chaud dans ma bouche de pute. Les mains bien cramponnées à ses fesses, jai tété gloutonnement la bite qui na fait que ramollir un peu avant de redurcir de plus belle. Jai stoppé mes succions dès que la bite ma semblé à bonne taille, je me suis allongée sur le lit et je lui présenté ma fente en écartant les cuisses et en tirant sur la culotte que je lui avais, en vain, enjoint de retrouver. Tout ça ma quand même demandé un gros effort, parce que dhabitude une queue, si on ne me lenlève pas de la bouche, je la suce jusquau bout! Mais il me fallait modérer ma voracité si je voulais obéir à Rémy: je nétais pas là pour me goinfrer de foutre, mais pour en prendre plein la chatte et le cul!
Très excitée, ma proie sest avérée beaucoup plus entreprenante. Le jeune homme sest avancé entre mes cuisses, jai pris sa queue que jai dirigée vers lentrée de mon vagin, puis jai donné un coup de rein et je me la suis enfoncée jusquà la garde! Huummm! Que cest doux de sentir ce bâton chaud palpiter dans son ventre! Le petit salaud me remplissait bien lorifice reproducteur et javais hâte quil le garnisse de sa crème! Par des mouvements de bassin, je lai encouragé à me défoncer la chatte, ce quil a fait pour mon plus grand bonheur en me pilonnant maladroitement, mais avec vigueur. Il a tenu plus longtemps que la première fois (heureusement!) mais mes contractions vaginales sont assez rapidement venues à bout de sa résistance. Au moment de jouir, il a plaqué son gland contre mon utérus quil a noyé sous un flot de semence. Je me suis moi aussi pâmée de jouissance en sentant les jets de sperme brûlant se déverser en moi.
Jai soigneusement remis ma culotte en place pendant que mon baiseur, qui devait sans doute craindre que son absence finisse par se remarquer, se dépêchait de filer. Avant quil ne regagne son poste, jai pris mon porte-monnaie pour lui donner un pourboire quil a très galamment voulu refuser, mais jai insisté:
-« Si, prends-le, comme ça tu me rendras un petit service, ok?
- Oui, je veux bien
Lequel?
- Si tu as des collègues que ça intéresse de venir tirer à boulets rouges dans mon buisson, dis-leur quils sont les bienvenus. Et toi aussi, nhésite pas à revenir me voir
»
Sur ce, jai fermé la porte en me demandant comment allait se dérouler la suite des évènements. Pour lheure, jai veillé à rester debout le temps que le foutre contenu dans mon vagin tapisse le fond de ma culotte, puis je suis allée me faire couler un bain dans lequel jai traînassé une grosse demi-heure. En me rhabillant, jai jugé que je pouvais changer de culotte: lancienne était entièrement maculée de blanc. Je me suis réjouie de savoir que celle-ci au moins ferait bonne figure devant Rémy!
Jai passé le reste de la soirée avec Guy sans que rien dautre de particulier ne se produise. Dès le lendemain en revanche, en allant prendre mon petit déjeuner vers 10 heures (mon mari était déjà debout depuis longtemps), jai croisé mon jeune baiseur de la veille. Je lui ai fait un grand sourire et il sest approché discrètement de moi. A voix basse, il ma dit:
-« Si votre proposition dhier tient toujours, vous navez quà aller au premier sous-sol, dans la salle marquée réserve n°1 aujourdhui vers 13h
»
Il avait fait vite, le petit salaud! Heureusement dailleurs: dune part, je ne pouvais pas trop me permettre de prendre de retard dans mon planning; dautre part, ma chatte criait famine depuis le début de la journée, des picotements parcouraient mes petites lèvres et je devais régulièrement, pour les calmer, me rendre régulièrement aux toilettes afin mintroduire un doigt ou deux dans mon vagin mielleux. Mais je savais que seule une bite pourrait me soulager
Premier objectif, parvenir à me débarrasser de mon encombrant mari! Pour cela, jai prétendu que la chaleur me coupait lappétit et que je préférais aller à la piscine ombragée de lhôtel (le genre dactivité quil déteste!). Néanmoins, pensant me faire plaisir, il ma dit quil my retrouverait après le déjeuner, ce qui me laissait quand même une bonne marge. Sans perdre de temps, je me suis mise en quête de lendroit où lon mavait donné rendez-vous. Jai trouvé facilement et je suis arrivée avec un bon quart dheure davance dans cette pièce qui servait à stocker des denrées non périssables, type conserves. Je me sentais godiche, plantée au milieu des cartons et jai décidé de recevoir dignement mes baiseurs, cest-à-dire comme une pute! Jai pris deux gros sacs de riz que jai disposé au milieu de la pièce, assez loin lun de lautre. Jai ôté ma culotte, puis jai mis mes genoux sur chacun des sacs. Ensuite, jai posé mes avant-bras sur le sol après avoir retroussé ma robe sur mes reins. Dans cette position, javais le cul et la chatte bien écartés qui faisaient face à la porte et jai attendu quon vienne menfiler. Pas longtemps dailleurs: deux hommes sont entrés. En me voyant dans cette pose, lun deux a lâché:
-« Whaou!
- alors, tas vu que je ne tai pas raconté de conneries! »
Le type, probablement trop abasourdi par le spectacle que joffrais, na rien répondu à celui que je devinais être mon jeune étalon de la veille. Les deux hommes se sont approchés de moi et aussitôt, jai senti plusieurs doigts fouiller ma vulve, et très vite aussi, mon cul. Se faire tripoter sans voir le visage du type, ça ma fait littéralement dégouliner de la chatte! Ses doigts jouaient avec mon intimité et en vraie salope, jai tortillé du cul pour montrer à quel point cela me plaisait.
-« Elle est déchaînée, cette femelle! » a commenté lautre. « prends des notes, Abou, je vais te montrer comment on baise une pute en chaleur! »
Le temps quil se déshabille et sa queue sest enfoncée dans ma grotte humide pour me la bourrer. Sa queue me remplissait bien, elle touchait toutes les parois de mon vagin et son gland appuyait sur lentrée de mon utérus. Jétais aux anges!
-« Tiens pétasse! Prends ma queue! Cest ça que tu voulais, hein, une bite dans la chatte?
- Oui, vas-y! Mets-men plein la conasse! Défonce-moi avec ta grosse queue! Ooooh
Salaud
ce quelle fait du bien à ma petite chatte, ta queue
continue
cest bon
tu vas bien me gicler dedans, hein, tu promets?
- Ce que tu es bavarde! Abou, bâillonne-là avec ta bite pendant que je lui éclate la chatte! »
Abou a obéi à celui qui semblait être lun de ses supérieurs hiérarchiques et je me suis comme la veille retrouvée avec sa bite dans la bouche, sauf que cette fois il a été plus long à éjaculer. Pendant que je le tétais comme une pute en manque de sperme, lautre me pistonnait le vagin à grands coups de butoirs et je sentais ses couilles claquer contre ma vulve. Ma chatte me brûlait et je sentais la jouissance poindre au creux de mon ventre. Mon baiseur sest soudain arrêté net et quelques instants après jai senti son sperme se déverser abondamment en moi. Comme à chaque fois quon me remplit, jai joui intensément tout en mactivant sur la queue que je pompais. Le résultat prévisible ne sest pas fait attendre et le jeune Abou a arrosé mon gosier avec son foutre crémeux en geignant de bonheur. Voyant que javais tout avalé, lautre sest exclamé:
-« Quelle sacrée putain! Tes pas une novice toi! Si cest de la bite que tu veux, je vais ten procurer, tinquiète pas! En attendant, suce-moi! »
Sa queue était restée dure. Jai vraiment été flattée de voir que je lui faisais autant deffets, à moins que cette érection persistante ne fût provoquée par labstinence: vu la dose de foutre quil mavait mis dans la chatte, il est en effet probable quil ne sétait pas vidé les couilles depuis plusieurs jours. Quoi quil en soit, jétais heureuse de lui servir de bassine! Jai englouti sa belle pine noire dans ma bouche et jai commencé à la sucer avec délice: sa queue avait le goût de ma chatte et de son sperme poivré qui ma tout de suite plu: javais hâte quil men expédie une bonne rasade dans la gorge. Et puis il ne fallait pas que je traîne de trop: mon mari allait bientôt me rejoindre à la piscine où jétais censée être. Du coup, jai déployé tous mes talents de suceuse pour le faire gicler au plus vite. Jai tété amoureusement son gland, jai léché et gobé sans retenue ses couilles velues qui sentaient le mâle tout en le branlant, et au bout de 5 minutes il a joui dans ma bouche grande ouverte. Quand il a eu fini de se vider, jai tout avalé en claquant la langue contre mon palais afin de montrer que jappréciais, ce qui ne lui a pas échappé.
-« Ca se voit que tu aimes le sperme, sale garce! »
Jai sauté sur loccasion:
-« Cest vrai que jadore avaler du sperme! Je suis tellement salope que jaccepte de traire toutes les queues
Mais jaime aussi avoir mes deux autres trous bien remplis
» expliquais-je, faussement naïve et déjà excitée de sa réponse.
-« Tu pouvais pas mieux tomber, chérie! Je suis le responsable du personnel de cet établissement, et tu peux compter sur moi pour dire à mes gars de ne pas hésiter à venir te remplir la gueule à ras-bord! Gourmande comme tu es, je suis sûr que ça va te plaire
»
Jai approuvé dun hochement de tête et dun sourire. En vitesse, jai essuyé mes cuisses toutes glaireuses avec ma culotte que jai ensuite enfilée, puis je me suis dépêchée de retourner à la piscine.
Je suis rapidement devenue la pute de tout le personnel masculin de lhôtel, mais le responsable ayant surtout vanté la qualité de mes pipes et mon penchant pour le sperme, ils venaient surtout pour se faire sucer, ce qui me faisait mouiller comme une folle mais qui narrangeait pas mes affaires
A ce rythme, il allait falloir que jen fasse, des pipes, pour parvenir à lobjectif qui mavait été fixé
Et de fait, jen ai vidé des paires de couilles au cours de ce séjour! Ce sont des milliards et des milliards de petits togolais potentiels qui ont fini dans mon estomac!
En échange de mes faveurs, le responsable du personnel Kofi de son prénom était aux petits soins pour mon mari: il ne cessait de lui présenter à des tarifs préférentiels tout un tas dactivités prévues par lhôtel. Mon mari, qui se sentait privilégié (le pauvre!), acceptait sans rechigner tout ce quon lui proposait. Bien sûr, Kofi privilégiait les excursions. Pour ma part, je les déclinais toujours sans difficulté car Guy se sentait plus libre de ses mouvements sans moi (les visites, moi, ça me fatigue et ça me rend très vite insupportable
) A chaque fois, il me demandait si cela ne me dérangeait pas quil y aille sans moi. Je lui répondais que non, pas du tout, ce sur quoi il membrassait en me disant que jétais gentille ou quil maimait. Ainsi, pendant quil était en vadrouille, je disposais de longues heures que je passais dans notre chambre à me faire baiser par tous les trous (mes amants togolais navaient en effet pas été longs à comprendre que cétait me faire plaisir que de me mettre une bite bien au fond de mon cul, et à cet égard, ils se sont montrés adorable avec moi!).
Ces jours dexcursion, je servais tout bonnement de reposoir pour les pauses des employés. Au fur et à mesure de la journée, je voyais défiler dans ma chambre (et dans mes orifices) les membres masculins des différents services de lhôtel. Vers midi, cétait les garçons détage qui prenaient leur pause. Ils débarquaient à une dizaine dans ma chambre, rigolards, tandis que je les recevais à poil, à quatre pattes sur le lit, les cuisses bien écartées. Durant 1h30 très précisément, ils me baisaient sans relâche. Je jouissais comme une folle en suçant toutes les queues quon me présentait et en savourant les bordées de sperme dont ils me gratifiaient. Souvent, ils étaient trop nombreux pour que tous aient le temps de me juter à lintérieur. Du coup, certains se branlaient et me giclaient sur le visage, le ventre, les seins ou les fesses, faute davoir pu trouver un orifice vacant. Au final, Ces 1h30 suffisaient largement à me donner lallure dune serpillière à foutre! Je disposais ensuite dun quart dheure pour me dégourdir et recueillir la semence mâle dans une de mes culottes, puis les cuistots arrivaient. Ils étaient un peu moins nombreux (5 ou 6) mais ils étaient rejoints vers 14 heures par les serveurs, ce qui me faisait une bonne demi-douzaine de paires de couilles supplémentaires à essorer. Le challenge pour moi était donc de parvenir à calmer les verges gonflées des cuistots avant que leurs collègues ne débauchent, sans quoi ça devenait ingérable. Les serveurs avaient eux aussi très envie de se détendre après leur service et parfois des disputes éclataient, les serveurs prétextant que cétait « à leur tour de profiter de la pute » et quils navaient quà « se dépêcher de me méjaculer dedans ». Tout ça se faisait naturellement sans me demander mon avis. Dailleurs, les cuistots parlementaient avec les serveurs sans quitter mes trous pour ne pas se faire voler leur place. Ils me traitaient vraiment à la manière dune poupée gonflable, ce qui mexcitait à mort et me poussait à être encore plus chienne avec eux. Rapidement, les négociations prenaient fin et tous me passaient joyeusement dessus durant le reste de laprès-midi, puisquils ne reprenaient le travail que vers 18 heures.
Heureusement que les excursions nétaient pas tous les jours, sans quoi je naurais pas tenu, dautant plus que le matin, avant la pause des garçons détage, je tenais mes trous à la disposition de Kofi et de ses copains qui se chargeaient charitablement de mouvrir et de me lubrifier le cul avec leur sperme afin que je sois prête pour la suite. De surcroît, certains clients avaient repéré mon manège et sétaient débrouillés pour avoir leur part du gâteau. Notamment un papy denviron 70 ans qui arrivait vers 15h30 (heure à laquelle sa femme faisait sans doute la sieste
) dans la chambre tandis que lorgie battait son plein. Charitablement, mes baiseurs lui faisait toujours une place, et cest ainsi quil a pu goûter à tous mes orifices. Bref, je terminais ces journées amidonnées de foutre et totalement crevée. Jaurais voulu mendormir comme ça au milieu de cette odeur de sperme qui menivrait, cependant je me devais dêtre présentable pour mon tendre époux
Avec ces horaires, je ne mangeais rien dautre que du jus de couilles de toute la journée, mais ils men donnaient suffisamment pour me rassasier! Et en dépit de tout ce que javalais, il en restait tellement sur mon corps et dans mes deux autres trous que mes dessous étaient de vrais torchons à sperme. Je souriais chaque fois que je constatai dans quel état abominable se retrouvaient mes petites culottes après ces journées: Rémy serait sans doute content de voir que jétais obéissante et que sa pute ne rechignait pas à se faire fourrer par le premier venu
En vérité, je trichais, puisque je ne me faisais pas baiser tous les jours (en revanche, que mon mari soit présent ou non, il y en avait toujours quelques téméraires qui parvenaient par divers stratagèmes à misoler dans un coin pour se faire sucer. Cette espèce de mini-concours me faisait mouiller comme une folle et je suçais les audacieux concurrents avec vice) mais je récoltais les autres jours suffisamment de sperme pour compenser largement mes retards de planning
Lorsque jai avoué la supercherie à Rémy, cela ma valu une punition mémorable que je vous raconterai certainement.
Quand mon mari rentrait, les amusements étaient en théorie terminés. En théorie seulement, car pendant que nous dînions mon mari et moi, je mouillais ma culotte en le voyant parler calmement à des hommes qui dans laprès midi avaient rempli la chatte, le cul et la bouche de son épouse
Tous les hommes se montraient au demeurant très convenables avec la putain que jétais, mais je sentais une lueur damusement dans leur regard dès quils sadressaient au type dont tout lhôtel savait quil était archi-cocu.
Et puis est arrivé le dernier soir de nos vacances, au cours duquel ma relation avec Guy a définitivement basculé.
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