Rêve Ou Magie 8
Chapitre 8
Nous sommes partis tous les trois dans la chambre de Christine, elle dormait profondément. Lisa ma dit
- Vas-y tout seul, nous te regardons faire.
Je me suis approché en silence du lit, elle était en partie découverte et son opulente poitrine pointait vers le plafond, je me suis agenouillé à coté du lit pour téter énergiquement le plus proche pendant que je caressais lautre doucement de ma main. Elle sest mise à gémir doucement de plaisir. Marie sest approchée et a tiré sur la couverture, elle mest apparue dans la splendeur de sa nudité, elle aussi était magnifique et son ventre tendu, dilaté, lui donnais un je ne sais quoi encore plus excitant. Ma main a quitté son nichon pour caresser sa touffe, instinctivement elle a écarté les jambes et mes doigts sont entrés en elle. Ses gémissements se sont petit a petit transformés en râles puis elle sest cambrée et un jet de mouille est parti de son sexe pour inonder le visage de Marie qui me regardais faire. Elle a ouvert les yeux, je suis passé sur elle et je lai pénétré. Elle sest un peu débattue au début puis le plaisir la emporté, ses jambes se sont refermées dans mon dos, ses mains appuyaient sur mes fesses pour que je menfonce encore plus en elle et elle sest mise a crier son plaisir. Jai continué mes allers et venus en elle, Marie me léchait les couilles en se caressant pendant que Lisa se caressait juste devant mes yeux. Jai encore résisté un petit moment puis jai lâché la purée avec des grognements de satisfaction.
Au bout dun petit moment jai rompu le silence
- Les filles, cétais merveilleux mais vous avez perdue votre matinée, il est déjà quinze heure, pour aujourdhui je croie que cest foutu pour votre travail.
- Peut être pas, pourrais-tu nous aider avec ton tracteur, il y a un gros bloc que nous narrivons pas a faire bouger si tu pouvais le dégager, nous aurions gagné beaucoup de temps.
Je ne pouvais pas refuser après le plaisir quelles venaient de me donner.
Après un bon moment, elles mont montré un rocher énorme en me disant
- Voila, encore celui là et cest fini.
Jai mis un bon moment pour lattacher avec des chaines puis jai essayé de le lever avec le bras du tracteur. Malgré la puissance de mon engin, le rocher na pas bougé. Comme je narrivais pas à le soulever, Marie a dit :
- Tire le en force, il suffi de le déplacer de deux mètres pour que nous puissions passer.
Jai engagé la marche arrière courte, jai fait rugir le moteur, et enfin il sest déplacé. Lisa sest approchée du trou quil recouvrait et a crié :
- Ça y est, je vois lescalier.
Jai encore tiré un peu pour bien dégager lentrée puis jai coupé le moteur et jai pris mon projecteur. Nous sommes descendu le long de cet escalier pour atteindre une première salle, cétais une chapelle, sous le faisceau de mon projecteur, nous avons pu admirer les sculptures, les tableaux, tout y était intact. Derrière lhôtel, une lourde porte en bois, nous i sommes allé, elle donnait dans une sorte de bibliothèque, tout semblait en place et intact, nous avons allumé les lampes a huile qui devais servir a léclairage de ce site, jéteins mon projecteur, la lumière jaune de ces petites flammes donne des formes surréalistes a cette pièce. Pendant que les filles regardaient les livres jouvre une porte, longe un long couloir, tout le long des portes, jen ouvre une, cest une cellule, trois mètres sur trois environ, une sorte da lit en bois, une table, une chaise, cest tout. Je reprends le couloir, au fond, une autre porte, jentre, regarde, cest comme une salle dopération, contre le mur des instruments bizarre, au centre une table avec des sangles. Je continue ma progression dans ce sous-sol, tout parait intact, au fond de la pièce un autre couloir, dautres cellules plus petites ce coup ci, sans tables ni chaises ni matelas mais avec des anneaux au mur et des chaines sur le sol.
- Et les filles, il est presque minuit, il faut rentrer, vous reviendrais demain.
Nous sommes très vite rentrés tous les quatre dans le tracteur puis nous sommes partis nous coucher. Au moment ou jallais mendormir, jai senti une présence dans ma chambre, doucement jai tendu le bras et allumé ma lampe de chevet, cétais Marie, entièrement nue à coté de mon lit.
- Tu me fais une place, jai froid.
Jai ouvert la couverture, elle sest précipité pour se blottir contre moi. Après avoir éteins la lumière, jai senti ses mains sur mon sexe, elle me caressait doucement. Je me suis mis à bander, elle est venue sur moi et sest empalé puis sest immobilisée. Jai enserré sa grosse taille dans mes bras et je me suis activé pour faire monter le plaisir. Elle ma chevauché longtemps avant que jexplose en elle, nous nous sommes endormis, lun sur lautre, complètement épuisé par lorgasme qui nous a ravagé.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, malgré la fatigue due au manque de sommeil vu la folle nuit que je venais de passer, je la pousse sur le coté et me lève la laissant dormir. Rapidement je me prépare pour une nouvelle journée de travail. Quand je rentre le soir, elles ne sont pas encore revenues. Je mactive, prépare le repas et les attend.
Vingt deux heures, elles ne sont toujours pas la, je minquiète un peu, avec mon projecteur, je pars vers les ruines a leur rencontre. Je descends lescalier, toutes les lampes et les cierges sont allumés mais je ne les trouve pas. Je passe plus dune heure à les chercher, je ne trouve personne. Ou peuvent-elles bien être. Jabandonne mes recherches, et rentre à la maison me coucher.
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