Rêve Ou Magie 9
Chapitre 9
Jai passé quatre jours sans les voir, je commençais à croire quelles étaient parties me laissant leurs affaires, je me faisais une raison, plus de compagnie, jallais reprendre mon train train habituel.
Le matin du cinquième jour, des cris et des rires me tirent de mon sommeil bien avant que mon réveil sonne, je me lève, elles sont la, dans la cour, toutes les trois à discuter en riant, je sors, mapproche delles dans le noir, je leur demande :
- Où étiez-vous ces derniers jours ?, je me suis fait du souci.
- La, dans le bois, hier soir, en se promenant on sest perdue, nous avons cherché notre chemin une grande partie de la nuit et on a rencontré cette vieille dame qui nous a accompagnées jusquici.
- Quelle vieille dame ?
- Ah elle est partie et on ne la même pas remercié.
- Mais ce nest pas hier soir que vous avez disparues, cest il y a cinq jours.
- Cinq jours !!! non, ce nest pas possible.
Je les regarde plus en détail, une différence me saute aux yeux, elles nont plus leur gros ventre de femmes sur le point daccoucher. je leur demande :
- Et vos bébé ils sont ou ?
- Nos bébé, tu te fou de nous non ?
- Non, il y a cinq jours, vous étiez sur le point daccoucher et aujourdhui plus de traces, que sest-il passé et ou sont vos bébé.
- Tu rêve, nous enceinte, bon, moi, ça pourrais arriver, jai un copain mais Marie et Christine, non, elles sont encore vierges.
- Ah la, tu te fou de moi, je vous ai baisé toutes les trois il y a quelques jours.
- Cest pas possible, je te dis que Marie et Christine sont vierges, tu ne les as surement baisé quen rêve.
- Vous voulez parier ? Venez, on va contrôler ça.
Nous sommes rentré tous les quatre dans le salon, jai attrapé Marie, lai fougueusement embrassé et caressé.
- Ça ne te rappelle rien ?
- Non, cest très agréable mais cest tout.
Je lai déshabillé doucement en la caressant.
- La, cest sur, elle nest plus vierge et vu ce que tu viens de lui mettre, elle risque dêtre enceinte pour de bon, elle ne prend rien, elle nen avait pas besoin. Par contre moi, je suis sous pilule, je ne crains rien et de vous voir, ça ma beaucoup excité, serais tu capable de recommencer et de me faire jouir comme elle.
- Attends un petit peu que je reprenne des forces et tu va voir, ce sera encore mieux.
Elle sest déshabillée langoureusement juste devant moi, ma apporté un verre de liqueur pour me redonner de la vigueur puis pendant que je buvais elle sest agenouillé et sest mise à me sucer. Au bout dun petit moment jétais a nouveau bien raide et tendu. Je lai fais remonter sur moi et me suis mis à lui lécher sa touffe. Quand ses gémissements se sont amplifiés, et que sa mouille odorante a commencé a minonder le visage, je lai fait descendre le long de mon corps et je suis entré en elle et là, oh surprise, chez elle aussi jai senti la résistance dun hymen, jai appuyé plus fort, elle a poussé un petit cri de douleur quand il sest déchiré, je suis passé pour mimmobiliser au fond de son ventre.
- Tu avais déjà eut des rapports avec des hommes ?
- Oui, depuis longtemps.
- Et comment expliques-tu ça ?
- Je nen sais rien. Fai moi vite jouir jen ai très envie.
Je me suis activé, tout en la caressant et en lembrassant je lai pilonné jusqu'à-ce quelle hurle son plaisir puis je me suis lâché et je lai remplie du mien.
Je nen revenais pas, leur ventre avait dégonflé par magie, et leur hymen avait repoussé, et elles ne se souvenaient de rien, ça me paraissait complètement fou, irréel.
Après avoir repris mon souffle, jai regardé Christine, elle sétait déjà déshabillée et se caressait énergiquement.
- Peux-tu attendre demain, je suis épuisé
- Non, sil te plaît, prends moi et fait moi jouir.
Lisa et Marie se sont toutes les deux activées sur mes parties pour me refaire bander, jai attiré Christine vers moi pour pouvoir la caresser doucement puis à un moment Marie a attrapé mon chibre qui avait repris de belles proportions et la guidé pour quil entre dans Christine. A nouveau, lhymen a résisté un peu puis as cédé et je lai baisé comme un fou. Nous sommes tous les deux arrivé à lorgasme en même temps et nous nous sommes écroulés sur le canapé.
Après avoir refait surface, elles sont toutes les trois parti se coucher dans leurs chambres, moi, jai décidé de prendre mon quad pour monter aux ruines. Une foi a la lisière du bois, je me suis arrêté pour continuer a pieds. En marchant, jai remarqué une forme qui se déplaçait, jai couru dans sa direction. Cétais une vieille dame dans un fichu qui lui recouvrait la tète qui farfouillait dans les broussailles.
- Que faites-vous ici ?
- Je cherche des plantes et des champignons.
- Cest vous qui avez ramené des filles chez moi ?
- Oui, elles étaient perdues.
- Vous les avez trouvé ou ?
- Par la bas, vers ces rochers. Elles ne savaient pas ou elles étaient. Comme je les avait déjà vu en passant chez vous, je les ai raccompagné jusque la.
- Vous navez pas remarqué de différence entre le moment ou vous les avez vu chez moi et maintenant ?
- Non, pourquoi ?
- Elles étaient enceintes.
- Oh, moi, jai vu tellement de trucs dans ma vie que plus rien ne métonne. Vous savez, ce bois est un coin magique ou saffrontent différents esprits, certains sont démoniaques, dautres très bons, cest la perpétuelle lutte du bien contre le mal. Jai vu des hommes et des femmes disparaitre pour réapparaitre plusieurs années plus tard au même endroit.
Ces éboulis de rocher, cest lendroit ou culmine les ondes telluriques de toute la région. Ici, rien nest impossible, il y a des mystères quil ne faut pas essayer de comprendre, ça passe bien au dessus de nous pauvre mortels.
- Qui êtes vous au juste ?
- Jétais la grande prêtresse du temple qui était jadis ici, jai vu les moines essayer de tout détruire, jai vu les dieux détruire les moines, je suis la gardienne.
- La gardienne de quoi, cest chez moi, ici.
- Non, vous êtes chez moi, je tolère votre présence cest tout, je vous ai vu grandir et jouer dans ces ruines sans jamais intervenir mai la vous êtes allé trop loin avec ces filles, je ne veux plus les voir chez moi ou elles disparaîtront a tout jamais. Cest bien compris au moins ?
- Oui, je crois. Et moi, je peux rester ici avec mes bêtes.
- Non, même vous vous devez partir, vous en savez trop.
- Je ne sais rien, ce ne sont que des rochers et des ruines dun tres vieux monastère.
Elle a eut lair de réfléchir un moment puis elle est rentré dans une sorte de transe.
- Vous avez fait des bêtises, les filles sont toutes les trois enceinte, il ne faut pas attendre, buvez ça et partez les chercher, je vous attends a lentrée du monastère.
Je suis reparti vers la ferme. Comme elle avait demandé de faire vite je suis tout de suite monté réveiller Lisa, je suis entré dans sa chambre, elle dormait profondément. Je lai secoué pour la réveiller, elle a juste râlé un peu et sest retourné faisant tomber la couverture qui la couvrait.
- Léve toi vite et suis moi.
- Quest-ce qui se passe ?
- Regarde ton ventre et suis moi
- Oh ! cest horrible, ques-ce qui marrive ?
- Tes en cloque Marie et Christine aussi. Habillez-vous vite et suivez-moi.
- Mais nous avons rien a nous mettre, notre ventre est trop gros.
- Prenez des draps et enroulez-vous dedans, dépêchez vous ou vous allez accoucher ici.
Elles mont suivi, nous avons retrouvé la vieille dame au bord de lescalier, elle a demandé aux filles de la suivre puis elle ma demandé de retourner a ma ferme. Je ne voulais pas, elle a levé la main et je me suis senti soulevé du sol et projeté en arrière pour retomber dans le champ. Jai ensuite vu lénorme rocher que javais eut tant de mal a dégager avec le tracteur se soulever puis avancer pour se poser sur lescalier. Complètement abasourdi par ce qui venais de se passer je suis rentré a la ferme. Cest la dernière foi que jai vu Lisa, Marie et Christine.
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