Sylvia (3) Enfin ...
Sylvia (3) Enfin
NAT-LM - 06/2013
Bon, je reprends
après mes souvenirs ! Déjà une semaine que Sylvia et Sacha étaient
partis. Je ne pensais quà trouver un moyen de la revoir, je ne cessais de penser à
elle, le désir fou de la séduire ne me quittait pas. Son corps de rêve, à rendre
jalouses bien des femmes mobsédait depuis que le lavais vue, et encore plus depuis
que je lavais vue sodomiser mon fils. Eh oui, cette fille si belle est un
transsexuel, et me voilà prête à moffrir sans condition, à être prise par cette
créature mie-femme mi-homme. Dun seul coup ma libido sest emballée, je me sentais
presque sans arrêt excitée, obligée de me mettre une protection tellement je
mouillais. Javais limpression de devenir hystérique. Les jours où cétait possible,
je voyais Louise, Anne ou Valérie mes compagnes de sexe qui affirmaient ne mavoir
jamais vue comme çà, elles disaient que javais lair dune chienne perpétuellement en
chaleur
je me sentais plus vicieuse et cochonne que jamais !
Il fallait absolument que je trouve au plus vite un moyen de la voir. Pas de nouvelles
depuis plus de huit jours. Et puis, en plus, une angoisse qui allait croissante :
Comment me percevait-elle ? Avec mon apparence de bourgeoise soignée et polie, jamais
déplacée dans ses propos ou dans ses gestes, même si, sans que je ne men aperçoive
elle avait lorgné mes fesses et mes seins, comment lui faire comprendre quelle
pourrait en faire ce quelle voudrait ? Nous ne nous étions vus que pendant à peine 48
heures
comment pouvait-elle imaginer le feu ardent qui me dévorait
le désir
violent que javais delle ? Et encore, un doute affreux qui me rongeait, pire que
tous les autres, les ans ! 46 années révolues
bien conservée me disent quelquefois
des amis hypocrites de mon mari, qui aimeraient bien vérifier de près, mais 46 ans
quand-même ! Comment pourrait-elle sintéresser à moi, me préférer à mon fils de 25
ans avec sa belle petite gueule et son anatomie quelle semblait apprécier
jai vu
le plaisir quelle en avait pris !
Je mobstinais à penser à elle en fille, alors que cest de son sexe de mâle dont je
rêvais, de ce sexe long et dur avec lequel je lavais vue pénétrer mon Sacha et lui
cracher son sperme au visage
de ce sexe
de cette queue que javais envie de manger
jusquà la sentir fondre dans ma bouche.
fallait aimer prendre et se faire prendre. Jai lu des histoires pornos où ils
senculaient entre eux. Je me demandais si elle faisait pareil avec dautres comme
elle
mon fils ne semblant pas être le plus viril
mais il est vrai que je navais
pas vu si le fait dêtre sodomisé lui faisait de leffet
peut-être après tout !
Jaimerais bien savoir, et pourquoi pas
voir !! Juste voir bien sûr, par
curiosité, mon imagination ne me transportait pas au-delà de la frontière de
l'interdit suprême.
Presque deux autre semaines ont passé pendant lesquelles mes amies «dévouées» se sont
régalées de mon envie boulimique de sexe. Il faut dire que je nai pas de « périodes »
dempêchements, ou plus exactement que je nen ai plus depuis le début de ma relation
avec Louise. Elle, avait déjà subi lopération
jai fait la même chose
plus de
privation obligée
quand on voulait
autant quon voulait
tout ce quon voulait,
et on ne sen privait pas !!
Après ces deux semaines, jai décidé de prendre linitiative, jallais faire le voyage
jallais minviter chez eux. Juste pour que ça ait lair vraisemblable, profiter
daller rendre visite à une cousine de Villeurbanne, tout à côté, depuis le temps
quelle minvitait! Après confirmation avec cette dernière, petit message aux s
réponse positive, et embarquement gare de Lyon le lendemain matin, un samedi
déjà
trois semaines que je pensais à elle
Comme convenu, Sacha est venu me chercher à la Part- Dieu. Jespérais que Sylvia
serait avec lui, mais non. Je métais habillée à la limite de la décence pour une
femme de mon âge, classique, mais peut-être un peu jeune, un brin provocante. Il men
fit compliment, disant que javais lair de sa grande sur plus que de sa mère
sil
avait su que je rêvais dêtre sa rivale !
En arrivant à leur appart, je commençais à avoir des démangeaisons entre les cuisses,
je me demandais comment jallais tenir
quand elle a ouvert la porte, nous nous
sommes embrassées comme de vieilles amies, elle avait lair contente de me voir
sans
réfléchir jai voulu la serrer contre moi
jai réussi, un peu, et elle sest
reculée.
trahir
elle ma fait un petit sourire, avait-elle remarqué mon trouble ? Si oui, son
sourire était-il un encouragement ? Je ne la quittais pratiquement pas des yeux, sa
jupe, pas très ample me permettait de voir le galbe de ses fesses, que je savais
assez rebondies, mais sur le devant je guettais en vain le signe dune érection que
jespérais avoir provoqué. Sa queue raide, je lavais déjà vue, elle était trop
longue pour ne pas faire au moins un petit relief arrondi au bas de son ventre
je ne
devais pas lexciter
elle ne bandait pas
et moi, malgré ma déception, je
mouillais. javais peur quen me levant une petite auréole soit visible sur ma robe,
entre mes fesses. Avant quil ne soit trop tard, il fallait que jaille à la toilette
me rafraîchir et me sécher. Quand jy suis allée, jai cru voir dans ses yeux une
lueur particulière
allons
je me faisais encore des idées
Dans la toilette, en messuyant, je regardais tout autour. Les murs recouverts de
minuscules carrés de mosaïque couleur jade et rose, reflétaient la lumière des deux
appliques de chaque côté dune armoire aux portes miroirs, au-dessus du lavabo. En
entrant, quand jai allumé, trop pressée de méponger la chatte, je nai pas remarqué
la forme de ces luminaires
on ne peut plus suggestifs
pas faits pour me calmer !
Deux pubis de mâles, avec chacun une belle paire de couilles surmontée dun magnifique
pénis en érection, légèrement arqué vers le bas-ventre, bien veiné, décalotté.
Lampoule intérieure faisait ressortir les reliefs de la « tige » rose pâle et la
couleur de son beau gland presque écarlate
frappant de réalité
je nai pu
mempêcher de vouloir caresser une de ces bites lumineuses
et je my suis presque
brûlée
pas de mal, mais à nouveau des idées
une queue brûlante
hum
Moi qui était venue dans cette toilette pour me refroidir de la chaleur que javais
entre les cuisses, je recommençais à mouiller de plus belle, et à la vue dun savon en
forme de pénis, qui paraissait avoir peu servi, ou pas du tout, plus question de
résister ! Un passage rapide sous le robinet deau chaude et je me lenfonce dans le
cul
avec la quantité innombrable de godes qui lont déjà visité, ça rentre comme
dans du beurre
et puis, un savon mouillé, ça glisse bien
Ça dans le derrière, les
doigts pour le devant, ça ne ma pas pris deux minutes pour jouir
il est vrai que
jétais mûre.
Dabord sur le devant, puis le derrière. Entre les fesses, ça a été un peu plus long,
ça faisait de la mousse à la sortie, ça a pris plusieurs rinçages. Enfin, asséchée de
partout, je me sentais mieux
Jai remis le savon à sa place, les reliefs étaient
moins visibles, ça se voyait quil avait servi, mais peut-être seulement pour les
mains ! Je navais pas idée du temps écoulé, il ma semblé que ça avait été un peu
long, javais chaud, et aussi un peu plus de couleurs que dhabitude, sen
apercevrait-elle ?
Quand je suis sortie, elle était dans la cuisine avec Sacha, elle lembrassait dans le
cou, et il me semblait bien quelle lui caressait les fesses, en réalité, non, ce
nétait pas quune impression, sa main flattait
palpait
pelotait les fesses de mon
garçon
pourtant javais un peu claqué la porte, elle avait dû entendre et savoir
que je les voyais
le faisait-elle exprès
? voyons Camille
calme toi, arrête de
ne penser quà ça !
Facile à dire, mais ce que je voyais mempêchait de raisonner comme la femme bien,
équilibrée et raffinée dont jaimais donner limage. Jétais dans mon autre monde,
celui où le sexe guidait mes pensées et mes envies
et je nen voyais pas les
limites ! Je suis retournée claquer la porte juste au moment où ils disparaissaient
de ma vue
pas pour longtemps. Ils sont venus sasseoir près de moi, elle, jupe
relevée à mi cuisses
moi aussi, je sentais la chaleur de sa peau sur la mienne
Elle embrassait mon fils, de vrais baisers damour, je voyais leurs langues se mêler
pas longtemps
il était midi .
- Sacha va devoir nous quitter pour la journée, il a un contrat avec deux de nos
amies pour la rénovation de leur appartement, vous savez, il sest fait une
bonne réputation de décorateur dans notre milieu.
Cest vrai, leur milieu, cest le monde des artistes. Elle, dirige une troupe de
chanteurs, danseurs et danseuses dun cabaret, pas loin du « Nouvel » opéra et de
lHôtel de Ville.- - Cest le temps dy aller mon chéri, ne fais pas attendre nos
amies
et ce soir, noublie pas, on invite ta mère
au cabaret à 9h
allez, bonne
journée
( ponctué dun baiser et de petites tapes sur les fesses.)
- Pendant ce temps- là, ta mère et moi, nous allons faire un peu plus connaissance,
et peut-être aller faire un tour au Parc
à ce soir !
Jallais être seule avec elle, cétait le moment ou jamais ! Quitte à passer pour
une dégénérée, pour la pire des obsédées, il fallait quelle sache, que je lui dise
que je rêvais delle, de son corps, de son sexe en moi, sur moi, partout
que je lui
dise que javais envie dêtre son jouet, au moins une fois, je voulais connaître ça,
sinon javais peur de devenir folle ! Elle est venue près de moi, tout près, ma
pris les mains, ma dit quelle aimerait mappeler belle-maman et que je sois son amie
que mon fils avait de la chance davoir une si jolie maman, et puis, pas de
cérémonie entre nous, pourquoi pas Camille et Sylvia
et tant quà faire
on va se
tutoyer, allez, cest décidé !
- Tu sais Camille, jai quelque chose à te dire qui va te surprendre, concernant
Sacha
jai peur que tu aies de la difficulté à accepter, mais tu nauras pas le choix
il le faut !
- Moi aussi je veux te dire, je crois que je sais, et je tassure que
- Non, laisse-moi parler, ça va être peut-être un peu brutal, assez cru, mais si tu
nas pas envie de partir avant que jai fini, nous serons les meilleures amies du
monde
mais dis-donc, tu as la chair de poule, il ne fait pas froid pourtant,
inquiète ?
allez, détends toi.
- Voilà : Jai 35 ans, je connais Sacha depuis ses 18 ans, il y a 7 ans. Je lai
rencontré dans une soirée de travestis, il était mignon comme tout, habillé en fille,
avec ses chaussures à talons et sa mini-jupe, son beau visage, maquillé juste ce quil
faut, ses cheveux bouclés, longs à lépoque, et une cambrure de reins très expressive.
Cétait sa première sortie publique où il affichait ses tendances
il avait lâge de
pouvoir faire ce quil voulait ! Il sen était toujours caché de votre famille, mais
ton fils est un homosexuel. Initié jeune, à 18 ans il avait déjà une bonne expérience.
Du genre passif, il a toujours aimé être pris, plutôt que le contraire
tu dois te
demander pourquoi il partage sa vie avec une femme ? Je te laisse deux minutes
tu
me diras tout à lheure.......?
-Me revoilà, jai changé de jupe
moins serrée, javais trop chaud ! Alors
as-tu la
réponse ?
- Je
je ne
sais pas comment
- Je vois, tu sais, mais tu bloques, tu ne trouves pas les mots pour le dire
je
vais taider
approche. En baissant les yeux, jai cru voir une déformation de sa
jupe quand elle sest assise, collant sa cuisse à la mienne. Elle ma prise dune main
par les épaules et de lautre par la taille. Jai senti la chaleur de sa bouche qui
me frôlait la joue jusquà mon oreille, et elle a commencé, elle a parlé
des mots
francs, directs, sans arrière-pensée.
- Dabord, jai tout de suite remarqué ton regard sur moi, le désir se voyait dans
tes yeux. Je sais que jexcite beaucoup, que je suis bandante comme on dit, que je
fais bander les hommes et mouiller les filles
et ça me plaît !, et jaime bien
provoquer ! Je ne me suis pas trompée sur toi. Il était facile de voir que tu aimes
les femmes, en plus des hommes, et jai bien vite imaginé comment en profiter
Le dimanche soir chez toi, ton mari absent, jai deviné juste. Le volet de la petite
fenêtre de la chambre, il était fermé, cest moi qui lai ouvert, espérant
ce qui
est arrivé !
Quune voyeuse vienne voir son fils baiser la fille qui lexcitait
elle-même
Maintenant, tu réalises que je sais
que tu sais !!! Que la « maîtresse » de ton
fils est un mec avec des nichons presque aussi beaux que les tiens et un beau visage
de fille
un mec, ou si tu préfères, une fille avec une grosse queue, qui baise ton
fils
qui en fait ce quelle veut, et je peux tassurer que je ne le force pas
toujours prêt pour tout ce dont jai envie.
Ce soir- là, je tai vue sortir de la maison,
Jai fait agenouiller mon beau Sacha pour que sa bouche me mette en forme, Dehors, un
peu de lune faisait une nuit pas toute noire, les lilas sy détachaient
je verrais
ta silhouette
je saurais que tu regardes, et je tai vaguement aperçue, encore un
peu trop loin pour que tu voies avec quelle application il suçait et léchait
un
véritable artiste ! Quand tu tes rapprochée, cétait le moment où je lui faisais
sentir entre les fesses, la promesse de sa récompense de mavoir si bien préparée.
Leffet combiné de ma poussée et de son recul, dun seul coup, jétais enfoncée au
plus profond. Je me demandais si tu allais supporter le spectacle de ton fils en
train de se faire enculer
je nosais pas regarder vers la fenêtre pour voir si tu
étais toujours là, mais jimaginais que oui, alors mes coups de reins sont devenus
plus virils et jai commencé à lui claquer les fesses, il adore ça, Dhabitude, pas
toujours mais souvent, jaime bien me vider dans ses reins et après, le voir à genoux,
me nettoyer
comme ça, la boucle est bouclée. !! Mais ce soir- là, espérant que tu
regardais toujours, jai joui particulièrement fort en toffrant le spectacle de mon
sperme lui giclant sur la face
Jai aperçu ton ombre, tu es restée jusquau bout,
même pendant que, avec le gland, je poussais le jus vers sa bouche ouverte. Je me suis
dit que si tu avais été horrifiée ou scandalisée, tu serais partie bien avant. jai
même imaginé que ça tavait plu
le matin en voyant une petite culotte accrochée à
larbuste, jai compris que tu avais pris ton plaisir en même temps que nous ... et
aujourdhui tu es venue parce que tu as envie de plus que de voir, tu veux vivre ce
que tu as vu
être à la place de ton fils
agir comme lui
être prise comme lui,
par le même sexe, de la même manière
allez, montre- moi que jai raison, passe ta
main sous ma jupe, touche moi
!!
..Jai passé ma main, jai touché, mes doigts gourmands me communiquaient le plaisir
de palper, de caresser ce sexe viril, tendu, raide, palpitant qui me disait son envie
de moi
plus rien nexistait que lenvie de le satisfaire
cette queue de
transsexuel que jexcitais
la première que le touchais à part celle de mon mari, qui
men faisait laumône de plus en plus rarement
presque vingt ans de frustration
refoulée
de plaisirs saphiques que je ne renie pas
mais, enfin la réalisation de
ce qui paraissait devoir rester un fantasme inassouvi, pas seulement faire lamour,
mais baiser
être baisée, sans restrictions, ne plus en rêver
vivre pleinement des
instants où le sexe sans limites serait le Maître .
Elle na pas eu besoin de demander, je me suis mise à genoux et ai voulu remonter sa
jupe, mais elle ma retenue par les cheveux dune main, a soulevé le tissu, ma pressé
la figure sur son sexe , ma recouvert à moitié la tête et des deux mains ma écrasé
le visage sur ses testicules
jai sorti la langue et jai léché
elle me guidait,
jai voulu en gober un mais ça roulait. Elle ma aidé à le rentrer dans ma bouche, je
ne savais pas quoi faire, elle la sorti puis a rentré lautre
plusieurs fois comme
ça, elle jouait avec moi, elle se figurait sans doute que jétais une experte, javais
peur quelle soit déçue .
Heureusement, il y avait eu les cassettes pornos, jessayais de reproduire ce que jy
avais vu
mes mains coulissaient sur son sexe qui me butait sur le front
Elle a remonté sa jupe et la coincé à sa ceinture. En levant les yeux, jai vu le
même regard quelle avait quand jai supposé que mon fils la suçait
elle aimait.
Elle me caressait les cheveux
Son sexe est circoncis, rasé, raide, congestionné, son
gland presque violet quelle promenait sur mes joues avait lair dattendre ma bouche,
il sy présente, je le prends entre mes lèvres, elle mappuie sur la tête et me le
rentre presque au fond de la gorge et le secoue en appuyant, jai limpression
d. Les larmes me montent aux yeux, elle mimpose son rythme de va et vient,
jaime ça, cette envie quelle semble avoir de me lenfoncer le plus loin possible, je
nen reviens pas dêtre capable den recevoir si long dans la bouche, ses couilles me
claquent sur le menton
je pleure
je bave. Je navais jamais vraiment sucé
là,
le fantasme de ma vie se réalisait et je ne savais pas comment me conduire ! Toutes
les cassettes ou DVD du monde ne remplaceront jamais la pratique, il faut « savoir »
sucer
pas comme une grosse friandise que lon avale sans prendre le temps de goûter,
il faut chercher les points sensibles, mouiller, lécher, guetter les réactions, les
tressaillements de cette colonne de chaire, la pousser au bord de léclatement, et
surtout, savoir quand faire jaillir le bouquet final
et moi, je ne savais pas !!
Quand elle a giclé par saccades, au fond de ma bouche jai encore cru . Jai
toussé et failli tout recracher
jen ai seulement perdu un petit filet qui me
coulait au coin des lèvres, que je serrais pour retenir ce jus qui me remplissait les
joues, mêlé à ma salive, et que jai réussi à avaler, en prenant bien soin de déloger
avec ma langue tout ce que javais entre les dents .
Jétais encore toute habillée, sans ma culotte que je navais pas remise après mon
passage à la toilette
elle était trop humide !
et je mouillais encore, je coulais
presque, ma toison abondante était comme une éponge qui retenait mon miel et
lempêchait de couler à lintérieur de mes cuisses, je la sentais imbibée jusquentre
mes fesses
et Sylvia ne mavait même pas touchée, rien que lenvie quelle
mutilise me mettait dans cet état- là !
Elle me replaça à quatre pattes, un peu de côt et me remit sa bite ramollie sous le
nez
- Cest bien ma belle. Jai déjà été mieux sucée, mais tu mas fait jouir, alors
jai envie de te faire plaisir
recommence, applique toi, fais-moi rebander, et tu
auras ta récompense.
Javais eu peur de la décevoir plus que ça, ses paroles mont un peu rassurée mais je
voulais être parfaite
Jai pris son gland dans ma bouche en lui pressant
délicatement les bourses, jai vite fait disparaître les traces de sperme séché, je
faisais couler ma salive que je mempressais de lécher. Jai senti ma robe être
relevée, une main me caresser les fesses, un doigt, puis deux, glisser dans ma raie,
me pendre des pincées de poils qui sont abondants là aussi et tirer dessus
avant de
me masser en tournant lentrée du trou que lon appelle souvent « petit », mais qui
dans mon cas, ne demandait quà être élargi
Ce contact agréable ma donné lidée de lui faire pareil, ça lui a plu et elle ma
facilité laccès en écartant les cuisses
mes doigts lui plaisaient, je sentais son
anus palpiter, si près, jai eu le goût
den avoir le goût !! Jy ai collé ma bouche
et sorti la langue que jai réussi à faire pénétrer par à-coups, en vrillant pendant
que ses couilles sécrasaient sur mon front. En passant une main au-dessus de ma tête,
mes doigts se sont refermés sur une grosse tige on ne peut plus dure, elle bandait
jaurai ma récompense
Elle ma relevée, elle avait toujours la jupe coincée à la ceinture. La vue de son
érection provoqua une nouvelle émission de liquide entre mes cuisses
Elle me fit
mettre à genoux sur le divan, je me voyais le visage tout près, dans le miroir au mur.
Je lai vue se placer derrière moi, elle a relevé ma robe, ma fait écarter les
cuisses, ma pénétré le vagin, y est restée quelques secondes, juste pour se lubrifier
la queue, et sest enfoncé dans mon cul, bien profond, je sentais ses couilles entre
mes fesses. Jen pleurais de bonheur, de me voir dans le miroir mexcitait encore
plus. Elle ne parlait pas
moi non plus
jattendais de jouir et pouvoir crier mon
plaisir quand elle envahirait ma chatte et me remplirait de son sperme
Oui, jai joui de le sentir se vider en moi
mais pas comme je lespérais
cest au
plus profond de mes reins quil a éjaculé son plaisir
cétait la première fois que
je connaissais ça, jai aimé, mais jaurais tellement aimé être prise
être baisée
comme une femme
Comme si elle mavait devinée, elle a dit
- Tu tattendais peut-être à autre chose mais tu vois, jai rarement des rapports
avec les femmes, et quand jen ai, le les prends toujours comme des hommes.
Avec toi, cest un peu spécial, je ferai peut-être une exception, mais si tu en as
vraiment envie, il faudra que tu maide, que tu me donnes vraiment le goût de te
baiser autrement...
Maintenant
tu nas pas fini !
Jai compris
à genoux, je lai rendu propre
propre
propre
un de mes fantasmes
se réalisait quand-même !!
- Cest bien ma belle, tu sais, hier soir à la même place, Sacha faisait la même
chose !!
pourquoi mavoir dit ça ?
NAT-LM. 06/ 2013
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