Education De Ma Petite Voisine - 1Ère Partie

Je suis le propriétaire d’un grand appartement dans une petite tour de la région
parisienne. Depuis le départ des anciens locataires, en début de semaine, je viens
dans cet appartement pour faire le bilan des quelques petits travaux à faire après le
passage d’un couple peu soucieux de la propreté.

J'ai 60 ans, divorcé et informaticien. Tu occupes l'appartement voisin du mien, au
dernier étage. Nos terrasses sont contiguës et je t’ai aperçu en maillot de bain, sur
celle-ci hier, et j'ai pu te mater et prendre quelques photos de toi, sans que tu
puisses me voir.

J’ai la chance que la locataire de l’appartement voisin est une jeune femme très
mignonne. Avec du recul, je peux vous la décrire très précisément : 25 ans, 1.70m,
61kgs, brune, cheveux mi longs, yeux verts, je fais 90c de poitrine (voire un peu plus
suivant les périodes de l'année), 38 de pantalon, fesses rebondies mais fermes, assez
cambrée, jambes longues, galbées.

Ce jeudi soir, j'ai guetté ton arrivée et après avoir attendu environ une demi heure,
je me décide à aller sonner chez toi pour me présenter, en espérant qu'en arrivant du
travail, tu as l'habitude de prendre une douche, et que je vais peut être te
surprendre en peignoir.

De retour dans mon appartement, je retire mon jean et chemisier et me retrouve en
dessous : soutien gorge léger en lycra blanc avec un shorty assorti...

Le soutien gorge est vraiment quasiment "inutile" car il se compose juste d’une
armature pour la corbeille qui passe sous le sein et le reste, c’est juste du voile
lycra qui couvre le sein sans le maintenir... C’est juste pour opacifier un peu sous
des hauts clairs... Mais il est quasiment transparent et ne maintient pas, ce qui
laisse mes seins libres et le téton n’est pas très loin du bord en plus... Aussi, je
décide de le retirer.

Arrivé devant chez toi, je vérifie que j'ai bien mon appareil photo dans son étui, à
ma ceinture et sonne à ta porte

Je viens juste de finir de me déshabiller et j’enfile juste une légère veste
d’intérieur en satin à peine mi cuisses par dessus mon shorty et enfile mes escarpins
8 cm aux pieds, pour me diriger vers la porte. La veste d'intérieur est fermée par une
ceinture à la taille et le décolleté laisse apparaître le sillon entre mes deux seins.
J'écoute à la porte, il me semble entendre des pas s'approcher de la porte. Je me
recule légèrement attendant que celle-ci s'ouvre.
Je me demande qui sonne à cette heure là, car je n’attends personne, à part mon copain
qui doit m’appeler pour me dire, si on va en discothèque ou pas avec des potes ce
soir. Regardant par l'oeilleton, je vois un monsieur d’un certain age au visage
souriant.
Ne voyant pas de danger, je déverrouille la porte et ouvre:

« Oui ? Je peux vous aider monsieur ?
- Bonjour Mademoiselle, j'espère ne pas vous déranger, je viens juste me présenter, je
me présente, Monsieur Cello, je suis le propriétaire de l’appartement voisin du votre.
- Bonjour M. heu... Cello, enchanté de faire votre connaissance... Puis-je faire
quelque chose pour vous? Vous avez besoin de quelque chose? Je n’ai pas beaucoup
d’outils, mais si vous avez besoin de passer un coup de fil ou quelque chose dans le
genre...? »
- Non merci, je remets en état l’appartement après le passage de mes anciens
locataires et vous dire que vous ne devez pas hésiter à sonner chez moi, en cas de
problème.

Ne me méfiant pas de ce gentil "vieux" monsieur, je me cache à peine derrière la
porte, ce qui laisse quand même voir une de mes jambes jusqu’en haut ainsi que la
moitié de mon buste et l’entre sein dans le décolleté de la veste, qui ne ferme pas
très bien.

« Je venais juste me présenter, au cas ou vous auriez besoin » dis je en regardant
dans le miroir placé derrière toi et reflète l'intégralité de ton dos, constatant que
l’arrière de ton peignoir est en dentelle noire.

Tu peux apercevoir le sillon entre mes seins et noter l’absence de soutien gorge au
creux de ma poitrine... et peut être un léger renflement sur le sein droit, qui est le
seul que tu peux voir... Dans le miroir, tu peux voir mon dos, le dos du peignoir
étant en dentelle noire, ma chute de rein soulignée par la ceinture qui ferme la
veste, mes jambes fines et musclées galbées par mes hauts talons...
« Ah... Heu... C’est gentil, mais là, je n’ai besoin de rien, mais je sais que vous
êtes la. C’est gentil... Ce n’est pas courant des voisins qui font ça... Depuis 3 ans
que je suis la, vous êtes le premier voisin que je rencontre... En tout cas, merci, je
penserais à vous en cas de besoin... Et n’hésitez pas si vous avez aussi besoin de
quelque chose... Je suis étudiante et je suis souvent à la maison alors voila... Entre
voisins on s’entraidera... J'imagine que vous avez pas mal de travaux ou de nettoyage
a faire... cet appartement est resté vide quasiment 1 an ça doit être horrible... »

Constatant que tu vas refermer la porte, sans m'inviter à rentrer, je te demande :
« Vous seriez intéresser pour faire quelques heures de ménage ? Venez prendre un verre
en toute amitié et vous pourrez ainsi constater vous même de l'état des lieux.

Je te regarde surprise de ta proposition... Mais mes finances étant assez mal, je me
dis qu’un peu d'argent frais ne me ferait pas de mal...

« Mmhh... Hé bien, on peut dire que votre proposition me fait réfléchir. C’est vrai
que j’ai des bouquins de cours à acheter et un peu d’argent ne me ferait pas de mal...
Bon ok ! Je veux bien vous dépanner de quelques heures de ménages... Je pense que
c’est un bon deal gagnant, gagnant... Laissez moi 30 secondes le temps de me
changer... »

Tu me souris et dit en rigolant :
« Oh ! Vous savez, la porte est à 2 mètres et il n’y a personne sur le palier, ça ne
prendra pas longtemps de venir jeter un oeil... Et après, pour sceller notre accord,
je vous offre l’apéro... Par contre, on le prendra chez vous si ça ne vous embête pas,
car je n’ai encore rien aménagé chez moi... »

Je pèse le pour et le contre et me dit qu’après tout, tu n’as pas tort, la porte de
l’appartement est toute proche. Je prends les clés de chez moi à la main et te suis...
Je resserre quand même un peu la ceinture de la veste, car j’ai senti qu’elle s’était
légèrement détendue... Mais, je me dis qu’avec un "vieux" monsieur comme toi, je n’ai
pas grand’ chose à craindre...

Ravi de la tournure des évènements, je me dirige vers mon appartement, alors que tu
fermes le tien. Ouvrant la porte, je m'écarte pour te faire entrer, ce qui me permet
de jeter un oeil dans ton décolleté lorsque tu me frôles et de sentir ton parfum.

Tu entres, et commences à visiter mon appartement et constate qu'effectivement, il y a
plusieurs heures de ménages à faire, pour que tout soit nickel.

Tu fais le tour de chaque pièce, ou je te suis pour reluquer tes jambes et tes cuisses
fuselées. Lorsque tu te penches dans la salle de bain, les wc ou la cuisine, je fais
de même, mais pas pour les mêmes raisons. En effet j'essaie de regarder dans ton
décolleté, ou entre tes cuisses, mais tu avais trop bien noué les pans du peignoir
pour laisser apparaître un téton et tu ne me laisses peu de possibilité d’admirer le
haut de tes cuisses.

« Alors Mademoiselle heu...Je ne connais même pas votre prénom...
- Cathy mais tout le monde m’appelle Cat... Très bien, j'accepte de vous faire
quelques heures de ménage, car en effet il y en a besoin... et votre appartement est
immense. A combien estimez vous mon salaire ? Je n’en ai pas la moindre idée en ce qui
me concerne... Je pense qu’il y en à bien pour 3 ou 4 jours, entre le sol, les murs,
la salle de bain, la cuisine, la terrasse... L’ancien voisin était vraiment un gros
porc... Peut être même qu’un coup de peinture ne ferait pas de mal à mon avis... Mais
c’est chez vous après tout... » Dis-je rougissante.

La veste est restée bien fermée pendant tout le temps où je faisais le tour. Je me
suis quelquefois penchée pour regarder dans la baignoire ou les toilettes ainsi que la
cuisine...

« Le SMIC est à 10 euro de l'heure en ce moment, vous êtes jeune, avez besoin
d'argent, et le travail est ingrat, je vous en propose le double, cela ne me ruineras
pas de vous aider un peu financièrement.
- Hé bien ! Vous êtes tellement généreux que je ne peux qu’accepter... Vous avez une
aide ménagère monsieur Cello...
- J’aurais aimé vous offrir le champagne pour sceller notre entente, mais hélas je
n’en ai pas ici.
- Je dois avoir deux bouteilles chez moi dans le réfrigérateur…
- Alors, j’accepte mais pour vous dédommager, je vous rapporterais une caisse entière
la semaine prochaine.
Oh ! Merci. » Ne me doutant pas que ta gentillesse et ta générosité cache quelque
chose.

Nous retournons à mon appartement et je te propose de t’installer au salon, tandis que
je vais chercher un plateau et une bouteille de champagne que je pose sur la table
basse, avant d’aller de retourner dans la cuisine chercher des verres...Les flûtes à
champagne sont dans un placard un peu haut et malgré mes talons je suis obligée de me
mettre sur la pointe des pieds pour les attr et de m’étirer au maximum.

Je t’aperçois te hisser sur la pointe des pieds pour attr les flûtes à champagne
et en levant les bras, ton peignoir remonte légèrement dévoilant un peu plus tes
cuisses et le bas de tes fesses. J’ouvre la première bouteille de champagne, te
forçant ainsi à revenir rapidement vers moi sans contrôler ton peignoir.

J’entends le bouchon de la bouteille sauter et te dit que j’arrive de suite. J’en
profite pour attr des « crackers » que je mets dans un bol et revient avec tout ça
à la main, sans vérifier si la veste d’intérieur a bougé ou s’est détendue...

Je te suis satisfait que le piège se referme aussi facilement et m'installe
confortablement dans un fauteuil, face au canapé.

Lorsque tu reviens les bras chargés, je me lève dans le but de t'aider à poser les
flûtes et les crackers sur la table. Mais en prenant les coupes, j'ai pris en même
temps l'extrémité de ta ceinture et en posant les coupes sur la table, ta ceinture
c'est totalement défaites.

J'ai à peine le temps de retenir les pans de la veste d'une main, avant que je me
retrouve à moitié nue devant toi...J’étais légèrement en retrait par rapport à toi
quand tu t’es penché pour poser les coupes et j espère que tu n’as rien remarqué et
surtout pas que je ne porte pas de soutien gorge… Je regrette à présent de ne pas
m’être changée avant de t’inviter chez moi... Je me sens si nue avec juste cette
petite veste et mon shorty sur moi... Et pourtant l’idée d’être devant un inconnu dans
cette tenue me chauffe le ventre... Et commence à me faire durcir les tétons... Un
petit vieux comme ça risquerait d’avoir une attaque s’il me voyait nue...

Je me suis bien sûr aperçu que tu n'avais pas de soutien gorge, mais ne voulant pas te
gêner, je m'excuse et te dis que même si je t’avais vu en sous-vêtement cela ne
m'aurais pas choqué, car je suis habitué a voir des jeunes femmes nues, étant
photographe amateur de charme.

Je renoue la ceinture et essaie de reprendre contenance quand je sursaute en entendant
que tu es photographe amateur de charme...Quel drôle de vieux monsieur me dis-je
tandis que tu sers le champagne...

Tu t’installes dans le fauteuil et je m’installe sur le canapé qui est légèrement en
décalé, les jambes repliées sous moi... Me penchant de temps en temps pour attr
des crackers...

« Et que faites vous dans la vie monsieur Cello?
- Je suis informaticien, j'ai un bureau près de ma maison, à la campagne, je vous
inviterais un week-end pour que vous fassiez connaissance avec mon amie
- Ah vraiment ? Et l’appartement en ville c’est pour quoi ? Ce n’est pas trop dur
d’être éloigné de votre amie ? Moi je ne sais pas si je pourrais vivre loin de mon
amoureux... Mais pour ça il faudrait que j en ai un... » Dis je en rigolant.
« Je pense que je vais de nouveau le louer, mais je serais plus rigoureux, afin de ne
pas le retrouver une nouvelle fois, dans cet état.
- Vous avez raison, il est magnifique, spacieux, bien exposé et très lumineux, ce
serait dommage de le louer une nouvelle fois à des gens peu scrupuleux. J’espère qu’un
jour je pourrais avoir un tel appartement… » Dis-je rêvant tout haut.

Pendant notre discussion, je prends des crackers, et j’éloigne un peu plus le bol de
toi, pour te forcer à te pencher plus en avant pour les atteindre.

Ma première coupe est vide et comme j’ai bu vite pour me remettre de mon mal à l’aise
de tout à l’heure, le champagne m’est un peu monté à la tête, mais tu ne perds pas une
minute pour me resservir un plein verre et trinque avec moi pour que j’en boive une
gorgée. Je me penche ensuite pour prendre des crackers dans le bol que tu as
discrètement éloigné de moi pour me forcer à me pencher plus.

« Et vous avez des passions sinon? La campagne, il faut savoir s’occuper sinon pff… Ca
devient vite barbant je trouve...
- Non il y a de très jolies ballades à faire et aussi des photos, c'est une passion,
il faut toujours que j'ai mon appareil sur moi - Vous voyez il est à ma ceinture. Je
trouve toujours un sujet à photographier, la nature est tellement bien faite
- Ah oui ! C’est vrai vous avez bien raison" dis je en finissant ma deuxième coupe que
tu re-remplis aussitôt.

Je me sens un peu partie, mais bien à l’aise à présent et j’entame gaiement ma
troisième coupe de champagne déjà à demi vide. Le bol de crackers est tellement loin
que je suis quasiment obligée de me lever du canapé pour en prendre, me penchant le
buste en avant et les jambes légèrement décroisées.

« Et quel est votre sujet de photographie préférée » Dis-je pour revenir à la
discussion tout en me réinstallant au fond du canapé sans contrôler l’échancrure de la
veste.

Pour ne pas t'épouvanter, je mens un peu, tout en regardant dans l'échancrure de ta
veste d'intérieur et sur tes cuisses de plus en plus dévoilées, mais que tu ne
remarques pas, dans l'état d'euphorie où tu te trouves à cause de l'alcool.

« Et bien mon sujet favori est bien sûr mon amie, que j'aime photographiée sous toutes
les coutures et aussi, nos amies femmes.
- Ah oui ? Les femmes ? C'est à dire que vous faites des photos de mode ? » Dis-je
totalement naïve
N'ayant plus de crackers sous la main, je décide de me lever et d'aller en chercher à
la cuisine...
Je me relève difficilement du canapé lançant mon buste en avant et enfile mes
escarpins sans faire attention à garder les jambes un peu serrées... Je me lève et
tangue sur mes talons, avançant en titubant... Je rigole et dit :
« Vous savez, j'ai bien choisi ma veste, j'aurais pu choisir l'autre qui est en voile
noir, mais pour recevoir un voisin elle est un peu trop transparente... Celle-ci me
laisse un minimum décent... »
À ce moment là, je passe près du fauteuil ou tu es installé et ta main effleure mon
mollet et mon genou, juste avant que je perde à moitié l équilibre...
Je me lève et te ratt juste à temps avant que tu ne t'affales sur les verres et la
table de salon. En te rattrapant, ma main droite se pose sous ton sein droit tandis
que la gauche te saisit par la taille, au niveau de la ceinture. Ce geste remonte un
peu ta veste d'intérieur et me dévoile la base de tes fesses et détends un peu la
ceinture sans que tu t'en aperçoives. J'ai aussi par ce geste eu la certitude que tu
ne portais pas de soutien gorge et que tu avais une poitrine bien ferme.
Je sursaute quand tu me ratts et rit bêtement en m'apercevoir que j'ai failli
tomber sur la table.
« Ouf ! Heureusement que vous étiez là, j'aurais pu me faire très mal... Merci
beaucoup ! »
Je me redresse et me dirige vers la cuisine en titubant légèrement. Tu en profites
pour me servir une nouvelle coupe de Champagne. Je prends les crackers et la seconde
bouteille de champagne que j'avais au frais.
« Regardez ce que j'ai trouvé... On a failli en manquer ! » Dis-je encore rigolant
avant de poser la bouteille sur la table et de me laisser tomber dans le canapé.
Lorsque tu t'éloignes pour te rendre à la cuisine, tu n'as pas remarqué que ta veste
était remonté derrière et qu'elle découvrait la naissance de tes fesses et après
t'être penchée devant le frigo, ta veste baille totalement et me découvre ton sillon
mammaire, jusqu'au nombril. Et en revenant en te laisser tomber dans le canapé tes
cuisses sont totalement découvertes et je peux apercevoir ton entre cuisses recouvert
de ton shorty en lycra blanc.

Je bois ma coupe de Champagne à moitié allongée dans le canapé, les jambes repliées
sous moi.

« Et donc des photos de mode ? Ça doit être intéressant... Je n'ai jamais pense à en
faire, je ne pense pas que ça en vaille le coup personne ne s'intéresserait à des
photos de moi..." dis je encore finissant une neuvième coupe de Champagne et me
resservant...

« Oh ! Ce n'est pas des photos de mode, mais plutôt des photos de charme que je fais
avec ces dames, et je vais te contredire, tu permets que je te tutoie ? Mais tu es
ravissante et j'aurais beaucoup de plaisir à te photographier

Je rigole bêtement et rougis
« Oh ! Vous pouvez me tutoyer oui... Des photos de charme c'est à dire ? Je ne sais
pas... Vous croyez que j'ai le profil ? »

Je m’allonge légèrement, posant le bras sur l’accoudoir du canapé ce qui tire un peu
sur la veste d'intérieur et allonge un peu les jambes, de plus en plus désinhiber par
l'alcool et tu t’empresses de me resservir une coupe...

« Bien sur que tu as le profil, tu es magnifique, du moins sur ce qui m'a été permis
de voir, mais si tu veux, on peut faire un essai puisque j'ai mon petit appareil
photo. Tu te sens capable ?
- Heu... Hé bien oui... Mais heu... Peut être devrais je me changer ? Mettre une
tenue... Heuu... Plus habillée ? »