La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°200)
La rencontre entre le majordome Walter et le Marquis dEvans, il y a bien longtemps
Je mappelle Walter, je suis ce que lon pourrait appeler un petit Maître sans trop dexpérience et surtout avec lenvie dapprendre. Jai trouvé, il y a bien longtemps mon mentor, celui avec qui jai tout appris et qui viendra par la suite mon employeur dans sa vaste demeure. Voila comment cela sest passé. Alors que je cherchais un emploi de majordome ayant déjà de bonnes références en la matière (jai beaucoup travaillé au service de domestique dans la bourgeoisie lyonnaise) et lors d'une soirée lyonnaise, j'avais rencontré un personnage dun charisme hors norme. Un homme à l'allure élancée, chez qui tout respiraient l'intelligence, la finesse, lélégance. Son regard dominateur et éclairé nourrissait ses auditeurs, ses gestes avaient quelque chose de mystérieux, à la fois raffinés et dune autorité naturelle. Je limaginais fort bien le voir d'une main assurée donner du fouet sur le cul d'une soumise, car une grâce certaine touchait cet homme, et la suppliciée en deviendrait ipso facto altesse. Après mêtre renseigné auprès des convives de cette soirée, jappris que ce Marquis disposait d'une immense propriété viticole dans le Beaujolais, perdue entre vignes et forêt, un domaine du nom dun des plus grands crus de ce divin nectar rouge. Une grande habitation, ce château d'un autre siècle, aux pierres épaisses, aux cheminées nombreuses et à la quiétude certaine. Ah si ces murs pouvaient parler, il est évident quils auraient tant à dire avec tous ces Marquis dEvans ayant vécu dans cette majestueuse demeure au fil des siècles. Voila ce que je pouvais apprendre des hôtes lors du copieux cocktail de cette soirée mondaine.
Intrigué, javais réussi à approcher le Noble et j'avais également réussi entre divers bavardages futiles à donner ma carte au Marquis, espérant un jour recevoir un appel, car je rêvais à la fois dêtre son majordome mais aussi davoir beaucoup à apprendre de ce Maître exceptionnel.
Le vendredi soir, Rose et Virginie, ce sont donc mes deux petites soumises débutantes mais avec un côté switch pour Rose qui aime aussi dominer de temps en temps et qui deviendra plus tard lamante lesbienne de Marie (voir La Saga des esclaves
) et moi-même quittons la capitale lyonnaise afin de rejoindre notre Hôte pour le week-end dans le Beaujolais au Nord-Ouest de Lyon. Je me réjouis, sachant Rose amatrice de bons vins, de châteaux et de bonnes chairs. Nous allons vivre notre première véritable cérémonie dans ce monde si excitant et de plus est, chez un spécialiste ! Arrivés au seuil de la bâtisse, après avoir traversés un long parc verdoyant donnant suite à une large grille dentrée dans la vaste propriété, nous sommes accueillis par une femme, grande, accorte mais tout de même avec un petit air sadique et qui prend Rose par le bras.
Nous arrivons devant une large et longue table en chêne massif. Le Marquis dEvans y trône. À Sa droite, à Ses pieds, est assise en tailleurs une petite brune, nue à l'allure presque juvénile, 20 ans tout au plus. Elle porte juste un collier au cou et une longue laisse y est accrochée. Elle ne bouge pas et reste ainsi immobile, tête baissée et jambes écartées montrant un sexe épilé et largement ouvert. Ses mains sont posées sur ses genoux, la paume des mains regardant le plafond, telle une offrande
À la fin du repas, Marie prend soin de Rose et de Virginie en les conviant à la suivre. Elles partent dans une autre pièce où, très vite des éclats de rires, des ferveurs de joie portent vers nous. Je comprends que la cuisinière plaisante gaiement avec mes deux soumises. Le Marquis et moi fixons les derniers détails de cette cérémonie. Après avoir convenu du principal, me rassurant sur les qualités de Marie pour ce cérémonial, Il minforme que Clarisse, une jeune esclave devra elle aussi, dans les mêmes conditions, recevoir son sacrement de soumise.
Le lendemain samedi, le Marquis nous fait visiter Ses propriétés, nous déniaisant sur l'élevage des vins, nous emmenant visiter Son parc, Ses vignes, Ses chais, puis Ses écuries etc
. Une journée sous le signe de la quiétude, je suis empreint d'un authentique sentiment de paix. Nous dînons tôt, Marie a revêtu une splendide robe de dentelle, tout en transparence, rendant sa présence encore plus sensuelle. Clarisse porte une jupe noire, sage, un chemisier en tulle de la même couleur, ses seins jeunes, fermes, aux traits parfaits, pointent de tout leur orgueil. Virginie, par un concours sans circonstance est rigoureusement habillée de la même manière. Rose choisissant, dans toute sa splendeur, de tenir son rôle de switch (avec mon aval et celui du Marquis), dans un cuir épais, masculin afin de bien montrer quelle souhaite dominer plutôt quêtre soumise lors de la cérémonie, sachant notre accord. Le dîner touchant à sa fin, Marie revient avec une boîte pourpre, sortant deux colliers jumeaux. Elle pose alors le premier sur le cou de Virginie, le second sur Clarisse. Un collier en maillons de chaînes tout en acier. Juste à le voir, vous pouvez sentir tout le poids de l'objet. La cuisinière explique que ces colliers ne sont que provisoires et que les définitifs seront posés dici un moment par Monsieur le Marquis lors de la cérémonie. Puis elle prend les deux demoiselles par la main, elles disparaissent toutes trois très solennellement. On dirait une mère attentive menant ses deux filles à lécole ! Je sens Rose en Domina du moment en paix, heureuse de ce qui va suivre, elle qui était venue dabord pour vivre une séance de soumission et puis quau final, elle ait souhaité être plutôt dominatrice. Je reconnais là, bien son tempérament de switch. Elle n'a rien d'autre à faire que de se laisser porter. Le Marquis ayant eu de longues conversations avec elle, avant dapporter son consentement, je ne peux qu'être heureux de cette situation
Puis au bout dune dizaine de minutes et revenant, Marie pointe le bout de son nez à la porte d'entrée.
-"Tout est près, Monsieur le Marquis !"
Nous suivons la cuisinière, le Marquis en tête de cortège, descendons un escalier, étroit et abrupt, de pierre en colimaçon, menant à une immense pièce aux voûtes de craie, probablement. Blanche, éclairée avec justesse. Un sol en tomette de couleur terre de sienne. Quatre larges fauteuils encerclant à quatre ou cinq mètres de distance le seul pilier. Au fond une croix de Saint André en chêne. Quelques tables basses ici et là, la pièce doit faire dans les quatre-vingt-dix mètres carrés, aucune sensation de vide
ici tout sonne juste, tout est étudié pour la bonne harmonie du lieu !
Les deux jeunes femmes sont au centre, mains liées dans le dos, elles font rigoureusement la même taille, porte les mêmes vêtements, plus jumelles que jamais. Au mur, rangée avec exactitude, une collection de fouets, de cravaches, d'accessoires en tout genre. Mon sac à malice est là, déployé sur une table basse. Marie s'avance vers Virginie, elle est gracieuse, sa démarche est féline, ses gestes raffinés. D'une main, elle dessine les contours de Virginie, allant du cou aux cuisses, caressant le ventre, les seins, l'aine, les hanches. Rose a pris possession de Clarisse, les quatre femmes, deux libres, deux liées, ne font qu'un dans ce tableau. J'aurais à cet instant précis aimé que Botticelli en peigne la justesse. Les caresses succèdent aux caresses, les soumises s'alanguissent doucement, toujours aussi droites, Marie et Rose sévissant avec tendresse. La cuisinière défait les liens de Clarisse et la porte vers une grande table basse. Rose caresse maintenant Virginie, regardant le spectacle de ces deux femmes amoureuses, Clarisse ayant disparu sous la robe. L'émotion est présente, la sensualité plus exacerbée que jamais.
Rose lesbienne domina devant lEternel, fouille le sexe de sa compagne, les ondulations de Virginie trahissent ses sensations. J'aperçois une main glissée dans le pantalon de cuir. Rose se caresse et caresse Virginie. Un bruit de zip, le cuir tombe à ses chevilles, Virginie est à genoux désormais, la bouche collée au sexe de Rose. Marie de son côté ondule de plus en plus car Clarisse a une main sur sa chatte, elle se branle avec vigueur. Sapho eut probablement aimé cette scène ! Dans une respiration forte, Rose se laisse porter par la langue de sa douce soumise. Marie a le corps raide, Clarisse ondule vigoureusement
La cuisinière, avec facilité et grâce, prend en main de nouveaux les événements. Elle place avec justesse les deux jeunes femmes au centre de la pièce, l'une à côté de l'autre. Et guide leurs jambes pour qu'elles offrent à nos yeux ces chattes glabres, entrouvertes. Les mains dans le dos, droites, toujours plus digne dans leurs postures. Rose est désormais l'ordonnance de Marie, les deux femmes sont du même monde, une complicité est en train de naître entre elles.
-"Virginie, désormais, tu porteras sur toi les marques de ta soumission. Monsieur le Marquis et moi-même avons choisi, pour toi, ce qui symbolisera irrémédiablement ton appartenance via ce qui va suivre dans la cérémonie. Tu porteras pour toujours en toi ce qui va têtre attribiué."
J'exprimais ces phrases avec gravité, avec émotion, avec sérénité. Rose prodigua une caresse sur le dos de Virginie, pour lui confirmer mes propos. Le Marquis parla peu dans la soirée, son regard sévère fût des plus énigmatiques pour moi. Il ouvrit la bouche et sadressa à sa jeune soumise :
-"Clarisse, te voici à l'aube de tes chaînes. Tu sais ce que tu veux devenir et tu sais ce que je peux faire de toi. Tu peux encore ici, maintenant, exprimer ton renoncement."
La gravité de la voix du Marquis ne laisse place à aucune plaisanterie, le silence de Marie est plus lourd de sens encore. Le visage de Clarisse est posé en direction du Noble, ses yeux, fixé dans le regard de son Maître châtelain, sa moue devient spontanément plus lumineuse, elle dit alors avec émotion sadressant à Marie et au Marquis dEvans :
-"Maître, Maîtresse, vous êtes mon bonheur, je souhaite être votre esclave pour l'infini, je suis à vous et vous fait don de mon corps et de mon âme."
Le Marquis dEvans sapprocha et minvita de faire avec Virginie exactement les mêmes gestes et de dire les mêmes paroles de ce quIl va faire et exprimer à Clarisse. Je limitais donc dans ce qui va suivre point par point afin de bien retenir la façon de procéder dans ce quest une cérémonie de D/s. Puis Il ordonna à Clarisse de se mettre à genoux, et équipé dun marqueur noir, il contourne Clarisse, se baisse légèrement pour inscrire ces quelques mots sur les fesses de la soumise :
« PROPRIETE DE MDE et soumise pour la vie »
Puis il dit à la belle sur un ton des plus solennels :
- Par ces mots écrits sur tes fesses, je te fais ma soumise-esclave »
Clarisse baissant la tête repris :
- Par ces mots sur mes fesses, je suis Votre soumise-esclave ».
Je fis donc la même chose avec Virginie. Puis le Marquis ordonna à Clarisse de se retourner et de se lever. Il ferma dun épais cadenas à une cage-ceinture de chasteté en disant ces mots :
- Par ce cadenas, tu mappartiens corps et âme et seule Ma volonté te libérera »
Clarisse répèta :
- Par ce cadenas, je Vous appartiens corps et âme et seule Votre volonté me rendra ma liberté »
Je fis encore de même avec Virginie. Puis elles se remirent à genoux par terre. Le Noble prit une chaîne de cheville et la positionna à la cheville droite de la soumise.
- Par cette chaîne, je te fais ma chienne
Clarisse répéta encore une fois les mots de son Maître:
- Par cette chaîne, je suis Votre chienne dévouée.
Je fis encore la même chose avec Virginie. Enfin le Marquis retira le collier préalablement posé par Marie et mit au cou de Clarisse un épais collier de cuir aux Armoirie des Evans en disant ces mots :
- Par ce collier qui scelle ton destin je te fais ma salope-chienne et soumise à Mes exigences ».
Et la belle répéta encore :
- Par ce collier, je suis votre salope et tous vos désirs seront exécutés
Jimitais de nouveau les mêmes gestes, les mêmes paroles de mon mentor. Pour marquer son appartenance au Marquis, Clarisse baisa les pieds de son Maître. Et Virginie fit de même avec mes pieds. Puis le Marquis dEvans commença à énumérer doucement, afin que je puisse les répéter à Virginie, les tâches que sa chienne soumise devra exécuter en tant que soumise (aider Marie en cuisine, massage des pieds du Maître, soumission sexuelle à toutes les envies du Maître, etc
).
Puis posant mon regard sur Marie, je la vois poser un baiser sur la bouche de Rose avec une infinie tendresse. Je crois bien qu'elles se disent : "je t'aime" sans un mot ce soir-là. Elle se sont rencontrer ce jour là et sont encore aujourdhui très liées lune à lautre.
Le reste du week-end est à l'image de cette extrême sensualité qui a habité cette cérémonie solennelle. J'ai souvenir que pour clôturer celle-ci, d'une longue succion appliquée, généreuse de Virginie sur ma queue avant que je me mis à décharger dans sa bouche aux capacités infinies. J'ai le souvenir d'avoir regardé, non sans émotion, le Marquis honorer Clarisse de son puissant Vit, il ne pouvait en être autrement. J'ai encore cette béatitude qui, lorsque je pris soin de regarder Marie et Rose nues sur une grande table en train de se lécher mutuellement la chatte en position du 69, m'envahir. J'ai encore l'image de Virginie convulsive sous mes coups de reins, de Rose, abandonnée aux mains expertes de Marie, de Clarisse sautillant sur les cuisses du Marquis dans des gémissements de chienne en chaleur telle une jouvencelle frivole et heureuse. Tout semblait être juste. De cette justesse qui sied à ceux qui aiment
.
Et au moment où jallais partir après ce merveilleux week-end, jai aussi ce magnifique souvenir, qui allait sceller mon destin professionnel, des mots du Marquis dEvans, de Sa proposition dembauche, oui ces mots raisonnent encore dans ma tête 20 ans après et étant toujours à son service, et il me sied de vous les répéter :
- Walter, je te propose de tembaucher comme Mon Majordome, car le vieil Adrien va prendre sa retraite dans 6 mois et il me faut penser à le remplacer. Tu seras parfait pour ce poste, surtout que maintenant tu connais Mes occupations, je pourrais également compléter ta formation de Maître.
6 mois après jentrais donc au service du Marquis dEvans comme chauffeur et majordome. Ma complicité avec Marie la cuisinière fut dès le début très forte mais cela vous le savez si vous avez lu l'intégrale de La Saga des esclaves au Château du Marquis dEvans
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