Education De Ma Petite Voisine - Deuxième Partie
Je suis toujours à moitié allongée dans le canapé, la veste ouverte jusqu'au nombril, qui dénude mon sillon mammaire, mon ventre et elle baille légèrement sur le sein droit qui est écrasé sur le canapé et le sein gauche pend légèrement vers le bas, les deux à moitiés visibles.
Tu ne fais plus attention à ta tenue, et ton peignoir, me laisse voir maintenant une bonne partie de tes seins et même un petit bout daréole.
Je me redresse légèrement et te demande ce que je vais devoir faire en finissant ma coupe de champagne que tu re-remplis et me tend...
« Tu as juste à te laisser guider, remet-toi comme tout à l'heure presque totalement allongée. Oui comme cela, ne bouge plus ! Regarde moi ! Un petit sourire ! Parfait ! Génial ! J'en fais une autre »
Je tobéis sans discuter, me rallongeant sur le canapé, la tête posée sur mon bras...
Ensuite, je m'approche de toi, et te fais changer légèrement de position, mais suffisamment pour dévoiler totalement laréole et ton téton érigé du sein gauche
Je ne réagis pas, quand tes manipulations dégagent mon téton gauche, assommée par l'alcool et peut être aussi par l'excitation...
Je prends deux ou clichés et te félicite et complimente, car tu es très belle et obéissante, puis je te propose de te mettre à genoux sur le canapé, de dos et de relever légèrement ta veste d'intérieur pour me dévoiler tes fesses
J'hésite un petit instant, puis me dit qu'il ne s'agit que de photos et que de toute façon, je porte un shorty... Je me mets en position et remonte juste ma veste pour qu'elle dévoile juste le bas de mes fesses...
« Comme ça c'est bien ? »
Je m'approche de toi et te dis :
« Attends je vais t'aider »
Et posant mes mains sur tes fesses, je remonte ta veste jusqu'à ta taille glissant le bas de celle-ci dans la ceinture de plus en plus desserrée. Puis je te demande d'écarter tes genoux et de bien te cambrer
Tes mains sur mes fesses me font frissonner et j'apprécie ce contact, qui me donne chaud dans le ventre.
Je continue à te photographier, puis revenant vers toi, je passe ma main entre tes cuisses, la pose sur ton entrejambe sous le prétexte de te relever un peu pour mieux te cambrer.
« Heu... Je ne connais rien au métier de la photo, mais c'est une pose normale ça monsieur ? » Dis-je quand je sens ta main se poser sur mon sexe qui s'humidifie.
Je suis dans une pose très indécente, les fesses en l'air, cuisses ouvertes, sexe offert, et mes seins pendent dans le vide prêt à jaillir de la veste...
« Bien sûr, tu n'as jamais vu de photos de filles posant dans tes poses coquines ? Allez ne bouge pas je prends quelques photos et après tu baisseras légèrement ton shorty »
Je te laisse faire des photos et attends tes prochains ordres, nosant pas baisser mon shorty ce qui me mettrait presque nue devant toi...
Alors qu'après de nouveaux clichés, je baisse légèrement ton shorty jusqu'à la naissance de ta raie, ton téléphone sonne. Tu te lèves précipitamment sans te préoccuper de ta ceinture, qui est presque dénouée et tu m'exposes tes seins en totalité, en saisissant ton portable. Bien entendu, j'en profite pour immortaliser ce moment, avant que tu réajustes ta veste tant bien que mal.
« Oui allo? Ah cest toi Michaël, ça va mon coeur? Oui ? Ah ce n est pas possible ce soir? Tu dois bosser? Bon ! Ben ! Ok ! On se voit quand alors ? Oh ! Rien de spécial, je vais me regarder un film sagement en ton absence.»
J'ai réussi à retenir ma veste d'intérieur alors quelle tavait dévoilé mes seins et que tu avais réussi a baisser suffisamment mon shorty pour dénuder mon pubis devant et laisser voir les creux de laine de part et dautre de mon pubis.
J'entends ton appareil prendre des photos alors que je suis debout et que je marche dans lappartement avec mon petit ami au téléphone... La démarche toujours titubante...
Je te regarde marcher en téléphonant constatant que tu sembles totalement épiler et sachant que tu na pas parler de moi à ton petit ami, tu n'oseras certainement pas éveiller des soupçons auprès de lui, j'att la veste par un pan et dénude ton coté gauche de ton corps.
Je sursaute, car je ne tavais pas entendu arriver. Tu réussis à écarter le pan gauche de ma veste et dénuder mon sein gauche ainsi que tout le coté, dévoilant la moitié de mon ventre, ma hanche gauche et ma jambe.
J'essaie de retenir la veste, mais avec une main prise par le téléphone et comme je nai pas envie qu'il entende, je ne dis rien et jabandonne... En plus, je ne suis pas trop en équilibre avec mes talons et en plus, tu me tends une nouvelle coupe de champagne...
Tu en profites pour me prendre en photo à moitié dénudée, faisant des gros plans sur mon sein et mon téton érigé ainsi que sur mon bas ventre toujours couvert par le fin voile lycra blanc...
Bien que je naie pas voulu au début, je sens une douce chaleur au creux de mon ventre et jai de moins en moins dinquiétude à te laisser faire... Je me sens presque complètement partie...
Tu réussis à prendre quelques photos de mon corps à moitié nu avant que je réussisse à rabattre le pan de la veste sur moi et que je te fasse signe que je suis au téléphone. Je réussis à refaire à moitié le noeud de la veste qui reste quand même un peu lâche
Tu en profites pour faire des photos en contre-plongée de mes fesses, qui sont restées à moitiés dénudées...
Te voyant vaincue autant par l'alcool que par l'excitation, dès que tu as raccroché avec ton petit ami, je te dis :
« Allez retire complètement ta veste et allonge toi sur le canapé, sur le ventre de façon langoureuse
Je te tends les dernières gouttes de champagne qui reste et te dis :
« Allez ma belle, détends toi et tu seras la plus belle des filles que j'aurais pris en photos »
Je te fais signe de te taire, car je suis toujours au téléphone avec mon petit ami et je me dirige vers la baie vitrée, qui donne sur la terrasse pour discuter.
Je m'approche de toi et te murmure à loreille :
« Si tu ne veux pas que ton chéri m'entende, donne moi ta veste maintenant. »
Je ne sais pas quoi faire... et finalement, je cède défaisant la ceinture et laissant tomber la veste à terre, ne gardant sur moi que mon shorty et mes escarpins... Je couvre ma poitrine de mon bras libre.
Te voyant résignée, dès que tu as raccroché avec ton petit ami, je te dis :
« Allez va tallonger sur le canapé qu'on continue la séance photo »
Je mallonge quasi nue sur le canapé prête à faire les photos que tu veux...Je te regarde et dit :
« Avec tout ce quon a bu, on pourrait commander à manger? J ai faim... Et très soif... Je ne sais pas ce quil me reste à boire... Peut être de la vodka au freezer je crois...
- Je vais téléphoner à la brasserie du coin de la rue, ils vont nous livrer des sandwichs et une bouteille de vin rouge, cela te va ?
- Mmhh ! Oui très bien... Et parfait pour la bouteille de vin rouge...
- Oui et pendant que je téléphone, tu retires ton shorty, comme cela on va pouvoir continuer un peu les photos en attendant la livraison »
Prenant mon téléphone, je commande des sandwichs et le vin et donne ton adresse pour la livraison.
Pendant que tu es en ligne avec la brasserie, je reprends à moitié mes esprits, je me rends compte de ma tenue et de ce que je fais et pourtant mon sexe est humide et mon ventre bouillant... Mais, je ne tobéis pas, gardant mon shorty sur moi, le laissant toutefois dévoilé un petit peu de mon pubis et les creux de laine de chaque côté de celui-ci, jusquà ton retour...
En voyant que tu n'as pas retiré ton shorty, pendant mon appel, je te dis :
« Bien puisque tu n'es pas obéissante, tu vas avoir une fessée »
Je t'att par le bras et te couche sur mes genoux, et commence à te donner des claques pas trop fortes sur ton joli fessier.
Je me débats, nadmettant pas de recevoir une fessée comme ça à mon age.
Je commence à alterner claques et caresses, et lorsque je passe ma main entre tes cuisses je constate que ton shorty est mouillé.
« Petite salope, ça t'excite de te faire fesser, et bien puis que c'est ainsi, je vais te fesser cul nu, tu vas voir c'est encore plus excitant »
Et arrachant ton shorty, tu te retrouves nue sur mes genoux et je reprends aussitôt la fessée.
« Mmhh ! Non monsieur pas mon shorty s'il vous plait... Ne me mettez pas nue, j'ai honte...Pitié monsieur... »
Je me débats, mais je nai pas la force nécessaire pour me libérer... Et tu reprends très vite ta fessée, un peu plus forte que précédemment sur mes fesses déjà rougies.
Les claques alternent avec les caresses, toutes deux de plus en plus appuyées et précises et je constate qu'instinctivement tu écartes tes cuisses, signe que tu aimes ce traitement et que cela t'excite
Je ne me reconnais plus, mon corps appelle la fessée, mes cuisses souvrent toutes seules et mon sexe shumidifie si vite, mes grandes lèvres se gonflent et mon jus saccumule...
« Oh non !... Arrêtez sil vous plait monsieur... Je serais gentille... Mmhh ! Ne me fessez plus...Ooohhh !
- Pourquoi veux-tu que je m'arrête, alors que cela t'excite petite salope, tu préfères que je te bouffe la chatte ?
- Non monsieur... Je ne suis pas une salope... Oohh ! Arrêtez monsieur, ce nest pas bien ce que vous me faites... Aaiiieee !.... »
La dernière tape a été très forte et a laissé la marque de tes cinq doigts sur ma fesse droite
« Pas une salope peut être, mais avoue que tu aimes le sexe petite cochonne.
- Mmhh ! Non monsieur... Je nai pas eu beaucoup d'hommes dans ma vie... Je n'aime pas le sexe monsieur... J'ai honte dêtre nue devant vous... Avec l'alcool, j'ai fait des choses que je naurais jamais faites autrement... Laissez moi me rhabiller monsieur sil vous plait... Quelquun pourrait nous voir par la baie vitrée... Et le livreur risque darriver... Sil vous plait... Mmmhhh ! Arrêtez vos fessées... Aaahhh et les caresses aussi.... Mmmhhh ! Non sil vous plait....
Pendant que je parle ta main continue son exploration entre ma raie culière et mon oeillet quelle titille et le début de mon sexe qui sentrouvre...
Je te couche alors sur le canapé, sur le dos les cuisses ouvertes et viens plaquer ma bouche sur ton sexe. Ma bouche lèche tes lèvres, puis viens aspirer ton clitoris.
« Mmhh ! Non pitié monsieur... Jai un petit ami... Je suis une jeune fille
Aaahhhh ! Respectable ooohhhh !.... Noooonnnn !.... Oouiiiii !
Cest booonnnn !.... Aaahhhh !.... Narrêtez pas moonnsiieuuuuuhhhh !... Aaahhh !
Oui mon clitoris.... Il est si sensible aaahhhh !.... Allez y léchez moi la chaaatttee !
Mmmhhh ! cest bonn !.....
- Oui Cathy je vais te donner du plaisir comme jamais tu n'as eu ».
Ma bouche dévore ton sexe, aspirant à tour de rôle ton clitoris et tes lèvres, jusqu'à ce que ma langue fouille l'intérieur de ton sexe.
Je n'ai jamais été léchée comme ça et tu me fais jouir sous les coups de langue, mon jus se répandant sur ta langue et ta bouche, coulant sur mes cuisses et trempant mon canapé...mon téléphone sonne à ce moment là... Je décroche à moitié évanouie sous la jouissance, tandis que tu continues à me laper le jus...
« Oui??? Allo?? Cest mmmhh !... Quiii???"
- Bonsoir madame... Cest le livreur... Cest à quel étage?
- Aaahhh !... Oohhhh ! dernier... Appartement aaahhh ! 37.... »
Comprenant que le livreur va arrivé, je reprends mon léchage de ta chatte et l'aspiration de ton clitoris, jusqu'à ce que...
Dring ! Dring !
Tu arrêtes de me lécher la chatte et m'ordonne d'aller ouvrir au livreur, soit nue et tu reprendras ton léchage de chatte, soit avec la veste d'intérieur et tu reprendras plus violemment les fessées...
J'hésite un petit instant et le livreur recommence à sonner. Comprenant qu'il faut que je me décide, je prends la veste d'intérieur et la noue juste assez pour que les pans de la veste se touchent mais laissent un décolleté ouvert jusquau nombril et la moitié de mes seins visibles, mes tétons nétant pas loin du bord, bien durs sous le tissu. A chaque pas, la veste sentrouvre laissant voir mon pubis glabre.
J'ouvre la porte au livreur légèrement gêné et celui-ci nen croit pas ses yeux quand il me voit quasiment nue face à lui. Il me tend les sandwichs et me dit le prix dans un état second, son regard passant de mes seins à mon ventre et à mes jambes nues.
Je me rends compte que jai oublié de prendre de l'argent et je lui demande de patienter, tandis que je mapproche de mon sac, qui est sur une desserte juste derrière moi.
Je me penche légèrement pour fouiller dans mon sac à la recherche de mon porte monnaie sans penser que la veste d'intérieur doit dévoiler le bas de mes fesses au livreur ainsi que mon absence de lingerie, si mes jambes sont trop écartées. Mes seins décident également de prendre l'air, le léger balancement en avant les ayant libéré de la veste et avec le reflet le livreur peut également les voir se balancer, le sillon mammaire bien formé par mes bras qui les comprime l'un contre l'autre.
Je finis par trouver mon argent et avant de me retourner vers le livreur, je réussis à recouvrir mes bouts de seins avec la veste.
Je lui tends largent avec un léger pourboire qu'il accepte avec un grand sourire, me disant qu'il me remercie beaucoup.
Dès qu'il est parti, je reviens vers toi, et je reste debout face à toi, attendant ma punition.
« Voilà un jeune livreur, qui nest pas prêt de toublier, même sil na pas regardé ton visage, mais plutôt tes seins et tes cuisses. » Dis-je en rigolant.
Je rougis de honte de mêtre exhibée ainsi, tobéissant aveuglément alors quil y a deux heures, je ne te connaissais pas. Je ne me reconnais pas et me dégoûte, me disant que tu as sans doute raison et que je ne suis quune petite salope... Des larmes commencent à couler sur mes joues et mon cou et je sanglote.
« Arrête de chialer et allonge toi ! Jai envie de finir ce que jai commencé, tu seras punie plus tard. »
Tu tallonges immédiatement sur le canapé, les cuisses largement ouvertes, trop contente déchapper à une nouvelle fessée. Je me penche de nouveau vers toi, lèche tes larmes, tout en posant ma main entre tes cuisses, puis jécartant tes lèvres intimes, je lèche ta chatte avec délice, avant de te retourner et de te faire te cambrer pour passer la langue sur ta raie culière.
La sensation de ta langue sur mon sexe trempée me fait frissonner de plaisir, mais quand tu commences à lécher mon cul, je me contracte et dit :
« Ooh !non monsieur pas la, cest sale... Cest dégradant... Mmhhh ! Non sil vous plait... Aahhh ! Nooonn !.... Mmhhh ! Non cest bon... Arrêtez pitié... Aahhh ! Je vais jouir encore... Ooohhh ! ouiiiii!!!!"
Je jouis, alors que tu me lèches le cul et que tes doigts jouent sur mon clitoris... Ta langue pénètre mon oeillet et fouille mes entrailles marrachant des cris de plaisir, honteuse de prendre mon pied comme ça... Jécarte encore plus les cuisses et ouvre mes fesses avec mes mains pour faciliter la pénétration de la langue.
« Aaahhh ! Oohhh ! Ouiiii ! Cest bon monsieur... Aaahhh ! Quest ce que vous faites de moi... Mmmhhh !.... »
Avec ma main libre, je me pince les seins et les tire, les fait rouler entre mes doigts marrachant encore des cris de plaisir...
Je suis à moitié partie entre lalcool et la jouissance... Je fais oui de la tête tout en restant allongée et je tentends partir à la cuisine pour déboucher la bouteille de vin...
Tu profites de mon absence du séjour, pour te lever et te diriger vers les toilettes.
« Où vas-tu ?
- Heu ! Je vais aux toilettes. Jai une grosse envie avec tout le champagne que jai bu.
- Ok, mais laisse la porte ouverte, je veux te mater en train de pisser.
- Heu
il nen est pas question, cest intime cest chose là, je ne veux pas faire ça devant vous quand même... jai droit à de la dignité quand même non ? Je réagis violemment car je me sens acculée et je suis prête à céder à toutes tes demandes, entre lalcool et lexcitation que jai ressenti à la fessée...
- Si tu vas y parvenir, car ta vessie est pleine, et puis parce que je ne ten donne pas le choix.
Contrainte et résignée, tu laisses la porte ouverte et tassois sur la lunette des wc, serrant les cuisses pour te cacher.
Jentre dans les toilettes, et saisissant tes genoux, je les écarte et te dis :
« Reste ainsi, je veux pouvoir te regarder, et tôter ainsi toute pudeur »
Tu finis par uriner devant moi, humiliée comme jamais tu ne las été.
Voyant ta gène et tes larmes perlées sur tes joues, jajoute :
« Dommage que tu ne mas pas dit avant que tu voulais te soulager, jaurais invité le jeune livreur à admirer le spectacle, je suis sûr quil na jamais un tel spectacle »
Mes larmes redoublent à tentendre dire ça, car jai limpression de nêtre quune moins que rien, juste bonne à être exhibée et fessée alors quil y a quelques heures, jétais une jeune femme responsable et maître de sa vie. Tu prends des photos de moi, assise nue sur la cuvette des toilettes et je nai même plus la force de réagir ou de dire non, quand tu me demandes décarter les cuisses et de me caresser devant toi pendant que j'urine, me donnant du plaisir comme la dernière des putes.
Tu sors enfin des toilettes, après avoir essuyé ta cramouille et retourne tasseoir sur le canapé.
Je massois face à toi, prend la bouteille de vin et remplis nos verres. Je te tends ton verre et un sandwich et te dis :
« Allez ma belle, reprend des forces, tu en as besoin et tu las bien mérité, je suis fier de toi ».
Malgré les humiliations, mon bas ventre me chauffe probablement du à lalcool, lexcitation des caresses buccales et ces derniers mots gentil.
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