Enzo Et Moi : Vacances Chez Son (Vieux) Patron (Partie 1)
Cette histoire fait suite à « Enzo me prête à son (vieux) patron pour avoir le contrat » http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=14960]
La voiture ralentit enfin devant un portail automatique qui souvrit sur linstant pour dévoiler un jardin luxuriant. De grands arbres abritaient des buissons en fleur de toutes les couleurs autour de lallée qui serpentait au milieu de cet océan vert et bleu. En effet, la pelouse dun vert radieux formait un camaïeu avec le bleu-vert du lac en toile de fond. Au sortir dun dernier virage nous pûmes découvrir limmense bâtisse : une maison de maître jaune clair qui se dressait fièrement sur trois étages, parcourue de grandes fenêtres bordées de volets bleus-gris. Cet endroit ressemblait complètement à notre hôte : sans ostentation, mais beau, classe et élégant. Passer les prochains jours ici promettait dêtre très agréable !
La limousine sarrêta devant la demeure. Enzo en sortit en premier et monta sans (m) attendre saluer son patron en haut du perron. Vêtue dun chemisier de soie transparente couleur crème sur une mini-jupe de tailleur assortie, je glissais mes fesses au bord de la banquette tandis que le chauffeur ouvrait ma portière, puis je me tournais de côté, face au perron, étendais la jambe droite hors du véhicule laissant la gauche à lintérieur, dévoilant au gré de mes jambes ainsi écartées ma toison découverte. Le chauffeur nen manqua pas une miette mais ce qui mintéressait cétait Mario Rossi dont le regard et le sourire massurèrent que lui non plus navait rien raté du spectacle. Je montais les marches en quelques rapides enjambées pour rejoindre « mes » hommes. Mario me gratifia dun baisemain dune galanterie qui tranchait résolument avec le regard lubrique quil me jetait. Je lui répondis dun grand sourire.
- Alice, Enzo, soyez les bienvenus. Jespère que vous avez fait bon voyage.
- Excellent, merci. Répondit Enzo.
- Suivez-moi, je vais vous faire visiter la maison et vous montrer vos chambres.
Il avait été convenu avant le voyage que je serais entièrement à Mario pendant notre séjour. Depuis notre dernière « rencontre » avec Mario, Enzo avait été nommé directeur de la branche française et était même devenu membre du conseil dadministration de la société mère avec, bien entendu, une augmentation substantielle de ses revenus. Que notre séjour chez M. Rossi se fasse à ses conditions, nétait quun juste retour de bons procédés. Quant à moi, javais gardé un excellent souvenir des talents de Rossi, de surcroit un homme galant et séduisant malgré son âge. Il avait donc été décidé quEnzo et moi ferions chambre séparée. Mario serait le seul à décider de mes activités pour les trois prochains jours, toutefois Enzo aurait le privilège de pouvoir assister à tous les ébats : il avait accepté de ne pas me toucher mais pourrait satisfaire à satiété ses penchants candaulistes.
Nous fîmes le tour des pièces du rez-de-chaussée de limmense demeure où nous découvrîmes une bibliothèque de rêve au centre de laquelle trônait un piano, je restais quelques secondes absorbée dans mon fantasme dêtre prise sur le piano comme dans « Pretty Woman ». Puis, Mario laissa sa gouvernante guider Enzo à sa chambre, pendant quil me faisait lhonneur de la mienne : une pièce magnifique au milieu de laquelle trônait un baldaquin géant recouvert de draps blancs, promesse de fraîcheur alors que latmosphère en ce début dété était étouffante. La pièce était meublée de chevets et dune armoire ancienne en bois sombre sculpté avec raffinement, et, partout, de grands miroirs dans lesquels se reflétait le lit sous toutes ses coutures. Soudain, je me retrouvais au beau milieu de mes rêves de petite fille avec la chambre de princesse et, en prime, la vue sur le jardin et le lac. Le prince aux cheveux argentés sapprocha de moi par derrière pendant que je regardais à la fenêtre et membrassa dans le cou en douceur. Je sentis sa langue explorer ma peau ce qui déclencha une réponse immédiate au creux de mon ventre.
Je descendis au jardin baigné du soleil éblouissant de la fin de matinée. Je me fis la remarque que la robe jaune pastel sous laquelle jétais nue à part pour un soutien-gorge de dentelle blanche devait être bien transparente dans une telle lumière. Mais qui pourrait me voir à part Mario ? Je laperçus enfin dans un recoin abrité du soleil sous un arbre fruitier qui semblait être un olivier. Je descendis les marches depuis la terrasse pour le rejoindre. Il était assis sur un banc de pierre, un panier de légumes près de lui. Il venait de ramasser courgettes, carottes et tomates du potager. Quelques gouttes de sueur perlaient sur son front et sa chemise blanche collait légèrement à son torse. Je restais ébahie de constater quun homme de son âge il devait avoir pas loin de 65 ans pouvait être aussi séduisant. Il me vit et me fit signe de mapprocher. Il me serra dans ses bras, son visage lové contre ma poitrine. Il soupira alors entre mes seins et glissa à nouveau ses mains sur mes fesses sous ma robe.
-Tu es vraiment très belle. Mon épouse aussi, tu sais, était très belle, mais tout à lopposé de toi. Sa peau était mate, ses cheveux bruns et ses yeux noirs. Me dit-il tout en continuant de malaxer mes fesses.
- Votre épouse ? Elle
enfin
vous êtes
divorcé ? Tentais-je.
- Non, bella mia, jai eu la douleur de la perdre il y a vingt ans. Depuis, je nai eu que des aventures purement pour le sexe, jamais rien de sentimental.
- Oh, je suis désolée, dis-je, ça na dû être facile à vivre.
Je sentais en moi lenvie de réconforter cet homme meurtri et le serrais à nouveau contre moi en lui caressant les cheveux. Il mit cependant rapidement fin à cet instant de tendresse en glissant un doigt sur ma fente, me faisant comprendre le genre de réconfort quil recherchait et que je nétais pas là pour combler des élans de tendresse. Jécartais un peu mes jambes pour lui faciliter laccès pendant que ses doigts caressaient doucement mon intimité, frôlant mon clitoris et excitant mon désir.
- Bella, dis-moi, ne fais-tu cela que parce que Enzo te la demandé ? Je lui répondis entre deux halètements :
- Jaime Enzo. Il est tout pour moi. Il ma sorti dune vie terne, sans avenir, il paye aussi pour mes études et moffre tout ce que je désire. En échange, je lui donne absolument tout ce qui lui fait plaisir. Je naime follement.
- Il te fait baiser par dautres hommes ça ne te dérange pas ?
- Cest ce qui plait à Enzo, ce qui lexcite. Il dit quil ma eue vierge et ne veut pas être le seul que jaie connu. Il fait mon éducation sexuelle, cest pour cela il me donne à dautres. La première fois, je nai pas voulu, Enzo sest mis très en colère alors jai cédé. En fait, la gêne et la honte sont vite passées quand cet homme a commencé à me faire jouir. Jai même joui encore plus fort du fait de la situation, de me faire baiser par un inconnu comme une salope et puis, le regard dEnzo, je ne loublierai jamais, amoureux et tellement fier.
Ses caresses sur mon sexe humide redoublèrent à cet aveu et je bougeais mon bassin en rythme.
- Et moi, je te plais ?
- Oui, répondis-je dans un souffle, le plaisir provoqué par ses caresses commençant à memporter. Oui, Mario, oui, vous me plaisez...- je geignis beaucoup !
- Et tu veux que jte baise ?
- Oui, Mario, oui ! Haletais-je
Je le vis alors choisir une jolie courgette de taille moyenne et bien droite dans son panier. Il magrippa par les fesses de façon à me coller tout debout contre lui et une fois quil eut la tête entre mes seins, il souleva à nouveau ma jupe et glissa la courgette sur ma fente ce qui eut pour effet immédiat de déclencher une fontaine de cyprine qui vint détremper mon antre. Il roula la courgette sur mon clito et je me mis à gémir. Il glissa ensuite doucement un doigt dans ma vulve et le ressorti pour y constater la présence suffisante de lubrifiant pour la suite de ses projets. Il me fit alors asseoir sur le banc à califourchon puis mallonger sur le dos. Je me retrouvais avec les jambes qui pendaient de chaque côté du banc. Il vint se placer entre mes cuisses ouvertes. Ce qui mexcitait le plus cétait son regard sombre, il avait basculé dans un état second, rien dautre ne semblait compter à ses yeux que mon sexe. Il appliqua dune main la courgette contre ma fente faisant tourner le pouce de son autre main sur mon clitoris. Le gode improvisé, bien rigide, se retrouva bientôt enduit de mouille. Mario écarta alors mes lèvres avant denfoncer le légume dans ma chatte. Bien que je fus bien mouillée, lentrée se fit difficile, le bout de la courgette large et rond - bien plus gros quun gland - me forçait les chairs. Je poussais un cri de douleur et dexcitation mêlés mais me cela ne dissuada pas Mario de me limer et de pousser à chaque fois plus fort. Je geignis
.
- Tu aimes la baise, hein, jolie salope ? Les joues brûlantes du plaisir qui montait en moi, je ne pus quacquiescer.
Peu à peu, je sentis ma vulve sécarter et mon vagin céda sous la pression et atteint une largeur suffisante au passage du légume qui coulissa librement et il ne me fallut pas plus de quelques aller-retour pour que jeus un premier orgasme.
- Oh, oui, tu aimes ça
Putana !
- Oui ! Mario, encore !
Il me limait avec la courgette plus vite et plus fort. Je constatais quil se masturbait à lintérieur du pantalon de sa main libre. Je jouis très fort et enfin il libéra mon antre du légume. Sans attendre, je me relevais et allais magenouiller entre ses jambes pour prendre le relais dans son pantalon. Je saisis son pieu enflé dune main et baissais le caleçon de lautre. Il gémit à la sensation de mes lèvres sur son gland turgescent et presque aussitôt je sentis sa queue se durcir à lapproche de sa libération. Je lui présentais ma langue tendue sur laquelle je battais son sexe et reçu goulument les giclées dont il me gratifia. Javalais tout ostensiblement. Lorsque je me relevais, japerçus Enzo appuyé nonchalamment sur la rambarde au-dessus de nous. La bosse qui gonflait son entrejambe me convainquit quil navait rien raté de la scène. Il mit son index sur sa bouche pour me faire taire, me fit un clin dil avec un grand sourire et quitta discrètement les lieux. Je restais seule avec Mario qui me fit visiter le reste du jardin.
À midi, la gouvernante qui officiait également comme cuisinière nous servit un excellent repas au cours duquel je ne cessais de me demander si la courgette qui mavait honorée le matin même était au menu ? Nous nous quittâmes le temps dune sieste. Il faut reconnaître que les températures caniculaires nous rendaient alanguis. Je me glissais nue entre les draps frais et ne mendormis quaprès mêtre masturbée en repensant à la scène du jardin et à Enzo qui nous avait épiés. À mon réveil, simplement vêtue dun caraco léger et dune jupe courte en coton sans rien dessous, je descendis à la cuisine et y trouvais Mario qui jouait aux cartes avec deux amis. Ils avaient son âge mais étaient, force était de le constater, beaucoup moins séduisants : des papis quoi ! Autant lui était très beau autant, eux, étaient des vieux typiques : mal habillés, ridés, le genre qui ne prend plus soin de soi depuis longtemps.
- Ah ! Alice ! Approche que je te présente mes amis : voici Gianni et là, Marcello. Ils ne parlent pas bien le français mais je traduirai.
- Bonjour messieurs, lançais-je un peu timide.
Ils me répondirent dun signe de tête et Mario leur dit quelque chose en italien que je ne compris pas. Par contre je compris très bien quand Gianni recula sa chaise et me fit signe de me placer entre ses jambes. Je regardais Mario dun air interrogateur et il me répondit :
- Je leur ai raconté comme tu sais si bien utiliser ta bouche, bella. Ils meurent denvie dy goûter. Tu veux bien nous sucer, nest-ce pas, bella mia ?
Je me plaçais donc entre les jambes de Gianni qui baissa son froc et sorti son sexe moitié bandé qui sentait fort. Jétais dégouttée par lodeur mais je me fis un devoir dobtempérer surtout que je venais dapercevoir Enzo tout sourire qui sétait placé discrètement dans le couloir qui menait à la cuisine de façon à pouvoir voir sans être vu. Je le suçais doucement mais très vite il agrippa mes cheveux baisant ma bouche de putain, enfonçant son sexe jusquau fond de ma gorge au mépris de mes haut-le-cur. Heureusement pour moi, il jouit très rapidement même si je dus me résoudre à avaler une dose conséquente de foutre épais et grumeleux. Cela ne devait pas être tous les jours quune salope de 21 ans lui suçait la bite à Gianni ! Dailleurs son regard lubrique et son sourire satisfait me le confirmaient. Je lui rendis son sourire par politesse en messuyant la bouche avec le dos de ma main.
Au tour de Marcello : il avait baissé son pantalon et bandait déjà dur, certainement excité par le spectacle de son ami dans ma bouche. Il commença par faire glisser les bretelles de mon caraco de mes épaules afin de découvrir mes seins. Il les caressa, les embrassa, puis en aspira les tétons pendant quil glissait une main sous ma jupe. Jespérais quil me baise avec sa queue, depuis le matin je navais pas eu de queue en moi et le manque en était cuisant. Mais non, il appuya gentiment sur ma tête et jobéis à son ordre silencieux en magenouillant entre ses cuisses. Il prit lentement son plaisir à sentir ma langue autour de son gland, sur sa verge, sur ses boules. Il était non seulement plus propre mais aussi plus endurant que Gianni. Je dus le sucer et le branler longuement avant quil ne finisse enfin par me jouir au visage, au bord de mes lèvres. Je regardais comme il fixait ma langue qui léchait son foutre sur le pourtour de ma bouche. Il dit quelque chose en italien dont je ne compris que les mots « bellissima » et « putana ».
Enfin, je magenouillais devant Mario mais il ne me laissa pas le sucer bien longtemps : il menleva mon caraco puis il me pencha en avant contre la table, releva ma jupe sur mes reins et me pénétra par derrière sans ménagement. Appuyée sur mes avants bras, les seins ballotant dans le vide face à Gianni qui ne cachait pas son excitation en marmonnant ce que je devinais être des mots crus en italien, Mario me baisait enfin à grands coups de butoirs. Ma chatte humide accueillit avec soulagement cet assaut, une onde de plaisir parcouru les muscles de mon vagin lorsquun premier orgasme memporta. Mario continua de me pilonner. Je montais bien encore deux fois au septième ciel avant quil eut fini sa besogne et se retire pour éjaculer sur mes globes fessiers dans un grognement de soulagement. Ils se rhabillèrent et reprirent leur partie de carte comme si de rien était. Je restais interdite quelques instants, à moitié nue et souillée de sperme devant ces hommes qui venaient de me baiser mais me méprisaient comme la pute que je venais dêtre. Humiliée, je ramassais en vitesse mon caraco puis sortis en direction de ma chambre. Je fus arrêtée dans mon élan par Enzo, toujours dans le couloir, qui magrippa par le bras et me fit mettre à genoux. Il se branla et je sentis rapidement sa décharge de foutre chaud sur mon visage. Il ne dit rien mais me fit signe de filer à ma chambre sans attendre. Une longue douche me permit de me remettre de mes émotions. Autant jaimais me sentir salope et être traitée comme une putain pendant lacte, autant après, jaspirais à un peu de respect voire de tendresse.
Je ressortis de ma chambre propre et changée. Les idées remises en place, jarpentais la maison. Je ne trouvais plus que la cuisinière qui me servit mon repas que je pris seule dans la salle à manger. Enzo, Mario et ses amis avaient disparus. Après une promenade au jardin pour profiter du coucher de soleil sur le lac, je montais me coucher nue et seule sous les draps. La chaleur navait toujours pas rendu les armes mais moi, jétais épuisée et je mendormis très vite.
Le lendemain, Mario vint me réveiller à laube. Nue, à peine sortie de dessous les draps, il me fit passer lénigmatique robe diaphane, sans rien en dessous, et posa la couronne sur mes cheveux avec le voile qui me couvrait le visage. La suite tout bientôt !!!
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!