Rêve Ou Magie 11
Chapitre 11
La porte nest pas bien fermée, de ma place, je peu observer ce qui se passe. Marie et Lisa sont attachées a des sorte de crois de st André au fond de la salle, Christine est sur la table au centre de la pièce, les jambes maintenues bien écartées, un moine est assis sur un tabouret juste en face de son sexe et bricole avec des instruments. Au bout dun moment, jentend Christine gémir puis le mine prends un truc comme une grosse seringue et lui enfonce dans le sexe puis injecte ce quelle contenait. Il retire la seringue, détache Christine, part lattacher sur une croix puis détache marie et la porte sur la table. La manipulation recommence, ça doit bien durer une heure, il la détache et passe a Lisa même cirque, je ne comprends pas ce quils font. Quand il a terminé avec Lisa, ils détachent les deux autres filles et partent vers lautre pièce. Quand ils sont tous parti, je sors de ma cachette et les sui. Dans la bibliothèque personne, javance doucement, dans la chapelle, les filles sont toutes les trois couchées sur lhôtel, une silhouette savance vers elles, cest la vieille femme du bois, les moines sont regroupés sur le coté et semblent prier, elle fait des gestes bizarres et marmonne des mots sans suite devant les filles et la, je reste complètement ébahi, devant mes yeux, leur ventre gonfle doucement. Au bout dun long moment, la vieille dame séloigne et les moines font accoucher les trois filles. Au bout dune bonne heure il y a trois bébés alignés devant lhôtel. La vieille dame les prend et sen va. Les moines font se relever les filles et se dirigent vers moi. Je me plaque contre le mur derrière louvrant de la porte, je vois les moines passer devant moi en portant les filles inconscientes. Quand ils ont passé lautre porte au bout du couloir, je sors de ma cachette et me dirige vers la sortie pour voir ou va la vieille femme avec les bébés. Je la cherche du regard, ne la voie pas puis jentends du bruit vers les pierres, jy pars en courant.
Cest comme un feu dartifice qui se déclenche, des lumières fusent de partout, cest magnifique. Le sexe de la femme semble devenir le centre de ce feux dartifice, puis La forme humaine ressort doucement delle et disparait, la fumée sestompe, sur le rocher, a la place des trois bébés, trois belles jeunes filles dune vingtaine dannées, la copie conforme des filles qui dorment a la ferme.
La prêtresse se rhabille et emmène les filles entièrement nue avec elle, je décide de les suivre. Elles marchent longtemps, puis sarrêtent devant une vieille grange. Elles entrent. Au bout dun long moment, la prêtresses ressort et séloigne doucement. Jentre dans la grange, les trois magnifiques filles dorment dans la paille, elles sont maintenant habillées et ont des sacs a coté delles. Je les laisse et repart vers les ruines derrière la vieille dame. Jarrive aux ruines, la grosse pierre est a nouveau sur lentrée la vieille femme a disparue. Laurore commence a pointer, le ciel rougeoies, je retourne a la ferme pour moccuper des bêtes.
Mon travail est fini, je sens la fatigue mais je prends ma voiture et part vers la vieille grange. Je me gare devant, jentre, les filles y sont encore et discutent doucement, elles sont surprises de me voir et sexcusent davoir squatté ma grange cette nuit et mexpliquent que cétais pour se mettre à l abri de lorage. Jessai de discuter un peu avec elles, elles me racontent exactement la même histoire que les trois filles que jai a la maison. Je les invite a venir déjeuner chez moi, elles acceptent. Dans la voiture flotte la même odeur suave, un mélange de parfum féminin, de sueur et autre chose que je narrivais pas à définir, cette odeur me fait a nouveau bander presque tout de suite. Pour garder une certaine contenance jai ouvert la fenêtre pour essayer de dissiper cet envoutant parfum.
- Vous vous appelez comment
- Moi, cest Juliette, elle, cest Maeva et elle, cest Beatrice, ce sont les noms que nous avons trouvé sur nos vêtements.
- A quand remonte votre rencontre ?
- Hier soir, pendant le très gros orage, nous nous sommes abritées toutes les trois dans la même grange.
- Ah bon, vous ne vous étiez jamais rencontré avant ?
- Non, nous avons décidé dêtre comme des surs ce matin car nous avons les mêmes gouts et nous nous ressemblons beaucoup.
- Je vais vous faire une surprise, a la maison jai dautres surs a vous qui dorment.
- Non, ce nest pas possible.
- Vous verrez, en plus elles portent les mêmes noms que vous.
Arrivé à la ferme, je leur demande de sinstaller puis je part réveiller les autres filles. Quand elles se retrouvent ensemble, cest dabord un grand silence qui sinstalle, elles sobservent puis les conversations démarrent. Je les laisse et part me coucher, je suis complètement crevé et la nuit prochaine jy retourne pour voir ce qui se passe.
Je me réveille, il est déjà tard, je leur montre tout ce quil faut pour quelles se préparent a manger puis je leur explique quelles peuvent toutes dormir chez moi a condition dêtre deux par chambre, elles acceptent, la nuit tombe, je les laisse pour partir aux ruines.
Le soir venu je repars, vers les ruines pour essayer de libérer mes copines. Quand jarrive, le rocher nest plus a sa place et laccès a lescalier est libre, je me poste derrière un éboulis et jattend.des heures se passent sans quil y ait de mouvement puis je vois la vieille dame sortir avec trois bébé dans les bras, je la suis et la même cérémonie que lautre jour se déroule, je repars vers les ruines avant le feu dartifice, jentre, dans la chapelle plus personne, javance, dans la bibliothèque un moine est entrain décrire dans un grand grimoire, discrètement, je me faufile jusqua la porte, je continu a avancer, dans la salle de , un moine range le matériel, je lobserve un moment puis me glisse dans la pièce et passe sans quil me remarque. Dans le couloir, personne, je regarde dans la première cellule, la porte nest pas fermée, Marie semble dormir, couchée nue a même le sol, je mapproche delle, lui secoue lépaule pour la réveiller, elle ne réagit pas, je lui caresse la poitrine, elle se met a gémir, jappuis ma caresse, je la sens se tendre et jouir mais ne se réveille pas. Ne sachant que faire je me retire, repasse dans les pièces les moines ne sont plus là. Je sors et part tout de suite a la grange, quand jarrive, la vieille femme est entrain de sortir, discrètement je la suis, elle monte sur la colline et entre dans une grotte, jentre discrètement derrière elle, la grotte semble petite, au fond un matelas a coté dun feu, la vieille est couchée dessus. Je mapproche, la regarde plus en détail, cest bien une très vieille femme, une allure de sorcière avec ses vieux vêtements délabrés, je mapproche delle, elle ouvre les yeux, me regarde sans avoir lair étonné de ma présence.
- Je vous attendais
- Vous mattendiez ? pourquoi ?
- Je vous ai vu tourner autour des filles, jespère que vous navez rien fait de contraire aux lois.
- Quelles lois ?
- Je vous expliquerais plus tard. Prenez ce flacon la bas et servez nous a boire.
Je me suis retourné, jai attrapé le flacon puis jai servi deux verres, quand je suis retourné vers la vieille, jai eut un choc, sur le matelas il y avait une magnifique jeune femme quasi nue, celle que javais vu lautre jour. Devant mon air étonné elle sest confiée :
- vous me voyez sous ma véritable forme maintenant, la vieille dame, cest un masque que je porte tous les jours pour ne pas être embêtée, je suis la grande prêtresse de « zurok », jai lair jeune mais jai en réalité huit cents ans, nous nous succédons de mère en fille pour continuer notre mission qui est de maintenir léquilibre de la nature. Lisa, Marie et Christine sont mes filles, je les ai eut avec Zurok, Malok et mirok, ce sont les trois dieux qui gèrent la terre, lair et leau, a eux trois ils maintiennent lharmonie sur la terre. En ce moment, tout est perturbé, vous les hommes vous faites nimporte quoi et léquilibre est rompu. Avec les moines survivant, nous essayons de rétablir cet équilibre, mes filles nayant pas réussi leur mission à cause de vous, nous les remplaçons par dautres filles qui sont chacune un mélange des trois, elles vont prendre tous les postes clef de la terre pour que lon puisse enfin faire renaitre cet équilibre.
- vous vous servez de vos filles comme des bêtes de laboratoire, elles vous servent uniquement à produire vos prêtresses ? Cest indigne dune mère dexploiter ainsi sa progéniture.
- Non, pendant des siècles nous avons fait une sélection, grâce à la légende que nous avons fait courir, nous engrossions des filles, nous récupérions les bébés et nous rendions la mère à leurs vies médiocres et normales encore vierge avec la mémoire effacée. Ça marchait très bien puis il y a eut un conflit très grave entre nos dieux et dautres, des histoires qui nous dépassent, lhôtel de pierre et le monastère ont été en partie détruit, depuis le seul moyen que nous avions cétais de continuer notre travail dans la plus parfaite clandestinité. Jai accepté denvoyer mes filles parmi les humains pour quelles me fassent un inventaire complet de tout ce qui sy passe et vous êtes intervenu, vous les avez engrossé alors que je croyais ça impossible, maintenant, elles ne pensent plus a leur mission, elles nont quune envie, vous retrouver pour jouir avec vous. Cest pourquoi, je me sers delles pour créer une nouvelle race de prêtresse qui ne pourra pas se faire engrosser par un vulgaire humain et qui pourra conquérir votre monde. Jai mis plus de cinq ans à essayer, que des échecs, ce coup ci, cest le bon, jai déjà neuf prêtresses qui sont parties, dans deux jours, jen aurais trois de plus. Après ça il me faudra attendre le prochain solstice pour recommencer. Maintenant mon royaume va pouvoir sétendre mon équilibre naturel sera retrouvé.
- Vous été donc la femme de trois dieux ?
- non, je suis la femme de personne, jai juste eu des s de ces trois dieux ils mont servi, en maccouplant avec eux jai pris leur pouvoir, grâce a ces s, je peu les transmettre.
- cest qui, celui qui vous rend visite sur lhôtel ?
- vous avez assisté à ça ?
- oui, jai même vu les bébés grandir très vite pendant vos orgasmes pour devenir de magnifiques jeunes filles.
- vous nauriez pas du voir ça, cest impossible, les humains ne peuvent pas voir ces choses la. Qui êtes vous ?
- Un fermier, propriétaire depuis des générations des terres sur lesquelles sont construits lancien monastère et lhôtel en pierre
Je ne sais pas ce qui sest passé, jai eut a un moment limpression de sortir de mon corps et je me suis entendu dire :
- Je suis aussi le père de Zurok, Malok et mirok, je suis ton dieu tout puissant, celui qui a détruit ton simulacre de monastère et ton hôtel de sorcière.
Elle sest jetée à mes pieds en implorant :
- Pardon maitre de vous avoir trompé, je suis votre humble servante, je ferais tout ce que vous voulez mai par pitié laissez moi la vie sauve.
- Te laisser la vie sauve, a toi, mégére puante qui fricote avec « Firox » le dieu du feu mon pire ennemi !
- Je vous en supplie, ayez pitié
- Pas de pitié pour les sorcières orgueilleuses et déchues.
Elle était devant moi, à moitié nue, elle dégageait la même odeur aphrodisiaque que ses filles, je nai pas pu me retenir, jai sorti mon chibre et je lai enfoncé en elle.
Pour une vieille de huit cents ans elle était très bonne, je la bisais comme une chienne, et elle semblait aimer ça, je sentais ses muscles intimes se contracter au rythme de son plaisir, cétais merveilleux, dun coup, jai senti comme une aspiration, jétais aspiré par son sexe cétais tellement fort que jai rapidement jouis en elle.
Mon sperme a eut un effet très bizarre, alors quelle était en pleine jouissance a maspirer, elle sest mise a crier de douleur, je me suis senti repoussé violemment, mobligeant a me retirer de cette antre si agréable et jai vu son sexe se mettre a fumer, puis se consumer alors quelle narrêtais pas de crier. Au bout dune minute elle sest tue et son corps agité de soubresauts sest entièrement embrasé.
La grande prêtresse est partie en fumée.
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