Rêve Ou Magie 12

Chapitre 12
Je suis sorti de la grotte et je suis parti a la grange, les trois filles dormaient paisiblement, je suis entré j’ai pris des cordes dans un coin et je les ai toute les trois attaché contre les poutres. Elles ne semblaient pas comprendre ce qui leur arrivait. Quand ce fut fait, j’ai attrapé la première, l’ai complètement déshabillée en la caressant. Rapidement elle a eut le premier orgasme de sa vie sous mes doigts et ma langue puis je l’ai couché dans la paille et je suis entré en elle. Son hymen n’a pas résisté et je l’ai possédé comme un fou. Elle a crié sa jouissance tout le temps.
Quand j’ai senti que j’allais jouir, je me suis retiré d’elle. La laissant comateuse dans la paille, je me suis attaqué a sa sœur, après l’avoir faite jouir sous mes caresses, je l’ai elle aussi baisé comme une chienne et la, j’ai éjaculé en elle. Contrairement a sa grand mère elle ne s’est pas enflammé au contact de mon sperme je l’ai poussé sur le coté et je me suis occupé de la troisième, je l’ai faite jouir de mes doigts et de ma langue pendant que mon sexe reprenais du volume puis je l’ai possédé énergiquement elle aussi. Quand j’ai eut fini, elles étaient toutes les trois comateuses dans la paille, j’ai rajusté ma tenue et je leur ai demandé de me suivre. Nous sommes rentrés à la ferme.
J’avais maintenant a ma disposition neuf maîtresses potentielles, toutes très bien disposées a mon égard, six encore vierges qui s’occupaient du travail de la ferme, du ménage et des repas, les trois autres ne songeant qu’a une chose, que je les baise a nouveau et je ne m’en privais pas. Ce qui m’a le plus surpris c’est quand j’ai couché avec Juliette une deuxième foi, son hymen avait repoussé, ce fut la même surprise avec les autres. Chaque soir, quand je partais me coucher avec une des fille, c’est avec une vierge que je me couchais et je devais dépuceler. Une vie de rêve en quelque sorte mais très vite je me suis lassé, elles étaient trop identiques, j’avais beau avoir neuf magnifiques jeunes filles a ma disposition, j’avais l’impression d’être toujours avec la même personne, mêmes réactions, même odeur, même pilosité, mêmes cris de jouissance.


Ça ne me suffisait pas, je voulais récupérer Lisa, Marie et Christine, avec elles je me sentais bien, j’avais du changement, je passai d’un volcan a une tornade pour retourner avec un tsunami, là, ce n’étais jamais monotone.
Je suis monté aux ruines avec mon tracteur, j’ai déplacé le rocher et je suis entré dans la chapelle, j’ai tout fouillé, rien, personne, je suis passé a la pièce d’a coté j’ai a nouveau bien fouillé, et la non plus personne. En sortant, j’ai entendu un bruit de frottement, une cloison a pivoté et un moine en est sorti. Je lui ai sauté dessus, l’ai assommé puis j’ai pris sa soutane pour la revêtir. Ainsi habillé j’avais beaucoup moins peur d’être découvert et ouvertement j’ai fouillé le reste de ce repère.
J’ai trouvé les filles, elles étaient enchaînées toutes les trois dans une cellule. Quand je suis entré, elles ont d’abord eut très peur puis elles m’ont reconnu et se sont calmées. J’ai réussi en me servant des outils de la salle de à briser leurs chaines puis nous sommes sortis. En traversant la bibliothèque, Lisa m’a confié :
- Il ne faut pas les laisser continuer leurs expériences.
J’ai fouillé puis j’ai trouvé leur réserve de pétrole pour les lampes, j’ai arrosé les murs en bois, puis j’y ai mis le feu et nous sommes vite partis vers la sortie. Avec mon tracteur j’ai remis le rocher à sa place et je l’ai maintenu. On voyait de la fumée s’échapper par le coté j’ai attendu. Au bout d’une bonne heure, il y a eut comme une explosion et les ruines autours de nous se sont enfoncées. Voila le repère était complètement détruit et nous sommes rentré a la ferme tous les quatre sur mon tracteur.
J’ai vécu trois mois merveilleux, j’étais entouré de femmes stupéfiantes. Chaque soir, j’en chosait une pour passer la nuit. Quelquefois calme et câline, d’autre fois torrides puis ça s’est dégradé, la santé des clones, s’est vite détériorée, sans doute a cause de leurs croissance accéléré, elles sont mortes, l’une après l’autre.
Maintenant je vie avec mes trois chéries : Le tsunami Lisa, la tornade Marie et la volcanique Christine.

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