Je Le Croyais Mort
Ca fait plus dune semaine que je ne vois pas un copain. Bof, après tout, il; doit être en vacances comme ça lui arrive parfois. Il maurait envoyé un mail un coup de fil. Dun coup jai des doutes. En allant chez lui, je pense à une foule de conneries. Je le vois assassiné, baignant dans . Ou alors pendu par désespoir.
Jarrive à sa porte ; elle est ouverte. Jentre sans frapper. Ouf il est dans sa chambre couché.
-Quarrive t il ?
- Je vais mieux, je me lève à peine, jai eu un sacré coup de fatigue.
Cest vrai il est pâle. Et je pense dans ma tête de linotte que sans doute il na pas eu de fille depuis longtemps, que ça lui manque. Je vais lui faire passer lenvie dune autre, moi quil semble ignorer. Pourtant je ne suis pas plus mal que sa dernière, celle qui paraît-il lui faisait lamour comme une reine. Je ten foutrais dune reine, une pute oui Je suis jalouse et alors ! Je laime bien ce type là.
Il reste couché, pendant que je pense à des sornettes. Sil ne ma jamais rien demandé cest que je ne lui plais pas, cest simple.
Je me baisse quand même pour une bise. Je vois quil est nu, au moins jusquaux épaules. En bas je ne sais pas. Je nose pas linterroger. Mais il me plait trop ; Je sens que je vais faire une belle bêtise. Je vais offrir à cet homme ce qui lui manque depuis trop de jour. Jen profiterais aussi bien sur
Il a lair étonné quand je soulève le drap, que je passe ma main sur son corps chaud. Je le laisse dans lignorance de mes obscurs projets, même sil peut en deviner une partie. Je massois enfin sur le bord du lit, cest plus commode pour moi. Je croise haut les jambes pour quil puisse voir ma fourche. Mon bras droit ouvre en entier les draps. Je vois sa queue encore molle. Je ne laime pas ainsi. Elle pendouille lamentablement sur la gauche. Cest sans doute parce quil se branle trop.
Tant pis pour ce quil pense, je saisis la queue. Ma main est trop grande pour elle.
Il me regarde prendre sa pine pour la caresser. Je navais pas lintention de lui faire mal. Ma main applique la queue sur le bas ventre. Je la roule comme je ferais avec un gâteau.
Il a des drôles de spasmes : le désir sans doute. Je le prends franchement à pleine main. Il a une bite très chaude. Mes doigts lentourent facilement, la massent encore une fois. Je sens quil nen peut plus. Cest bon je vais lui faire du bien. Mais avant je desserre mes jambes, jécarte les cuisses. Il peut voit ma chatte. Je mouille plus fort que les autres fois. Jai envie de sa main sur moi, dans la moule. Mon abricot dégouline de mouille.
Il comprend mon besoin de masturbation. Je ne vais pas me branler devant lui, alors quil peut me le faire. Enfin une main est sur le genou. Il caresse la cuisse, monte doucement. Jécarte les jambes pour quil arrive bien sur le con.
Que sa pine est douce, le gland surtout. Jy passe le pouce doucement dessus. Une petite goutte sort du méat. Heum
. Je la récupère avec le doigt, ma langue aime ce goût. Vite je reviens pour la suite. Je caresse à nouveau avec le pouce. Elle a encore des à coups.
Il arrive sur la chatte. Je le sens bien quand il cherche partout. Il est mal mis pour arriver dun seul coup sur labricot. Je ne sais ce quil cherche en bas, non, pas mon cul, pas encore. Qui sait, lui aussi me veut à cet endroit secret. Je ne sais sil a déjà eu un doigt de femmes sur lanus. Je vais essayer. Joublie un moment sa queue. En passant je caresse rapidement les couilles. Elles sont dures dans ma main autant que sa pine. Il a le bas des couilles très doux.
Nous avons un de nos doigts sur le cul de lautre. Il me caresse autour, je le caresse autour. Il connait la suite quand il entre une bonne partie du doigt dans le cul. Cest bon pour moi. Il commence la série des aller et venue. Je suis tendue vers lui, je vais jouir.
Je me venge un peu en entrant moi aussi le doigt. Il se tend vers ma main. Il en veut plus, jentre totalement le doigt. Je le fais aller et venir. Je regarde toujours sa queue qui brusquement jette sa crème blanche. Nos spasmes se confondent dans la même jouissance. Le sperme que jai dans la main est aromatique. Je le frotte contre son ventre. Il est ainsi tapissé de lextérieur.
Je me penche sur lui, je lèche le ventre poilu. Son goût est délicieux, jen voudrais encore, mais la source est tarie. Je reviendrais demain.
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