Leslie Se30

Leslie SE30 – Seule, après Isabelle, avec Madame Christelle, la lesbienne du magasin

Chez Isabelle, nous nous sommes aimées pendant un week-end complet, sans sortir de chez elle, nous avons expérimentées tout ce qui est possible de faire en matière de sexe.
Isabelle a pris du plaisir à se faire sodomiser, comme elle en a pris à me sodomiser avec son gode ceinture, puis avec un gode qui tout en me sodomisant l’empalait elle aussi.
Nous avons jouit de nombreuses fois, perdant parfois conscience lorsque le plaisir trop intense nous submergeait.
Le lundi matin, je suis partie aux aurores, après une douche et café, pour aller chez-moi me changer, puis je suis partie travaillée en pensant à ce week-end de folie…

Dans la semaine, comme elle m’avait donné sa carte avant de partir du magasin, j’ai appelé Christelle, la lesbienne que j’avais rencontrée dans le magasin de lingerie avec Isabelle.
Elle m’a donné rendez-vous pour le soir même chez elle, vers dix-neuf heures.
Lorsqu’elle m’a ouverte j’ai retrouvé la belle femme du magasin, mais c’est vrai que là, vêtue comme elle l’est devant moi, elle ferait bousculer les femmes et les hommes en mal de sexe.
En effet, Madame Christelle, est devant moi, poitrine nue sous sa légère veste d’intérieur blanche trois-quarts qui cache à peine le bas de son ventre, ceint d’un porte-jarretelle, crème lui aussi tenant de jolis bas coutures fumés, bien sûr elle n’a pas daigné mettre de culotte, et elle e dit en m’accueillant :
Bonjour ma chérie, je t’attendais avec impatience et tu vois je suis prête…

Elle me fait entrer dans son confortable appartement et me propose un thé en m’installant dans un confortable canapé, pendant qu’elle s’absente un instant pour préparer la boisson.
Je remarque sur la table basse, des revues et des catalogues spécialisés dans le domaine du sexe, revues pour femmes lesbiennes et quelques-unes d’homme virilement dotés et catalogues de lingerie et d’accessoires pour les jeux sexuels.

De plus sous la télévision quelques DVD du même genre sont rangés, attendant certainement d’être visionnés pour exacerber les sens de certaines amantes indécises.

Madame Christelle ne se cache pas, et laisse à qui veut les voir ses penchants érotiques et sexuels, le plus curieux, c’est que je trouve cela claire, au moins je sais ce qui m’attends et je ne suis pas venue pour faire du tricot avec elle, la perspective est plaisante et pas le moins effrayante, je dirais même, un peu excitante…
Quelques minutes plus tard, Madame Christelle me rejoint et nous voilà installées confortablement au salon.
A demie avalée par le canapé, Madame Christelle assise face à moi sur la table basse, certainement pour être plus près de moi.
Nous échangeons quelques potins sur les jours écoulés depuis notre rencontre dans le magasin et tout en bavardant, j’observe Madame Christelle qui ne manque pas de m’exhiber tous ses charmes afin de faire monter les désirs en moi.

De face, lorsqu’elle se penche, elle offre à mes yeux ses jolis seins aux aréoles brunes, et lorsqu’elle se redresse, elle ne referme pas ses jambes, qui sont largement écartées sans gêne mais sans excès, laissant à mes yeux la découverte de son pubis.
Rien de vraiment indécent, mais beaucoup plus érotique, car ce n’est pas une véritable exhibition que Madame Christelle opère en cet instant, juste un peu d’érotisme et su sujétions envers son corps magnifique.

- Eh bien, ma chérie, tu te rinces l’œil ? Me dit Madame Christelle avec un sourire, continue de me regarder comme ça et tu vas me faire perdre la tête.
Il n’en faut pas plus pour que la conversation tourne sur des sujets plus intimes où le sexe est présent.
- Je te parie, dit Madame Christelle, que côté caresse des seins et du minou avec la langue aucun homme n’arrive à la cheville d’une femme, d’ailleurs ce doit être pareil pour un homme qui se fait sucer, je suis certaine que les hommes font cela mieux que les femmes, quand penses-tu ma chérie ?
Madame Christelle me pose une question très intime, je ne sais quoi répondre, n’atant pas vraiment femme et plus vraiment homme, mais Madame Christelle vient à mon secours en rajoutant :
- Pour toi, cela doit être différent, je suis donc impatiente de savoir ce qui est le plus fort en toi, la femme ou l’homme, mais je pense que les deux ont leur place et que tu vas assouvir les désirs qui me brulent le corps.


Je sens monter la température entre mes cuisses, quand à mes tétons, je n’ai pas besoin de baisser les yeux ou de les toucher, pour savoir dans quel état ils sont.
D’ailleurs, mes yeux sont revenus sur le bas ventre de Madame Christelle et en me forçant je relève la tête vers son visage, ses sourcils sont légèrement arqués et le regard est remplit de désirs. Un léger sourire sur les lèvres, elle me dit :
Quand tu veux, je suis prête !

Et aussitôt, sa main droite qui vient se poser sur un de ses genoux et remonte doucement vers le haut de la cuisse, écartant un peu plus le pli de la jupe, un frisson me parcourt les reins.
Madame Christelle, comme pour me provoquer, ne dit rien, mais elle me regarde avec insistance, le visage légèrement avancé et penché de côté, m’exhibant sans pudeur sa poitrine nue sous la veste d’intérieur.
Et tandis qu’elle ouvre encore un peu plus les cuisses, sa main posée sur ma cuisse repart lentement vers mon intimité. Sa main monte inexorablement vers mon sexe, qui commence déjà à être en érection, et lorsque le bout de ses doigts l’effleure, mon corps est parcouru d’un doux frisson de plaisir.
Dans ma position et ayant ressenti l’effet de sa caresse sur moi, Madame Christelle plus que jamais, émane l’assurance d’une belle femme arrivant à ses fins….
- Alors ma chérie, tu es venue par désir ou par curiosité, me demande Madame Christelle.
- Certainement les deux, dis-je en plongeant mes yeux dans les siens.
- Parfois, j’aime bien m’abandonner aux deux aussi.
Elle me regarde droit dans les yeux, passe sa langue sur l’extérieur de sa lèvre inférieure, et lentement son regard descend vers mon intimité que sa main dans sa progression à légèrement dévoilé.

Puis son regard remonte vers mon visage, la main de Madame Christelle glisse sur ma cuisse à la recherche de mon sexe et soudain alors que sa main empoigne fermement mon membre, elle tombe à genoux entre mes cuisses grandes ouvertes et pose sa tête sur ma cuisse, afin de pouvoir me voir et me regarder.


Ses mains caressent l’intérieur de mes cuisses en effleurant parfois mon sexe puis, se sont mes seins qu’elle prend dans ses mains après avoir ouvert mon corsage et mise à nue ma poitrine, ça dure. Puis, une main quitte mes seins pour m’enlever ma jupe et je me retrouve en simple string qui sous l’effet des caresses de Madame Christelle, à du mal à contenir mon sexe.
Les caresses de Madame Christelle parcourent maintenant tout mon corps, légères ses mains effleurent mes aréoles et irritent mes tétons dans des mouvements circulaires, lents mais insistants quelque peu. Je ne suis plus vraiment consciente, ses caresses et la chaleur qu’elles me procurent m’emmène sur les rivages du plaisir qui commence à envahir mon corps, et me donnent une respiration de plus en plus court, jusqu’au moment où de ma bouche sort un :
- Ahhh !
Mon cri résonne comme un jappement, Madame Christelle vient de saisir mon téton gauche entre le pouce et l’index, et s’applique à le pincer d’une brève pression.
Une onde de chaleur est partie directement de ma poitrine à mon sexe…
Puis les caresses ont repris, mes seins, mon corps, mon sexe, chaque partie de mon corps est caressé, mais ses mains reviennent sur ma poitrine et elle presse cette fois l’autre téton, une caresse, elle repasse à l’autre sein, une fois, deux fois, elle continue inexorablement de me faire monter le désir.
Je gémis et j’halète, j’aimerais qu’elle ne relâche pas la pression, j’aimerais qu’elle continue les caresses, je sens le flux et le reflux d’un nouvel orgasme qui approche, qui repart, qui revient…
- Tu vas jouir, ma chérie.
Pas de temps à perdre, du pouce et de l’index de chaque main elle a saisi mes deux tétons, et maintenant, elle ne les lâche plus entre deux pressions et les fait rouler doucement entre ses doigts. Le rythme des pressions accélère un peu. Elle serre un peu plus fort à chaque fois, sans pour autant que ce soit douloureux.
Mon sexe, dur et bandé, est maintenant sortit de la fine étoffe de mon string, dressé devant les yeux de Madame Christelle, à la portée de ses lèvres.
Elle sent que j’ai envie qu’elle me prenne dans sa bouche et me donne du plaisir entre ses lèvres, alors elle me regarde en redoublant la pression sur le bout de mes seins et me dit :
- Demande et tu seras exhaussée !
Je la regarde et comprends qu’elle n’est plus que sexe et que notre nuit va être longue et certainement chaude, remplie de cris et de hurlements…
- Christelle, prends moi dans ta bouche, dis-je.
Sans se faire prier et sans lâcher mes tétons, telle une furie elle ouvre la bouche et engloutie entre ses lèvres mon sexe.

A suivre…

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