Sarah

Note sur l’auteur
J’écris des histoires fictives de soumission féminine. Cela alimente certains fantasmes mais je condamne bien sur tous les actes non consentis.
J’organise également des scénarii pour les couples mariés qui rêvent de pouvoir s’initier à la « contrainte contrôlée » pour pimenter un peu leur vie sexuelle.
Tous les commentaires sur mes histoires sont les bienvenus, la critique, positive ou négative, me fait progresser ! Bonne lecture

Il y a 7 ans
A cette époque, Sarah et moi n’étions pas encore mariés. Nous vivions ensemble depuis 2 ans et je finissais mes études d’ingénieur alors qu’elle était en deuxième année de licence d’anglais. Nous étions très amoureux. Je savais, après avoir beaucoup papillonné, que cette fois j’avais trouvé la « bonne ». Intelligente, très belle, Rousse, 1,65 m pour 50 Kg, elle avait un très beau corps et une magnifique poitrine 95 D. Notre sexualité était très épanouie, dans le cadre de notre intimité de couple.
Ce jour là, je fêtais avec mes camarades Ingénieurs la fin de nos partiels et notre prochain départ pour le stage de fin d’études. A cette occasion Pierre, un fils à papa de notre promo que je n’aimais pas trop, avait réussi à se faire prêter par son père sa maison de campagne et avait invité une grande partie de notre groupe. Une trentaine de personnes, 4 ou 5 couples et beaucoup de garçons seuls.
Nous avions rendez vous à 11h30 pour l’apéro. Certains devaient rester coucher, mais nous avions prévu de rentrer à la fin de la journée, comme l’ensemble des couples. Chacun devait amener quelque chose à manger et à boire. Cette année là, le mois de Juin était caniculaire et la plupart des convives avaient plus amené à boire qu’à manger…Et puis nous étions là pour faire la fête !
Quand nous sommes arrivés devant la « maison de campagne », nous nous sommes aperçus qu’il s’agissait plutôt d’un mas, d’un grand mas même, avec une énorme piscine/jacuzzi et un grand parc.


La fête allait être monstrueuse !
Après avoir déchargé les victuailles, enfin surtout les boissons, nous avions commencé à boire l’apéro, bière, whisky, gin, vodka et un peu de nourriture. Entre deux coups à boire, on profitait de la piscine pour nous rafraichir. Sarah avait mis pour l’occasion un maillot deux pièces assez sage, de couleur chocolat, attaché au dessus de la tête par une cordelette. Le slip était aussi attaché par des cordes sur le côté des hanches. Même si cette tenue était sage, je voyais bien le regard attentif des autres garçons sur les formes avantageuses de Sarah. Un peu jaloux, mais aussi fier…
L’après midi s’étira paresseusement au son de la musique à fond, des bières et des plongeons dans la piscine.
Un concours de téquila frappé fut organisé, et je tenais à mon titre de champion, gagné de haute lutte lors de précédentes fêtes. La bataille fût acharnée, mais après avoir bu 20 verres en moins de 5 minutes, je conservais mon titre. J’avais aussi gagné un sacré mal de tête, l’exposition au soleil, le cumul de la boisson sur toute la journée et l’absorption rapide de la tequila m’avait achevé. Une heure après je me retrouvais sur le lit d’une chambre d’amis, avec une bassine par terre et tenant la main de Sarah en lui disant que je ne pourrais jamais conduire. Quelques secondes plus tard, je ronflais bruyamment.
Je me réveillais assez tôt le lendemain. Sarah était couchée sur le lit à mes côté, portant toujours son maillot. Ma tête semblait exploser, mais les effets de l’alcool avait disparu. En revenant des toilettes, je m’aperçu que Sarah était réveillée. Elle me demanda si on pouvait partir tout de suite, qu’elle avait envie de rentrer à la maison pour se changer et se reposer dans notre lit. En laissant un mot de remerciement bien en vue dans le salon ou tout le monde dormait, les cadavres de bouteilles jonchant le sol, nous partîmes comme des voleurs. Sur le chemin du retour je demandais à Sarah comment s’était finie sa soirée, elle me dit qu’elle était venue se coucher à peine une heure après moi, saoule elle aussi.


Aujourd’hui
Sarah et moi sommes maintenant mariés depuis 5 ans. Pas encore d’, mais nous commençons à en parler. Elle est toujours aussi sublime et nous sommes toujours aussi heureux.
Il y a quelques jours j’ai reçu un appel de Marc, un de mes anciens collègues d’école d’ingénieur. Nous nous étions un peu perdu de vue, mais grâce aux réseaux sociaux avons pu renouer le contact. Il me dit qu’il était de passage dans la région et s’il était possible de diner ensemble. Enthousiaste, je m’invitais à la maison. Quand le soir j’en parlais à ma femme, elle sembla surprise et un peu contrariée. Je ne fis pas plus attention que ça.
Le jour étant venu, Marc fût ponctuel, arrivant avec une bonne bouteille de champagne et un grand bouquet de fleur. Il complimenta Sarah sur sa beauté, ce qui la laissa de marbre. Le repas se déroula tranquillement, même si mon épouse parût distante tout le temps. Dès le café servit, elle prétexta un mal de tête et monta se coucher. En sortant mon meilleur cognac, je m’excusais auprès de Marc, mais il dit qu’il n’y avait aucun problème, et qu’il comprenait même son attitude. Je lui rétorquais que pour ma part j’avais du mal à la comprendre. Après avoir bu pratiquement cul sec son cognac, et en se resservant lui-même, il me déclara :
« Excuse moi, je me ressers, mais j’ai besoin d’un remontant pour te raconter une histoire. Cela fait plusieurs années que je voulais le faire, mais je n’en ai eu ni l’occasion, ni le courage. »
J’étais étonné du tour que prenait notre conversation. Curieux aussi. Comme il buvait son deuxième verre de cognac cul sec, je le resservais.
« Et bien voila, cela remonte à 7 ans maintenant, lors de la fête pour la fin de nos partiels. Tu avais sacrément bu cette foi et tu étais allé te coucher dans une chambre d’ami. Sarah t’avait accompagné, puis au bout d’un quart d’heure était revenue à la fête, en disant que tu ronflais comme un sapeur.
Nous avons continué à boire des coups, mais vers 20h, la plupart de ceux qui ne dormaient pas sur place étaient partis.
Il ne restait plus que Youssouf, Régis, Arnaud, Pierre bien sur et moi. Et Sarah évidemment.
Pierre à proposé de faire un jeu avec des dés où le perdant devait boire son verre cul sec. On à tous accepté !
Sarah a perdu 3 ou 4 fois d’affilé et à cause de l’alcool, elle n’arrivait plus à prendre les bonnes décisions. Elle perdit encore une fois. Elle nous déclara qu’elle ne pouvait plus boire, sinon elle allait être malade. Pierre déclara alors :
- C’est le jeu, tu ne peux pas t’y soustraire, sinon c’est injuste pour nous !
- Mais là je peux vraiment plus !
- Alors tu auras un gage !
- Quoi comme gage ?
- Tu enlèves ton haut de maillot !
- Ca va pas non, dit elle en s’esclaffant de rire.
- Allez quoi, tu fais pas du sein nue à la plage ?
- Si mais c’est à la plage !
- Ben là c’est un peu pareil, alors tu choisis, soit tu enlèves ton haut, soit tu bois cul sec ton verre.
Sarah réfléchit quelques secondes, puis, toute rouge, défit la cordelette qui retenait son haut et nous présenta sa formidable poitrine. De gros globes de chair avec ses tétons foncés. C’était magnifique.
- Voilà, mais j’arrête de jouer !
- Ok, allons-nous baigner et jouer au ballon !
Et nous voilà plongeant dans la piscine en ce début de soirée ! La fraîcheur relative de l’eau nous fit du bien à tous. Nous primes un ballon de volley et nous avons commencé à nous faire des passes. Chaque fois que Sarah levait les bras pour faire une passe, ses gros seins sortaient de l’eau et se soulevaient effrontément. Bien sur, nous envoyions souvent le ballon sur elle…
Au bout de quelques minutes, Pierre revint avec un sceau rempli de glace et deux bouteilles de champagne :
- Je les gardais pour quand y aurait moins de monde, j’en ai pas assez pour tous !
- Whaou du Bollinger, tu ne te moques pas de nous !
- La fin des partiels ça se fête quand même !
Il nous servit une coupe à tous. Sarah en accepta, nous disant qu’elle était déjà saoule, mais qu’elle adorait le bon champagne !
Nous bûmes la première coupe rapidement, puis une deuxième, toujours dans l’eau, accoudés au bord de la piscine.
Sans s’en rendre compte, Sarah avait posé ses gros seins sur les margelles. C’était terriblement érotique. Elle ne s’en apercevait pas, mais nous n’avions d’yeux que pour ses grosses mamelles.
La deuxième coupe finie, nous sommes retournés au milieu de la piscine. Youssouf discuta en aparté avec Pierre et ils nous proposèrent un nouveau jeu. On devait se monter les uns les autres sur les épaules et essayer de faire tomber les deux autres couples cheval cavalier. Pierre proposa de prendre Sarah sur ses épaules tandis que les autres garçons se répartissaient en deux équipes. Régis ne voulait pas être un cheval, mais vu ses 120kg pour 1,71 m, je ne lui laissais pas le choix et montait sur lui. Arnaud et Youssouf étaient la troisième équipe. Tout de suite, Arnaud, chevauchant Youssouf se ruèrent vers nous. Youssouf, tout en muscle et fort comme un turc était bien plus résistant que mon « cheval » et après une lutte désespérée de quelques minutes, nous étions à l’eau. Pendant ce temps Sarah et Pierre regardaient sans se mêler à la lutte, attendant le vainqueur pour l’affronter. Quand ce moment vint, je ne donnais pas cher de leur peau, Arnaud étant tout de même bien plus fort que Sarah, et surtout son cheval bien plus stable ! Mais étonnement la lutte durait. Je m’aperçu qu’en fait Arnaud, au lieu d’essayer de désarçonner Sarah, essayait d’attr ses mains, et en profitait pour lui effleurer les seins…Ah le salaud, il s’embêtait pas ! C’est alors que je m’aperçu que Pierre avait, sans que Sarah ne s’en aperçoive défait les deux cordelettes qui retenait son maillot sur les hanches. Il fit alors un signe de la tette à Youssouf, qui attrapa les deux jambes de Sarah et la fit basculer en arrière. Pierre, qui ne la tenait plus, retint juste le morceau de tissus qui resta dans sa main. Il l’envoya rapidement à l’extérieur de la piscine, avant que Sarah ne ressorte de l’eau.
- J’ai perdu ma culotte, dit-elle dans un éclat de rire
- Ah nous on l’a pas vu et vous ?
- Nous non plus
- Arrêtez les gars vous êtes cons, montrez moi vos main
Nous avons levé nos mains en cœur, prouvant que nous n’avions pas sa culotte.
- Allez c’est pas grave, on va finir le champagne et après on te fera passer une serviette. Dans l’eau on voit rien !
- Tu as de la chance que c’est du bon champagne !
On est retourné près des coupes et tous les gars regardaient à travers l’eau très claire le sexe roux de ta femme. Elle ne s’en apercevait pas, mais avec les spots d’éclairage de la piscine, on voyait parfaitement son anatomie. On se servit une nouvelle coupe qu’on but très rapidement et nous avons finit la deuxième bouteille, en trinquant.
Pierre s’était approché de Sarah, et alors que nous trinquions, je la vis faire une drôle de tête. Je m’aperçu que Pierre avait une main dans l’eau et semblait lui caresser les fesses par derrière. Elle s’écarta légèrement mais Pierre en profita pour se rapprocher et cette fois je vis clairement qu’il lui enfonçait un doigt dans le sexe. Sarah, anesthésiée par l’alcool, ne voulant pas que les autres remarquent quoi que ce soit, essaya de se dégager maladroitement, mais Pierre en profita pour lui enfourner un deuxième doigt, tout en continuant de parler comme si de rien n’était. La pauvre Sarah se retrouvait empalée, sans pouvoir bouger sous peine que les doigts ne s’enfoncent encore plus profond…J’aurais pu intervenir à ce moment là, mais il faut avouer que j’étais super excité, et que l’alcool ne m’a pas aidé à prendre la bonne décision.
Pierre discutait de choses et d’autres, mais sa main se faisait plus active et il pratiquait des allers retours dans le sexe de Sarah. Je la vis se crisper alors qu’il s’enfonçait plus profondément. En fait il l’a soulevait carrément du sol, ses pieds ne touchant le fond de la piscine que par le bout des orteils.
Elle poussa un petit gémissement qu’elle cru discret, mais tous nous savions ce qui se passait. Puis Pierre retira sa main et lui caressa ses cheveux avec ses doigts brillants de mouille.
- Quels beaux cheveux tu as, c’est une couleur naturelle ?
- Oooui
- Tu es donc une vraie rousse ! très sensuel !
Sarah était rouge de honte, mais elle pensait toujours que nous n’avions rien vu. Si elle avait vu la bosse qui déformait tous nos maillots de bain, elle se serait rendu compte que nous savions ce qui s’était passé.
- Allez venez, il me reste une dernière 1/2 bouteille de champagne, je vais l’ouvrir. Cela ne nous fera qu’un verre à chacun mais c’est mieux que rien.
- Vous pouvez me faire passer une serviette ?
- Pas la peine, l’eau est suffisamment transparente pour qu’on ait pu tout voir déjà, alors, avec cette chaleur tu vas pas t’embêter avec une serviette ! tu seras sèche en 5 minutes
- Mais je ne veux pas rester nue devant vous !
- Si c’est ça qui te gêne, on se met tous à poil et on sera à égalité
Et en disant ça, il baisse son maillot et le jette sur le côté. Nous suivons à l’unisson et nous voila maintenant tous nue comme des vers, avec des sexes semi bandés, sortant de la piscine. Quand Youssouf sorti, nous ne pûmes nous empêcher de pousser une exclamation tant son sexe était gros et long. Sans être en érection, il faisait déjà vingt bons centimètres…
Sarah détourna le regard rapidement et sortie après nous, nous dévoilant complètement et sans le floutage de l’eau ses formes parfaites et surtout sa superbe toison rousse et fournie.
Nous nous assîmes autour du salon de jardin et Pierre revint en portant la petite bouteille de champagne. Il avait aussi une bouteille de vodka et un autre de liqueur bleu à l’orange. Il rempli les coupes d’un mélange des 3 en nous disant que c’est son père qui lui avait donné la recette. Il fallait boire le verre d’un trait. Nous trinquâmes une nouvelle fois et vidèrent nos verres. Le cocktail avait un effet euphorisant certain et immédiat. Youssouf commença à rire sans raison et le fou rire nous pris à tous. Sarah riait très fort, on voyait bien qu’elle était ivre morte, elle avait même du mal à rester assise sur sa chaise.
C’est Pierre qui reprit ses esprits en premier :
- Alors Sarah, ça fait quoi d’être à poil au milieu de 5 mecs nus ?
- Ben, je sais pas…
- Tu as déjà vu une queue aussi grosse que celle de Youssouf ?
- Heu, je dois avouer..non
- Allez Youssouf montre nous comme elle est grosse quand tu bandes
Youssouf, qui finissait de rire, se leva. Son sexe pendait impudiquement entre ses jambes, tel un serpent.
- J’arrive pas à bander sans sollicitation, il faudrait m’aider un peu !
- Sarah, tu peux pas le toucher un peu, il a besoin d’aide et je suis vraiment curieux de savoir la taille de sa bite au garde à vous !
- Ben non, enfin !
- Ne fais pas ta mijaurée, tout le monde à vu quand je t’ai doigté dans la piscine, alors tu peux bien lui toucher un peu la pine pour le motiver !
A ces paroles Sarah devint rouge comme une pivoine et baissa la tête de honte.
- Ok, mais alors personne de dit rien
- Bien sur, juré !
Elle se leva de sa chaise en titubant et s’approcha de Youssouf. Sa main tremblait comme une feuille quand elle effleura le gros sexe d’ébène. Youssouf ne riait plus mais dévisageait Sarah, la regardant de la tête aux pieds. La scène était d’un érotisme phénoménal.
Quand la main de ta femme se referma sur le sexe, Youssouf trembla de tout son corps. Son sexe se mit à grossir encore et encore et il commença à se redresser. Sarah réalisa quelques va et vient et le sexe se retrouva complètement bandé, faisant presque trente centimètres et une circonférence incroyable. Le gland circoncis avait la taille d’une mandarine. La petite main de Sarah ne pouvait pas en faire le tour. Elle enleva prestement sa main.
Pierre, un sourire aux lèvres déclara :
- C’est vraiment très impressionnant ! Mais pourquoi tu t’arrêtes ?
- Ben voila, tu as vu
- Oui mais maintenant tu peux pas le laisser comme ça, le pauvre
- Ben si
- Ben non, il te faut le finir…sinon on peut raconter partout que tu excites les hommes, tu te laisses doigter, tu leur branles la bite et tu les finis pas…faut être correcte, ma chère Sarah !
- Mais je suis correcte !
- Alors viens, on va rentrer dans la maison, il fait un peu froid, on boit un coup et tu finis Youssouf ; et nous on dira rien du tout à personne !
- Bon , ben ok…
On s’est dirigé vers la maison, et il faut dire qu’il n’y avait pas que le sexe de Youssouf qui était bandé. On bandait tous comme des ânes, mais ment avec des tailles moins importantes que la grosse mentule de Youssouf.
On est rentrée par la cuisine où Pierre nous a servit une tequila frappée (double dose pour Sarah), puis il nous a amené dans la chambre de son père, une grande pièce avec des glaces sur 2 côtés et un lit immense.
- Voila, Youssouf, tu n’as qu’a t’assoir sur le lit et toi Sarah, tu te mets à genou sur la moquette et tu le branles pour le finir.
Complètement saoule, Sarh s’exécuta et se mis à genou, pendant que Youssouf présentait son sexe, le dos allongé sur le lit, les jambes ballantes. Pierre disparu trente seconde dans un placard et revint admirer la scène.
Sarah utilisait ses deux mains pour aller et venir sur le manche noir. Sa croupe se soulevait en cadence et nous permettait de voir par derrière ses lèvres intimes entourées de sa toison rousse. Nous étions tous en train de nous masturber en regardant la scène. Encore un fois, ce fut Pierre qui prit l’initiative :
- C’est trop long, il vaut mieux que tu le suces !
Sans discuter cette fois, Sarah se redressa et commença à appliquer des coups de langue au gland turgescent. Elle essaya ensuite de le prendre en entier dans sa bouche et elle y arriva pratiquement.
Ses fesses maintenant se cabraient nous donnant une vision de son sexe ouvert et qui semblait luire. Pierre s’en approcha et y glissa deux doigts d’un coup. Sarah, surprise, poussa un petit cri mais continua sa fellation.
- Apparemment tu aimes ça sucer des grosses bites de noir. Profite en bien ma petite salope !
Il accélérait ses mouvements dans la chatte de Sarah, des floc floc se succédaient et Sarah commençait à donner des coups de rein en arrière pour s’empaler plus profondément sur les doigts inquisiteurs. C’est le moment que choisit Youssouf pour décharger sa semence dans la bouche de ta femme. Pierre lui appuya sur la nuque pour qu’elle soit obligée d’avaler le sperme chaud. Mais la quantité était telle que quelques filets s’écoulèrent sur son menton. Elle se contracta et jouit également en poussant de petits cris.
- Bon maintenant que tu as fini Youssouf et que tu as bien jouis, ma petite salope, tu vas t’occuper aussi de nous, et pour commencer, tu vas me nettoyer les doigts qui sont tout poisseux
- Nnnon, s’il te plait, je suis fatiguée, j’ai fait ce que tu m’avais demandé, je veux aller me coucher…
- Tu iras te coucher quand on en aura fini avec toi, mais certainement pas tout de suite. Tiens prends cette pilule, tu sentiras moins la fatigue
- Qu’est-ce que c’est ?
- T’inquiètes prend en une et avale là avec ce shot de tequila.
Il lui mit la pilule, que je reconnu être une extasy, dans la bouche et lui fit boire un verre de téquila.
Il lui fourra ensuite ses doigts couverts de ses secrétions intimes dans la bouche, tout en gobant ses seins.
- Allez maintenant tu va nous sucer à tour de rôle.
Nous nous sommes mis en cercle autour d’elle, à genou sur la moquette, et lui avons présenté nos sexes érigés. Pierre lui saisit la tête pour lui enfourner le sien en premier, prenant un malin plaisir à l’enfoncer au fond de la gorge. Il le ressorti couvert de salive. Ce fut ensuite mon tour et je dois avouer que j’ai pris un plaisir malsain à frotter mon gland sur son visage avant de l’enfoncer dans sa bouche. Je lui pétrissais ses gros seins en même temps et je laissais rapidement mon tour à Régis, qui n’avait pas eu beaucoup de filles dans sa vie, déchargea dès l’introduction de son sexe dans la bouche de ta femme. Pour se donner bonne contenance il l’insulta copieusement, la traitant de grosse salope, de garage à bite et de bouffeuse de sperme. Elle avala le tout et Arnaud pris sa place. Elle nous suça comme ça à tour de rôle quelques minutes avant que Pierre lui dit de se mettre en levrette sur le lit. Docilement, elle s’exécuta. Il se positionna derrière elle et l’enfila d’un seul coup, lui enfonçant son sexe jusqu’à la garde. Elle poussa un grand cri, mais il n’en tint pas compte.
- Sale pute, depuis le temps que j’avais envie de te baiser, je suis heureux d’enfin pouvoir te mettre ma bite dans ta chatte rousse. Ah, je te défonce, on va tous te défoncer avec nos queues au fond de ta chatte. Tu vas en redemander salope
On s’était positionné pour continuer à se faire sucer pendant que Pierre la défonçait. Je sentis venir la jouissance et je lui aspergeais le visage de mon foutre. Je m’essuyais le gland dans ses cheveux et la regardais reprendre le membre de Youssouf dans sa bouche. Il avait repris vigueur et paraissait encore plus impressionnant que tout à l’heure. Il s’amusait à en frotter le gland énorme sur les lèvres, le nez, le front de ta femme, récupérant une partie de mon sperme, avant de lui en enfourner une partie au fond de la gorge.
L’extasy avait du faire effet, ou alors c’était l’effet du pilonnage de Pierre, mais Sarah était maintenant plus active, enroulant sa langue sur la grosse colonne de chair, allant même jusqu’à gober ses grosses couilles noires. Pierre n’y tenant plus déchargea dans son con dans un grand râle, en la traitant de chienne, de salope, de pute et fut immédiatement remplacé par Arnaud qui la laboura à son tour de grand coups de reins en lui attrapant les seins par derrière et en les malaxant avec force. Il sortit son sexe pour éjaculer sur ses fesses, recouvrant ses taches de rousseurs de liqueur masculine.
Youssouf s’allongea alors sur le lit et lui ordonna de venir s’empaler sur lui. Elle l’enjamba et présenta son sexe au gros gland noir. Ses lèvres s’ouvrirent mais malgré le passage d’Arnaud et Pierre, le sexe résista à l’intromission d’une telle verge. Tenant son sexe à la base d’une main, Youssouf utilisa sa seconde main pour appuyer sur les épaules de ta femme. Finalement, le gland disparu dans sa chatte ainsi qu’une quinzaine de centimètre de la grosse bite. Sarah grimaçait de douleur devant une telle pénétration. On pouvait clairement voir les chairs distendues de ses lèvres intimes entourer le pieu.
L’attrapant par les seins, il lui fit réaliser des mouvements de haut en bas. Chaque fois, son sexe s’enfonçait un peu plus profondément dans la matrice de Sarah. Au bout de quelques minutes de ce traitement, l’ensemble était rentré, aussi surprenant que cela puisse paraitre. Il lui ordonna alors de bouger toute seule, se préoccupant uniquement de lui malaxer les seins, triturant les tétons avec force.
Pierre se mit debout à côté d’elle et lui représenta à nouveau son sexe à sucer. Il lui fit aussi sucer ses couilles en les enfonçant entièrement dans sa bouche. Très rapidement il avait retrouvé toute sa vigueur. Il profita encore un moment des caresses buccales puis il appuya sur le dos de Sarah pour qu’elle vienne se coller à Youssouf. Vu de derrière, la pénétration était encore plus impressionnante, tant la grosse queue de Youssouf distendait sa chatte. Il donnait quelques coups de reins qui en faisait sortir une dizaine de centimètres avant de renfoncer son pieux au plus profond. Pierre se positionna derrière elle.
- Tu t’es déjà fait enculer salope ?
- Mhunnf
- Répond, tu t’es déjà fait exploser la rondelle ?
- Oui…
- Tant mieux pour toi, ce sera plus facile !
Il cracha sur ses doigts et en introduisit un dans l’anus de ta femme qui gémissait déjà sous les coups de butoir de Youssouf. Après trois ou 4 allers retours, il en mit un deuxième pour élargir l’ouverture. Quand il estima que c’était suffisant, il pointa son gland sur l’œillet de Sarah et poussa de tout son poids. Sarah hurla de douleur, mais son anus s’ouvrit et le sexe de Pierre disparut dans son fondement. Sans pitié, il la pilonna à fond dès le début. Sarah poussait des cris de douleur mais cela ne lui fit pas ralentir la cadence
- Alors salope, ça fait quoi de se faire prendre en sandwiche ? Tu fais moins la maline maintenant avec 2 belles bites qui te ramonent. Putain qu’il est bon ton cul, serré autour de ma queue…t’es vraiment une bonne chienne à baiser
Il continuait à l’insulter en la baisant pendant qu’à tour de rôle, Regis , Arnaud et moi étouffions ses cris avec nos bites dans sa bouche. Pierre inonda son cul de son foutre et fût remplacé par Arnaud, puis par moi et pour finir par Régis, qui encore une fois déchargea rapidement. Youssouf continuait de la limer sans interruption depuis plus de demi-heure maintenant. Elle était en sueur, mais ne semblait plus souffrir du tout, gémissant de plaisir à intervalle régulier.
Pierre le pervers récupéra la demi bouteille de champagne, enleva la protection du goulot et l’appuya sur l’anus de Sarah. En la faisant tourner, il réussit à l’introduire à moitié, déformant son cul comme sa chatte l’était pas Youssouf. Il la ressortit ensuite, maculée de sperme et de sécrétion et lui fit lécher jusqu’à ce que rien ne reste.
Youssouf la retourna comme une crêpe et la positionna en levrette. Il continua de la limer de toute la longueur de sa bite. Elle criait maintenant de plaisir de manière ininterrompu. Il finit par décharger au fond de son utérus dans un râle presque animal. Quand il sortit son membre de son fourreau, un grand flop se fit entendre et une rivière de foutre s’échappa de la chatte de ta femme. Elle s’éfondra sur le lit, la croupe toujours en l’air. Nous l’avons tous rebaisé ou enculé encore une fois et puis je suis allé me coucher, vanné. Dans la nuit je me suis réveillé pour aller pisser, et Sarah était encore réveillée, en train de se faire limer la chatte par Pierre et enculer par Youssouf. J’ai pas pu résister à l’envie de me faire sucer une dernière fois avant d’aller me recoucher.
Quand je me suis réveillé vers midi, vous étiez parti en nous laissant un mot de remerciement !
En le lisant Pierre éclata de rire en disant qu’il n’y avait pas de quoi, qu’on pouvait revenir quand on voulait ! »

En entendant le récit de Marc, plusieurs sentiments m’envahirent. J’étais en colère, jaloux, mais aussi excité par le récit détaillé et imagé. Une grosse bosse déformait d’ailleurs mon pantalon. J’étais aussi reconnaissant à Marc de se confier, certes bien tard, mais il aurait pu ne jamais le faire. Je lui en voulais aussi un peu d’avoir profité de la situation, même si le principal à blâmer était bien sur Pierre.
Marc me dit alors :
- Je reboirais bien un verre, parce que ce n’est pas fini…

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