Leslie Se31

Leslie SE31 – Seule, Christelle, une femme sans tabous

- Ahhh !
Sa bouche prenant mon sexe me fait frémir en poussant un petit cri de surprise.
Tout en me suçant, elle vient de reprendre mes tétons entre ses doigts et les pince sans trop de douceur, plus intense cette fois et curieusement une nouvelle jouissance fugace me parcoure le corps, mi plaisir et mi douleur.
C’est trop bon, Christelle a repris ses légères caresses sur ma poitrine tandis que sa bouche s’active sur mon sexe, sa tête monte et descend de façon régulière, puis ses mains descendent sur mes cuisses et d’une légère poussée vers l’extérieur, Christelle écarte mes cuisses pour ouvrir le passage à sa main vers mon petit œillet.
Une fois de plus, je m’émerveille de sa douceur, d’abord sa bouche chaude, qui va-et-vient de haut en bas sur mon sexe, et le pointe de la langue qui joue avec mon gland, puis me reprendre entres ses lèvres pour descendre et ensuite remonter, redescendre, remonter, toujours lentement.
Sous les caresses je sens mon corps qui s’arque, poussant mon sexe au fond de sa bouche gourmande, tandis que ses doigts recommencent à pincer délicieusement mes tétons.
Elle me suce de plus en plus fort, de plus en plus vite, ses doigts pressent mes tétons à l’unisson à la limite du supportable, un orgasme monte sans que j’aie vraiment eu le temps de le sentir venir et pourtant, celui-là me fait grimper aux rideaux.
Après une seconde éternité, j’ouvre les yeux et je vois Christelle assise sur les talons, entre mes cuisses, le visage levé vers moi.
- Tu as aimé ? Me demande-t-elle.
Inutile de lui répondre, mon visage doit lui montrer que je viens de prendre un super pied.

Elle reprend à mi-voix :
- Alors, qu’est-ce que tu dirais d’aller manger un morceau vite fait avant de reprendre nos ébats.
- C’est une très bonne idée, dis-je.
- Je vais passer un truc vite fait, attends-moi ma chérie.


Deux minutes plus tard, nous marchons vers une petite brasserie située au bout de la rue. La nuit est tombée et il fait un peu frisquet, mais aucune de nous deux ne s’en plaint, je suis encore un peu en sueur des émotions de tout à l’heure, et Christelle doit être impatiente de nous retrouver pour d’autres ébats.

En mangeant, nous échangeons sporadiquement des banalités, en nous regardant.
- Tu sais ma chérie, dit Christelle, l’imagination, la tentation et la nouveauté sont les bases du plaisir, et quand l’imprévu s’en mêle, c’est l’extase.
Je me demande comment je dois l’entendre et le prendre, alors Christelle me tend par-dessus la table une télécommande et en regardant droit dans les yeux elle me dit :
- Tu vois cette télécommande actionne les vibrations d’un œuf.
- Un œuf ?
- C’est un jouet que je viens d’acheter, en fait l’œuf est en moi depuis que j’ai été me changer tout à l’heure, et il est télécommandé à distance grâce à la télécommande que tu tiens dans ta main.
Pendant que Christelle m’explique le fonctionnement de son œuf intime, nous prenons le temps de finir notre café, un sourire extrêmement coquin illumine le visage de Christelle, et elle continue :
- Maintenant je suis à la merci de ta décision d’enclencher le fonctionnement de l’œuf, mon imagination va fonctionner, tu seras tenté et tout cela est nouveau…
Puis après son explication, Christelle se consacre à l’addition et en se levant elle me lance :
- Alors, on y va ?

Avec Christelle nous sommes sorties de la brasserie, et plantée à mon bras, une fois encore, elle me provoque en disant :
- Tu vois, je suis à la merci de ta volonté, actionner ou non la télécommande et me mettre dans des états pas possibles, sans que je sache le moment où tu le décidera.
Dans sa voix, je sentais que Christelle n’attendais que le moment où je déclencherais les vibrations, elle me provoquait ne cessant de me regarder et de se faire chatte à mon bras, si bien que se postant devant moi, elle me demanda :
- Que penses-tu de ma robe rouge ?
Je tourne un peu la tête pour mieux profiter de la vision que m’offre Christelle dans sa robe rouge, en virevoltant devant moi.
Vision d’une femme dans une robe moulante qu’elle porte seins nus et un dos nu vertigineux qui s’arrête à la limite de la naissance de sa raie des fesses, en fait une provocation à la décence.
- Tu es superbe, dis-je.

En même temps que je lui dis cela, j’enclenche juste le premier cran de la télécommande, juste pour voir l’effet et ça suffit pour interrompre Christelle qui s’arrête de virevolter et ferme doucement les yeux.
L’effet des vibrations et la délectation se lit sur son visage. Je coupe l’engin et rouvrant les yeux, Christelle me dit :
- Humm, quelle douce sensation cela me procure, c’est divin.
Je me poste à côté d’elle. En remettant le vibreur en marche. Cette fois, Christelle ne bronche pas, elle me prend par le bras pour reprendre notre marche, tout en posant sa main sur sa jupe, juste au-dessus de son bas-ventre, ce qui malgré tout trahit son excitation.
Mon épaule contre celle de Christelle, nous commençons à marcher et j’en profite pour augmenter un peu l’intensité des vibrations.
J’observe Christelle à la dérobée et constate que sa bouche s’est entrouverte, paupières mi-closes avec le souffle qui s’accélère, elle se laisse guider.

Mais comme elle est excitante, la main sur la télécommande je tiens Christelle à la merci de ma volonté, je sens ma poitrine qui se gonfle et mon sexe qui se dresse dans mon string.
Christelle, tangue au rythme de sa respiration, je module l’intensité du vibreur en restant aux premiers crans du curseur de la télécommande.
J’imagine les vagues de plaisir, le flux et le reflux que ressent Christelle, les sensations qui parcourent son clitoris et mon vagin, j’entends son souffle court mais profond faisant gonfler ses seins sous sa robe.
- Comme c’est excitant, dit Christelle sans me regarder.
- Je vois ça, lui dis-je.
Elle sourit et nous reprenons notre promenade érotique en direction de son appartement, ne laissant qu’une vibration minimale pour ne pas gêner Christelle.

A l’approche de son immeuble, j’augmente cran par cran l’amplitude des vibrations, je m’efforce de ne pas me laisser aller et de sauter sur Christelle là, dans la rue.
À travers nos paupières presque fermées, nous nous regardons du coin de l’œil.

Je recommence à augmenter le variateur, amplifiant et accélérant le rythme des vibrations, Christelle ferme les yeux et se tourne vers moi, je sens contre moi son sein droit qui monte et descend d’une respiration de plus en plus rapide.
Et soudain ses paupières et sa bouche se crispent, et elle jouit, là, collée à moi debout dans la rue près de chez elle, j’arrête les vibrations.
- Tu m’as fait jouir et sans les mains, dit Christelle, je sens que nous allons bientôt vivre un moment torride, allons vite à la maison.
Nous nous pressons pour aller chez Christelle, en marchant un peu plus vite, sans oublier de remettre en marche les vibrations

En marchant mon esprit vagabonde…
J’imagine Christelle debout dans sa chambre, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, la bouche ouverte gémissante sous les vibrations, le souffle court.
J’imagine Christelle cambrée en arrière, nue et les seins dressés, gémissante sous les vibrations, les gouttes de sueur parcourant son corps et allant se perdre sur son pubis, le clitoris gonflé apparent et sortit de sa gangue.
Inconsciemment, j’intensifie encore l’action du vibreur
Christelle laisse échapper un petit cri de plaisir, presque inaudible, puis un autre et encore un autre.
Les gémissements de Christelle n’en finissent pas et j’imagine qu’elle voudrait que j’arrête les vibrations, souhaitant une pause pour reprendre ses esprits.

Mais j’augmente encore la puissance du vibreur d’un cran et faisant gémir Christelle, plus fort et plus grave, encore un cran supplémentaire, Christelle 2met un cri :
- Ahhh ! Leslie, tu me tue.
Nous sommes arrivées et nous prenons l’ascenseur, encore un cran, et des lèvres de Christelle sort un son continu, comme un râle.

Lorsque nous arrivons chez elle, la porte fermée je passe au dernier cran, Christelle hurle de jouissance, je la prends par la taille et la coince contre le canapé du salon, le ventre en appui sur le dossier et en appuyant sur ses épaules je l’oblige à se cambrer et à s’offrir.
Puis sans un mot, alors qu’elle continue de feuler comme une chienne en chaleur je retrousse sa robe rouge sur ses hanches et je découvre que cette salope ne porte même ^pas de culotte…
Alors je laisse tomber ma jupe au sol, baisse mon string rapidement pour libérer mon membre raide et j’encule Christelle qui se raidit sous la pénétration et hurle en s’offrant sans pudeur.
Christelle, les mains accrochées au dossier du canapé jouit l’œuf enfoncé dans son vagin imprimant les vibrations maximales, et moi enfoncée dans son cul allant et venant dans de gestes profonds et puissants, jusqu’au moment je lui remplis ses entrailles de ma chaude jouissance.

Puis je reste là, plantée dans son cul savourant l’instant, reprenant difficilement mon souffle, alors que je sens l’anneau anal de Christelle se contracter sur mon membre encore raide.
Après un long moment, nous nous sommes séparées et avons été aussitôt dans sa chambre pour continuer nos ébats, nos lèvres se sont souder et nos corps se sont collés l’un à l’autre. Enlacées, bouche contre bouche, Christelle a repris l’initiative.
Elle m’a sodomisé avec son gode ceinture, je l’ai prise ensuite par tous ses trous qu’elle m’offrait, la nuit a été longue et nous nous sommes endormies enlacées au petit matin.

Vers dix heures, après une douche et un petit déjeuner, nous nous sommes embrassées, le baiser du départ, long et profond
Puis nos lèvres se sont séparées et nous aussi ensuite, il est maintenant temps que je quitte Christelle, alors sans me presser, je me rhabille sous son regard.
Puis nous nous disons au revoir sans un mot, nous savons toutes les deux que c’est inutile de projeter l’avenir en se promettant de se revoir.
Peut-être une prochaine fois, peut-être pas, cela dépendra de tellement de chose.

A suivre…

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