Ma Sorcière De L'Amour
Nous attendons ce moment depuis des jours et des jours. Ca y est les s sont expédiés chez leur grand-mère, heureuse davance de les voir plusieurs jours.
Avec Jeanne, ma femme nous baisons comme tous les couples, sauf que nous sommes très inventifs, ma femme surtout. Daccord, elle se masturbe souvent pendant la semaine, et nous faisons lamour le soir dans la chambre. Maintenant pour plusieurs jours nous pourrons faire tout.
Dès le matin du départ, après les avoir accompagnés à la gare, je me sens brusquement soulagé dêtre « veuf » des garnements. Jentre dans la maison bien calme. Jeanne est dans la cuisine, préparant le repas. Selon son envie, elle est nue, juste avec un petit tablier protecteur sur le ventre. Je ne sais ce quelle prépare. Je sais que ma bite se met en mouvement vers le haut. Je pourrais me mettre nu contre elle ma queue entre ses fesses. Jallais le faire quand elle me demande daller prendre un douche, de me branler sous leau avant de revenir.
La proposition me plait. Seulement me branler seul quand ma femme nest pas loin ne me plait pas trop. Sous leau chaude, ma bite se regonfle facilement. Je la prends à pleine main. Jallais obéir à ma femme quand je pense que je jouirais bien mieux si elle me voyait. Elle me connait tellement quelle est là juste avant. Ma main retourne sur la queue. Jeanne est nue, maintenant, juste avec son petit gode dans la main droite. Elle regarde ma pine, elle se caresse à peine un sein, elle pose les fesses sur le lavabo, écarte à peine les jambes pour montrer un peu de chatte.
Sous la pression de leau le prépuce descend assez pour faire apparaitre le gland. Les gouttes arrivent en cascade, ma queue se dresse encore un peu. Jeanne commence à se baiser devant moi. Je nen peux plus, jempoigne la queue, je la serre un peu pour descendre la peau vers le bas. Cest vachement bon de se branler. Je ne fais pas durer le plaisir. Jéjacule longuement : mon jus part avec leau.
Cest dommage que je me sois laissé tenter par la masturbation, jaurais jouis mieux dans son fourreau. Cest elle qui menveloppe dans le peignoir de bain. Elle y fourre le gode, le laisse ouvert : jai toujours la queue dehors. Si les s étaient encore là, je naurais pas pu rejoindre le salon dans cette tenue. Jeanne se colle à moi, membrasse sur la bouche, sa langue entre dans la mienne. Ses mains passent sous le peignoir, sur les épaules. Elle se serre contre moi, contre ma bite. Son ventre serre mon sexe. Je ne demande rien, je la laisse faire ce quelle veut. Son ventre se met à avoir des mouvements de pressions de vas et vient. Jaccentue ses gestes par mes mains sur ses fesses. Elle les durcit volontairement comme pour un appel. Dommage jai débandé.
Elle sy attendait, cest pour faire durer notre baise quelle ma obligé à me branler. Sa bouche se déplace vers mon oreille pour y murmurer des insanités. Cest une salope, une pute, je suis un bon baiseur, elle me veut partout, dans le con, la bouche, le cul et recommencer par la bouche. En somme une suite que nous ne faisons pratiquement jamais. Elle passe ses mains sur ma taille. Je ne fais pas attention à la suite, elle a pris le gode, le passe sur les fesses. Cest la première fois quelle cherche mon cul. Je ne veux pas quelle fasse ce quelle désire. Je contracte mes fesses fortement. Elle y passe la main doucement amoureusement Un doigt seul passe entre les fesses. Cest fait tellement gentiment que je la laisse faire. Cest encore doux quand le doigt caresse lanus, le tour de lanus, comme je lui fais. Cest vrai que cest bon. Quand elle jouit quand je lencule , je commence à comprendre. Et puis, zut, nous sommes seuls profitons en.
Elle membrasse profondément, sa main change approfondissant la caresse. Je sens le bout de son doigt entrer doucement, et facilement dans le cul. Je la laisse faire, je vais même plus loin en tendant mes fesses. Je nen demandais pas plus quand elle prend le gode.
Heureusement elle arrête. Dun coté je regrette sa bouche et de lautre je ne regrette pas le gode dans le cul.
Elle me demande de la baiser, comme si javais envie de refuser. Seulement cest elle qui a décidé dêtre la meneuse de jeu. Jeanne se colle le ventre contre la cloison. Elle me tend larrière train. La voilà cabrée plus que nature. Je vois sa chatte juste après lanus. Elle forme une motte humide avec quelques poils autour. Ma queue a grossi un peu plus. Même si je sens encore le cul endolori, je peux la baiser longtemps. Je me baisse, les genoux pliés, les jambes réunies, la queue raide. Je passe entre ses jambes, en touchant à peine le cul, où je pourrais entrer facilement. Ses lèvres souvrent pour laisser passer le mandrin. Quelle est douce à baiser. Cest, comme chaque fois une découverte que dis-je, ne redécouverte. Ses fesses viennent à ma rencontre quand je menfonce en elle. Mes mains entourent ses seins encore durs. Je ne sais comment elle arrive à le faire, elle passe ses mains pour me tenir la taille.
Je laboure un bon moment sa moule. Je suis obligé de sortir delle quand elle jouir tellement ses spasmes sont violents. Un peu soulagée, elle me guide vers le lit. Je me propose de la baiser, couchée sur le dos. Elle ouvre ses jambes me montre sa chatte avant de me demander de la sucer.
Ce nest pas un nectar, cest un délice des dieux que son jus de femelle. Ma bouche dévore son abricot. Après avoir mordillé le pubis je descends ma langue sur son point féminin. Elle se tend vers moi, me donne tout son sexe en confiance. Elle est parfumée de désir. Mon menton de perd dans son trou.
Jarrive à la basculer sur le lit. Elle maccueille les bars ouverts. Je peux lui faire ce que je veux. Je prends ses jambes que je passe sur mes fesses. Elle sy accroche avec les talons. Son sexe est ouvert, totalement offert à ma queue. Je gémis quand jentre encore dans son ventre. Elle est chaude, accueillante, baisable. Mon gland me donne tous les plaisirs souhaitables en elle. Je ne sais comment elle arrive à partir encore une fois.
Elle me veut ailleurs. Je me couche sur le coté, ma queue juste sur son cul. Je le sens palpiter contre ma bite. Jallais lenculer quand elle commence à se branler. Je regarde sa main lui donner un plaisir quelle seule connait. De temps en temps, elle mouille ses doigts avec sa salive. Elle revient au même endroit, sur le clitoris.
Jentre doucement en elle. Elle gémit encore, sa main continue la masturbation. Je lencule longtemps : jai trop jouis avant. Si mon plaisir est long à venir, les siens est en rafale. Je ne me souviens pas lavoir vu autant jouir. Jéjacule une dernière fois. Un peu de sperme sort du cul quand je sors. Elle le ramasse avec deux doigts quelle porte à sa bouche pour ne pas laisser perdre ma semence.
Le lendemain, dimanche nous allons recommencer avec encore plus de fantaisie de ma part cette fois, jespère en tout cas, à moins quelle soir aussi inspirée quaujourdhui. Vivement quon baise encore. Cest une véritable sorcière de la baise.
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