Madame R, Ma Prof D'Allemand
Cette histoire sest passée il y a bien des années quand jétais lycéen. Arrivé en première il faut choisir une langue étrangère en option pour gagner des points au BAC. Je voulais prendre Espagnol comme tous les copains mais mes parents voulaient que je prenne Allemand car peu délèves prenaient cette option. Les classes étaient donc moins chargées et le niveau un peu plus élevé (enfin cest la rumeur qui courrait). Je ne vais pas vous la faire à lenvers, quand on a juste 18 ans (oui jai pris 1 an de retard) et que les parents décident quelquechose on na pas le choix et on sy plie. Cest donc en traînant les pieds et en pestant que je me présente à mon premier cours dallemand. Pas de surprise, il ny a quune seule prof dallemand au lycée : Madame R. Plus exactement Mademoiselle R alors quelle a bien entamé la quarantaine. Toutes sortes de bruits courent sur elle, le plus persistant étant quelle na jamais eu de mec dans sa vie et que cest pour ça quelle se fait appeler mademoiselle. Objectivement elle na rien dun tyran, cest simplement que pour elle la matière quelle enseigne est primordiale et quil faut travailler à fond. Travail ou pas le résultat est le même : je suis archi-nul et je ne comprends pas la moitié des mots. Imaginez les grands moments de solitude quand il faut expliquer un texte alors que je ne comprends même pas quelle veut que jexplique le texte. Lannée sécoule de manière catastrophique, je mennui dans le fond de la classe et je nai rien dautre à faire que de regarder mes camarades pour qui tout cela semble facile. En plus Madame R nest pas plus jolie que ça : 1m50, blonde mais la racine des cheveux chatain, les yeux marrons et les rides du visage trahissant déjà le cumul des ans. Bilan de fin dannée : la moyenne des notes tourne autour de 5. Pas de quoi mempêcher de passer en terminale mais ça fait tâche sur le bulletin. Elle rencontre mes parents au mois de juin et ils sont daccords sur le fait que ces mauvaises notes viennent du fait que je ne travaille pas.
Le samedi suivant mon père memmène chez Madame R qui nhabite pas très loin de chez moi. « Voilà, nous y sommes. Je viens te chercher dans 2h »
Elle me fait entrer dans son salon, nous nous installons sur la grande table et cest parti pour 2h dapprentissage. Il faut tout reprendre depuis le début. Je joue la carte de la franchise et je lui avoue que je naime pas lallemand et que cest surtout ça qui me gêne (pas le fait que je ne travaille pas).
« On fait un essai. On verra après quelques heures ce que ça donne »
16h ; mon père sonne à la porte pour venir me chercher. Enfin la délivrance après ces 2h qui mont parues interminables.
Le samedi suivant on remet ça. Encore 2h de calvaire. Jessaye de prendre sur moi, ça ne sert à rien de faire la mauvaise tête.
Le samedi suivant petit changement de programme ; mes parents me laissent aller chez Madame R à vélo. Tiens, on dirait que les choses sassouplissent. Pas question de faire lécole buissonnière, je me présente donc à lheure prévue. Bien men a pris car 5 minutes après le téléphone sonnait, cétait mon père qui voulait savoir si jétais bien arrivé.
« On va changer un peu les choses » me dit Madame R. « On va essayer de rendre ces cours un peu plus vivants. »
« Euh
si vous voulez. On peut essayer »
« Bien. Tu vas maider au jardin mais la règle cest quon ne parle quen allemand. Comme ça on aura une conversation et tu vas pouvoir progresser »
« Daccord, cest une bonne idée » Cest toujours mieux que de passer 2h en tête-à-tête avec elle ! Nous voici donc dans le jardin à désherber des plates-bandes.
Le samedi daprès jy retourne presque content. Cest reparti pour une séance de jardinage. Encore du désherbage de plates-bandes, elle vérifie si je me souviens de ce quon a appris la semaine précédente. La conversation est plus fluide, je suis plus détendu. Cest bizarre de voir sa prof dans une autre situation quà lécole. Elle nest pas si vache que ça, elle mécoute, elle me sourit et une certaine complicité sinstalle entre nous. Non ce nest pas de la grande camaraderie mais on rigole quand je fourche sur un mot et que je mélange ainsi 2 mots qui nont rien à faire ensemble (par exemple pomme et singe - apfel et äffe). Elle est habillée plus cool que les tailleurs strictes quelle porte habituellement. Je me surprends même à mater ses fesses quand elle saccroupit ou sa poitrine quand elle se penche. Laprès-midi passe ainsi ; presque trop vite à mon goût.
Le samedi suivant jarrive quasiment en avance. Nous voilà à nouveau dans le jardin et cette fois-ci nous taillons des arbres et nous étalons une sorte de goudron pour protéger les branches coupées. Aujourdhui Madame R a mis un short qui lui moule particulièrement les fesses. Je dois avouer que je ne suis plus très attentif à ce que je fais quand je la vois monter sur lescabeau. Jai carrément des idées coquines qui me viennent en tête. Avec tout ça jai trouvé le moyen de me mettre cette espèce de goudron dans les cheveux. Je lui montre ce qui marrive, elle me propose donc daller prendre une douche. Nous rentrons à la maison où elle me montre la salle de bain. Je me douche rapidement quand je maperçois au moment de sortir de la baignoire que je nai pas de serviette pour me sécher.
« Tes fesse sont très jolies. Tu narrives pas à les cacher. Et le reste aussi me paraît pas mal » me dit-elle en rigolant.
« Ne tinquiète pas, jai déjà vu des hommes nus » et elle sort de la salle de bain.
Je me sèche et je me rhabille. Grosse gêne au moment de sortir. Quest-ce que je vais lui dire ? Je la trouve assise à la table du salon devant des livres ouverts. Elle fait comme si rien ne sétait passé et elle minvite à masseoir en face delle pour continuer les révisions.
Cest lheure, je rentre chez moi avec des pensées confuses en tête.
Toute la semaine je ressasse cette phrase quelle ma dit dans sa salle de bain « tes fesses sont jolies et le reste me paraît pas mal
. ». Ca mexcite et je me masturbe en imaginant ce qui se serait passé si javais osé me montrer nu devant elle. Jimagine plusieurs scénarios en me disant que je tenterais celui que je trouvais le meilleur la prochaine fois que je la verrais.
Et je sais que je vais la revoir le samedi qui arrive. Je sonne donc chez elle mi excité ; mi angoissé et quand elle ouvre la porte jai le cerveau complètement embrouillé. Je vois les livres sur la table du salon, je vais donc minstaller gentiment en oubliant tous les scénarios rocambolesques que jai imaginé. Madame R vient sasseoir à côté de moi et cest elle qui ouvre la conversation.
« Tu sais pour la semaine dernière
. »
« non
oui
euh
cest ma faute
je suis désolé »
« Ne te tracasse pas. Je ne suis pas choquée. Je vais même te dire : ça fait longtemps quil ny a pas eu dhomme nu dans cette salle de bain alors ça ma fait plaisir.
Elle pose sa main sur ma cuisse et elle se penche vers moi dun geste rapide. Nos lèvres se touchent. Elle se recule, je suis paralysé et sa main fait des allers - retours sur ma cuisse.
« Ca te gêne ? »
« Non
. mais cest que je ne mattendais pas à ça »
Elle se penche à nouveau sur moi, nos lèvres se collent mais cette fois-ci sa langue force lentrée de ma bouche. Je laisse sa langue jouer avec la mienne pendant que sa main remonte le long de ma cuisse jusquà mon sexe. Jai une érection terrible, presque au point den avoir mal.
« Viens. Allons dans ma chambre » dit-elle en me tirant par la main.
Je la suis devant son lit où nous nous embrassons. Je ne sais pas quoi faire de mes mains alors je les colle dans son dos, elle me les att et les descend sur ses fesses. Je nen reviens pas : jai les mains posées sur les fesses de ma prof dallemand. Elle se déshabille et se trouve en sous-vêtements devant moi. De mon côté jenlève mon t-shirt. Je nen mène pas large, jai très peu dexpérience alors je suis plutôt maladroit. Elle glisse une main dans lélastique de mon short et elle vient toucher mon sexe par-dessus mon slip. Elle fait descendre mon short puis elle dégraffe son soutien-gorge. Nous sommes collés lun à lautre ; je prends plus confiance ; je lui tripote carrément les fesses. Ses doigts viennent sous lélastique de mon slip quelle tire vers le bas. Elle le descend jusquà mes pieds et en se relevant son visage passe à quelques centimètres de ma verge bien tendue. Une fois debout elle prend une de mes mains et la met dans sa culotte. Je sens les poils de sa chatte un peu durs et abondants. Elle fait tomber sa culotte sur le sol et elle me tire vers le lit. On se jette côte à côte et on se caresse mutuellement. Ce beau triangle de poils mattire. Jai envie de le toucher, de le caresser, de le sentir, de le lécher. Je descends donc ma tête vers son entrejambe quelle me dévoile largement en écartant les jambes. Je suis à quatre pattes à côté delle, un peu comme un 69 mais au lieu de me faire une fellation elle me masturbe doucement. Ma langue sactive dans tous les sens et un peu nimporte comment. Elle gémit doucement et fait de petits mouvements. Par moment elle appuie sur ma tête pour que je mette plus de pression à lendroit où ma langue sactive. Je me relève, je lembrasse et je viens mettre mes jambes entre les siennes. Mon gland vient appuyer sur sa chatte, elle me guide avec sa main puis je la pénètre doucement jusquà ce que mes testicules viennent buter contre elle. Elle sagrippe à mon dos puis commence à bouger son bassin. Je bouge en rythme avec elle et nous nous embrassons encore et encore. Je nai plus de souffle mais je vois quelle prend du plaisir alors je continue de la pénétrer. Mes mouvements sont désordonnés quand elle se relève un peu et quelle appuie très fort ses mains sur le bas de mon dos. Jarrête de bouger.
« Non non, ne tarrête pas »
Je bouge le bassin comme je peux au vu de ma position mais cela suffit car un long « aaaaaaaahhhhhh » sort de sa bouche. Jéjacule juste après.
Je meffondre dans le lit juste à côté delle. Jai du mal à réaliser ce qui vient de se passer : je viens de faire lamour avec ma prof dallemand, celle qui paraît froide et qui naurait jamais connu dhomme selon les rumeurs. Et bien moi jai trouvé ça vachement bien, ce nest pas possible quelle nait jamais fait lamour avant.
Elle me regarde en souriant « Ce nest pas raisonnable »
« Quoi ? »
« Ce quon vient de faire, béta »
« De mon côté jai trouvé ça super bien. »
« Tu as linconscience de la jeunesse. Il ny a aucun avenir pour une aventure entre nous. Peut-être si tu avais quelques années de plus mais là cest impossible. »
« Je sais bien quune aventure est impossible mais je crois que je ne pourrais pas me passer de vous. »
« Jaime cette vitalité et cette insouciance de la jeunesse. Reviens samedi prochain, on a plein de choses à faire avant que lété ne se termine. »
Seulement dans tes rêves.
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