Les Découvertes De Virginie 1

Je m’appelle Virginie, je viens juste de fêter mes dix-huit ans et je vais me retrouver mère célibataire dans quelques mois. C’est complètement fou, je me suis laissée entraîner dans une spirale sans fin qui a commencé il y a plus de six mois, au début, j’étais une sage jeune fille, trop sage à l’avis de ma sœur et de mes parents, c’est vrai, je ne suis pas une belle grande fille sexy comme ma sœur, je suis plutôt petite et un peu boulotte, mais surtout, je faisais passer ma famille et mes études en premier. Rien d’autre ne comptait pour moi. Je voyais mes copines sortir avec des garçons mais moi, ça ne me disait rien, je n’étais pas tentée. En plus, les garçons ne me draguaient même pas.
Un jour à une soirée où j’ai été e d’aller pour accompagner ma grande sœur, ma copine Myriam m’a expliqué pourquoi les garçons ne s’intéressaient pas à moi :
- Tu sais, tu représentes vraiment l’inverse d’une jeune fille sexy. Tu es petite, tu as un visage quelconque, tu n’as pas une belle et grosse poitrine. Regarde-toi, tu n’as rien qui puisse attirer un mec. Déjà là, c’est dur mais en plus, tu t’attifes comme un sac de patate avec tes pulls qui ne ressemblent à rien et tes robes de vieille. Avec tes cheveux tirés, tes grosses lunettes et ton allure générale, on a l’impression que tu fais la gueule tout le temps, tu fais penser à une vieille prof aigrie. Tu devrais faire comme ta sœur, regarde la : elle est souriante, s’habille sexy, met en valeur sa poitrine et ses fesses, elle a toujours une ribambelle de mecs autour d’elle.
- Mais ça ne m’intéresse pas d’avoir plein de garçons qui essaient de me toucher les fesses.
- Tu as tord, c’est très agréable de se laisser caresser par un homme.
- Très agréable ? ah bon.
- Tu ne t’es jamais caressée ?
- Caressée, non, je ne sais pas comment ni pour quoi je me caresserais ?
- Tu es bête ou quoi, tu te caresses pour avoir du plaisir. Moi, je me caresse régulièrement, c’est très agréable et c’est encore plus agréable quand c’est un garçon qui te caresse.

- Non, je ne me suis jamais caressée pour avoir du plaisir moi. Comment tu fais ?
- Viens avec moi dans les toilettes, je vais te montrer.
Nous sommes parties aux toilettes, là, elle a baissé sa culotte et s’est mise à se caresser doucement la touffe d’une main et la poitrine de l’autre.
- Fais comme moi, baisse ta culotte et caresse-toi.
Je l’ai fait et c’est vrai rapidement, une sensation étrange m’a envahie, des frissons me parcouraient tout le corps. Plus je frottais mon pubis et ma poitrine plus les frissons s’amplifiaient.
- Vas-y, passe tes doigts entre les lèvres de ton minou et remonte sur ton clitoris tu vas voir comme c’est bon.
Je me suis exécutée et j’ai eu l’impression qu’un truc explosait dans mon ventre, je me suis mise à frotter de plus en plus fort, c’était vraiment délicieux, je sentais la pointe de mes tétons durcir et du liquide sortait de mon minou, j’avais l’impression de m’être fait pipi dessus tellement c’était mouillé. J’avais le ventre qui se remplissait de spasmes délicieux.
- Maintenant, fait entrer ton doigt dans ton trou et frotte doucement vers le haut.
Je me suis exécutée et là j’ai eu un truc incroyable, mon corps tout entier s’est mis à trembler et je n’ai pas pu m’empêcher de crier le plaisir qui me subjuguait complètement. Je suis restée amorphe un bon moment pour reprendre mon souffle après le premier orgasme de ma vie. Ma culotte que j’avais gardée au niveau de mes genoux était trempée, je n’ai pas pu la remettre.
- Tu vois, tu as aimé. Ça c’est le plaisir que l’on peut avoir en se caressant toute seule, c’est mille fois meilleur quand c’est un garçon qui te caresse. Tu devrais changer un peu, t’habiller plus sexy, être plus souriante, ne plus envoyer paître les rares garçons qui s’approchent de toi et c’est sûr tu auras du plaisir tous les jours.
Cette découverte m’a changée complètement. Dès que je pouvais me retrouver seule je me caressais le minou et la poitrine comme elle me l’avait montré, je suis devenue une accro au plaisir.
C’est la semaine d’après que Paul, un des garçons de mon école s’est intéressé à moi, me souvenant de ce que m’avait confié ma copine Myriam, je ne l’ai pas repoussé, bien au contraire. Après notre premier baiser d’amoureux et ses caresses dans mon dos et sur ma poitrine, je me suis sentie toute mouillée et j’ai adoré cette sensation. Le lendemain, à la fin des cours, nous sommes rentrés ensemble, comme mes parents n’étaient pas encore rentrés, je l’ai fait venir dans ma chambre, il m’a entièrement déshabillée en m’embrassant et me caressant. Puis il m’a faite monter au ciel d’une façon merveilleuse en léchant mon minou. C’est le bruit de la voiture de mes parents qui nous a interrompu dans nos ébats, je me suis vite rhabillée.
Toute la semaine, quand on pouvait, on s’embrassait et se caressait. Le samedi, je suis parti le voir chez lui, dès mon arrivée nous nous sommes embrassés et caressés puis dans sa chambre nous nous sommes mutuellement déshabillés. J’ai vu pour la première fois de ma vie le sexe d’un homme bandé à fond, dès que je le touchais il avait comme des soubresauts, c’était très amusant. Il m’a faite jouir trois fois coup sur coup. Une première fois avec ses caresses, une deuxième fois avec sa bouche, une troisième fois avec ses doigts dans mon sexe puis il m’a dit
- Tu sais, tu auras encore plus de plaisir si je fais entrer mon sexe en toi.
- Tu es sûr, je n’ai jamais essayé, oh oui, viens, fait le rentrer vite je veux découvrir ce plaisir là.
Il s’est couché sur moi, a remonté mes jambes en les écartant puis il est entré tout doucement en moi. Juste un peu, il entrait son gland et le ressortait, je sentais le plaisir m’envahir. C’était merveilleux, je faisais l’amour avec un garçon. A un moment il s’est enfoncé plus profond j’ai senti une petite douleur puis un grand plaisir quand il a butté au fond de mon vagin. Il ne bougeait pas de peur de me faire mal, c’est moi qui me suis agitée pour faire grandir le plaisir merveilleux que je ressentais. D'un coup, je ne sais pas pourquoi, il s’est retiré alors que j’étais en plein décollage. Je n’ai pas du tout aimé ça et je l’ai à replonger en moi pour que je puisse avoir mon orgasme. Je ne sais pas trop ce qui s’est passé, il a pris les commandes s’est mis à me pilonner très fort tout en râlant de plaisir. Je n’arrêtais pas de jouir. Ça a duré très longtemps. Quand il s’est arrêté tout essoufflé, nous sommes restés sans bouger, l’un dans l’autre et je l’ai senti dégonfler dans mon vagin. Nous nous sommes endormis.
Quand je me suis réveillée, il me caressait doucement. En me voyant ouvrir les yeux il m’a dit
- Tu es merveilleuse, c’est la première fois de ma vie que j’éjacule trois fois d’affilé sans débander. Et j’ai encore envie de toi. Quel est ton secret ?
- Mon secret ? je ne sais pas, c’est la première fois de ma vie que je couche avec un garçon.
- Tu étais vierge ?
- Oui, c’est la première fois.
- Tu n’as pas eu trop mal ?
- Non, c’était que du bonheur, viens, recommence puisque tu en as envie, moi aussi j’ai très envie d’avoir à nouveau un tel plaisir.
Il est revenu sur moi et nous avons recommencé à jouir ensemble. C’était merveilleux, Myriam avait raison, le plaisir que l’on avait avec un garçon était mille fois supérieur à celui que l’on pouvait se donner toute seule.

A suivre