Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (10)
Un plaisir partagé est un plaisir double (10)
Nous sommes mardi et nous attendons nos amis pour une soirée carnaval, une occasion pour nous de fêter cela avec eux. Depuis quelques temps notre relation à beaucoup changée, en plus que dêtre des confidents, ils sont devenus des partenaires très intimes. Nous sommes toujours très heureux de nous retrouver et de séchanger entre nous. Chacune de nos rencontres se termine en partie de trou du cul. Jai préparé ce matin ma pâte à crêpe en deux versions sucrée et salée, pour les faire sauter avec nos amis. ( Peut-être allons nous nous faire sauter aussi.)
Normalement Annie et André doivent venir déguiser. Notre intention était de les emmener costumés et masqués dans une soirée échangistes, mais tout est fermé cette année, de toutes façons je pense quil est encore un peu trop tôt pour leur faire découvrir ce monde libertin. La petite soirée coquine se passera à la maison cette année.
Il était temps maintenant de nous changer et de passer le déguisement sexy de soubrette que jai acheté, je pense quil est inutile de vous dire que je risque de ne pas avoir beaucoup de temps pour faire le ménage. Les regards vont se poser sur mon splendide soutien-gorge avec armatures qui mettront mes petits seins en valeur, un petit nud suffira à mes partenaires de les défaire pour découvrir les petits bouts de mes seins et ses aréoles. (Que vous pouvez voir en avant première sur mon avatar) Ils pourront également découvrir mon porte-jarretelles accompagné d'un mini tablier qui viendra donner un côté très coquin à ma tenue ! Pour magnifier mon ensemble de femme de chambre coquine je porterais un string noir, une coiffe de servante et une jolie paire de bas.
Mon chéri est habillé en major dhomme avec un petit slip noir orné d'une fine bande blanche et de boutons qui met sa virilité en valeur. Un t-shirt en résille laisse deviner son torse pour le plus grand plaisir des yeux de ma copine, au dos, une queue-de-pie qui lui couvre partiellement ses fesses.
Nous sommes impatients de recevoir nos amis pour voir leurs déguisements, mais je suis sur quAnnie qui sera radieuse et sexy dans la tenue quelle aura choisit. Il nous a fallut attendre près dune heure avant quils narrivent. Contrairement à nous qui étions chez nous et en petite tenue, ils sont arrivés emmitouflés dans leur manteau et dun gros cache-nez. André ma embrassé sur les lèvres en me collant ses mains glacées sur les fesses me donnant la chair de poule jusquà me faire dresser les tétons.
« - Tu es superbe Chantal, jaime beaucoup ta tenue de soubrette, cest comme cela que jaimerais que ma femme fasse le ménage à la maison. » Me dit-il.
Puis jai embrassé intimement ma chère et tendre amie. Je leur ai demandé de me donner leurs manteaux et de se mettre à laise.
A notre grande surprise, ils étaient tous les deux pratiquement à poil dessous ma chérie était déguisée en lapine avec un somptueux ensemble qui mettait ses courbes en valeur, dailleurs Bob na pas résister longtemps à ses charmes en le lui disant. Le haut est entièrement transparent en dévoilant son corps sans trop en montrer. Son soutien-gorge seins nus avec armatures lui maintenait ses mamelles au balcon. Le string ouvert à l'entrejambe laissait apparaître ses jolies lèvres pour encore plus d'érotisme ! Les petits nuds papillons blancs apportent une touche de féminité à cette somptueuse tenue qui la rendait belle et sexy. Au dos une petite queue de lapine. Il ne lui manquait plus quun serre tête avec des oreilles Quelle venait de sortir de son sac pour compléter sa tenue.
André lui était déguisé en policier, sa tenue était composée dun tee-shirt en résille très près du corps détaillant son torse musclé et dun pantalon noir découpé au niveau de son postérieur montrant ses belles fesses musclées.
Nous sommes passés au salon pour boire le café.
« - Je nai pas fait de gâteaux aujourdhui mais jai préparé de la pâte à crêpe. Je sais que la chandeleur est passée mais comme ce jour là il faut faire sauter les crêpes avec une pièce dorée pour avoir de largent toute lannée jai voulu vous associer pour les faire sauter avec nous. Excusez-moi je vais dans la cuisine pour commencer. »
Javais à peine fait trois crêpes avec une pièce dans la main quAndré est venu me rejoindre en se collant contre moi et en membrassant dans le cou. Ses deux mains se sont posé sur mes seins, déliant les cocardes il les libéra de mon soutien gorge. Il me pelota les nénés, mempêchant de faire sauter ma crêpe qui était en train de brûler. De ma main je lui ai attrapé son paquet de couilles par-dessus son pantalon pour quil me lâche, mais il me tenait fermement dans ses bras et cest avec difficulté que jai pu retourner ma crêpe qui sest écrasée sur mon plan de travail. Je suis convaincue quAnnie et Bob lont envoyé dans la cuisine pour quils soient tranquilles pour fricoter ensemble.
« - Tu exagères, regardes ce que tu mas fait faire, nous avons tout le temps de faire cela après ! »
« - Je vais nettoyer, ne tinquiètes pas ma petite chérie, soit cool. »
Du salon, nos deux lascars qui avaient entendu notre discussion ont accouru pour nous rejoindre pensant que nous nous disputions.
« - Que se passe t-il ici, il y a un problème ? »
« - Pas du tout, cest ma soubrette préférée qui a raté sa crêpe et je pense que cela mérite un gage. Je propose quelle retire son string.
Un peu irritée par cette décision alors que ce nétait pas de ma faute, jai enlevé mon slip en le jetant par terre tout en renouant les cordelettes de mon soutien gorge pour remballer mes seins. Annie sest proposée pour continuer de faire les crêpes, mais elle a aussi a subit les mêmes sévices que moi de la part des hommes, ils se sont amusés en lembêtant afin de pouvoir lui donner un gage. La pauvre, cest pratiquement à poil quelle a terminé derrière les fourneaux, en petite culotte fendue et les nichons à lair.
Nous sommes passés dans le salon pour déguster les quelques débris de crêpes que nous avons réussit à sauver
« - André que veux-tu sur ta crêpe ? »
« - De la chantilly, si tu veux bien. »
Cétait pour moi loccasion de prendre ma revanche et de faire dune pierre deux coups, je navais pas oublié les paroles de mon chéri qui mavait dit de prendre des initiatives si je voulais quAndré me procure plus de plaisir. Jai mis une bonne couche de crème fouettée sur sa crêpe, je me suis allongée sur la table de la salle à manger, les cuisses grandes ouvertes et jai retourné la chantilly sur mon mont de vénus en lui demandant de venir la déguster sur place. Il a fallut que sa femme lui dise :
« - Tu ne vas tout de même pas te défiler devant tes amis ? Tu étais content de nous mettre des gages pendant que nous faisions sauter les crêpes alors considère que cette fois cest Chantal qui ten balance un, en toffrant sa gourmandise en te demandant de ten délecter. »
« - Tu sais bien chérie que je naime pas cela. »
« - Il faut une première à tout et cela me permettra den profiter également parce que si tu le fais à ma copine il ny a pas de raison pour que tu ne men fasses pas autant. Et peut être que tu arriveras à me faire jouir de nouveau. Il y a si longtemps que je nai pas pris de plaisir avec toi. »
Ne pouvant plus trop faire autrement en notre présence, André sest installé à genoux entre mes cuisses, jai posé mes deux jambes sur ses épaules et il a commencé à se mettre à table pour manger sa crêpe sur mon pubis lisse.
« - Alors André comment as-tu trouvé la chair de mon abricot, est-ce que cela tas plu ? »
« - Je ne peux pas dire cela, mais cétait sucré. »
Pendant ce temps Annie était confortablement installée sur le canapé dans les bras de mon chéri, la tête sur son épaule, pendant quil lui caressait les tétons.
« - Je monte dans la salle de bains me laver, jai encore la choupinette toute collante en attendant chéri, tu peux nous servir un verre de cidre. »
« - Je peux venir avec toi ? » Me demanda Annie.
« - Quelle question, tu es ici chez toi. »
« - Alors raconte, il ta fait du bien mon mari ? »
« - Mais tu veux tout savoir, oui cétait bien, jai senti quil manquait dexpérience mais pour une première ce nétait pas mal. Maintenant tu ne dois plus accepter de faire crack crack sans quil te fasse des préliminaires. »
Pendant que je me lavais la chatoune, Annie sest approchée de moi avec une serviette dans la main pour messuyer lentre jambes en membrassant dans le cou. Merci me dit-elle de dévergonder mon mari grâce à toi je vais retrouver du plaisir à faire lamour. Je me suis retournée, jai pris son visage entre mes mains et je lai embrassé sur la bouche, nos langues se sont mélangées. Elle me serra tout contre sa généreuse poitrine en posant ses deux mains sur mes fesses, quelle écarta. Dans la grande glace de la salle de bains elle devait voir mon cul et mon illet fertile et accueillant, dailleurs une main glissa le long de ma raie et avec la délicatesse dune femme, son majeur pénétra doucement dans mon petit trou. De mon côté ma main se faufila entre la fente de sa culotte en lui tripatouillant sa tirelire en y enfonçant deux de mes doigts.
« - Le cidre va être chaud il est servi depuis longtemps mesdames. » Nous dit une voix du bas de lescalier, ce qui mis fin à nos papouilles et cétait bien dommage, jadore mon intime copine. Nous avons terminé les débris de crêpes avant que jen fasse sauter dautres pour le repas du soir.
Etre échangiste est toujours tentant afin de rompre avec la monotonie du quotidien et le possible manque de fantaisie de la vie sexuelle. Quoi de plus excitant que d'aller à la découverte de plaisirs inédits ? Même si Annie et André sont d'accord pour échanger avec nous, il est de notre devoir de faire attention de ne pas offusquer lun dentre nous. L'échangisme ne doit pas être à l'origine d'une remise en question des performances sexuelles de nos hommes. Une "compétition" ne doit pas s'installer entre nous, lors de ces soirées très spéciales. Malgré la participation conjointe des deux partenaires, une forme de jalousie peut s'installer au sein du couple, et nous devons faire très attention de ne pas inquiéter et de ne pas porter trop dattention à lautre partenaire qui pourrait nuire à notre belle amitié. Nous sommes Bob et moi libertins depuis un certain nombre dannée et cela a ren notre couple. Je me souviens quau début, jai eu un peu de mal à accepter de voir mon chéri baiser une autre femme disons que javais une pointe de jalousie. Cest pour cela que jessaye de soigner André en moccupant intimement de lui en pensant quil serait peut être le maillon faible de notre quatuor. Pour ce qui est de ma copine je nai aucune crainte pour elle, je pense quelle est en manque de sexualité et quelle est à une époque de sa vie ou elle recherche de nouveaux plaisirs charnels.
En soirée nous nous sommes rhabillés pour passer à table et chacun à composé ses crêpes avec les ingrédients quil désirait.
Bien plus tard après-dîner, nous avons commencé notre petite sauterie à quatre en dansant dans le salon. Jai ouvert le bal avec mon chéri en dansant un rock, ma mini jupe virevoltait dans tous les sens, montrant mes fesses aux autres danseurs qui nous avaient rejoints sur la piste. Mon mari méchangea en menvoyant des les bras dAndré, mais je pense plutôt que cétait pour récupérer ma copine. Elle tournoyait autour de mon mari, les nichons à lair pour son plus grand plaisir.
Nous emboîtons le pas avec une série de slows, André membrassa en me serrant très fort contre lui nous avons nos mains posées sur nos postérieurs dénudés pour danser. Mon homme éteignit la lumière, nous étions dans la pénombre avec pour seul éclairage la lueur du feu de bois. A côté de moi ma copine profitait pleinement de mon mari, elle avait ses deux bras autour de son cou et sa tête dans le creux de son épaule. Ils restaient pratiquement sur place et elle avait une drôle façon de danser avec les jambes écartées. En regardant de plus près, je me suis aperçue que mon chéri avait sa main dans léchancrure de sa culotte, il lui caressait le minou.
Nous avons tellement chaud que nous aurions pu danser nu mais comme nous étions quen début de soirée nous voulons conserver notre tenue de carnaval pour respecter leffort que chacun avait fait pour se déguiser, nous préférons pour le moment se désaltérer avec un peu de vin blanc.
Bien que notre tenue ne soit pas faîte pour valser, André mentraîna au milieu de la piste et nous avons tournoyé ensemble les fesses à lair. Cest sur que nous aurions eu un certain succès dans un dancing. Annie et Bob nous avaient rejoints, ils se sont mis à virevolter si rapidement, si bien quaprès un moment ils ne tenaient plus debout et heureusement que le canapé nétait pas loin, ils se sont affalés lun sur lautre en riant de bon cur.
André en profita pour me prendre par la main et memmener dans la chambre. Je me suis allongée sur lit et sortant ses menottes ils les passa derrière un barreau du lit et mattacha les deux poignées.
« - Tu mas humilié et ridiculisé devant ma femme et ton mari en me faisant bouffer la crêpe et lécher la crème fraîche sur ta choupinette, cest à moi maintenant de tinfliger une punition. »
Je ne savais pas quelle aptitude prendre sans savoir sil plaisantait ou quil prenait son rôle de flic au sérieux, mais je nen emmenais pas large. Il commença par retirer mes jarretelles pour enlever mes bas, puis délia les nuds de ma tenue qui cachaient mes seins. En serrant fortement mes nichons entre ses mains, en aplatissant mes nénés en forme de poire, gonflant mes tétons en petite queue. Se penchant sur moi il les prit entre ses lèvres en tirant dessus. Je ne peux pas dire que cela me faisait mal, car jéprouvais une certaine excitation. Il continua à me déshabiller en retirant cette fois mon tablier et ma petite tenue. Je me laissais faire sans pouvoir bouger mes mains.
« - Petite salope, je vois que tu aimes te montrer à poil devant moi, tournes-toi sur le côté que je vois ton petit cul de pute. »
Jamais André ne mavait parlé comme cela, je ne savais plus trop quoi penser. Il ouvrit le tiroir de ma table de nuit pour sortir une cravache que javais eue en cadeau en achetant un body string en cuir sur un site de vente coquin. Il commença doucement à me fouetter les fesses avec la cravache sur mon postérieur avant de men remettre un petit coup. Puis la correction est devenue de plus en plus rapide et plus vive. Posant la cravache, cest avec sa main quil me donna la déculotté, la fessée était tellement musclée que mes fesses me chauffaient. Je devais avoir le cul tout rouge.
« - Alors traînée, tu adores cela nest-ce pas, je vais te baiser comme tu le mérites petite garce. »
Javais du mal à réagir ne connaissant pas mon copain sous cet angle là, aussi lorsquil a voulu me retirer mon string, je me suis tordue dans tous les sens en essayant de len empêcher, croisant mes jambes et en me débattant, (Je ne voulais surtout pas passer pour une Chantal couche toi là) mais il a fini par me larracher en me mettant entièrement nue. André se déshabilla et essaya de mécarter les jambes, comme je résistais, il attrapa de nouveau la cravache et me fouetta le pubis. Après me lavoir bien rougit, il se jeta sur moi, avec ses cuisses musclées, il écarta les miennes, avec la force quil avait, je ne pouvais plus résister. Son javelot en érection trouva de suite le centre de la cible et sy enfonça vigoureusement. Il me pilonna bestialement.
Je me suis demandé un moment si je nétais pas la salope quil disait car je me suis surprise à lui rendre la réplique en soulevant ma croupe et en donnant des petits coups de rein pour répondre à ses avances. Le pire cest que je mouillais comme une fontaine.
« - Tu vois que tu aimes cela, tu es une poule de luxe, tu adores te faire biter, tirer ta crampe, te faire mettre un coup de queue, te faire moucher la chandelle, ten faire mettre une sur le bout sale pute. »
Jamais aucun homme ne mavait parlé comme cela avec des mots aussi crus, grivois et obscènes mais le pire cest que cela mexcitais et minondait la chatte.
André a sorti sa quéquette de mon trou trempé pour sinstaller à califourchon au-dessus de ma figure, me caressant les lèvres avec son gland.
« - Suces ma chérie. » Me dit-il
Je navais plus la force de résister et puis je prenais maintenant un certain plaisir dêtre soumise à tous ses désirs, jai ouvert la bouche et il menfonça sa queue dans la gorge que jai faillit m. En même temps il me triturait les tétons entre ses doigts, qui étaient devenus de la taille dun petit pois. Il a fait des allers retours entre mes lèvres pendant un bon moment jusquà ce que jaie senti quil allait éjaculer. Jai détourné la tête un peu trop tard, le premier jet de sperme se déversa dans mes amygdales et le reste me barbouilla la figure.
« - Tu vois que tu aimes que lon te traite comme une cochonne. » Me dit-il avant de me détacher
« - Mais André pourquoi as-tu voulu mhonorer de cette façon alors que tu peux me baiser comme tu veux et quand tu veux ? Tu sais bien que mon chéri ny voie pas dinconvénients à ce que tu me fasses lamour même devant lui. »
« - Tu as pris du plaisir ma chérie, nest-ce pas ? Je ne tai jamais senti aussi chaude et ta petite chatte était détrempée de mouille. »
Il était redevenu gentil et mavait pris dans ses bras pour membrasser. Ce quil disait était vrai et cette brutalité à la limite du sado-maso mavait émoustillé les sens. La souffrance quil mavait infliger en me fouettant les fesses et mon pubis avait aiguisé mon désir. Au bout dun moment je nai plus senti la douleur et chaque coup de cravache stimulaient de plus en plus ma libido. La vulgarité de ses propos y était aussi pour quelque chose, ma fierté en avait prise un coup et ma dignité aussi.
Nous sommes passé dans la salle de bains avant daller retrouver nos concubins.
Assis sur une chaise, Annie avait les jambes de chaque côté des cuisses de mon mari, sa corolle grande ouverte, les bras autour de son cou, ils se bécotaient en riant de bon cur. Nous nous sommes assis André et moi dans le canapé du salon pour les regarder, ils étaient tellement occupés quils ne sétaient même pas aperçus de notre présence. Je crois quils ont bu plus que de raison vu les quatre bouteilles de vin blanc vides sur la table. Je ne sais pas trop ce quils ont fait pendant que nous étions au lit André et moi mais ils ont du bien samuser, la culotte de ma copine était accrochée sur le lustre, sa tenue de bunny jonchait en désordre par terre. Mon mari avait le serre tête avec les oreilles de lapine sur la tête. Annie avait maintenant saisi le zizi de mon mari et se frottait la zézette avec, en éclatant de rire tous les deux dès que son gland entrait dans son trou en disant « hop dedans. » Prenant cela pour un jeu, ils recommençaient « hop dedans » en éclatant de rire à chaque fois quil y avait introduction. Ils faisaient plaisir à voir et avaient le vin gai. Elle se pencha en arrière heureusement que mon chéri la maintenait dans le dos pour quelle ne tombe pas et offrait ses belles aréoles et ses jolis bouts de seins pour quil lui tête ses totottes. Et cétait reparti de plus belle en riant aux éclats.
« - Hé ! hop dedans vous ne pensez pas quil serait temps daller au lit ? »
« - Vous étiez là ? Donnes moi mon verre mon amour. »
Bob lui passa son verre, quelle a bu dune seule traite.
« - Viens au pieu avec moi mon chéri nous allons faire un bébé ensemble. »
Je savais quelle était bourrée, mais je minquiétais tout de même en demandant à André si elle avait pris ses précautions. Ils ont eu beaucoup de mal à monter les escaliers en se maintenant et en pouffant de rire.
Lorsque nous nous sommes mis au lit, elle serrait mon homme tout contre elle. Deux minutes plus tard il ny avait plus personne, ils ronflaient tous les deux. Ma copine mayant abandonné, je me suis réfugiée dans les bras de son mari, jai eu du mal à mendormir en pensant que javais pris du plaisir alors que celui-ci mavait traité comme une traînée, une catin.
Le lendemain matin Annie et mon chéri sont descendus avec la gueule de bois, je leur ai fait un bol de café fort et jai donné un cachet à ma copine qui avait mal à la tête et na même pas déjeuné. Elle ne devait vraiment pas être bien. Nous avons prit congé deux en leur donnant leur manteau, je me suis aperçue quelle navait rien sur le cul sous son court costume de lapine.
« - Tu as vu que tu as oublié de mettre ta culotte ma chérie. »
« - Oui, je sais, je ne lai pas retrouvé. »
« - Moi je sais où elle se trouve, hier soir tu las jeté et elle est accrochée au lustre du salon. »
« - Tant pis je ne me redéshabille pas, de toutes façons pour ce quelle cache, jen ai pas besoin. Embrasse-moi plutôt et excuse-moi de mettre ainsi accaparé de ton mari. »
« - Ce nest rien, être libertin et échangiste cest aussi cela, mais je suis rassurée de savoir que je ne serais pas la marraine dun petit que vous auriez fait tous les deux. »
;
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!