Un Été En Grèce (Dernière Partie)

La fin de notre séjour en Grèce n’était plus bien loin. Plus qu’une toute petite semaine… Julia et moi avions bien profité de notre séjour jusque-là. Les jupes s’étaient raccourcies, les décolletés avaient plongés et les conquêtes d’un soir s’étaient enchainées. J’avais expérimenté des choses que jamais je n’avais imaginé… l’amour avec une fille, m’envoyer en l’air sous l’eau, sur la plage, dans un bar avec un homme dont je me rappelle à peine le visage (même si la sensation de son sexe épais en moi reste, elle, très vivante…). Je suis même allée jusqu’à sucer le barman cachée en dessous du bar alors qu’il était en service…
Toutes ces baises avaient fini par me fatiguer un peu. Un matin je me suis réveillée si lassée que j’ai décidé de passer, pour une fois, une soirée sage. La journée s’annonçait tranquille. Après le déjeuner, nous sommes allés à la plage avec Julia et son père. Nous n’avions pas beaucoup vu Yann ces derniers temps. Pendant que Julia batifolait dans l’eau, faisant mine de perdre son haut de maillot toutes les cinq minutes pour attirer un beau mâle sur la plage, je bronzais à côté de Yann. Il était encore assez bien foutu…grand, des épaules larges, un joli petit cul… Je ne pouvais pas m’empêcher de lui jeter quelques coups d’œil de temps à autres. Ce qu’il remarqua apparemment. Il me lançait quelques regards en retour, s’attardant souvent sur ma poitrine, encore brillante et huileuse de crème. Il me proposa d’aller nous chercher des bières. En le regardant revenir, je remarquais la grosse bosse entre ses jambes…son maillot moulait son sexe à merveille. Je mourrais de soif, la bière fut donc très rapidement finie. Trop rapidement peut-être… Le manque de sommeil et la chaleur me firent rapidement tourner la tête. Plus je sentais le regard de Yann sur mon corps, plus je me sentais sexy. Je mettais ma poitrine en avant, et passait innocemment ma main entre mes cuisses.
- « Tu commences à devenir toute rouge », me dit Yann « tu veux pas que je te passe un peu de crème ? »
Il prit le tube et commença à m’étaler la crème dans le dos.

Julia était loin, et ne s’occupait pas vraiment de nous. Je remarquais que les mouvements de Yann se faisaient plus doux, plus sensuels… Il passa ses mains par-dessus mes épaules et étala la crème sur ma poitrine. Il malaxait mes seins doucement…Je sentais que je commençais à mouiller. Ses mouvements étaient lents, maîtrisés. Puis il se rallongea sur sa serviette, comme si de rien n’était. Pourtant, je remarquais que la bosse entre ses jambes avait presque doublé de volume… Mon sac était de son côté. Je pris cette excuse pour passer ma main au-dessus de lui, et effleurer discrètement sa bite qui devenait de plus en plus dure. Tout le reste de l’après-midi, je fis mine de faire la sieste sous mes lunettes de soleil mais je ne pouvais pas fermer l’œil. Je fantasmais bien trop…
Après le dîner, Julia sortit en boîte comme d’habitude mais je préférais rester à la maison. Yann était sur le canapé de la terrasse, en train de lire, toujours en maillot de bain. Après un moment, je suis venue le rejoindre. Je n’avais qu’un petit short en jean et un tshirt transparent sur mon haut de maillot qui me couvrait à peine la poitrine. On a discuté, fumé quelques cigarettes, bu quelques verres. Malgré ma tenue plus que légère, il semblait rester de marbre. Mais la bosse qui se dessinait sous son maillot ne me trompait pas. Malgré l’heure tardive, il faisait toujours très chaud. Je pris cette excuse pour enlever mon t shirt. Ses yeux restèrent fixés sur mes seins durs et légèrement pointus. Tout en discutant, il passa un bras autour de ma taille, caressant de temps en temps mes hanches. Il s’arrêta brusquement :
- « Mon âge ne te dérange pas ? »
- « Au contraire… »
- « Et Julia ? »
- « Je ne lui dirais rien. »

Son expression changea du tout au tout. L’air calme qu’il avait d’habitude disparue pour laisser place à un sourire lubrique…
- « Tu sais que tu es très attirante…Depuis le premier jour j’ai envie de toi. Et tu as beaucoup joué avec moi, en portant tes tenues de petites salopes. »
D’un geste, il arracha mon haut de maillot. Il m’allongea sur le canapé et lécha ma poitrine tout en déboutonnant mon short. Mon corps était brulant d’excitation, le désir me faisait perdre la tête. En passant mes mains sous son maillot, je connue le paradis. Son sexe était long, épais, tendu. Je mourrais d’envie qu’il me pénètre immédiatement mais il semblait vouloir jouer un peu plus longtemps.
- « Avec cette bouche tu dois être une sacrée bonne suceuse… »
Je descendis entre ses cuisses. Je jouais un petit moment avec sa bite, la léchant délicatement avant de la mettre entière dans ma bouche. Il gémissait comme un animal :
- « Hmmmm oui je ne m’étais pas trompé. Continue bébé, continue ».
J’accélérais le rythme. Je savourais chaque parcelle de sa bite, jamais je n’avais autant aimé sucer. Son pénis descendait au fond de ma gorge, ce qui aurait pu être assez désagréable mais j’aimais ça, j’en redemandais.
Son cuni fut rapide mais intense. Il caressa longuement mon clito puis me pénétra. Il fut d’abord doux, tendre, ses allers et retours étaient lents ce qui doublaient mon plaisir. Je gémissais de plus en plus fort. Puis il devint plus brutal, ses coups de hanches se faisaient plus bestiaux. Mes seins sautaient sous ses coups de bite et il appréciait la vue. Il agrippa mes hanches pour contrôler un peu plus la vitesse. Il me baisait admirablement. J’étais sa proie, son objet… Il m’avait voulu et il m’avait eu sans grande peine. Il profitait maintenant de sa victoire, heureux de voir un corps de jeune fille s’offrir à lui.
- « Hmmm tu es si bonne. J’adore ta petite chatte bien épilée. Continue salope »
Je me mis à califourchon sur lui. Il saisit mes seins dans ses mains, se délectant de mes tétons durcis. Il me donna quelques fessées en gémissant des mots crus ce qui accéléra mon orgasme. Il m’a fit jouir comme jamais je n’avais jouis, j’atteignais un nouveau nirvana. Il me regardait jouir avec fascination et excitation, se délectant de mes gémissements. Il continuait de me pénétrer de plus en plus vite, son orgasme ne devait pas être loin. Il se retira de ma chatte et tira ma tête vers son sexe. Je le suçais avec une plaisir redoublé. Il releva ma tête pour pouvoir m’admirer en train de travailler. Je le regardais droit dans les yeux avec un regard de salope. Alors que je pensais qu’il allait éjaculer dans ma bouche, il se retira au dernier moment pour verser sa semence sur ma poitrine. Son sperme coulait sur mes tétons. Après un moment, il m’emmena sous la douche et me nettoya. J’admirais son corps nu. La douche fut longue, très longue. Les caresses reprirent. On entendit Julia rentrait à ce moment. Trop tard, son sexe était déjà dur et s’avançait lentement vers ma chatte qui en redemandait.


Julia n’avait visiblement pas entendu. Ses gémissements avaient dû couvrir les miens… Une fois rentrés à Paris, Yann m’invita chez lui. Cet été n’était que le début…