Leslie Se35
Leslie SE35 Seule, Claire, la petite coiffeuse et ma coupe à la garçonne
Dans le salon, où jai lhabitude de me faire coiffer, mon coiffeur habituel est partit sinstaller à son compte dans le sud de la France, étant habituée jétais inquiète de confier ma tête à quelquun dautre.
Lorsque jai pris rendez-vous, il ma été proposé Claire, une jeune professionnelle qui est dans le salon depuis déjà deux ans.
Je lavais observé parfois à la dérobée, elle était blonde, mais certainement décolorée, les yeux gris-verts, elle portait souvent des pantalons noirs et damples chemisiers blancs. Le buste et la taille fine sélargissait légèrement sur des hanches étroites, Claire était vraiment un beau petit lot de femme, une jeune femme très désirable.
Lorsque je suis arrivée au salon, Claire est venue vers moi et pleine dattention sachant quelle allait soccuper de moi pour la première fois elle ma demandé :
- Cela, ne vous dérange pas que je moccupe de vous ?
- Non, ça ne dérange pas du tout, je trouve agréable de confier ma tête à de charmantes mains féminines comme les vôtres et qui de plus appartient à une belle jeune fille.
En fait tout sest bien passé et jai été très heureuse de la coiffure que Claire mavait faite et je me suis dit que je la choisirais pour une prochaine fois
Ce nest que deux mois plus tard que jai rappelé le salon, javais oublié le prénom de ma petite coiffeuse, mais je voulais un rendez-vous.
- Qui soccupe de vous dhabitude ?
- Avant cétait Julien, qui est partit, mais la dernière fois çétait une jeune femme blonde, amis jai oublié son prénom
- Cela devait être moi, Claire. Mais jai changé maintenant, vous allez avoir du mal à me reconnaitre.
Le rendez-vous fut pris et à lheure dite je me rendis au salon.
Effectivement, Claire avait changé, je ne laurais pas reconnue, elle avait les cheveux coupés raz et était en fait une brune naturelle et portait un piercing du côté gauche, au-dessus de la lèvre supérieure.
Une fois installée la conversation a commencé.
- Vous changez souvent de look comme çà ? Demandais-je.
- Oui jaime bien changer de tête, et dans un salon de coiffure cest facile.
- Sans doute, cest un changement radical, et en plus ça vous va bien.
- Bon, quest-ce que je fais aujourdhui ? Me demanda Claire.
- Je tenterais bien une coupe à la garçonne comme vous, histoire de changer et de voir ce que ça donne sur moi.
- Je pense que ça vous ira très bien, maffirma Claire.
En la regardant dans le détail, elle était décidément très désirable, plusieurs fois son corps frôla le mien, je crus même sentir sa poitrine effleurer ma tête. Rien dextraordinaire, mais ces contacts mémouvaient, je me sentais soudain vraiment attirée par Claire.
Elle avait un visage agréable, une bouche sensuelle terriblement attirante, petite, les dents bien alignées qui lui donnaient un sourire irrésistible et une pensée à traverser mon esprit à cet instant, que cela devait être bon de se faire sucer par cette petite bouche...
Le salon était vide, et javais le temps, nous avons parlé vacances, voyages, puis de nos hobbys respectifs, en fait tous les sujets quon aborde chez son coiffeur.
- Je suis seule aujourdhui, me dit-elle, la patronne ne commence que cette après-midi, une fille est malade et lautre en repos.
- Une journée tranquille alors ?
- Oui en quelque sorte, nous navions que des rendez-vous avec nos habituées et là vous êtes la dernière de la matinée.
On discuta tranquillement pendant quelle terminait ma coupe, je la regardais dans la glace, et avec ses cheveux courts, elle avait presque une silhouette dadolescent, même ses petites fesses et ses hanches étroites lui donnaient un silhouette masculine.
Elle portait un pantalon noir très ajusté et un T-Shirt blanc moulant qui me permis dévaluer sa poitrine, petits seins de taille moyenne mais portés de manière arrogante et mis en valeur par son T-Shirt.
Son pantalon dessinait son entrejambe et la bosse de son pubis. Mon sexe commença à se gonfler, heureusement la blouse masquait mon émoi et ma différence que Claire ne connaissait pas.
Claire mit beaucoup de soin, et notre conversation pris un tour plus intime, elle me raconta ses mésaventures avec son ancien petit ami, peu prévenant, souvent absent et probablement infidèle. Elle se confiait à mon oreille attentive et compatissante.
Je savourais sa présence délicieuse, la déshabillant du regard à chaque fois que je le pouvais.
- Tient, sais-tu que certaines clientes me font des avances, et me propose de memmener chez elles, dit-elle outrée.
Zut, moi qui venais de me décider de lui faire du rentre-dedans.
- Ce nest pas si désagréable de se faire draguer.
- Ca dépend par qui, parfois je sens mal à laise, dit-elle.
- Oui, les tempes grisonnantes ça ninspire pas une belle jeune fille comme toi..
- Pas vraiment, si au moins cela avait été un beau jeune homme, voir une jolie jeune femme.
Je saisis la perche au vol et réplique :
- Ah oui, une jolie jeune femme ou un beau jeune homme !
- Tant quà faire, cest quand même mieux, non ?
- Belles jeunes femmes comme moi ? Tentais-je.
- Là javoue, avec toi sans problème ! Mais je mégare, restons sérieuses.
- Fait comme si je navais rien dit, dis-je en guise de fin.
Claire se tut et termina son travail songeuse, elle pensait à sa réponse en me faisant attendre
Séchée, coiffée à la garçonne, je pouvais faire illusion et reprendre mon apparence de jeune homme, sauf ma poitrine qui trahissait, je la suivis pour payer et me regardant elle me demanda :
- Tétais sérieuse, tout à lheure ? Me demanda-t-elle du bout des lèvres.
- Oui, très sérieuse, maintenant à toi de voir
- Ce soir, je finis à dix-huit heures
- Alors à ce soir, dis-je.
Je quittais le salon plus excitée que jamais, vivement ce soir !
Laprès-midi fut longue, aussitôt sortie du travail je me suis rendue au salon, et au moment où jarrivais Claire sortait de létablissement, et elle me sourit en me disant :
- Je suis désolée, je ne peux pas fermer le magasin avant dix-neuf heures, ma patronne a un empêchement et ma demandé de faire la fermeture, mais tinquiètes pas il ny a personne.
- Ce nest pas grave, je peux attendre, dis-je.
- Entre nous allons parler un peu pour patienter.
Sitôt à lintérieur, elle sapprocha de moi et passant ses bras autour de mon cou elle posa ses lèvres sur les miennes.
Le baiser fut court et furtif, nos lèvres se séparèrent.
- Tu ne perds pas de temps, dis-je.
- Trop vite pour toi ? Me demanda-t-elle
Je lattirais à moi et nos lèvres sunirent à nouveau.
Pendant le baiser nos corps étaient collés lun à lautre, ,elle mattira dans un recoin du salon ou on ne pouvait pas nous apercevoir depuis lextérieur, et pendant que je parcourais fébrilement son corps au travers de ses vêtements moulants, elle de son côté nétait pas en reste, car ses mains se promenaient sur mes fesses, mattirant pour coller encore plus son corps au mien.
Soudain elle sécarta de moi en disant :
- Dis-moi, tu ne maurais pas caché quelque chose !
- Tu vois Claire, dis-je, tu voulais une belle jeune fille ou un bel homme, avec moi tu as les deux.
- Rassures-moi, je nai pas rêvé, cest une belle queue que jai senti contre mon pubis.
- Non, tu nas pas rêvé.
- Assieds-toi, fit-elle en me poussant sur le fauteuil de larrière salon.
Elle se pencha et membrassa à pleine bouche, nos langues jouant à cache-cache pendant que ses mains sattaquaient au zip de mon pantalon, rapidement ses mains vinrent fourrager dans mon string, puis libérèrent ma queue.
Elle la caressa, touchant mon gland, puis empoignant mon sexe, sa main sagita pendant que nous nous embrassions goulûment. Nos lèvres se dessoudèrent, elle regardait mon sexe en continuant de me branler. Puis elle se mit à genoux devant moi, sa bouche se rapprocha lentement de mon sexe tendu, et enfin, elle déposa un léger baiser sur la chair violacée, puis sans autres sommations elle me prit en bouche.
Ma jolie coiffeuse, Claire, me suçait le gland, sa langue alternait superbement ses caresses tandis que sa main sactivait sur mes couilles.
Elle tenait le haut de ma verge en bouche et me branlait dun savant mouvement rotatif, longtemps elle sest amusée à me donner du plaisir, je nen pouvais plus, mes gémissements annonçaient que jallais jouir. Claire ne faiblis pas et jéjaculais dans sa bouche, jouissant comme une folle pendant quelle continuait de me sucer avalant toute ma semence, absorbant jusquaux dernières gouttes.
Elle me lécha ensuite délicatement tandis que mon sexe ramollissait entre ses lèvres puis, ordonnée, rangea ma verge maintenant débandée dans mon string et referma le zip de mon pantalon, puis me regardant dans les yeux, elle me dit :
- Tu vas pouvoir patienter un peu, jusquà nous soyons à la maison.
Javais le sentiment quune furie sétait acharnée sur mon sexe, Claire mavait vidé en quelques minutes et avait encore des désirs, la nuit allait être longue
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!