Un Déplacement Qui S'Annonçait Mal
Je m'appelle Marc, j'ai 44 ans et je travaille à Paris dans une multinationale, dans un service informatique.
Régulièrement nous sommes amener à aller à l'étranger, dans nos usines, pour gérer des problèmes informatique, pour up-grader nos version logiciel etc.
Je ne suis pas un adepte des déplacements, mais on ne part jamais seul et en plus, on peut se permettre d'aller boire des verres, de faire la fête, une fois le travail fini. Les dernières fois j'étais aller en Autriche et en Roumanie avec trois collègues, on s'était vraiment amusé.
Mais là, pas de bol, je dois partir en Espagne avec Marion. Alors Marion c'est une des filles du service, elle doit avoir 24 ans, elle est cruche, pose des questions idiotes, et est molle comme pas deux. Beaucoup de gars la trouve mignonne mais moi c'est clairement pas mon style, petite tête bizarre, pas de seins, trop fine, bref, soyons honnête, je ne l'apprécie pas. Là c'est clair, je vais pas m'amuser beaucoup et la semaine va paraitre longue.
On part, Paris-Madrid, à Madrid on prend une voiture de location direction la campagne espagnole, on a notre hôtel pas loin de l'usine, à environ 1 heure de route, on arrive il doit être 23h. Sans plus d'échange que ça, je propose à Marion qu'on aille se coucher tout de suite, histoire d'arriver tôt au travail. Elle ne bronche pas, de toute façon, je crois que mon sentiment envers elle est réciproque, on s'est à peine parlé dans l'avion, encore moins dans la voiture.
Le lendemain, petit déjeuner rapide et hop au boulot. On a eut raison de venir tôt, y a plein de problèmes à regler. Les 3 premières jours sont intenses et fatigant, on arrive à 7h à l'usine et on repart à 23h. Marion fait sa part de boulot et vient me poser des questoins un peu moins débiles qu'à son habitude. Contre toute attente, le jeudi est beaucoup plus tranquille, on a résolu quasiment tout ce qui devait l'être. A 18h je propose donc à Marion qu'on sorte histoire de décompresser, qu'on aille boire un verre et qu'on trouve peut être un restau plus sympa que notre ordinaire.
Elle arrive à son tour, elle a mis une jupe noire, simple mais jolie, et un haut bien décolté (dommage qu'il n'y ait rien à voir), bref elle s'est faite jolie et j'avoue faire un petit arrêt de 2 ou 3 minutes en la voyant arriver.
Nous embarquons en voiture, direction un restau que nous a conseillé le réceptionniste de l'hôtel.
Le restaurant est charmant, un peu isolé, un peu petit mais vraiment agréable. Evidement, au début nous sommes un peu coincé, on parle boulot pour éviter les blancs. On bavarde sans plus, on bois nos apéritifs, nous commandons, avec évidement du vin (pour le seul soir ou nous pouvons profiter). L'alcool aide a détendre l atmosphère, on parle un peu plus, moins de boulot, plus de nos vie perso. Plus la soirée avance, plus je la regarde différemment, déjà parce qu'elle me semble moins cruche avec ses histoires de vie, et clairement aussi parce qu'avec le vin, j'ai aussi quelques envies qui prennent place petit à petit (dommage que ses rires ressemblent à des gloussements, ce qui me rappel quand même qu'elle n'est pas maligne maligne).
Le repas se finis, il aura été bon, et nous décidons de ne pas rentrer tout de suite, et de chercher un bar pour finir la soirée. Je paie et on s'en va.
On monte dans la voiture et au moment de mettre le point mort, au lieu de poser ma main sur le levier de vitesse, ma main se pose sur le genoux de Marion. Un acte manqué comme l'on pourrait le croire.
Je n 'ai pas le temps de la retirer (ou plutôt, ai je pris mon temps pour le faire) que Marion s'empresse de poser sa main dessus et la fait glisser le long de sa jambe en disant
- Depuis le temps que j'ai envie!
A peine le temps de dire ça qu'elle a déjà plaqué ma main sur sa culotte et commence de petit frottement.
Je retire d'un coup sec ma main, par reflexe, sans aucune réflexion. Marion est apeurée et prend une expression de panique, limite de chien(ne) battue.
Je reprends mes esprits et calcule rapidement ce qu'il se passe.
Je dis alors rapidement et sèchement:
- Mes caresses, ça se mérite!
Elle est adossée à la vitre coté passager, au plus loin de moi. Ca me permet de la dévisager de bas en haut, sans pudeur. Ses jambes sont jolies et semblent douces. Je n'hésite pas, je pose une main sur sa cuisse, la caresse et la palpe comme on le ferait avec une bête.
- Remonte ta jupe, doucement, mais jusqu'en haut, lui demande je d'un tout sec.
Elle s'exécute sans broncher, remontant sa jupe, en la faisant glisser sur le haut de ses cuisses, et me montre maintenant sa culotte, simple, en coton mais noire. quand je vois toute sa culotte je lui dis
- Stop ... ... je ne te complimente pas sur ton choix de sous vêtement. Maintenant retire cette culotte, doucement également.
Elle hésite un instant, mais mon regard déterminé lui montre qu'elle doit s'exécuter. Elle la retire doucement et tant bien que mal étant toujours adossée à la vitre. Elle ferme ses cuisses mais j'entrçois sa toison noire. J'allume le plafonnier de la voiture pour mieux voir
- Ouvre moi ses cuisses ...
Elle les ouvre lentement et m'expose alors petit à petit toute sa chatte foncée et poilue.
Je n'en perd pas une miette et ma queue se durcit devant le spectacle.
- Approche maintenant, lui demande sur un ton plus doux.
Elle reste les jambes bien écartées devant moi et s'avance difficilement sur son siège, juste assez pour revenir à la portée de mes mains.
Je suis tourné vers elle, nous sommes finalement autant que possible, face à face dans la voiture. Je mouille mon majeur gauche dans ma bouche et vient glisser directement le long de sa fente, je remonte tout doucement sans insister, juste ce qu'il faut pour sentir que la petite Marion est toute excitée par ce jeux et qu'elle ne demande qu'à aller plus loin encore.
- Tu vas être gentille avec moi d'accord?
Son hochement de tête me montre qu'elle a compris et qu'elle est prête à jouer ce petit jeu.
Je démarre la voiture.
- On va faire un petit tour, je veux que tu te touche jusqu'à ce qu'on arrive, d'accord?
Elle hoche de nouveau la tête.
Pendant que je roule, Marion, joue avec son majeur et touche sa fente, comme je l'ai fait au par avant, elle n'entre pas dans son vagin, ne fait que glisser sur ses lèvres, et joue de temps en temps avec son clito. Elle gémit doucement et cela m'excite, mon pantalon est vraiment serré. Je la regarde de temps en temps, elle est toute chaude, se mord les lèvres, une vraie petite chienne je me dit.
Il n y a pas grand chose dans le coin mais je trouve un petit troquet en bord de route, je m'arrête.
- Si tu es une bonne petite chienne, t'auras droit à une petite récompense. Viens, suis moi, et ne remets pas ta culotte.
Nous entrons dans le bar. Il n'y a pas grand monde comme je m'en doutais. Le barman, un mec d'environ 50 ans, gros et moustachu, et deux type au bar, l'un facile 60 ans, assez sec, et l'autre surement la quarantaine, petit et barbu ... On s'assoie à une table et on commande deux whisky. On est un peu dévisagé par le gars de la quarantaine, l'autre nous calcul même pas. Marion ne va pas du tout dans ce décor, avec sa jolie robe noire, et j avoue que j'aime ça. Elle est mal à l'aise et ne bois pas. quelques instants plus tard, le soixantenaire se lève et va aux toilettes; voilà ce que j'attendais. Je fais signe à Marion de me suivre et nous y allons également. Je fais entrer Marion avec moi dans les toilettes de mec, et on voit le vieux pisser à un urinoir.
- Vas soulager monsieur, va le branler.
Elle me fait signe que non, et recule.
Je l 'att par la main
- Tu cherches pas à comprendre, tu obéis, ou ça va mal aller.
D'un geste fort, je la lance sur le mec, elle manque de tomber sur lui ce qui enfin le fait réagir.
Il s'égoutte rapidement, mais déjà Marion s'approche de lui en me regardant d'un air paniqué, et, à ma grande satisfaction prend la queue du mec dans ses doigts et commence à le branler. Le vieux n y comprend rien, m'envoie des regards interrogateurs mais se laisse finalement faire par les doigts de ma petite Marion. Je m'approche pour mieux voir. Marion aime voir la queue gonfler sous ses caresses, ça se voit sur son visage, le vieux, n'en parlons pas, il doit se demander s'il n a pas trop bu et si ça se passe vraiment
- Maintenant que tu as bien joué avec lui, à genoux, et suce le.
Marion ne bronche pas une seconde et s'exécute en me regardant moi droit dans les yeux d'un air "tu vois je peux le faire"; Cette petite m'excite vraiment. Elle continue la branlette du vieux et met son gland en bouche. Le vieux râle son plaisir.
A cet instant, le plus jeune qui nous matait arrive et nous surprend. Il baragouine un truc en espagnol, je ne comprends pas mais lui fait signe de venir. Le langage du sexe est universelle et il comprend vite qu'il va lui aussi avoir droit au talent de Marion. Il sort sa queue et s'approche du visage de Marion. Marion me regarde et attend mon il approbateur pour mettre la queue à durcir dans sa bouche. Une fois bien dure, elle alterne les deux queux dans sa bouche ou en branle. Le vieux montrant des signes de rupture, je prends la tête de Marion à une main et la force a bien prendre toute la queue du vieux qui ne peut plus s'empecher de jouir. Elle prend tout en bouche. Le vieux n'a pas beaucoup en stock.
- Avale bien, et fait pareil à l'autre, et vite, regarde, il ne demande que ça.
Après avoir avalé les goutes de spermes du vieux, Marion s'attaque maintenant exclusivement à l'autre mec.
- Suce le bien, je veux entre la sucions de tes lèvres, aller, montre moi de quoi tu es capable!
Apres ces mots, je vois les joues de Marion se creuser, et accélérer la sucions comme jamais. elle pousse meme des petits gemissement, alterne la sucions avec de grand coups de langue. La petite Marion se révèle être une formidable suceuse de queue. Le gars n'en peut plus et jouis fort. Marion, toujours avec son regard de défis, prend tout le sperme en bouche et fait tout pour en recracher le moins possible.
- Aller viens, ils ont eut leur compte ces deux là.
Je la prend pas le bras, on entre en salle, j'appel le barman et lui explique par geste que je ne veux pas payer en argent. Au début il a du mal de comprendre alors je retourne Marion, la couche sur une table pour qu elle soit bien cambrée devant notre barman, et je souleve sa jupe.
Le barman comprends vite et me fait un signe de tête, je lui dis d y aller.
Il sort de sa poche une capote, sort sa queue, et ne se fait prier pas pour prendre Marion sans autre volonté de prendre son plaisir.
Il baise Marion sans ménagement et met 5 minutes à peine pour jouir dans un râle bien rauque. Les deux autres mecs on eut juste le temps de mater un peu.
Le barman se retire en fessant d'une bonne claque le petit cul de Marion. Il nous fait signe ensuite de partir, ce que nous faisons.
Nous remontons dans la voiture.
- T'es une vraie petite cochonne tu sais!
Marion ne me répond pas mais prend un air un peu gêné et timide.
- Ces queues t'ont plu?
Marion fait une moue et hausse les épaules
- Ah, c'est pas ce que tu veux ... et dis moi, t'aimerais quoi? Je t'ai promis une petite récompense, et je crois que tu l'as bien mérité.
Marion reprend son air gêné mais me dit d'une toute petite voix
- C'est la tienne que je veux
- La mienne? humm oui tu vas l avoir, on va rentrer à l'hôtel, continu a te toucher comme tout à l heure.
Marion ne cache pas son sourire et reprend ses attouchements devant moi toute heureuse.
Nous rentrons vite à l hôtel, moi lui tirant le bras pour aller plus vite, elle toute souriante
Nous arrivons dans ma chambre et je la lance sur le lit. Elle se retrouve sur le lit et d'un petit sourir droit dans mes yeux ouvre largement ses cuisses en remontant sa robe. J'enlève rapidement mon pantalon et mon boxer
- Prends moi tout de suite, me fait elle.
Ses jambes bien écartées, ma queue toute droite, je vient m'empaler directement en elle.
Elle pousse un "ohhh" plein d'émotion
- Humm c'est ça que tu veux hein, je lui fait
- Oh oui, baise moi
- Je vais bien limer ta chatte, et quand j'en aurais bien usé, je m'occuperai de ton petit trou!
- Oh oui, tout ce que tu veux
Je suis aux anges, sa chatte est trempée et ma queue glisse en vas et vient perpétuel. Plus elle gémit, plus je vais vite. J'alterne en frottant son clito avec mes doigts pour reprendre mon souffle, ça la fait littéralement hurler et j'adore.
- Mon petit cul maintenant, prend le, je t'en prie, me lâche t elle
- Oh oui retourne toi
Elle se met à 4 pattes devant moi et écarte ses fesses d elle même. Je lèche sa rondelle rapidement et propose mon gland à son entrée. Je pousse doucement et ma queue s'enfonce en elle dans un éternel gémissement de Marion. Je la lime, doucement puis plus rapidement. Je claque mes couilles sur ses fesses, ahh ses fesses sont magnifique et j'ai du mal a rester concentré. Quand je sens que je vais jouir je sors ma queue et la retourne dans l autre sens. Marion est maintenant la tète prêt de ma queue, je l'enfonce et baise sa bouche. En moins de 30 seconde me voilà jouissant tout ce que j'ai en pleine gueule.
- Ohhh salope!! que je lui fais
La petite Marion bois mon sperme avec un air ultra excitant, mais je suis exténué et je pense qu'au fond elle aussi.
Nous nous écroulons sur mon lit et nous endormons nus, nous couvrant légèrement pour ne pas avoir froid pendant la nuit.
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