Préméditation ?

Nous sommes en 1980 et je viens d’avoir 30 ans. Mon épouse Laure et moi-même avons une petite maison de campagne dans un petit village au sud-ouest de la région parisienne. Nous y avons fait connaissance d’un adorable couple de voisin du même âge que nous. Lui, c’est Jean-Jacques, architecte, elle, c’est Annie, jolie brune, esthéticienne.

Nous nous y rendons aussi souvent que possible et presque tous les samedi soir nous partageons un repas bien arrosé avec nos amis avec qui nous refaisons le monde, jusque tard dans la nuit en écoutant de la musique et en buvant peut-être un peu plus que raisonnable.

A la faible lueur d’une bougie, Il nous arrive de danser des slows un peu langoureux et le plus souvent Laure avec Jean-Jacques et Annie avec moi. Profitant de l’obscurité, nous flirtons, un peu en cachette des uns les autres.

J’aime bien voir le corps de mon ami collé à celui de mon épouse et je pense qu’il est dans le même état que moi, le sexe dur et dressé contre le ventre de ma femme.

Ce soir là, Annie est plus abandonnée dans mes bras que d’habitude. Sa tête contre mon épaule, elle me fait des petits bisous dans le cou. Elle est collée à moi, les bras autour de mon cou, les seins plaqués contre mon torse, le ventre soudé au mien. J’ai les mains sur ses fesses et me rend compte à travers le frêle tissu de sa robe d’été, qu’elle ne porte rien en dessous. Elle me masturbe avec les ondulations de son bassin et parfois je suis obligé de m’écarter vivement d’elle, pour ne pas éjaculer dans mon pantalon.
De temps en temps, je glisse un œil en direction du couple formé par ma femme et mon ami. Ils ne sont pas en reste. Malgré que Jean-Jacques se soit débrouillé pour être le plus possible hors de mon champs de vision, j’ai l’impression qu’il a carrément glissé une main sous la mini jupe de Laure et qu’il lui caresse les fesses.
Ne voulant pas être en reste, je glisse une de mes mains sous la robe d’Annie et vais directement vers son entrejambe.

C’est la première fois que nous allons si loin. Je découvre une toison fournie et mon majeur va se loger dans l’intimité d’Annie. Elle est trempée, c’est un délice. Elle m’embrasse la commissure des lèvres. Je bande comme un taureau et elle a pris mon sexe en main à travers mon pantalon. Malheureusement, la cassette de slow se termine et nous retournons sagement nous asseoir.
Nous discutons de tout et de rien. Il y a une bouteille de vodka devant nous dans un seau à glace. Annie s’en empare et boit une longue rasade au goulot. Tandis que Laure, Jean-Jacques et moi sommes au champagne, j’ai l’impression qu’Annie boit plus que de raison. Assise sur un pouf en face de moi, elle a d’ailleurs une pose impudique : robe retroussée, jambes écartées, je me maudits d’avoir laissé allumé juste une bougie.
Elle porte maintenant la bouteille en permanence à ses lèvres et l’alcool commence à faire sérieusement son effet.
Nous continuons à discuter, alors qu’Annie s’est assoupie.
Il est maintenant près de 2heures du matin et nous décidons d’aller nous coucher.
Jean-Jacques veut prendre congé, mais il n’arrive pas à faire réagir Annie. Nous décidons alors qu’elle va dormir avec Laure et que je dormirai dans la chambre des s qui ne sont pas là aujourd’hui.
Jean-Jacques part seul chez lui.
Nous nous couchons et peu de temps après, j’entends du bruit dans la chambre d’à coté. Laure m’appelle. J’enfile un caleçon et Laure me demande d’accompagner Annie avec elle dans la salle de bain car elle se plaint d’avoir la tête qui tourne. J’ai besoin de toutes mes forces pour l’amener avec moi. Elle est nue et j’essaie de profiter du spectacle. Je la fais asseoir sur un tabouret et lui passe un gant d’eau froide sur le front et sur la nuque. Elle a les cuisses écartées et cette fois, j’ai un spectacle parfait sur son entrejambe. Sa toison est noire et très fournie, mais son sexe est quand même bien visible et sa vue me provoque à nouveau une érection qui pointe sous mon caleçon.

Nous restons quelques minutes à la rafraichir et la ramenons se coucher.

A peine dix minutes après, Laure me rappelle à nouveau. J’arrive et ramène cette fois seul, Annie dans la salle de bain. Ce petit manège se reproduit encore 2 fois.
A la cinquième fois, Annie me dit en pleurnichant : « je ne peux pas dormir, je suis malade, reste avec nous s’il te plait ». Je dis non, parce que je ne veux pas que Laure me fasse une histoire, mais contre toute attente, c’est Laure qui insiste en me disant que sinon elle ne nous laissera jamais dormir.
Je m’allonge donc bien contre le bord du lit pour pas avoir de problème et ne tarde pas à m’endormir.
Je ne sais combien de temps après, je suis réveillé par une main qui s’est introduite dans mon caleçon. Je n’ose pas faire un geste. Annie a attrapé mon sexe et l’a fait sortir par la braguette. Il est déjà bandé à fond. Je n’ose pas respirer, je n’arrive pas à déglutir, je fais semblant de dormir, je ne veux surtout pas réveiller Laure. Je suis à la fois terrorisé et délicieusement excité. Elle me branle, tout doucement, sur toute la longueur de mon membre. Je ne fais pas un mouvement. Elle essaye de me faire tourner sur le coté vers elle. Je me laisse faire, faisant toujours semblant d’être endormi. Je pousse mon ventre en avant et n’ai pas longtemps à attendre, déjà, Annie m’a pris dans sa bouche, elle me caresse les couilles, fait trainer un doigt sur mon petit trou, me lèche les couilles, me branle en me suçant. C’est terrible, j’ai peur de jouir et de laisser des traces de sperme dans le lit. Que va dire Laure si les draps sont maculés. Un instant, je recule mon ventre, tentant de sortir ma bite de la bouche d’Annie, mais déjà, elle s’agrippe à mes couilles, m’empêchant de me reculer, sa langue s’enroule autour de ma verge, elle me branle, je suis au fond de sa bouche, je sais que je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, je suis terrorisé des conséquences si Laure se réveille ou voit demain des traces de foutre sur les draps.

Je ne peux plus me retenir, c’est trop bon, j’explose, je suis secoué par des spasmes et me répand dans la bouche de mon amante inattendue. Je n’en finis pas de jouir, je n’en finis pas de gicler mon sperme au fond de la gorge d’Annie et c’est enfin rassuré, que je constate qu’Annie me boit jusqu’à la dernière goutte. Elle avale, déglutit mon foutre, me garde en bouche, me nettoie jusqu’à qu’il ne me reste plus aucune trace de nos ébats.
Elle se retourne du coté de Laure, en chien de fusil, je lui mets un doigt dans la chatte et on s’endort tous les deux.
Le lendemain matin, Jean-Jacques est arrivé avec une poche de croissant tout chauds de la boulangerie voisine. J’ai eu un petit recul lorsque j’ai vu Annie accueillir avec un gros baiser sur la bouche. Laure ne s’est rendu compte de rien et nous avons tous bien ri en évoquant la cuite de la veille d’Annie.

En fin de compte, la bouteille n’avait pas été autant vidée que nous le pensions.
Préméditation?

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