Ma Copine 1
Ma copine Charlotte est très douce et attentionnée mais elle à un problème : elle est vierge et pour des raisons que je ne comprends pas vraiment, et elle semble décidée à le rester pour un bout de temps encore. Quand elle ma dit ça, jai cru quelle nétait pas consciente de ce quelle voulait. Mais avec le temps jai réalisé quelle ne sait pas très bien à quoi elle a renoncé et que ce nest pas la première fois quelle résiste à cette tentation.
En réponse à mes avances sexuelles, après des préliminaires toujours très poussés, elle me dit toujours que ce nest pas le moment et quelle se réserve pour ce moment-là.
Et cest toujours ma même réponse, je lui demande pourquoi elle tient à rester vierge et comment sait-elle que ce nest pas le moment car la phrase trop connue on le sent ne me satisfait pas du tout, je la trouve sans fondements.
Je ne comprends pas non plus son concept de virginité vu quelle se laisse toucher la foufoune et parfois même les rebords de son anus, sans me permettre dy glisser des doigts bien évidemment, mais quand je fais ça elle semble adorer.
Donc, ce quil me faut cest peut-être de linitiative, franchissant le pas pour voir sa réaction mais ça risque dêtre terrible si je lui fais mal, par exemple en enfilant un doigt.
Cest dur de convaincre une fille vierge, voilà pourquoi si javais su je ne me serais jamais investi dans cette relation mais cest trop tard pour me plaindre, lamour y est et mon but à présent est de lui faire oublier sa peur ou quoi que ce soit qui lempêche de baiser.
A un moment donné, jai voulu savoir si elle considérait que la sodomie faisait perdre la virginité, car pas mal de femmes ne le croient pas et y recourent pour calmer leurs copains sans renoncer à leur objectif darriver vierges au mariage. Mais je nai pas osé lui poser la question directement et jai parlé de la copine dun pote comme si cétait elle, de toute façon je crois quelle a pigé que je voulais savoir si elle moffrait son petit trou et la réponse fut claire : pas question!
Donc je sors avec une vierge totale, ni chatte ni cul ni rien de rien.
Lautre jour, elle ma demandé de venir chez elle, elle inaugurait son studio détudiante qui lui évitait de passer plusieurs heures par jour dans les transports.
Elle habitait un petit appartement au rez-de-chaussé dans un quartier chaud de la ville. Elle habitait là à cause du prix peu élevé du loyer.
Elle mavait demandé de passer la voir en début daprès-midi pour laider à monter des meubles. Jy suis arrivé vers quatorze heures. Jai sonné. Jai reconnu sa voix
- Entre, la porte est ouverte. Referme-la à clef.
Je suis entré et jai fermé la porte derrière moi. Je me retrouve dans un petit couloir au bout une salle, cest le salon-cuisine sur ma gauche une porte cest la chambre. Il flottait dans lair une odeur étrange, un mélange de patchouli, dencens et de parfum féminin. Une odeur très excitante. Javance, je la voie, elle semble changée, je ne sais pas pourquoi mais je la trouve différente. Peut être à cause de son nouvel appartement, cest la première fois quelle va vivre seule sans ses parents. Elle est à côté de la fenêtre. Elle ne bouge pas et regarde en se maintenant cachée derrière le rideau.
- Bonjour, viens vite voir.
Je mavance et regarde la rue.
- Tu vois, cette fille en face ?
- Oui alors ?
- Regarde, elle tapine. Regarde le mec, là.
Lhomme sapproche delle, ils discutent un petit peu et partent ensemble sous le porche derrière elle.
- Je la regarde depuis ce matin, cest le vingtième homme qui entre avec elle.
Cest fou non ?
- Bof, cest son travail.
- Quest-ce quelle peut leur faire, ça dure entre quinze et trente minutes puis ils ressortent elle se remet en place, un autre homme laborde et cest reparti.
- Et bien, cest une pute, elle se fait baiser, cest tout.
- Tu crois, vraiment, elle se fait baiser par tous ces hommes ?
- Oui, jen suis sûr.
- Et combien elle peut leur demander pour ça ?
- Je ne sais pas. Je ne suis jamais allé voir ce genre de fille.
- Vas-y, sil te plaie, demande-lui combien elle prend et ce quelle fait.
- Non, je nai pas envie.
Elle sest approchée de moi, ma roulé une pelle comme jamais puis avec un petit air suppliant :
- Sil te plait, pour moi, va lui demander.
- Non, je ne veux pas.
- Oui, vas-y, et je te ferais une surprise, un beau cadeau.
- Bon, daccord, jy vais.
- Je te regarde.
Jai pris mon courage à deux mains et jy suis allé. A mon retour, elle ma demandé
- Alors, combien elle prend.
- Ça dépend de ce quelle fait.
- Alors, combien ?
- Pour une pipe, cinquante euros, pour se faire baiser, deux cent euros, pour se faire enculer, trois cent cinquante euros. Voilà, tes contente, maintenant, tu sais.
- Oui, cest bon.
Elle réfléchit en silence puis en ouvrant des grands yeux :
- Oh ! cest fou le pognon quelle gagne dans la journée. Regarde, ça lui fait un prix moyen à plus de cent euros par client, depuis ce matin elle en a passé une vingtaine, dans la matinée elle a gagné plus de deux miles euros, cest plus que mon père en un mois de salaire. Dans la matinée, tu timagines un peu ?
- Oui, cest sûr elle gagne beaucoup, mais il faut le faire ce travail, non ?
- Cest fou ce quelle peu gagner.
- Oui, mais elle, elle nest pas pucelle.
- Tais-toi.
Elle se lève et part dans le couloir.
- Attends-moi ici.
-
- Patrick, tu peux venir maider, sil te plaît.
Je pars vers la chambre où elle est rentrée pensant quil fallait que je me mette au travail pour lui monter ses meubles. Jentre et je la vois, toute nue allongée sur le lit.
- Viens, embrasse-moi.
-
- Caresse-moi, doucement.
Je mactive, tout en lembrassant, je la caresse, dabord la poitrine puis le ventre.
Elle se contente de gémir de plaisir. Je menhardis un peu et fait passer ma main sur son sexe, elle écarte les jambes quelle avait serrées. Ma main pousse son exploration, je frotte ses lèvres intimes, elle gémit de plus en plus fort, sa main va à ma braguette et elle me caresse à travers la toile de mon pantalon. Je la laisse faire et profitant de ma position, je remplace ma main sur son sexe par ma bouche. Ma langue fouille entre ses lèvres, entre doucement en elle, ses gémissements deviennent des râles. Elle ouvre ma braguette, fait sortir mon chibre bandé et le caresse doucement. Du bout de la langue elle me titille le gland. Je sens le plaisir monter en moi. Stimulé par ses mains, sa langue et ses râles de plaisir, je ne peux plus me retenir, me jette sur le côté et jéjacule par terre.
- Dix minutes, tu me dois cinquante euros.
- Tu plaisantes ou quoi.
- Oui, je tai fait une pipe, cest cinquante euros.
- Non, ce nest pas ça une pipe.
- Ah bon et cest quoi, alors.
- Une petite caresse de rien du tout.
- Tu trouves ! pourtant, tu as joui non ?
- Oui, mais tu tes contentée de me branler en me léchant un petit peu le gland.
Pour une vraie pipe, tu dois me prendre entièrement dans ta bouche, jusquau fond de ta gorge, avec tes mains tu dois me caresser les couilles et le chibre, je dois être dans ta bouche aussi bien, voir mieux que dans ton vagin. Cest ça une vraie pipe, une pipe qui vaut cinquante euros, pas ta petite caresse.
- Mufle. Tu en as déjà eu des vraies pipes ?
- Oui, avec mon ex, elle était très douée pour ça.
- Pourquoi tu las quittée ?
- Je ne lai pas quittée, cest elle qui ma plaqué pour un autre garçon.Cette discussion et le contact de sa peau nue contre moi mont fait rebander, elle sen est rendue compte, ma tiré vers elle, et sest mise à me sucer comme je lui avais indiqué. Cétait super agréable. Je me suis allongé en 69 à côté delle et je me suis remis à lui lécher le minou.
- Oh ! pardon, je tai fait mal ?
- Oui, un peu, regarde, il y a la trace de tes dents, un peu plus et il fallait mhospitaliser.
- Ce nest pas de ma faute.
- Ah bon, cest la voisine qui ma mordu ?
- Non, ne dis pas de bêtises. Ce que tu mas fait était tellement bon que je nai pas pu résister. Et quand lorgasme ma envahie, jétais incontrôlable.
- Bien, cest quoi les meubles que tu as à monter.
- Non, viens, je nai pas fini.
- Tu ne me mords plus.
- Non, promis, juré.
Je me suis laissé faire, sous ses caresses, jai rapidement repris de belles formes.
Elle sest appliquée comme jamais. Cétait tellement bon que je nai pas pu résister longtemps. Quand jai senti la sève monter, jai essayé de me retirer de cette bouche si accueillante. Elle sest accrochée. Jai envoyé mon foutre tout au fond de sa gorge, elle a failli sen mais elle a tout avalé.
- Tu as aimé ?
- Oui, cétait très bien.
- Mieux que ta copine ?
- Oui, cétait mieux, tes contente ?
- Oui. Cinquante euros.
- Sache quil faut te faire payer avant de commencer sinon, le client part.
- Oh, je plaisantais. La prochaine fois, je te ferais payer avant, cest tout.
- Cest daccord, jy penserais la prochaine fois.
Je me suis rallongé à coté delle et jai repris mes embrassades et mes caresses. Au bout dun moment, elle recommençait à gémir de plaisir, jai introduit mes doigts dans son petit vagin. Sous cette pénétration elle sest cambrée et a joui très fort puis elle ma demandé darrêter et de la laisser.
Après cet intermède, jai monté un premier meuble puis je lui ai dit
- Il se fait tard, il faut que je rentre, si tu veux, je viendrais demain pour te monter les autres meubles.
- Oui, si tu veux bien, viens vers quatorze heures comme aujourdhui.
En sortant jai regardé la fille en face, elle était entrain dembarquer un autre client.
A suivre
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