Mon Mari Cocu: 5 Mai 2000 : Ca Y Est, Il L'Est-2
David sest levé en se dirigeant vers la douche.
- Je vous laisse les amoureux, vous avez peut-être des choses à vous dire, mais attention pas de bêtises !!
On sest tous mis à rire, la première tension était tombée.
- Alors, cétait bien ? Ca ta plu ? Tu ne regrettes rien, car enfin nous nétions pas venu pour moi mais pour toi ( hypocrite) ?
- Alors oui à la première question ; oui à la deuxième , énormément et non à la dernière au contraire dautant que la soirée nest pas finie, quen penses-tu ?
- Ce que je pense dans limmédiat, cest de te dépêcher denlever ton pantalon pour ne pas le tâcher ! Et enlever ton string.
Aussitôt fait, je me suis précipité sur son gland et jai tout nettoyé. Noël avait déjà repris de la vigueur et cest donc naturellement quil sest positionné sur moi ; en plus jen avais vraiment envie. Noël possède une belle queue bien proportionnée et il sait sen servir.
- Viens mon cocu, viens prendre ta salope de femme, sens comme ça rentre tout seul ; cest bien chaud nest-ce pas ? Laisse-moi sentir tes cornes, dis-je en massant son front avec mes pouces.
Noël était dans un état second. Mes paroles le fouettaient et lexcitaient.
- Oh France, continue à me parler comme ça, jadore ; jaime que tu mhumilies et te moques de moi. Ca me fait un effet incroyable, lâche-toi ; dis et fais ce que tu veux.
Jétais étonnée de la tournure des évènements ; dautant que ça commençait à drôlement mexciter. Je suis partie dans un orgasme aussi rapide quinattendu en gueulant des obscénités (enfin pour moi) telles que : connard , tu vas porter des cornes tout le reste de ta vie ; PD, tes juste bon à te faire enculer ; tu nas quand même jamais vraiment cru que tu me faisais de leffet, petite bite ; le tout accompagné dune gifle magistrale !
La tension est retombée et jai regardé Noël avec inquiétude ; javais été trop loin. Jai pris son visage entre mes mains et je lai embrassé très tendrement ; pour me racheter et lui prouver que ce nétait quun jeu sexuel.
Il a dit : - continue à faire ce que tu viens de faire, cest ça qui me plaît et que jai toujours voulu ; alors, si ça te plaît , ne te gène pas ; au plus je serai cocu et humilié au plus je serai heureux avec la seule femme que jaime.
Sur ces entrefaites, David est revenu de sa douche ( je le soupçonne davoir écouté à la porte). Il nous propose douvrir une bouteille de champagne pour se désaltérer et bavarder.
- Alors les amoureux, ça va, toujours partant pour la suite, pas de regrets ?
- Non , répondis-je, au contraire, nest ce pas mon petit cocu ? Je vois que ta bosse réapparaît ; tu dois être impatient de reprendre le cours de la conversation.
Une douce euphorie nous envahissait, certainement les effets bienfaisants du champagne. Je me lève, prends Noël par le coude et le force à se positionner entre les jambes de David. Juste un mot : Suce-le. Il a directement englouti le sexe encore mou de David et sest tout de suite appliqué à le faire durcir. De mon côté , je suis passé derrière Noël et ai commencé à lécher sa rondelle ; jy ai ensuite introduit deux puis trois doigts en appuyant sur la prostate. Leffet est immédiat ; il sest mis à bander comme un taureau. Entretemps, David avait retrouvé une belle érection.
Jai mis un peu de gel dans lanus de Noël et jai demandé à David de venir le prendre.
- Le prendre, me dit-il ? Quelle expression curieuse ! Tas pas mieux, ma belle ? Je suis sûre que tu connais des mots plus précis
, non ?
Le champagne, sans doute
, car aussitôt je répondis avec une voix que je ne reconnaissais pas :
- Excuse-moi, je voulais dire : mets ta grosse bite dans le trou du cul de mon cocu de mari et PD en plus et encule-le bien à fond ; que tes couilles claquent sur ses fesses de tapettes.
Surpris par mon ton ( moi aussi dailleurs !), Noël sest retourné, rouge comme une pivoine et lil brillant : il aimait ça.
David ma regardé en rigolant :
- Ben dis donc tapprends vite ma belle .Tu as fait des progrès foudroyants en à peine deux heures ! Je moccuperai de ton petit cul après celui de Noël.
- Jy compte bien en le regardant avec ce que je supposais être un regard de salope.
Cest vrai que javais la sensation quune barrière avait volé en éclat et que je découvrais ma vrai nature. Dominatrice avec mon mari et docile voire soumise avec mes amants. Je découvrais également que jappréciais les mots crus, vulgaires, les insultes émises ou reçues. Javais vraiment envie dêtre traitée de salope, de garage à bites, de bonne à baiser, etc. Je nallais certainement pas le dire à haute voix ; à charge des partenaires de le découvrir ; ce qui ne me semblait difficile à deviner. David avait déjà compris car il mordonna :
-Remets du gel à la rondelle de la tapette et ensuite tu te mettras à quatre pattes et tu lui offriras ton cul à sucer pour quil le prépare.
Je mets du gel et sur la rondelle de Noël et sur la bite de David, celui-ci me retient et mordonne de mettre moi-même sa queue dans le cul de Noël. Je crois bien que je mouillais à nouveau. Je prends sa bite non sans lavoir branler un peu et mapproche de la rondelle de Noël. Je lui dis décarter ses fesses et nous voyons lillet palpiter ; je dirige le gland et David dune poussée rentre la moitié dans le fondement de Noël.
Noël pousse un cri étouffé, il transpire : diable, cest la première fois avec une vraie queue dhomme avec le rythme et tout et tout. Voilà mon cher mari ( que jaime par-dessus tout, je le rappelle) dans la même soirée cocu et enculé par le premier amant de sa femme.
Je me poste devant lui et demande si cest bon. Il baragouine quelques mots inintelligibles. Je lui administre une gifle et lui demande de me répondre.
- Pardon, oui cest bon, très bon. Jadore être pris par une vraie bite. Si javais su, jaurais commencé plus tôt. Merci David, tu me bourres bien.
La suite au prochain épisode
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