Soumise Par Hasard? Heureuse Et Fière De L'Être
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
CHAPITRE 6 MARQUAGE
Le lendemain, je reprend le travail, normalement, je suis comme de juste à la disposition de mes collègues, le matin, après qu'ils se soient extasiés sur mes marques je suis copieusement sodomisée...
André vient de me faire vivre une expérience originale, je répondais au téléphone, il m'a fait m'allonger sur le bureau, et tandis que je parlais et renseignais le client, m'a sodomisé d'importance, Maître Baieul rentrait dans le bureau à ce moment là, a apprécié la scène et m'a félicité, m'a voix n'a pas tremblé, ni changé d'octave alors que j'étais sodomisée, il me félicite d'être un excellent vide-couilles soumis...
En cette après-midi, je suis dans le bureau de mon Maître, sa main est glissée sous ma jupe et me caresse les fesses...
Combien de fois aujourd'hui ?
Sept, Maître, il y a du travail...
Prend une chaise et assied-toi, regarde ce que j'ai prévu pour ton père, étudie, non pas la soumise, mais la femme va me dire ce qu'elle en pense, j'estime qu'avec ces mesures, l'on pourra sauver ce qui peut l'être...
J'étudie attentivement le document, j'approuve, tous les biens, toutes les décisions vont m'être transférés, j'aurais la haute main sur les comptes, mon père sera sous tutelle...
J'appose ma signature, mon Maître me demande lorsque le visiteur qu'il va recevoir s'annoncera de l'accompagner et de rester dans son bureau, je vais devoir prendre des notes.
Le montage financier imaginé par Maître Baieul est complexe, ingénieux, il renouvelle sa confiance à l'homme qui est en face de lui, une entreprise de charpente bois et métal entièrement nouvelle vient de naître... j'ai pris les notes nécessaires aux derniers ajustements du contrat que j'avais pré-dactylographié, je suis requise pour servir deux rafraîchissements, je retourner dans mon bureau dactylographier le contrat.
Une demi-heure plus tard je reviens, le contrat est signé en double exemplaire.
Un claquement de doigts, un geste de mon Maître, je suis nue...
Mon maître assemble trois tiges, elle se vissent entre-elles, je contemple le fer qui va me marquer, je le prend lorsqu'il m'est tendu, mes doigts caressent les lettres en relief dans le laiton, j'embrasse l'objet, les inscriptions me font rêver, un gros « A », en écriture anglaise occupe le centre de deux cercles concentriques, à l'intérieur entre les deux cercles sont gravés les mots « ESCLAVE PROPRIETE DE MAITRE J »...
Allonge-toi sur le bureau et écarte les jambes, je sais que tu en rêves...
Mon Maître est debout devant moi, il me montre le fer et l'applique longuement sur mon sexe, là où je serai marquée pour la vie, mon ventre à un spasme, je laisse échapper un gémissement, je viens de jouir...
Bernard Manoit est parti, mon Maître est en train de me faire l'amour dans mon ventre, je sens le plaisir monter doucement, dès que mes anneaux seront cicatrisés, Bernard Manoit, sera le premier homme à qui je serai prostitué..., je hurle mon plaisir quand Jean se vide en moi...
La semaine se déroule sans incident majeur, un certain train-train s'installe, troublé le vendredi par les lamentations de mon père, ses jérémiades, mais il cède en tout, désormais je régente le domaine et apporterai dès la semaine prochaine les changements préconisés par Maître Baieul, mon père ne m'a même pas demandé comment j'allais, j'ai dû lui demander des nouvelles de ma mère...
Le samedi midi nous sommes tous réunis dans la cuisine de l'étude, je suis félicitée par Maître Baieul pour la qualité de mon travail, il félicite également mes collègues pour l'aide qu'ils m'ont apporté, il est très satisfait de mon travail, en dehors de mon rôle de salope soumise, qui lui va de soi..., nous prenons l'apéritif et rentrons chez nous déjeuner, la semaine est terminée.
Il fait très beau, une fois rentré dans la maison, je reçois l'ordre de me déshabiller et de rester nue, nous dinons sous la tonnelle...
Angèle parle à l'oreille de Jean, la réponse fuse si tu veux, ça doit être rigolo...
Après une légère sieste, mon maître me passe un corset de cuir muni d'anneaux autour de la taille, le serre fortement, ma taille est étranglée, mes hanches ressortent, je reçois l'ordre de porter des chaussures à talons assez larges, il fixe deux longes de cuir aux anneaux de mes seins et m'entraîne à sa suite dans le jardin...
Elie et Maîtresse sont debout devant un petit chariot muni deux deux brancards, sur lequel est fixé un siège en osier, un petit fouet est placé dans un tube à côté du siège...
Je suis amenée entre les brancard, les brancard sont attachés aux anneaux de mon corset, mes mains sont attachées par des bracelets de cuir aux anneaux des brancards, les rênes accrochées à mes seins passées dans des anneaux sur les brancards, retombent devant le siège...
Maîtresse s'installe dans le siège, fouette légèrement mon cul, me voici cheval... je tire sans trop d'effort le chariot dans les allées du parc, les rênes tirent sur mes seins pour me faire tourner à droite, à gauche, ou m'arrêter...
J'ai envie d'uriner, je demande à ma Maîtresse et me soulage comme elle m'a dit de le faire, attelée, jambes écartées, comme un animal...
Je promène ainsi ma Maîtresse adorée pendant une demi-heure, puis sur ordre de Maître Jean, je suis détachée et envoyé me doucher et me reposer, une dure soirée m'attend...
Je suis réveillée doucement par une main, j'ouvre les yeux, mon maître me dit je vais devant Angèle et Pauline te faire l'amour une dernière fois dans ton ventre de soumise, la prochaine fois, ce sera dans le ventre d'une esclave...ton ventre d'esclave...le ventre de mon esclave...
Je pousse un long cri quand le Maître se vide dans mon sexe, il a pris son temps, j'ai déjà joui deux fois avant qu'il ne le fasse à son tour.
La douce langue d'Angèle nettoie mon sexe, jusque dans ses moindres recoins, je joui à nouveau...
La nuit est quasiment tombée, le salon est éclairé, le parc également, je serai marquée dans le parc, des hommes ont installé une table dans le jardin, un chalumeau est installé près de la table...
J'ai été présentée, nue, en laisse, à la trentaine d'invités présents, à chaque fois, il a été précisé que mon anus et ma bouche, ainsi que mon corps à l'exception de mon sexe étaient à leur entière disposition...
Alors, Mademoiselle ma cousine, nous ne nous sommes vus qu'une fois, vous étiez une adolescente, vous vous rappelez de moi, tout en continuant de me sodomiser, l'homme m'indique son nom, effectivement nous sommes cousins, mon père le méprise parce qu'il dirige une entreprise et travaille, je le dis à mon cousin et lui présente mes excuses pour l'attitude de mon père...
En bonne salope, je jouis quand il se vide dans mon cul, son vide-couille de femme est requise pour lécher le sperme qui sortira de mon anus et le rendre ainsi utilisable pour le prochain qui désirera me prendre...
J'ai l'anus en feu, une dizaine d'hommes m'ont utilisé, ma bouche a été utilisée six fois... mes seins sont douloureux à force d'être manipulés, tirés, pressés, mordus, sans ménagement... je suis une esclave, je dois accepter, assumer...
Les gens discutent, flirtent ou des couples sont en pleine action, je remarque que la petite vendeuse, Antoinette est utilisée sans précaution dans tous ses orifices et semble manifestement y prendre du plaisir...
J'ai été lavée une nouvelle fois par Maîtresse Angèle et Pauline, il est prêt de minuit, Jean tape dans ses mains, la foule s'assemble et en silence, il l'a demandé, puis se dirige vers le parc...
Je suis attachée solidement sur la table, mes jambes écartées sont attachées aux montant de la table, le public présent à une vue imprenable sur mon sexe, un morceau de bois est placé dans ma bouche, je mord dedans.
C'est bon, Elie qui vérifiait la température du fer avec un thermomètre indique à mon Maître qu'il peut procéder...
Une dernière fois « A », acceptes tu d'être marquée, si oui fait signe avec la tête...
Je hoche la tête plusieurs fois...
Mon Maître prend le fer par la poignée en bois, empoigne le manchon isolant fixé sur la tige, positionne le fer et d'un geste décidé des deux mains l'applique sur mon ventre...
« je vais mourir, au secours... », une douleur atroce me déchire le ventre, une odeur de cochon grillé se répand, mes larmes coulent, je n'ai pas laissé échapper un gémissement, je suis restée rigoureusement immobile, offerte... le fer est retiré, de l'eau froide versée sur la brûlure, la douleur s'estompe, je suis détachée, de l'eau froide est toujours versée sur mon ventre, une glace m'est présentée, je peux voir le signe de ma servitude à jamais gravé dans ma chair, je suis heureuse et remercie mon Maître pour le cadeau qu'il vient de me faire...
Les bouchons des bouteilles de Champagne sautent, nue, verre en main, je trinque et suis félicitée par toutes les personnes présentes, à ma grande surprise des cadeaux me sont offerts, boucles d'oreilles, godes, fouets, ce qui me touche le plus est le cadeau de mon cousin, une chaine en or, illico je que le passe autour de ma taille avec une médaille « A, Esclave 26 mai 1932 »..., je fonds en larme en le remerciant.
A intervalles réguliers mon ventre est arrosé d'eau glacée, la douleur s'estompe...
Avant de partir le docteur René Paliot, m'a fait un pansement, a expliqué à mes maîtres et Pauline les soins à me prodiguer, la fréquence des pansements et a expliqué qu'en fait, je devrais rester ventre nu le plus souvent possible, l'air est le meilleur cicatrisant selon lui..., par contre pas d'utilisation comme objet sexuel cette semaine, seule ma bouche peut servir..., je devrais venir à son cabinet 3 fois dans la quinzaine qui suit...
Je suis couchée en compagnie de mon maître et ma maîtresse, ils me caressent, nous discutons, Je suis stupéfait que tu n'ai pas cherché à te dérober, pas un frémissement, rien, tu n'as pas trop mal ? me demande Jean...
Non, c'est supportable, ça chauffe un peu, mais je savoure ma douleur, elle est le signe de mon appartenance totale, je souhaite désormais devenir enfin votre pute esclave, être prostituée pour ajouter encore à ton prestige, à ta gloire, Jean, à la tienne aussi Angie, mes Maître adorés...
Il m'a donné pour consigne de les appeler désormais Jean et Angie, la marque que je porte sur mon ventre, à vie, est suffisamment explicite pour se dispenser des « Maître », « Maîtresse », sauf en public, je dois leur donner leur prénom... à l'étude, cela va de soi « Maître »...
T'es un drôle de futé, elle est ainsi obligée de t'appeler malgré tout « Maître », t'es vraiment ma boule de vice favorite, mon amour... déclare Angie.
Il t'a fait un beau cadeau ton cousin, c'est un homme exquis, un esthète raffiné, un dominant redoutable... un ami charmant...ton père aurai du s'inspirer de son exemple, sa minoterie fonctionne bien...
J'acquiesce aux propos d'Angie..., je joue avec ma chaîne et ma médaille...
Nous nous endormons...
Lorsque je me réveille, la matinée est presque finie, je suis seule dans le lit, j'arrache mon pansement, grimace, ça colle un peu, malgré l'onguent, et m'admire dans la glace, j fais une moue dépitée, les chairs sont gonflées, rougeâtres, brunâtres, malgré tout on distingue bien la lettre « A » et on discerne le texte, je suis ravie malgré tout..., je m'admire, il y a 9 jours j'étais vierge et désespérée dans ma solitude, je me préparai à rester vieille fille alors que je sentais que ma nature était exigeante, que de changements en une semaine, je suis heureuse, je décide de mettre des talons très hauts et passe un serre-taille, d'une démarche provocante, chaloupée, je me dirige vers le jardin où j'ai entendu des voix...
Jean, Angèle et Pauline et Elie déjeunent dehors, nus, j'embrasse tout le monde, me sert un bol de café et me joint à la discussion...
Jean me félicite pour ma tenue et surtout la manière indécente dont elle fait ressortir mon fessier, il adore, Angie et Pauline me félicitent également de ma tenue et présentation de salope...
Angie et Pauline m'ont lavé, pomponné, ont nettoyé mon ventre, mes anneaux, nous déjeunons d'un repas froid, la chaleur est accablante, Angie a décidé de se faire bronzer... cet été ils partent dans le sud, par hasard, Jean a fait l'acquisition d'un domaine agricole du côté d'Agde (un joueur malchanceux et impénitent qui avait un besoin urgent de réaliser un héritage...), sur une péninsule, ils vont aller 15 jours ou plus à la mer, l'esclave que je suis, elle, sera placée dans un bordel de luxe de Tours, comme pute maso à fouetter..., s'ils restent plus de 15 jours, je les rejoindrait en train, l'essentiel est que l'étude soit ouverte une fois les moissons effectuées...
Jean se lève, il n'y tient plus, j'allonge mon torse à sa demande sur la table, j'écarte mes fesses avec mes mains, il me crache dans l'anus, lubrifie, introduit sans ménagement son sexe dans ma rondelle, force, passe le deuxième sphincter, il est dans mon ventre, il prend son temps, la houle s'empare de mon ventre, je crie mon plaisir lorsqu'il se vide en moi...
Je nettoie avec ma bouche la bite engluée de merde qui m'est présentée, Angie lèche et nettoie mon petit trou...
La semaine se déroule sans incident, je suce mes collègues sans retenue quand ils en ont envie, je me rend une première fois chez le docteur, il est très satisfait de la cicatrisation, il en profite pour se faire sucer et me sodomise ensuite...
Je revois deux fois Bernard Manoit dans la semaine, il m'amène des documents, des devis, des factures à dactylographier, il me fait maladroitement la cour, j'apprécie, c'est la première fois qu'un homme me fait le cour, j'aime bien Bernard..., son entreprise démarre assez bien, il a décroché des contrats pour des écoles, avec l'armée, Maître Baieul a je pense une fois de plus, joué le bon cheval.
Je réfrène une grimace, ne pouvant plus me raser mon ventre, désormais il est épilé... Angie s'active, sa langue fouille de temps en temps mon sexe..., je joui bien sûr...
Fin juin, j'ai parfaitement cicatrisée, les anneaux coulissent sans soucis, ma marque est maintenant apparente, distincte, la chair rouge brun foncé est en parfait contraste avec la peau brunie de mon ventre, comme Angie, je suis la nouvelle mode qui n'interdit plus d'avoir une peau bronzée, nue, le bronzage est uniforme, on distingue parfaitement l'inscription, aucun doute possible, l'homme qui me possèdera, n'aura pas de question à se poser, il possèdera une esclave... j'en suis très fière...
Mes collègues qui ont retrouvé le chemin de mon anus, ne se lassent pas d'admirer ma marque, avec l'accord de mon Maître, je les accueille dans mon sexe, tous ont la même réaction, avant de me pénétrer ils suivent du doigt les contours de la marque, doucement, délicatement, après ils m'utilisent comme ils le veulent...
Un qui m'utilise souvent, puisque je partage ses nuits, c'est Hubert, avec lui je jouis quasiment comme avec mon Maître.
Début Juillet, Marcelle est venue nous rendre visite avec son cornard d'hépatique, mon dieu, quel homme répugnant, le teint jaune, des yeux injectés de sang (l'alcool surement), gras à lard, le ventre contenu par son ceinturon d'uniforme, il ne me faut que quelques minutes pour m'en rendre compte, une incommensurable bêtise régit ses pensées et son raisonnement... pauvre Marcelle.., ils partent pour Vichy...
Auparavant Jean et Hubert ont discuté avec lui, par des finesses de tournure de phrases il se sont copieusement moqués de lui, cet imbécile de Gaétan ne se rend pas compte qu'ils sont en train de se foutre de lui, il pérore... fier de lui... content de lui... comment fait Marcelle pour supporter un individu pareil et partager sa couche..., je suis bien contente d'être soumise désormais, indépendante, je gagne ma vie, car mes parents auraient bien été capables de me forcer à épouser un individu pareil, merci Maître Jean de m'avoir évité cela..
Malgré la crise économique les affaires de l'étude vont très bien, à ma grande surprise, à l'instigation de Maître Baieul, je me découvre un nouveau talent, j'arrive très bien estimer l'état et la valeur d'un bien...
« A » tu as l'habitude d'apprécier l'état d'un bâtiment, avec ton père son château et ses fermes à moitié en ruines, tu sais estimer ce qui est le plus urgent, où je me trompe...
Non, Maître, j'ai une certaine habitude de ces choses, les toitures à refaire, tout ça...
Tu viens avec moi nous allons estimer un bien, avant de partir, relève ta jupe, que j'utilise ton ventre..
Je relève ma jupe, me couche sur le bureau, écarte les jambes afin que Jean puisse pénétrer mon sexe de soumise sans problème, de toute façon je suis trempée, l'anneau de mon clitoris, me maintient dans un état permanent d'excitation...
Mon cul a été pénétré bien entendu, je hurle mon plaisir quand mon Maître se vide dans mon ventre, je nettoie son sexe avec ma bouche, et à son invite, m'assied sur une chaise, jambes écartées pour recueillir le sperme qui sourd de mon sexe... je suis une salope soumise...
Nous visitons la ferme mise en vente par des héritiers partis travailler à la ville, mes observations rejoignent celles de Maître Baieul, mon appréciation également, mon Maître me signifie qu'à la rentrée je passerai mon permis de conduire pour pouvoir faire également des évaluations de biens en solo...
Au cours du trajet retour, Jean me passe le volant et doucement, en apprenant, je ramène l'auto, lorsque nous sommes en vue du portail, Jean me dit « Tu t'en es très bien sortie, je suis très content de toi, demande ce que tu veux... ».
Je veux être pendue par les seins et fouettée durement, pouvoir vous offrir ma souffrance, ma douleur, mes marques, mon Maître adoré...
J'écoute les conseils et rentre l'auto dans la propriété (le portail me paraissait bien étroit pour la voiture), la gare sous le préau, Jean est parti refermer le portail...
Toi..., tu me fais un complexe « Antoinette », avoue qu'elle te fascine avec sa poitrine tombante, détruite, sache que ses seins ont été traités pour les faire grossir, personnellement je n'approuve pas ce traitement, tu verras avec l'âge ils deviendrons moins fermes, et regarde-toi dans une glace, regarde comme ta silhouette a changée depuis ton dépucelage, tu me conviens comme tu es...
Jean me confirme ce que j'avais cru remarquer, mes hanches se sont accentuées, ma taille affinée, mes seins ont augmenté de volume, sont devenus plus sensibles,j'avais attribué cela aux anneaux, non mon corps est devenu un corps de femme, il a changé...
Je dégage ma poitrine, prend un sein dans mes mains et le présente à la morsure de mon Maître comme j'adore le faire, il mord fortement mes deux seins, nous entrons dans la maison.
Je suis nue, un serre-taille en cuir muni d'anneaux a été lacé autour de ma taille, les bracelets de mes poignets attachés au serre-taille, je suis allongée sur le chevalet, Maître Jean, crache sur mon anus, lubrifie avec sa salive et d'un coup sec enfonce son sexe dans mon anus, la douleur est à peine soutenable, je me cabre, puis me raisonne et me laisse sodomiser, je crie mon plaisir, quand il se vide dans mon ventre...
Je suis suspendue par mes seins, jambes écartées entravées par une barre, mes mains sont attachées levées, mon corps est ainsi dégagé, rien n'entravera,ne gênera l'instrument qui servira à me flageller...
Et bien, nous allons essayer le fouet qui t'a été offert lors de ton marquage...
Un sifflement, la lanière s'enroule autour de ma poitrine, une douleur irradie mon dos et mes seins, je compte, remercie..., mon corps est systématiquement parcouru par la lanière du haut de mes genoux à ma poitrine, je ne suis plus que douleur, je transpire en abondance, mon ventre coule, mes tétons se dressent, Jean s'en aperçoit, arrête la flagellation, branle mon sexe... je hurle mon plaisir, les coups redoublent, je ne les sens plus...
Mon corps me brûle, je reste ainsi suspendue par les seins...
Mon maître revient, badigeonne mon anus, je sens sa main pénétrer, je pleure, la douleur est intolérable, sa main est maintenant entièrement dans mon conduit, il me caresse le sexe, me branle, mon ventre tremble, je ne sens plus la douleur, le plaisir monte, je vais jouir... je jouis... une nouvelle volée de coups s'abat sur mon corps, je ne sens plus rien... je suis toute à mon plaisir...
J'ai été descendue, détachée, je suis à genoux à côté d'Hubert, ils soupent, je mangerai et boirai dans une gamelle, mains attachées, comme une chienne, chienne que je suis...
« Je m'en moque, lorsqu'ils m'ont amenés devant la glace, et que tous les trois Jean, Angie, Hubert, ils ont suivi les marques que j'ai sur le corps avec leurs doigts, j'étais heureuse, fière, ravie, ils ont vu que je peux tout supporter, Jean ne m'a pas épargné, par endroit je saigne, mais je suis immensément heureuse d'être son esclave et de lui prouver...en réclamant de souffrir... que mon Maître est bon, quelle chance j'ai... ».
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