Je M'Abandonne Dans Le Train 2
De retour, Je me suis donc assise face a mon mari qui avait a peine relevé la tête de son livre.Le wagon sétait considérablement vidé, seules quelques personnes étaient encore présentes. japercevais un couple 5 rangées plus loin et un homme daffaire me faisait face 2 rangées plus loin. Il était visiblement absorbé par son ordinateur portable.
Je décidais alors de reprendre mon livre et de me plonger dans ma lecture. Je ressenti mon entrejambe humide ce qui me rappela ce que je venais de vivre. Je décroisai les jambes pour faire un peu sécher tout cet excès dhumidité qui subsistait autour de mon intimité, cela rafraichirait également cette zone qui avait été en suractivité il y a quelques minutes. Je ressentais encore les battements de mon cur dans mon vagin dont les veines étaient encore hyper irriguées.
Dun mouvement rapide mon mari ferma son livre en se levant tout en me disant à voix basse « je vais aux toilettes ».il se retourna et disparu dans le couloir.
Je profitais alors de la place rendue disponible pour écarter un peu plus les cuisses afin de favoriser cette entrée dair frais qui me caressait délicatement mes parties intimes.
Javais du mal à me concentrer pour lire, car la pensée du moment que je venais de vivre ravivais mon plaisir mais commençais a naitre en moi un sentiment de honte et de culpabilité.
Je me disais que jétais une vraie coquine car de nombreuses femmes dans pareille situation auraient criées au viol et se seraient débattues pour échapper à ce qui devrait sapparenter à un viol collectif.
Ces trois hommes mavaient enlevée, séquestrée, caressée, tripotée, déshabillée et pénétrée par presque tous les orifices. Cétait inqualifiable mais ce comportement avait été ressenti comme si voluptueux dans mon esprit que javais pris un plaisir décuplé mais inavouable et honteux
Je me dis que dans cette situation, la différence entre un viol odieux et une situation voluptueusement érotique tiens vraiment à peu de choses.
Comment aurais je réagi si avant de croiser ces hommes mon mari ne mavais pas suggérée de me prendre là sur la banquette et si ses paroles navaient pas réveillé ce vieux fantasme de faire lamour avec un inconnu qui est ancré en moi depuis mon adolescence ?
Comment jaurais réagi si les premiers mots de ces hommes navaient pas été des compliments à mon égard et enfin si les premiers gestes de ceux-ci navaient pas été de tendres bisous dans mon cou et des caresses sur mon corps ?
Je pense que jaurai fait comme une majorité de femme mais je me suis comportée en vraie « salope » et la simple évocation de ce mot qui résonne dans ma tête me fait remonter mon excitation.
Je suis une « salope », jai été abusée, utilisée, souillée tout ça à quelques pas de mon homme et jaime ça, je nai même pas criée ou résistée. Cest une évidence ce que je suis devenue mais cest tellement bon.
Cette humidité qui avait à nouveau perlée sur les lèvres de mon sexe me procurait une sensation de fraicheur provoquée par un léger courant dair dû à la clim de ce train.
Cela eu pour effet de me ressortir de mes pensées érotiques et de me faire relever la tète. Mon regard se posa sur cet homme daffaire que javais oubliée et qui était assis en face de moi .Son regard était orienté, comme captivé par le spectacle que je lui offrais depuis mon siège.
En une fraction de seconde, je réalisais alors que de sa position et compte tenu de la mienne, il ne pouvait rien ignorer de ce qui se passait sous ma jupe. Mon esprit bienséant me commanda alors de resserrer les jambes mais aussitôt, à la faveur de mon état dexcitation, mes pensées de « salope » prirent le dessus en me recommandant de rester en position pour partager un plaisir réciproque.
Je fis mine de replonger dans ma lecture et observais discrètement son attitude. Il semblait subjugué par la scène, ses yeux étaient grands ouvert et scotchés sur mon entrejambe. Et je limaginais en érection dans son costume.
Cest à cet instant que réapparu mon mari arrivant à hauteur de cet individu le regard bloqué sur la vue que je lui offrais. Mon ange gardien mintima lordre de resserrer les jambes, ce que je fis immédiatement.
Mon mari, tout en sasseyant me dit :
- Tu feras attention ! Le type en face de toi doit avoir une vue imprenable sur ton entrecuisse.
- Ha bon ? Tu crois ? Répondis-je en prenant un air de surprise
- Jen suis sûr, dailleurs à ce sujet, jai cru rêver, javais limpression que tu navais rien dessous
Je rougis un peu et après avoir balbutié, je fus bien obligée de lui avouer une partie de la vérité
-Heuuuu, ben, heuuu, tu nas pas rêvé, je viens de la poser aux toilette tout à lheure
- Hum ! Tu sais que tu mexcite de plus en plus toi ? Jai vraiment envie de te prendre sur le champ, Montre moi ton petit abricot, jai envie de le voir.
- Ici ? , comme ça ? Noublie pas que lautre là bas peut tout voir
.
- He bien justement, ça mexcite dimaginer que lautre nous regarde et quil puisse te désirer vas y écarte tes jambes, doucement, fais en sorte quil ne devine pas que je suis daccord
- Tu es sûr ? Tu veux vraiment que je lui montre ma chatte ?
- Oui cest ça, je veux te voir lui montrer ta chatte, discrètement et dis moi comment il réagit. Jai envie de limaginer quand il contemple ton petit trésor caché. Et puis donne moi ta culotte, je veux la tenir entre mes mains et être sûr que tu ne la remettes pas de la journée.
- Ben pour ça tu peux être rassuré mon chéri, je ne laie plus
- Je sais bien que tu ne la porte plus, mais donne la moi.
- Ben heu
.comment te dire, heu
je lai jetée dans les toilettes du train, je voulais te faire la surprise ce soir et ne pas prendre le risque que tu la retrouve dans ma poche ou ailleurs alors je lai jetée.
OUF ! je venais dimproviser une explication à peu prés crédible à mon absence de sous vêtements, je men sortais bien.
-Si ça mexcite ma chérie? Tu nimagine même pas à quel point ; Alors toi, tu es une vraie coquine, si josais, je te dirais bien que tu es une vraie petite « salope »
- Tu as raison mon chéri, ose, jen suis une en plus si tu savais comme jaime ça
..
- Ha tiens, tu aimes faire la salope ?
- Je crois que oui, ça me plais de me promener la foufoune à lair sous ma jupe, comme de savoir que cela texcite et que dautres hommes puissent être attentifs à moi et me désirer, ca me rend dingue dexcitation.
- Ouaaahh ! Jadore quand tu me dis des choses comme ça, tu mexcite vraiment.
- Aller regarde chéri, puisque tu mencourage, je vais faire semblant de lire et je vais mexhiber progressivement. Regarde comme je suis salope quand je veux, je vais le faire bander lancien , il va baver en contemplant entre mes cuisses et toi aussi je vais te faire délirer.
Mon mari fit mine de reprendre sa lecture tout comme moi et progressivement je pris une position de plus en plus négligée. Je commençais par décroiser les jambes et positionner discrètement ma jupe de façon a ce que le tissu du dessus soit bien tendu entre mes 2 cuisses. Dès mon décroisé de jambe lhomme daffaire fut à nouveau captivé. Son regard se repositionna à hauteur de la lisière de ma jupe en espérant voir en dessous. Mon mari également mobservait mais lui avait une vue moins dégagée ; en revanche, il pouvait assister à tout mon show et imaginer le spectacle que vivait cet inconnu.
Petit à petit, tout en feignant de lire, je pris le rôle de celle qui se détendait et qui oubliait que jétais dans un lieu public. Jécartais lentement mais inexorablement les cuisses tout en glissant légèrement sur mon siège.
Désormais vu la position que javais, il ne pouvait plus ignorer que je navais pas de culotte. Je le devinais à la couleur de ses joues qui commençaient à rosir, voir tourner au rouge, lémotion semblait le gagner .mais en voyait il assez ? Voyait-il uniquement ma petite touffe délicatement taillée en triangle ?, voyait-il la naissance de mon sexe délicatement épilé à nu ? Voyait-il mon clitoris qui devait être rouge de plaisir ou pouvait-il apercevoir même lentrée de mon puits à plaisirs qui était à nouveau bien humide ?
Il fallait que jouvre encore plus pour massurer de lui en donner pleine vue sur ma chatte. Comment faire pour rester malgré tout un peu naturelle, je décidais alors de recroiser les jambes mais en posant dans un premier temps le haut du tibia sur ma cuisse opposée. Malheureusement, cela nouvrait pas assez mes jambes à mon goût, alors jécartais ma jambe jusqu'à ce que ma cheville soit posée sur le genou ainsi je sentis louverture béante de ma chatte et lair frais sintroduire pleinement sur toute ma zone intime délicatement humidifiée. Je ressentais le regard de cet homme accompagner cet air frais ce qui me déclencha immédiatement des frissons de plaisir sur tout le corps. Jétais désormais complètement ouverte et offerte à la merci du regard de cet homme. Son regard était complètement bloqué sur mon sexe mais une de ses mains désormais massait à travers son pantalon, un sexe que je devinais en totale érection, de lautre main il faisait mine de travailler sur son ordinateur
Je décidais alors de décrire cette scène à mon mari, qui lui-même face à ce quil voyait et ce quil entendait ne pu sempêcher de se masturber tellement il était excité. Il ouvrit sa braguette, détacha les boutons et sortis discrètement son membre de façon que moi seule puisse assister à la scène.
-Te voir te masturber me donne envie de gober ton sexe dans ma bouche Lui dis je
-jaimerai bien, ça mexcite vraiment que tu fasses bander ce type, lidée que tu joue avec lui devant moi sans pouvoir te toucher et surtout que tu sois maitre du jeux me rend fou. Je te laisserai bien me sucer mais cest vraiment risqué de faire ça dans le wagon.
-Alors dans ce cas, toi qui délire en me voyant exciter cet homme, si tu me lautorise jai une idée qui va te faire sauter au plafond. Si tu me donne carte blanche bien évidemment
- Aie ! Je ne sais pas si je dois, mais je suis tellement excité que jaimerais bien voir ce que tu vas faire
Je prends un risque mais bon, vas y ma chérie, vas y excite le, excite toi, excite moi vas y je ten prie
.
- Ok alors cest parti on va jouer
A SUIVRE
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