La Démoniaque Sarah 1
Cest après une soirée un peu chaude que Jai rencontré Sarah il y a presque six mois. Ce qui ma beaucoup plu chez elle cest son côté très mystique qui allait très bien avec sa rousseur flamboyante. Nous avons commencé à sortir ensemble lors dune soirée chez un copain puis petit à petit nous nous sommes rapprochés de plus en plus. Jai couché avec elle dix jours après notre rencontre, ça a été une des nuits les plus chaudes que jai connues Sarah était vraiment très imaginative en amour et cest même la première fois de ma vie que jarrivais à jouir quatre fois à la suite.
Quelques jours après, elle ma proposé de participer à une cérémonie magique quelle organisait. Comme je nen avais pas trop envie, pour me convaincre, elle mavait promis que je pourrais baiser Catherine. Cétait une des filles les plus en vue de tout le lycée. Je ne connaissais pas un garçon qui ne rêvait pas de se la faire. Elle était intouchable, je la pensais même peut-être lesbienne pour tout dire. Alors quand Sarah ma promis que je la baiserais avec sa bénédiction si je venais à sa cérémonie, jai accepté.
Limpatience commence à me mordiller les entrailles. Elles mavaient promis que je naurais pas longtemps à attendre mais cela fait deux heures que je suis là, à compter les grosses pierres bleues qui forment les murs de cette pièce vide. Au début, la fraîcheur de lendroit mavait ragaillardi mais le soir qui tombe crache par la fenêtre sans vitre lhumidité des bois qui, petit à petit, me glace les os.
Je commence à rêver de ce soir. Une bonne bière, accompagnée de morceaux de fromage, dégustés étalé dans le fauteuil du chalet, en écoutant le bois se tordre sous les flammes du feu de cheminée et en matant la belle Catherine.
Quelles finissent leur rituel à la con et quon rentre !
Jentends enfin la porte qui souvre. Ouf ! Je ne sais pas ce quelles vont me faire, mais au moins, je vais bouger dici ! Sarah entre dabord dans la pièce, suivie de Catherine et de sa frangine Julie.
- Enfin, vous êtes là ! Il était temps !
- Tais-toi, Pierre. À partir de maintenant, tu ne parles que lorsque nous te le demandons. Cest un jeu pour toi, mais pas pour nous !
- Comme tu veux, ma belle.
Ouais, cest ça. Ma copine, Sarah, est une allumée de première. Je suis certain quelle a manipulé les deux autres pour participer à son rituel de magie à la con. Que leur a-t-elle promis, à elles ? Quand elle ma juré que jaurais le droit de baiser Catherine, je nai pas hésité une seconde. La plus top de ses copines est une bombe genre suédoise et actrice de film de cul. Je mate ses jambes bronzées presque entièrement dénudées. Mon regard sarrête sur ses pieds nus. Jaimerais déjà te les réchauffer, ma belle, plutôt que de faire le singe pour ma copine.
- Suis-nous !
Sarah mène la danse, évidemment. Elle se tourne et je suis le cortège. Sortir me fait un bien fou, il fait bien plus chaud dehors que dans cette vieille grange. Nous empruntons un petit chemin qui serpente dans la forêt. Il fait de plus en plus noir. Julie est juste devant moi, mais je ne parviens presque plus à distinguer son derrière dont la plastique nest pas en reste sur celle de sa sur. Je ne vois plus que des tissus blancs qui ondulent et trois petites lumières qui vacillent.
Après dix minutes de marche environ, nous arrivons dans une petite clairière éclairée par des torches posées sur des petits poteaux installés en cercle, à distance égale. Au milieu du cercle, une pierre plate trône au milieu dun pentagramme tracée au moyen dun épais fil blanc.
- Mes surs, prenez place ! La cérémonie va commencer. Pierre, attend en dehors du cercle.
Les trois vestales se placent autour de la pierre, en se tenant les mains. Sarah lève la tête vers le ciel.
- Grande Déesse ! Nous nous présentons à toi pour te célébrer. Lheure du solstice dété touche à sa fin, tu nous as comblés de bienfaits. Bénis-nous, donne-nous la force pour accueillir les ténèbres !
- Bénis-nous, donne-nous la force daccueillir les ténèbres ! répètent les deux autres, à lunisson.
Jai envie de pouffer de rire. Mais ma fanatique de copine risquerait de bien mal le prendre. Cela fait des mois quelle prépare ce truc. Elles continuent pendant de longues minutes leurs litanies, je ne fais plus attention aux paroles. Elle allume un petit feu sur la pierre. Il prend rapidement. Dedans, elle jette des herbes aromatiques qui répandent une odeur âcre. De la sauge ? Je la vois jeter une sorte de poudre dans les quatre directions, tout en continuant ses incantations.
Un gong me tire de ma torpeur. Sarah vient de taper sur une sorte de disque en étain.
- Mes surs, lheure est venue pour loffrande.
Elle disparaît du cercle et je crains déjà que dans sa folie, elle ne tue une poule ou un autre petit animal. Cest que je suis sensible, moi ! Je la vois revenir en tenant dans une main une corbeille et dans lautre une bouteille. Ouf !
Je commence à me lasser. Voici plus dune heure que je regarde leurs conneries. Cétait marrant au début, mais cela devient lourd. La fatigue me gagne. Je regarde ma montre : onze heures ! Comment perdre son temps efficacement
Ma prêtresse de copine dispose quelques fruits au pied de la pierre. Elles se mettent à chanter, maintenant !
- Lheure arrive. Le solstice dété sera terminé. Le Seigneur va réapparaître et faire petit-à-petit son travail, jusquau solstice dhiver.
Sarah sapproche de Catherine. À ma stupéfaction, elle retire la broche qui maintenait sa toge et celle-ci glisse à terre. Nue. Mon sang ne fait quun tour, mon adrénaline monte. Ma fatigue disparaît, je renais. Et en même temps, je ne sais plus où me mettre
Catherine a les formes voluptueuses que javais devinées. De beaux seins lourds, de larges hanches, un beau cul rond, de bonnes cuisses. La lumière des torches rend le spectacle encore plus sensuel. En dehors du cercle, dans le noir complet, je peux la mater à loisir. Sarah va ensuite vers Julie et réédite le meilleur moment de la soirée. Julie est très belle aussi, mais beaucoup plus fluette. Le corps bronzé de Catherine a, à la lueur des flammes, des reflets dorés. Celui de sa sur est tout blanc. Des petits seins bien fermes, un derrière bien dessiné, des jambes frêles. Elle est un peu moins sexy, mais néanmoins jolie. Cest au tour de la meneuse dôter son déguisement. Cest marrant de voir comme ma copine a un peu du physique de ses deux amies : plus ronde que Julie, ses formes sont cependant moins provocantes que celles de Catherine. Sa rousseur parcourt tout son corps et cache sa blancheur, ce qui fait vraiment delle un « modèle » intermédiaire des deux autres. Elles se prennent par la main, reprennent leurs incantations. Mais cest quelles connaissent bien leur texte, les poulettes ! Elles sasseyent, Sarah prend une bouteille.
- Par ce breuvage, nous taccueillons dans nos corps, Seigneur !
Et elles se passent la bouteille. Je me rends compte que ma gorge est complètement sèche et leur demanderais bien un coup si je navais pas peur des représailles de la Grande Prêtresse.
Pendant environ dix minutes, elles boivent, chantent, tournent en rond. Mes yeux, jusque là toujours scotchés sur la scène deviennent à nouveau lourds
le sommeil est persistant, malgré le spectacle.
- Il est là, je le sens. Grand Cornu, fais de nous ce que tu veux !
Sarah avait dit ça dune voix forte, presque rauque, les yeux grands ouverts.
Comme en transe, elle sapproche de moi. Enfin, le final !
- Déshabille-toi !
- Hors de question, Sarah !
Les deux autres me regardent, effarées.
- Tu ne la contredis pas ! À poil ! dit Catherine.
- Non ! Laissez tomber et faites comme si je nétais pas là !
Sarah devient rouge. Elle sapproche de moi et tire sur le col de mon t-shirt si fort quelle me fait mal au cou.
- Tu nas pas le choix. Tu as promis. Ne fais pas attendre notre Roi, Pierre. Cela va mal se terminer !
- Ouais et quest-ce que vous allez me faire ?
- Catherine, Julie, occupez-vous de lui.
Sans attendre, Catherine se jette sur mon short et le déboutonne avec rapidité pendant que Julie me tient les bras. Elle abaisse le tout et mon membre pend, maintenant à la vue de toutes. Bon, trop tard maintenant. Résigné, jenlève mon t-shirt. Je tire la gueule.
- Ouaaah ! Il est bien foutu, ton ami ! dit Catherine, lair emballée.
Cela mémoustille un peu, dêtre à poil comme ça, devant les autres. Je me sens un peu bête et gêné mais curieusement, excité. Sarah me tend la bouteille. Je porte le goulot à mes lèvres et vide un grand trait. Pouah ! Que cest fort !, ça a un gout étrange, de lalcool bien sûr mais aussi des herbes.
- Bois encore !
Je prends un plus petit coup. Lestomac vide depuis midi, lalcool me monte à la tête rapidement. Elles se repassent la bouteille.
- Couche-toi à côté de cette pierre !
- Après, cest fini ?
- Couche-toi et tais-toi !
Bon, je vais les laisser terminer
je me couche.
- Il est à toi, Catherine. Offre le plus beau spectacle que tu peux au Maître !
Catherine se rapproche. Elle se tient debout, à cheval au-dessus de moi. Je vois sa chatte rasée, ses seins énormes qui se détachent sur le fond étoilé, reflétant la flamme des torches. Elle commence à onduler, sabaisse doucement. Je sens maintenant son minou humide et lisse contre mon ventre. Cest chaud. Elle approche son visage du mien, sort la langue et me lèche du menton au front. Elle commence à bouger son bassin. Je deviens dingue. Lattente valait le coup ! Elle lèche mes épaules, à grandes lapées. Comme une affamée, elle me renifle, sexcite sur moi. Jai honte que ma copine soit là et la cherche du regard.
Ce que je vois me fait oublier mon petit coin de paradis. Debout, lune contre lautre, Sarah et Julie flirtent à pleine langue. La jambe de ma copine est avancée dans lentrejambe de son
amante et cette dernière sy frotte doucement.
Je les avais toujours vues sortir avec des mecs. Jamais je naurais imaginé quelles étaient bi. Peut-être encore une de ces modes. En colère et considérant le spectacle que moffre ma copine comme une permission pour me laisser aller avec Catherine, jessaie doublier les deux dingues qui se touchent et regarde Catherine dont la langue est en train dexplorer lintérieur de ma cuisse. Cela me procure des frissons. Elle continue son chemin, me lèche les pieds. Jamais on ne mavait fait ça, cest agréable. Je bande de plus en plus fort. La blonde est comme un petit animal, elle souffle fort, joue tellement de sa langue que son visage en est un peu déformé. Elle arrive à mon sexe. Sans douceur, elle le prend en bouche et commence à le sucer avec un rythme denfer. Sa main me masturbe pendant que sa langue fait des miracles sur mon gland. Je me sens prêt à exploser. Elle se tourne, met sa chatte au-dessus de ma bouche. Elle est trempée. Avide delle, jouvre la bouche bien grande en essayant de prendre la plus grande part possible de cette partie de son anatomie. Je la lâche, observe ce magnifique sexe glabre, écarte ses lèvres, viens titiller son clitoris de ma langue.
- Oh
laisse-la-moi un peu,
Je sens le visage de Sarah à côté du mien, en extase devant le cul de Catherine. Ça me dégoûte, jai envie de la repousser.
- Sil-te-plaît, laisse-moi
tu dois tout partager avec la grande prêtresse
Elle parle comme une folle. Elle semble avoir lesprit ailleurs, dêtre complètement à louest. Je me sens un peu ivre aussi. Je me sens incapable de lutter et la laisse faire.
- Fais comme tu veux !
Comme un pèlerin qui découvre le Graal, elle sapproche du petit trou de Catherine quelle lèche avec amour. Vraiment gênant, pour moi. Au-dessus de ma bouche, la langue de ma copine se tortille dans lanus de son amie, laquelle prend visiblement son pied. La troisième larronne est allongée à côté de nous et se doigte avec une frénésie sauvage. Nos gémissements sélèvent de la clairière. La proximité avec Sarah mempêche de jouir. Jai envie de prendre Catherine. Je tourne la tête.
- Catherine, laisse-moi te prendre
- Oh oui, oui, viens maître encorne moi
Nous nous séparons, ce qui semble frustrer un peu Sarah. Je me place derrière Catherine. Ma copine a alors la mauvaise idée de sallonger devant celle que je mapprête à pénétrer. Sans hésiter, la belle blonde plonge sa tête dans la toison rousse de sa prêtresse. Je regarde vers le haut pour éviter de voir cette scène et mintroduis dans le trou de Catherine. Il est trempé, chaud, accueillant, y glisser me fait un bien fou. Je prends bien ses hanches, menfonce doucement, une résistance, je pousse, elle crie, je continue à menfoncer inexorablement en elle, essaie dinvestir sa largeur. Je tire, pousse, tire, pousse, je suis aux nues. Pour oublier lactivité buccale de ma partenaire, qui touche de trop près lintimité de mon aînée, je plonge mon regard droit devant moi, dans lobscurité de la forêt. Je me contracte et explose au plus profond de Catherine. A ce moment-là, une grande frayeur sempare de moi. Je ne sais pas si cest la faim, leur breuvage ou la fatigue, mais il me semble voir, entre deux torches, une ombre géante dont je distingue mal les contours, une ombre qui donne limpression de nous observer.
Effrayé, je me retire brusquement de Catherine, qui bronche à peine et continue ses ébats avec Sarah. Je bascule sur mon derrière, rampe vite vers Julie, qui est toujours en train de se caresser comme une damnée. Je la secoue, elle me regarde.
- Enfin, jai cru que tu ne viendrais jamais toccuper de moi, dit-elle dans un seul souffle.
Ses yeux sont un peu vagues.
- Non, Julie, regarde, là
Elle ne mécoute pas. Elle se lève, membrasse, me couvre de baisers. Impossible à raisonner non plus, celle-là. Sa petite taille mexcite. Quelle différence avec sa sur ! Rassuré par ces bras qui me serrent, joublie la vision, la laisse me caresser, me faire à nouveau bander, sasseoir sur moi, lui rends ses baisers. Je ne sens presque pas son poids. Assis sur lherbe, elle métreint et commence un sensuel va-et-vient. Tout son corps ondule. Elle halète dans mon oreille. Elle est tendre et si délicieuse
Les deux autres viennent sinstaller à côté de nous et nous caressent pendant que nous nous laissons aller aux joies du sexe. À ce stade, je me contrefiche de la présence de ma copine. Je veux en finir. Jaccélère le rythme, sens le fond du vagin de Julie. Je pousse, pousse, elle crie. Se contracte. Je sens des secousses par saccades autour de mon sexe. À son souffle, celui des deux autres se joint, comme si elles ressentaient le même plaisir au même moment. Je me lâche, sens ma semence se répandre en elle, puis couler sur mes cuisses. Lorgasme massomme, je plonge dans une sorte de coma.
Quand je me réveille, je me retrouve allongé au milieu de la pierre, tout autour de moi, des petits feux et les filles qui font une sorte de ronde, je replonge dans le sommeil.
Je ne sais pas comment je suis rentré mais je me suis réveillé dans mon lit, seul, la bouche pâteuse et mal a la tête. Un brin de toilette, je descends déjeuner, elles sont toutes les trois dans la cuisine. Je verse du café dans la tasse de Sarah. Je nose pas la regarder. Les deux autres non plus, dailleurs. Je ne sais pas trop comment me comporter.
- Tu es bien calme, ce matin, Pierre
dit Julie.
- Ben oui. Après cette nuit
- Alors, ce nest pas cher payé, nest-ce pas ? Une petite goutte de sang en offrande et un peu de patience en échange de ma fleur, rétorque Catherine.
Je me demande si jai bien compris. Elles ont zappé un truc, ou quoi ? Et quel sang ? Instinctivement, je regarde mes mains, mes bras. Pas la moindre trace de coupure.
- Mais je nai pas donné de goutte de sang ! Tes folle ?
- Mais si ! Avec une aiguille nous avons pris une goutte dans ton doigt. Tétanisé que tu étais. On la mélangé au sang de Julie et au mien puis on la versé sur la sauge que jai brûlée, pour donner de la force au rituel. Tas oublié ou quoi ?
- Et Julie et toi, vous avez eut aussi le doigt percé ?
- Non, cest notre sang qui a coulé quand tu as explosé notre pucelage.
Je regarde les deux surs dans les yeux. Elles ont le même regard que dhabitude, jovial, plein de vie avec en plus une petite flamme lubrique.
- Vous étiez vierge ?
- Oui, on sest offerte à notre dieu hier soir à travers toi et je pense que ça va marcher.
- Quest-ce qui va marcher ?
- On va toutes les deux porter son .
- Non, ce nest pas possible, vous ne prenez rien ?
- Non, maintenant, tout est possible pour nous.
Je ne savais plus quoi dire. Elles semblent déjà avoir oublié nos ébats de la veille. Je ninsiste pas, retourne dans la cuisine pour chercher du lait. Ma copine me suit. Elle sapproche de moi et glisse dans mon oreille :
- Hier soir notre maître est entré en toi, il y est encore, viens me rejoindre dans la chambre.
Je lai suivie. Une fois dans la chambre, elle a allumé des bougies puis ma demandé de me coucher sur le lit.
Elle se déshabille à son tour et en chantant une sorte de mélopée elle vient se blottir contre moi avec un petit rire coquin. Je lembrasse à pleine bouche et la caresse pendant quelle se saisit de mon sexe et commence à le branler. Elle me souffle à loreille :
- Je suis toute mouillée tu sais
De mes mains jécarte ses jambes et mes doigts ouvrent ses lèvres et plongent dans son antre tout chaud et humide. Lexcitation monte en flèche et je lui dis :
- Attend, Je me déshabille, je mets un préservatif et jarrive.
- Non, je nen veux pas.
Elle me déshabille, Je mallonge alors complètement, mon sexe dressé est tendu à me faire mal. Elle se met à califourchon sur moi en me tournant le dos, cest elle qui dirige ma queue vers sa chatte, elle la fait pénétrer en la tenant fermement serrée dans sa main. Elle reste quelques secondes comme ça, mon sexe entièrement fiché dans le sien, puis commence à faire de lents va-et-vient en gémissant doucement
Je contemple son cul se soulever puis retomber sur moi, je saisis ses deux fesses par en dessous et laccompagne dans ses mouvements. Mon Dieu quel spectacle ! Tout cela commence à me rendre fou, elle le sent bien et en rajoute encore en me caressant les bourses et en disant :
- Oh oui ! Cest booon ! Maître, Je veux être ta petite salope !
- Oui, vas-y petite salope ! Baise bien ma queue !
À chaque mouvement, elle se laisse retomber sur moi, puis, je la soulève à nouveau jusquà sortir presque entièrement delle, avant quelle vienne à nouveau se planter sur mon épieu. Nos cris de plaisir se mêlent et vont crescendo dans la pénombre de ma chambre. Non ce nest pas un rêve, comment se pincer dailleurs, jai les deux mains très occupées ! Un orgasme foudroyant sempare de nous. Je garde le contrôle me retiens et néjacule pas. Elle sécroule sur le lit, reprend son souffle, regarde mon chibre bandé et me propose de la prendre en levrette. Nous nous retournons tous les deux. Cest moi cette fois-ci qui prends linitiative et qui la pilonne sans ménagement, le claquement de mes hanches contre ses fesses achève de mexciter :
- Tiens ! Lààà ! Prends ça ! Han ! Han !
- Oui, maître, je suis ta chienne, ta fidèle servante.
Elle sait bien sy prendre dans toutes les positions, elle fait onduler son corps dans un mouvement très sensuel qui provoque chez moi des frissons et une sensation incroyable de plaisir, et passe une main par en-dessous pour venir me caresser les couilles. Quelle coquine décidément !
À chaque coup de boutoir elle laisse échapper un cri aigu, jaugmente encore la cadence et pousse plus fort en elle, elle pose une main en opposition contre le mur et le lit se déplace bientôt dans la chambre tant nos ébats sont intenses
Je nen peux plus, je la besogne si fortement que je vais exploser, je fais sortir mon sexe de sa chatte et, un jet de sperme jaillit sur son dos, jusque dans sa rousse chevelure. Elle râle, sempale à nouveau sur moi, Je menfonce rapidement en elle à nouveau et je continue de jouir dans son sexe dans un long grognement animal, elle hurle son plaisir dans un « Ouiiiiii » très évocateur
Nous tombons tous les deux, vaincus par la fatigue. Je la caresse tendrement et dépose des baisers partout sur son corps,
- Moi aussi, jaurais la protection du maître, moi aussi, je vais porter son .
- Tu es folle ou quoi ?
- Non, jobéis au maître depuis presque cinq ans, cest lui qui a pris ma fleur. Depuis, à chaque solstice je marrange pour quil ait une ou deux vierges à déflorer et à inséminer. Jusquà maintenant ça na pas marché mais hier soir, il y avait une telle intensité de sa présence que je pense que ce sera la bonne, il suffit dattendre.
A suivre
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