Le Début

Nous nous interrogions sur l’amour. Mis à part un pincement au cœur, que devenait le reste dont on nous rabattait les oreilles. En restant neutre sur ces problèmes, je me demandais quand même ce que devenaient les désirs mal cachés de mon corps. La révélation est venue un mercredi, avec Giselle, ma camarade depuis toujours. Nous devions aller à la piscine. Nous devions, enfin elle devait, prendre une douche avant. Amies comme nous l’étions j’allais avec elle dans la salle de bain. Sans pudeur excessive elle se déshabillait devant moi. Je la regardais comme ça, sans penser à mal.
Sous l’eau chaude, elle se détendait complètement. Pour continuer la conversation j’étais assise sur le bidet.
Ses mains dessinaient des marques sur son corps, particulièrement sur les seins. Elle pinçait ses tétons avec ses doigts d’une seule main. J’ai eu un élancement au bas ventre.
J’imitais ses mains sur mon corps. Mes seins durcissaient anormalement. Quand elle passait le jet sur sa chatte en écartant les cuisses, je la voyais pencher la tête en arrière. Elle remuait les lèvres dans un murmure. Je croyais entendre qu’elle se faisait du bien. Je voulais moi aussi sentir ce qui se passait quand comme elle je caresserais le même endroit.
Je me levais à peine pour faire descendre le slip. Ma jupe relevée permettait que je me touche la chatte. J’étais totalement trempée. Je frôlais le petit bouton pour le sentir grossir sous mes doigts. J’avais déjà eu un peu de plaisir la fois dernière, dans mon lit, sans aller jusqu’au bout. Mais là, devant mon amie je sentais qu’il fallait que j’aille au fond, que je connaisse complètement ce plaisir qu’on décrit comme délicat. Mon corps balançais vers l’arrière, j’ouvrais mes jambes complètement.
Je sentais qu’un moment important allait se produire dans mon corps. Je crois avoir poussé un cri. En tout cas c’est ce que ma copine prétend. Elle avait fini sa douche, était debout devant moi. Sa nudité me plaisait bien.

Elle avait une petite touffe de poils juste en face de mon visage.
Dans un geste d’affection, sans doute elle prenait mon menton avec deux doigts. Je ressentais encore l’effet de la caresse. C’est elle qui m’a demande de lui faire ce que je venais de pratiquer. J’aurais du refuser.
J’essayais de toucher son entrejambe. Mal placée, je ne pouvais lui faire connaitre ce que moi je venais de ressentir. Toujours curieuse elle me trainait vers sa chambre. J’étais assise au bord du lit, elle à coté de mon corps. Sa chaleur naturelle se communiquait à tout le ventre. Un petit démon me poussait à l’embrasser sur les joues. Elle tournait sa tête quand nos lèvres se sont rencontrées. La première seconde de surprise passée nous avons continué ce simulacre de baiser. Je ne sais comment j’ai eu l’idée d’entrer ma langue dans sa bouche. Je me souviens encore de l’effet de chatouilles agréables.
Elle a poussé son corps encore plus contre moi. C’est là qu’une seule main a suffit pour trouver ce plaisir partagé. Je ne m’attendais pas à sentir une de ses mains venir sur mes jambes. Elle écartait mes cuisses, enlevait le slip. Ma chatte était toute à sa disposition. Elle ne faisait pas grand-chose, sinon que toucher en exploration, comme si elle voulait savoir si nous étions faites pareilles.
J’allais moi aussi sur son sexe, sauf que j’allais lui faire connaitre ce qui m’avait donné tant de bonheur. Je caressais ses jambes en remontant, arrivais juste sur le bouton. Elle était faite comme moi je caressais doucement. Elle devait en connaitre le début sous la douche ; Je complétais son éducation en allant jusqu’au bout de ce qu’elle voulait.
Elle se laissait tombe sur le lit, les jambes bien ouvertes, me montrant toute sa féminité. Je regardais ce sexe, mon premier. C’était agréable à voir avec la cyprine qui commençait à affluer. Je commençais à lui faire du bien, presque trop : elle jouissant en gémissant comme si je lui faisais mal, moi qui ne voulais que son bien.

Seulement, parce qu’il y a un seulement, si elle prenait son pied, je restais sur la touche. Elle s’en rendait compte seule. J’étais allongée à ses cotés quand elle aussi a passé une main entre mes cuisses, allant jusqu’au fesses. Je sentais un soulagement de la sentir me branler. Ma première fille qui après m’avoir donné sa chatte me prenait la mienne. Je sentais un drôle de sentiment d’envie et de déception, Avant qu’elle me donne l’orgasme. En remerciement je lui donnais mes lèvres sur le siennes, pas celle de la bouche, celles du con. Je m’abreuvais à elle avec une soif digne du Sahara.
Depuis, je bois les cyprines de celles qui veulent de moi et elles sont nombreuses. Je suis parait-il celle qui suce le mieux.

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