Sylvie Me Trompe
Francis et moi ne nous connaissons pas et nous nous rencontrons chez des amis communs lors dun repas. Il est à coté de Sylvie et la soirée se passe gentiment à discuter de choses et dautres. Je suis en face et je participe aux conversations ... La soirée est agréable, mon épouse est très belle et sexy, Francis admire sa robe décolletée sur sa poitrine généreuse. Sa robe moulante ne le laisse pas indifférent mais il essaye de ne rien montrer et finalement vers deux heures du matin tout le monde part et nous décidons d'échanger nos téléphones.
Quelques jours après Francis téléphone chez nous. Je ny suis pas, Sylvie est seule et ils discutent gentiment. Francis propose de passer la voir nétant pas loin de chez nous.
- Mon mari nest pas là mais venez, jai un bon souvenir de notre dernier repas.
Un quart dheure après il sonne, Sylvie ouvre, très belle, une jolie jupe et un chemisier où les deux derniers boutons sont défaits....
Il lui fait une bise sur la joue quelle accepte volontiers et ils sinstallent au salon et discutent. Elle lui sert un apéritif et en sasseyant elle découvre le haut de ses bas....
Francis sassied côté delle, sa cuisse sapproche de la sienne leffleure. Elle lécarte aussitôt, il revient à la charge, cette fois elle ne bouge pas.
- Sylvie, lautre soir tu ne mas pas laissé indifférent
- Ha bon ?... Mais je suis mariée et vous connaissez mon mari !...
- Oui, mais où est le mal ?
En même temps il lenlace, prend sa bouche dans la sienne dans un baiser brûlant... Elle résiste.
- Non pas ça !... je ne veux pas, vous êtes malade...
- Mais non !... prenons du plaisir...
Sa main lui malaxe sa poitrine généreuse, elle gémit, son chemisier est ouvert, il sort les seins de ses bonnets et les suce goulument. Elle gémit, se refuse mais déjà la main de Francis fouille sous sa robe et trouve la culotte déjà humide.
- Non laisse-moi !... laisse-moi.....
- Chérie tu es trempée, je vais te baiser et on va cocufier ton mari. Je veux tentendre hurler de jouissance
Elle proteste un peu pour la forme mais en crève denvie. En un tour de main ils sont nus tous les deux et entament un long 69. Elle le suce divinement bien. Sa langue titille son gland puis ses lèvres lentourent et descendent doucement. La hampe senfonce dans la bouche de ma femme jusque dans sa gorge. Cest divin. Elle fait de lents va-et-vient en enserrant son sexe de ses belles lèvres pendant quil fouille son minou trempé, quil mordille son clito et sattarde longuement, très longuement sur son anus qui se dilate sous sa langue.
Alors ny tenant plus elle se met en levrette et il la baise sauvagement, profondément, brutalement
elle crie
- Oui cest trop bon de cocufier mon mari. Baise-moi !... Baise-moi !
si il rentre je veux quil voie ça et je serai fière de le cocufier en sa présence .........
Sylvie se déchaine, elle ondule du bassin de plus en plus vite jouit une première fois en criant. Il sort sa queue gluante et lui met dans la bouche : elle la boit
- Salope tu aimes ça hein ?
- Oui
prend-moi encore
Alors il lui ouvre les fesses, lèche son illet et y plaque son gland. Elle adore
- Oui, sodomise-moi vite ......
Alors son gland la pénètre puis sa hampe et je il lime régulièrement et jouit en elle.... Cest alors quelle crie sa jouissance et que je les surprends
- Bonjour Francis.
- Bonjour Alain.
Je referme la porte. Francis se tourne vers moi, nous échangeons un regard gêné mais nous nous enlaçons et échangeons un long et tendre baiser. Nos langues sunissent, nos salives se mêlent, il passe ses mains sous ma veste et me caresse.
Je suis à genoux devant lui et ne résiste pas à lenvie de me saisir de sa queue déjà dressée.
Il me prend par les épaules et minvite à me redresser pour un nouveau baiser. Hummm que cest bon
Je suis à quatre pattes sur le lit et ma croupe ne le laisse pas indifférent.
Ma femme est effarée.
Il glisse sa main sous mon slip, écarte ma petite culotte et me caresse les fesses. Je le laisse faire, même quand son doigt titille mon anus. Jondule du cul sous ses caresses.
Il pelote mes couilles, me branle la queue, caresse lintérieur de mes cuisses.
Je suis blotti contre lui et le caresse.
- Francis, je veux être ta femme, embrasse-moi
Un baiser langoureux, sa main posée sur mon sexe, quelques mots doux
- Regarde ma femme Francis. Je vais moccuper de toi pendant que tu la mates.
Il ne perd pas une miette de la vue sur ma femme qui se masturbe tandis que je le suce. Je sens monter en lui le plaisir. Il ne faut pas longtemps pour quil inonde ma bouche de son sperme bien chaud.
Il mattire contre lui et membrasse sur ma bouche poisseuse de sperme.
- Hummm, Francis que cest bon ! Donne-moi ta langue
Oui, Francis, je veux être ta femme
Aime-moi !...
Il me retourne et lime entre mes fesses.
- Non Francis ! pas dans le cul
- Tu vas aimer ma chérie
- Non, je ten prie
Devant mon insistance et pour ne pas briser ce moment amoureux, il renonce à menculer et se contente de frotter sa queue sur mes fesses, entre mes cuisses, de me tripoter les couilles, la queue, de membrasser dans le cou jusquà éjaculer entre mes fesses.
Je sens le liquide chaud et poisseux couler dans ma raie jusque sur mes couilles. Je me retourne
- Francis ! Viens
embrasse-moi
Sylvie nous rejoint
- Occupez-vous de moi maintenant
je suis trempée
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