Des Photos Pour Muriel
Un de mes amis est mort brutalement il y a peu, nous laissant tous consternés. Il tenait un magasin avec son épouse et le couple souhaitait se retirer depuis déjà trois ans car ils avaient atteint l'âge de la retraite et que plusieurs grandes surfaces leurs faisaient trop de concurrence.
À sa mort, son épouse a dû continuer pendant plusieurs mois son activité pour éviter une perte sèche trop importante en fermant boutique tout de suite. Elle est parvenue à écouler une bonne partie des articles en magasin en soldant presque à prix coûtant, une autre partie des articles a été reprise par les fournisseurs et il ne lui est resté sur les bras que quelques babioles et le mobilier professionnel.
Raoul étant un partenaire sportif de longue date, plusieurs copains et moi-même sommes allés donner un coup de main pour déménager se matériel afin de resti le local à son propriétaire.
Pour nous remercier de cette aide bénévole et spontanée, Armelle nous a réunis pour un repas fort sympathique regroupant les déménageurs et la famille.
Son gendre faisait du sport avec nous et nous le connaissions mais nous avons fait la connaissance d'une de ses nièces venue avec son époux et ses s, d'un couple d'amis très proches et d'une des surs de Raoul habitant dans la même ville.
Le repas s'est déroulé à la bonne franquette, sans aucun moment lugubre et la mémoire du défunt n'a été évoquée que pour rappeler des anecdotes amusantes. Chacun de nous a participé au service et une ambiance bon s'est installée entre nous. Les plaisanteries fusaient et nous avons passé un très agréable moment ensemble.
À plusieurs reprises, c'est la sur de Raoul qui m'a donné les plats à porter ou qui a récupéré les assiettes sales que j'avais desservies. Elle m'a félicité et remercié de mon aide diligente plusieurs fois et Armelle lui a dit que j'étais quelqu'un de très serviable, ce que beaucoup de mes amis prétendent.
Quand j'ai rapporté les assiettes à desserts, elle était devant l'évier pour préparer le café.
- Vraiment vous êtes adorable, il faut que je vous embrasse.
Elle s'es collée contre moi et a posé ses mains sur mes épaules pour me faire deux grosses bises
J'avais passé les mains derrière elle et je frottais son dos gentiment quand elle m'a dit :
- C'est très agréables ce que vous faites là.
- Coquine, vous aimez les caresses ? ais-je répondu.
- J'adore
vos mains sont chaudes et c'est comme si vous alliez me déshabiller
- Et ça vous plairait ?
Après avoir plongé son regard dans le mien elle a répondu :
- Pourquoi pas
J'ai posé mes doigts sur l'attache de son soutien gorge et d'un pincement je l'ai détachée. Sa bouche s'est arrondie sur un oh silencieux et elle m'a dit en souriant :
- Je vois que Monsieur est un expert
Je l'ai libérée de mes bras et en retournant vers les autres j'ai dit :
- Et je peux faire encore bien plus
Lorsque j'ai regagné ma place, Jean son mari discutait avec mon épouse. Quand je me suis assis Jean m'a demandé :
- Votre Dame m'a dit que vous êtes photographe amateur..?
- En effet, j'aime bien ça et je me suis acheté un très bel appareil pour pouvoir reprendre ce loisir et aller plus loin dans mes essais
- Il faudra que vous donniez vos coordonnées à Muriel, elle voulait faire des photos de notre maison avant les travaux que nous avons projetés et après, une fois que tout sera réaménagé.
- Pourquoi pas. C'est toujours amusant de comparer les deux états et on est parfois étonné des changements.
À ce moment là, Muriel a pointé son nez à la porte de la cuisine et s'est écriée :
- Alors Richard ? Mon assistant me laisse tomber ?
Tout le monde s'est esclaffé et je me suis levé précipitamment pour la rejoindre en criant "Oui Chef !" Elle avait préparé deux plateaux et m'en tendait un. Lorsque j'ai voulu le lui prendre elle m'a dit :
- Mettez vos mains dessous
Je me suis exécuté et quand j'ai voulu le soulever elle m'a dit :
- Non, avancez vos mains plus loin
J'ai avancé mes mains et mes doigts on effleuré sa poitrine.
- Mieux que ça
J'ai carrément posé mes mains sur ses seins et je l'ai caressée. Elle m'a regardé avec un grand sourire et m'a dit :
- Merci mon petit Richard, vous pouvez emporter
Je me suis placé près de la porte de la salle à manger et je l'ai suivie quand elle est passée avec le second plateau. Nous avons servi tous les convives et nous avons regagné nos places. Durant la conversation Jean a raconté à son épouse que je faisais des photos en amateur et elle s'est montrée très intéressée. Elle nous a parlé des travaux de transformation de leur maison et m'a demandé si je serais d'accord pour faire des photos de la maison maintenant, pendant le chantier et quand tout serait réaménagé. J'ai accepté avec d'autant plus de plaisir que ma chère épouse semblait trouver l'idée très intéressante. J'ai sorti une carte de visite et je l'ai donnée à Muriel. Elle m'a dit qu'elle m'appellerait très rapidement car les travaux étaient programmée pour un début une dizaine de jours plus tard.
Le mardi suivant, j'étais dans le jardin où je nettoyais un coin pour semer des radis quand mon cellulaire sonna. Je m'assis à l'ombre du cerisier en décrochant car je n'avais pas reconnu le numéro de mon correspondant et je pensais qu'un cabinet d'ingénierie m'appelait pour une mission.
- Richard ?
- Oui !...
- Bonjour, c'est Muriel
- Ah bonjour, comment allez vous ?
- Ça va bien. Je vous appelle pour que nous prenions date pour les photos de ma maison avant travaux
- D'accord, profitez en, je suis assez disponible en ce moment
- Pouvez vous venir jeudi en début d'après midi ?
- Certainement, si vous me donnez votre adresse
- Vous avez raison, ce sera certainement plus facile
vous avez de quoi noter ?
- Un instant, je gagne mon bureau et je note. Vous pouvez continuer à me parler, j'aime beaucoup le son de votre voix
- Que voulez vous que je vous raconte ?
- Je ne sais pas, vos rêves, vos goûts
Elle m'a dit qu'elle aimait la campagne et particulièrement les balades en forêt, et m'a rappelé son goût pour les caresses.
Le jeudi suivant vers treize heures trente je me suis rendu comme convenu chez Muriel et Jean avec mon matériel photographique. Muriel est venue m'ouvrir et après m'avoir fait deux grosses bises au coin de lèvres elle m'a guidé vers le salon où Jean finissait de boire son café.
- Ah voilà notre photographe !
Il m'a serré la main avec effusion et m'a dit en se dirigeant vers la porte :
- Je vous laisse aux ordres de la patronne. Je dois aller aider mon gendre pour une bricole et je ne serai de retour qu'en fin d'après midi. Peut être serez-vous encore là ?
- Je ne sais pas, ça dépends de ce que veut faire votre épouse
Il est sorti et Muriel m'a proposé un rafraîchissement. Elle a posé une chemise catonnée sur la table basse du salon et nous nous sommes installés côte à côte sur le grand canapé en velours brun.
La sur de Raoul a ouvert le dossier et m'a présenté les différents schémas réalisée par l'architecte d'intérieur pour leurs nouveaux aménagements. De toute évidence ces travaux seraient assez lourds et elle m'a expliqué qu'il en profitaient pour changer une partie de leur mobilier. Nous avons bu notre café tranquillement en faisant des commentaires sur les futurs aménagements et ce qui avait provoqué le projet.
Lorsque nos tasses ont été vides, Muriel s'est levée et m'a tendu la main en m'invitant à la suivre. J'ai pris sa main dans la mienne et nous avons commencé la visite par la petite véranda qui serait bientôt remplacée par une grande terrasse couverte. Elle m'a fait faire tout le tour de la maison en tenant ma main et nous avons terminé notre visite par les chambres. Après m'avoir montré leur chambre, elle m'a guidé vers une "chambre à donner" très lumineuse en me disant que j'y serai le bienvenu. J'ai ri en lui répondant que mon épouse ne m'avait malheureusement pas encore mis à la porte et elle s'est placée face à moi sans lâcher ma main pour me dire que cette option n'était pas obligatoire
Je l'ai regardée en souriant et elle m'a tendu ses lèvres
Après un premier baiser intense elle m'a regardé droit dans les yeux en disant :
- J'en ai eu envie dès que je vous ai vu
- C'est très agréable et très inattendu.
- J'ai bien aimé ce que vous avez fait l'autre jour
Comme je la tenais contre moi, j'ai pincé entre mes doigts l'agrafe de son soutien gorge à travers son corsage et je l'ai défaite. Elle a refait la mimique qu'elle avait faite lors du repas et m'a dit :
- Et ça marche à tous les coups !
- Comme vous voyez
- Et maintenant ?
Je lui ai souri, j'ai fait remonter son chemisier et j'ai glissé mes mains dessous pour caresser sa poitrine. Ses seins volumineux tombaient mais n'avaient rien à voir avec des gants de toilette. Je l'ai embrassée à nouveau et elle m'a fait pivoter sur moi-même pour que je tourne le dos au lit. Puis d'une poussée elle m'a fait allonger sur le dos en se couchant sur moi. Détachant sa bouche de la mienne elle a soufflé d'une voix rauque :
- Je te veux
Fais moi l'amour, il y a cent ans que Jean ne me touche plus
J'ai fait remonter son chemisier et l'ai fait passer par-dessus sa tête sans le déboutonner en même temps que son soutien gorge. Elle s'est redressée sur moi et j'ai découvert sa poitrine tombante mais volumineuse dont les gros tétons se dressaient fièrement. Elle a tourné sur elle-même de droite et de gauche pour faire onduler ses seins et je les ai pris en main pour les caresser et les attirer vers ma bouche. J'ai sucé les pointes durcies en les agaçant du bout de ma langue et Muriel a gloussé en me disant de continuer.
Après un instant, elle s'est redressée complètement puis elle a déboutonné mon pantalon et elle a fait glisser mon pantalon et mon slip jusqu'à mes chevilles découvrant mon sexe qui dodelinait. Elle a lancé mes vêtement à côté du lit puis elle s'est placée à genoux entre mes jambes pour me sucer.
J'étais un peu abasourdi par l'évolution rapide de la situation mais j'y prenais un vrai plaisir. Elle me suçait et me branlait avec adresse faisant naître une sérieuse bandaison au bas de mon ventre. Quand elle a jugé que mon érection lui convenait elle s'est placée sur moi, a relevé sa jupe et faisant glisser sa culotte sur sa fesse elle s'est empalée sur mon membre dressé. Elle mouillait abondamment et mon vit s'est enfoncé dans son intimité sans peine. Quand le bout de ma queue a touché le fond de sa chatte, elle s'est agitée sur un rythme frénétique en grognant à chaque pénétration. Elle avait posé les pieds de chaque côté de mes hanches et se plantait sur ma verge de plus en plus vite jusqu'au moment où elle s'est collée à moi de tout son corps en poussant un profond gémissement. Je l'ai laissée reprendre ses esprits sans bouger ma virilité toujours tendue profondément enfoncée dans sa féminité brûlante. Lorsqu'elle a eu retrouvé son souffle elle m'a dit :
- Merci ! Je ne me souvenais plus que c'était aussi agréable de baiser
J'ai doucement recommencé mes pénétrations et elle a accompagné mes mouvements pour que j'aille bien au fond de sa grotte d'amour. Elle s'est redressée, puis s'est détachée de moi et elle est descendue du lit. Elle a déboutonné sa jupe et l'a fait glisser au sol en même temps que son slip. Elle est remontée nue sur le lit et se couchant près de moi elle a pris ma virilité en main pour me branler doucement en donnant quelques coups de langue sur mon gland. Elle s'es allongée sur moi et m'a dit :
- Je voudrais te demander quelque chose
- Vas y, si je peux faire quelque chose pour toi, ce sera avec plaisir.
- Je voudrais que tu me prennes par derrière. Jean a accepté une fois quand nous étions plus jeunes mais il n'a jamais renouvelé l'expérience. J'avais beaucoup aimé et je voudrais recommencer
- Si tu veux
Si je te fais mal arrête moi, je vais faire doucement
- Attend j'ai une idée
Elle a sauté au bas du lit et a quitté la pièce une minute puis elle est revenue avec un flacon à la main.
- C'est de la crème hydratante, comme ça tu ne casseras pas mon petit cul tout neuf
Elle est remontée sur le lit et s'est placée à quatre pattes le cul tourné vers moi. J'ai mis de la crème sur sa rosette et j'ai commencé à la masser en tournant. Elle m'a dit qu'elle trouvait ça très agréable et elle a soufflé un oui d'approbation quand j'ai enfoncé un doigt dans son anus. J'ai élargi doucement sa rondelle puis j'ai insinué un autre doigt puis un troisième. Elle ronronnait et je voyais l'entrée de son vagin s'ouvrir sous l'effet du plaisir. Comme j'étais sur son côté elle avait pris ma queue dans sa main et me masturbait doucement, maintenant mon érection à son meilleur niveau. Quand je l'ai sentie prête, je me suis placé derrière elle et j'ai posé mon gland sur son anus assoupli. Elle a reculé les fesses vers moi en me disant :
- Viens, prend moi, j'en ai terriblement envie
J'ai appuyé un peu plus fort et ma bitte est entrée doucement dans son fondement. Jusqu'à ce que mes couilles appuient sur ses fesses elle a poussé un gémissement de satisfaction en se cambrant tant qu'elle pouvait. J'ai commencé à la besogner d'abord doucement puis un peu plus vite faisant claquer mes couilles sur ses fesses tendues. Muriel s'était mise à ahaner au rythme de mes pénétration et grognait des encouragement et des grossièreté. De temps en temps je sentais ses sphincters se serrer sur ma virilité et mon plaisir montait crescendo sous la pression. J'ai accéléré au maximum mes coups de reins, provocant des gémissements sonores chez ma partenaire puis j'ai inondé son fondement de mon sperme bouillant lui arrachant un cri de victoire qui se mêla au mien.
Muriel s'est laissée glisser sur le ventre ma verge encore enfoncée entre ses fesses, mes mains prisonnières sous ses seins. Elle a légèrement ondulé du bassin et m'a dit :
- Merci, c'est vraiment ce que je préfère
Je me demande comment j'ai pu vivre aussi longtemps sans ça
Promet moi de recommencer bientôt !
J'ai promis en pensant de façon hypocrite que bien que ce ne soit pas ma pratique préférée, c'est une agréable façon de rendre service.
Nous avons repris notre souffle collés l'un à l'autre puis j'ai rappelé que j'étais là pour faire des photos. Nous avons pris une douche ensemble pendant laquelle Muriel n'a pas cessé de se frotter à moi et de s'amuser avec mon sexe pour retarder au maximum son ramollissement.
Lorsque je me suis séché elle s'est précipitée pour me sucer mais je l'ai repoussée gentiment en disant que Jean allait rentrer et qu'il ne comprendrait pas que nous n'ayons fait aucune photo.
Je me suis rhabillé et j'ai commencé à travailler rapidement, choisissant les angles qui donneraient les images les plus explicites en fonction des transformations prévues.
Lorsque Jean est rentré, j'étais en train de ranger mon matériel de prise de vue. Je lui ai montré quelques une des images réalisée et il s'est montré satisfait. Nous avons pris rendez vous pour la semaine suivante lorsque les travaux seraient commencés et nous avons convenu de discuter avec les artisans pour savoir à quel moment les états intermédiaires seraient le plus intéressant.
Je suis rentré chez moi tranquillement et lorsque mon épouse est rentrée du bureau je lui ai bien sagement montré les images réalisées en me gardant bien d'évoquer les activités ayant précédé les prises de vue
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