Faut Que Ça Commence Par Une, Incroyable, Première Fois.

Quand j’écoute des copains raconter leur première fois, moi je m’abstiens ou je raconte une histoire avec une ancienne copine. Mais faut vraiment que je raconte ça, bien que ça ma longtemps marqué. Je ne peux pas dire si j’étais traumatisé, mais disons qu’en vieillissant, c’est un souvenir incroyable.
J’avais 18 ans et j’étais toujours puceau ! C’est drôle de dire ça, mais bien que, les filles me trouvaient beau, j’étais du genre timide et je ne savais pas parler aux filles. Je faisais, de temps à autres, du babysitting pour un petit garçon qui vivait dans le même immeuble que moi. Puis un soir, une femme appela ma mère et lui demanda si je serais intéressé d’aller garder deux petites filles de 3 et 4 ans. Cette femme était vraiment mal prit et j’étais sa dernière option. Elle savait que j’avais bonne réputation, alors c’était correct.
A 21 heures, je me rendis à l’adresse en question et la femme qui m’ouvrit la porte semblait étonnée de me voir. Je me présentai aussitôt.
--Je sais qui tu es, mais je ne savais pas que tu étais aussi beau ! fit-elle.
Je me suis mis à rougir, d’autant plus que je la trouvais aussi très jolie. Finalement, elle me fit entrer, me fit visiter rapidement et me montra la chambre de ses filles qui dormaient déjà. Elle m’expliquait que je n’aurais pas de problème avec les petites qui ne se réveillent qu’au lendemain. Finalement, je devais passer la nuit la, car elle avait une réunion importante, dans une autre ville, qui finirait tard. Elle allait devoir dormir dans un motel. J’allais devoir faire le déjeuner de ses filles et attendre son arrivé le lendemain matin. J’étais d’accord, puis elle me montra sa chambre en me disant que je pouvais dormir dans son lit qui est plus confortable que le sofa.
Deux heures après son départ, je finissais d’écouter un film à la télévision et je me décidai d’aller me coucher. Je me déshabillai, me retrouvant en slip et m’installa sous la couverture.

Je n’arrivais pas à dormir, alors j’allumai la petite lampe qui se trouvait sur la table de chevet. J’y remarquai un tiroir que j’ouvris par curiosité. Wow ! Le trésor. J’y découvris des godemichets de tailles et de formes différents. Ils reposaient sur des magazines pornos. Je pris un magazine et je savourais les photos de femmes à poil. J’étais un grand ado, alors quoi de plus normal ! Finalement je retirai mon slip que je lançai à l’autre bout de la chambre en me disant que l’heure était venue de me masturber. Confortablement installer sur les couvertures avec une main pleine et l’autre qui tenait le magazine, je commençai le travail et mon pénis était déjà au garde à vous.
C’est à cet instant précis que la porte de l’appartement s’ouvrit. Je paniquais. Avec empressement, je lançai le magazine dans le tiroir que j’essayais en vain de fermer, car il s’est coincé, je me recouvris maladroitement de la couverture qui se mêlait dans mes jambes, pour alors m’étendre sur le côté et faire semblant de dormir. Je n’étais pas certain, mais j’avais l’impression que j’avais une fesse qui n’était pas recouverte. Je ne pouvais plus bouger, elle entrait dans la chambre. Surement qu’elle avait découvert mon slip au sol. Elle avança dans la chambre et je la savais derrière mois en train de voir le tiroir de la table de chevet mal fermé et surement qu’elle voyait ma fesse dépassé de la couverture.
Elle ne dit pas un mot et fermait la lampe, pour alors se rendre à la salle de bain qu’elle avait dans sa chambre. J’allais pour me replacer, mais elle alluma la lumière de la salle de bain et ne fermait pas la porte pour pisser. Je ne bougeai toujours pas, mais je pris une chance d’ouvrir un œil. Ouf, je la voyais d’où j’étais. Elle était nue et se lavait avec une débarbouillette. Quel corps ! J’étais un fervent admirateur de la bande dessinée des contes féériques et elle était carrément Blanche Neige. Ça ne m’aidait pas de la voir ainsi, j’étais mal à l’aise. Chose certaine, j’étais débandé, j’avais une trouille incroyable.

Finalement, elle ferma la lumière, puis s’installait sous les couvertures dans le lit. Je ne bougeais toujours pas. Soudain, je sentis ses fesses se coller à mon pénis. Sans même pouvoir contrôler quoi que ce soit, il se mit à durcir entre ses fesses. Elle fit un petit gémissement, puis remuait son derrière. Ne sachant plus quoi faire, je me tournais sur le dos. J’allais fuir, je pense. Mais elle ne m’en laissait pas le temps qu’elle se tourna et prit mon pénis dans sa main.
--Ne bouge pas ! Fit-elle doucement en me passant la langue sur la joue.
Elle glissa sa tête sous la couverture et engouffrait ma queue dans sa bouche. Elle me faisait carrément une pipe. C’était ma première fellation. Jamais, je n’avais senti ma queue aussi grosse de toute ma vie. Mais ce qui devait arriver, arriva. Elle explosait dans sa bouche. J’avais jouis comme jamais, mais c’était trop vite. Le pire est que cette femme ne s’arrêtait pas la. Elle avalait tout et avec sa langue, elle me nettoyait le pénis entièrement comme si elle n’avait jamais mangé de sa vie. Je pensais que ça finirait la, mais non. Elle se dressa et m’ordonna carrément de me mettre sur le ventre, ce que fis, obéissant. Elle m’écarta un peu les cuisses et glissait sa main sur mes fesses, puis elle y posa sa langue. Elle me léchait les fesses et je sentais même qu’elle glissait sa langue près de mon anus quelques fois. Finalement, elle se dressa et plaça une jambe entre les miennes, collant son vagin sur ma fesse. Elle se mit à frotter sa vulve humide sur moi. Plus ça allait, plus c’était humide. Elle y allait de plus en plus violemment, tout en me passant une main dans les cheveux. C’est alors que je la sentis gicler sur moi. On m’avait parlé de femmes fontaine, mais la, c’était plus incroyable que je le pensais. J’étais complètement trempé et elle étalait son liquide sur mon corps.
Je sentis alors qu’elle glissait un doigt dans mon cul. Je serrais les fesses, car ça ne faisait vraiment pas mon affaire.
Je l’entendis sourire. Cette fois, elle m’écarta les jambes et s’installa entre mes jambes pour que je ne puisse les refermer. D’un coup sec, elle plaça sa bouche chaude sur mon cul afin que je ne puisse plus serrer les fesses. Je sentais sa langue se glisser en moi et j’étais loin de trouver ça agréable. Avec ses mains, elle m’écarta les fesses et jouait avec sa langue en y allant le plus profond possible. Elle me releva le cul violemment en me maintenant fermement. Je ne pouvais même pas lutter, elle semblait plus forte que moi. Finalement, j’abandonnai toute résistance et la laissai faire. Au bout d’un moment, je commençais même à aimer qu’elle me laboure le cul. Au bout de quelques bonnes minutes, elle me relâchait et ricanant elle se leva du lit et alla à la salle de bain.
Pendant que je restais la à me demander si j’étais en colère ou non, elle se rinçait la bouche. De nouveau, elle sortit de la salle de bain et s’appuya contre un mur en se caressant.
--T’avais déjà baisé avant ? Me demanda-t-elle.
--Non !
--Tu t’es déjà masturber devant une femme ?
--Non plus !
Elle glissa sa main entre ses cuisses et se masturbait. Étendu sur le lit, je la regardais faire comme un voyeur. Je sentais mon pénis se gonfler de nouveau. Elle se caressait les seins avec une main et glissa les doigts de l’autre main dans sa fente humide. C’était un spectacle incroyable à voir et ça me tombait gratuitement sous les yeux. Cette pute m’avait violée, et la elle m’excitait. Elle se rendit compte de mon excitation et s’approcha du lit en me faisant signe de m’approcher. Elle m’installa sur les genoux a côté du lit et me regardait alors que j’étais face à sa chatte légèrement touffue.
--Fais comme j’ai fais dans ton petit cul ! Ordonna-telle et me prenant la tête et me collant le visage sur sa chatte.
Cette fois, j’avais l’impression d’avoir le contrôle. Je glissais ma langue dans son vagin et je la sentais gémir, ce qui me poussa à y aller plus fort.
Ma langue s’enfonçait en elle et je pouvais sentir un liquide chaud couler de son vagin. Ce même liquide que j’avais sur le corps. Elle frémissait et gémissait démontrant qu’elle adorait ce que je lui faisais. Je prenais carrément de l’assurance en moi. Je prenais même le contrôle de cette femme avide de sexe. Ses jambes tremblaient, alors que tout son corps se mit à se raidir. D’un mouvement sec, elle s’agrippait à mes cheveux et me repoussa. Un jet liquide sortit de son vagin et m’aspergeai le visage. Elle jouissait carrément et tremblait de tout son être. Je venais de faire jouir une femme et je dois dire que je me suis sentit fière de moi. Mon pénis était toujours en érection, alors tant qu’a être un homme, j’agissais comme tel. Je la poussa sur le lit. Elle se retrouva couchée sur le lit en riant.
--La, je vais te fourrer ! Dis-je sur un ton autoritaire, comme ça ne m’était jamais arrivé.
Je me couchai sur elle et enfila mon pénis dans sa fente déjà lubrifiée. Je la pénétrais en caressant ses seins. J’y allais de coups de reins puissants, et la voir se tortiller et gémir me rendait encore plus vigoureux. Je n’arrivais pas à croire que je me tapais une telle femme. J’avais l’impression d’être Sam Botte en train de baiser Blanche Neige. Ce la dura un temps incroyable. J’étais épuisé, mais je continuais sans arrêt. Je n’arrivais pas à éjaculer et j’étais toujours bandé comme un roc. Nous étions en sueur, et c’était carrément la frénésie de la voir jouir de mes mouvements de va et vient.
Je reculai alors pour reprendre mon souffle. Elle constata que j’étais toujours bandé et sourit. Elle se plaça alors à quatre pattes sur le lit.
--Met ta bite dans mon cul.
Je n’hésitai pas une seconde. Je glissai doucement ma queue dans son anus. C’était plus serré que dans son vagin, mais ma queue était tellement bien lubrifiée que ça pénétrait bien. J’y allais encore de mouvements de va et vient et ses gémissement devenaient des cris. Elle se cramponnait aux taies d’oreiller, tandis que je poursuivais le travail. Mon pénis explosa en elle, et ma tête tournait à un tel point que je pensais m’évanouir. Elle s’écrasait dans son lit respirant fort. Je me couchai à mon tour sur le lit reprenant mon souffle et mes esprits.
--Il ne manque qu’ne chose pour que tu sois un homme, mon grand !
--Ha oui ! Et quoi donc ? Demandais-je.
Elle vint coller ses gros seins sur moi, puis posa ses lèvres sur les miennes et m’embrassa langoureusement.
Il était presque minuit et nous sommes allé prendre une douche ensemble. On s’est rendu, ensuite, dans la cuisine entouré de serviette et on a mangé de la crème glacée. Par la suite, nous sommes allé dans le petit salon et installé sur le sofa a discuté ensemble pendant un bon moment.
Malicieusement, elle écarta le bout de ma serviette et vit mon pénis en train de durcir.
--La fougue de la jeunesse ! Dit-elle avec un sourire.
C’est à ce moment qu’on se mit à frapper à la porte. Mais qui pouvait bien se pointer à une telle heure ? Ça c’est une autre histoire…

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