Le Commencement
Je mappelle Jocelyne et jai 34 ans, je suis mariée à un homme que jadore, du même âge que moi. Nous avons deux garçons de 12 et 5 ans.
Je nai pas eu ce quon appelle déducation sexuelle, ma mère ne ma jamais parlé de sexe ou de comportement sexuel, même quand jai eu mes premières règles, en pensionnat, ce sont les copines qui mont instruite.
Quand jai commencé à sortir avec mon futur mari, ses caresses entreprenantes faisaient naître chez moi des sensations inconnues mais que jadorais ; il ma caressait la poitrine et je mouillais ma petite culotte sans comprendre pourquoi, mais cétait délicieux à un point que jattendais chaque rendez-vous avec impatience, sachant quil ne manquerait pas de recommencer. Un jour, nous étions au cinéma, mes seins avaient déjà eu leur sou de caresses, jétais aux anges quand jai senti sa main prendre la direction de ma culotte, déjà humide. Je nai pas résisté longtemps tellement, ma barrière morale religieuse est vite tombée devant mon envie. Les doigts de mon chéri ont écarté ma petite culotte pour investir ma chatte, vierge de toute caresse. Je ne métais jamais « touchée », que pour ma toilette et ces doigts qui minvestissaient étaient des conquérants dun nouveau monde, le plaisir. Ma respiration sest vite accélérée au rythme des doigts dans mon vagin et sur mon clitoris et je nai pas pu retenir mon cri de jouissance tant jai été surprise de la puissance de ce que jai appris plus tard être lorgasme. Nous sommes sortis précipitamment de la salle, sous les applaudissements de certains voisins.
Cela a été le début dune lente progression vers la jouissance ; après notre mariage mon mari ma apprit à me masturber, puis il sest rendu compte que mon excitation augmentait lorsque les situations sortaient de lordinaire. Quand je pensais quon me regardait, mes orgasmes étaient bien plus forts que dans lintimité, jétais exhibitionniste sans le savoir. Il ma alors fait me masturber en ville, debout sous une porte cochère, au cinéma, au restaurant et même chez des amis en cachette, mais il fallait quil me lordonne de le faire, sinon jétais bloquée.
Je lui avouais que je devais être obligée, e pour me comporter ainsi, aussi un jour il ma présenté un papier à signer, un contrat ma-t-il dit :
Le 12 janvier
..
Je soussigné Jocelyne L
..
Déclare par le présent ma soumission totale à M
. mon mari,
Il peut faire de moi ce quil veut, sans limite morale
Je mengage à exécuter tous ses ordres, sans restriction et subir toutes ses envies
Fait en toute possession des mes moyens intellectuels.
J
.. signature
Jai lu ce document et je lai vite signé, je ressentais désormais une légèreté dans mes besoins sexuels que je sentais immenses.
Après la signature de mon contrat de soumise, mon éducation sexuelle sest poursuivie à un rythme accéléré. Un jour, un jeudi je crois, jai reçu des instructions de mon maître par mail, il était sur Paris, me demandant de mépiler intégralement jambes et pubis et de venir le chercher dans le hall de la gare, uniquement habillée de mon manteau.
Jétais là à lattendre lorsquil est arrivé avec ses collègues dont C
un libertin avéré ; bises à tout le monde et nous rentrons, non sans que M ait vérifié si javais bien exécuté ses instructions. Il me caresse mon minou tout nu, sans insister et mannonce que demain jaurai une surprise ; ce soir je reste sur ma faim, tendue.
Le lendemain, les s sont à lécole, et nous sommes tous les deux est en RTT et en profitons pour faire la grasse matinée (la vrai, à dormir), puis sur le coup de midi, après la douche, M me demande daller mettre les sous-vêtements que je juge les plus coquins pour faire des photos. Je suis ravie, en fait je nattendais que ça.
Je mets donc mon ensemble noir et rouge, soutien gorge à balconnets, string à pressions, porte-jarretelles et bas résilles toute excitée de me faire photographier, bien que normalement je naime pas me faire tirer le portrait. Je me maquille avec soin et je vais au salon où mattend mon reporter.
M me fait prendre moult positions, plutôt excitantes, je dois présenter mes seins sur mes mains après avoir remonté mon soutien-gorge ; je fais voir ma chatte épilée en tirant le string sur le côté et même lui enfiler une banane que je mange ensuite.
M prend quelques photos sous tous les angles, puis il me met un bandeau sur les yeux, chose que je nai encore jamais eue. Dun seul coup, je me sens coupée du monde, comme seule, flottant dans un espace inconnu, surtout quand ses mains commencent à parcourir mon corps.
Je commence à gémir de plaisir quand M me demande si je me rappelle du contrat que jai signé, et me demande de le répéter.
« je suis ta soumise, tu peux faire de moi ce que tu veux »
Bien me répond-il, lorsque la sonnette de la porte dentrée rompt le charme. M ferme la porte du salon et va voir qui est cet importun. Deux minutes plus tard, il est de retour en me disant que cétait les gamins habituels qui jouaient avec les sonnettes.
Reprenons, me dit-il, « tu es ma soumise et je peux faire ce que je veux ? »
« Oui, tout ce que tu veux » lui répond-je.
Là je sens une main qui défait les pressions de mon string et me le retire, puis je sens quelque chose passer doucement sur lintérieur de ma cuisse gauche, puis de la droite, puis un claquement sec et une brûlure me tire un cri que je contient en me mordant les lèvres ; puis un autre coup sur lautre cuisse me refait crier.
« Je ne veux pas entendre un cri ! » me dit M.
Et les coups recommencent, réguliers, mes cuisses me brûlent et je me mors pour ne pas crier car je sens les coups sapprocher de ma chatte.
Puis le calme revient, jouvre enfin la bouche pour respirer normalement quand je ressens une véritable flamme sur mon mont de vénus, sensible après avoir été rasé de près hier soir et rafraîchi à midi. La brûlure est si soudaine que je nai pas pu retenir mon cri et M me le rappel tandis quil se met à battre ma petite chatte méthodiquement, une lèvre après lautre, même le clitoris reçoit quelques coups.
Puis les coups sarrêtent et je sens un souffle sur ma chatte et mes grandes lèvres sont étirées sur les côtés tandis quune langue habile vient titiller mon bouton. Il ne faut pas longtemps pour que jaie un premier orgasme. Je suis encore en train de reprendre mon souffle que M reprend sa caresse, mais cette fois ses doigts investissent mon vagin ruisselant et vont parcourir mes parois vaginales.
Je suis en plein délire et réclame « une queue, une queue par pitié », je sais que mon tortionnaire a préparé un beau concombre comme je les aime, pelé et tiédi sur le radiateur et je le sens bientôt minvestir doucement mais puissamment, je suis complètement remplie, distendue, jadore.
Notre auxiliaire savamment manié commence alors un long va et vient de plus en plus rapide et une langue titille mon clitoris. Je suis toute à mes sensations quand je sens la bouche de M sur la mienne et ses mains sur mes tétons, je laisse sa langue venir sentortiller avec la mienne quand dans mon cerveau un éclair jaillit : il y a une autre bouche sur ma chatte. Alors là, jexplose dans un orgasme puissant, en hurlant littéralement de bonheur, au point que je ne sais plus où jen suis. Jai joui comme jamais je navais joui, mais quand je suis retombée sur terre, M était tout seul, souriant et à la question « comment cétait ? » jai répondu en lembrassant « sublime, tu pourras encore te servir de moi comme çà ».
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