La Démoniaque Sarah 2
Le temps a passé, avec joie et soulagement, jai appris quelles nétaient pas enceintes. Je continuais à voir régulièrement Sarah, maintenant elle nest plus sous lemprise de sa frénésie et impose un préservatif à chaque rapport. Au fil des mois, je la vois de moins en moins puis un jour elle vient me retrouver et mexplique :
- Cest bientôt le solstice, je voudrais que tu sois à nouveau le messager du maître. Jespère que ce coup ci, tu ne topposeras pas a la cérémonie. Ce sera comme la dernière fois, jai réussi à convaincre Mélanie et Juliette, elles sont prêtes, si tu y mets du tien, je pense que ce coup ci, le maître sera content et viendra nous voir sur terre. Es-tu daccord ?
- Oui, si tu veux.
- Il y a une condition.
- Laquelle ?
- Le solstice est dans deux mois et dici la je te demande de garder ton jus.
- Quoi ! Tu mobliges à rester sage pendant deux mois ?
- Oui, cest le seul moyen dy arriver. Pendant deux mois tu ne dois rien faire, pas même une petite branlette.
- Ça va être difficile tu sais.
- Cest ça ou tu ne participe pas.
- Cest bon, je serais sage.
Au début ça a été facile, après quinze jours beaucoup moins. Enfin jy suis arrivé. Comme convenu, deux mois après, elle est venue me chercher et ma emmené dans une sorte de cave, dans les ruines dun château. Partout autours de nous des cultures de diable et démons, au centre de la pièce une grosse pierre plate. Elle ma demandé dattendre dans un coin puis elle est partie chercher Mélanie et Juliette. Elles sont entrées toutes les trois dans la même tenue que la fois précédent, une sorte de toge blanche à raz des fesses. Comme la fois précédente elles ont fait leurs incantations, elles ont fait brûler des trucs bizarres, la fumée acre envahissait la pièce et faisait tourner la tête. Elles ont bu leur potion magique puis elles se sont déshabillées. Mélanie était très belle, grande, blonde, bien formée, petite poitrine et très blanche de peau, Juliette elle, tout le contraire relativement petite, brune le teins mat, une poitrine énorme.
- Déshabille-toi et viens sur la pierre.
Le ne me suis pas fait prier, rapidement, je les ai rejointe. Sarah ma fait boire de leur potion, toujours aussi forte. Elles ont fait des incantations puis sur lordre de Sarah, Mélanie et Julie sont venues sur moi. Lune à cheval sur mes cuisses, lautre à cheval sur ma tête. Je me suis mis à lécher le sexe humide de Mélanie au-dessus de ma bouche pendant que Juliette caressait son sexe avec le mien. Sarah, elle faisait des incantations en caressant la poitrine de ces deux femmes.
Je me sentais sur le point dexploser sous les caresses de la toison de Juliette quand Mélanie ma inondé le visage de son plaisir en criant sa joie. Après, tout est allé très vite, Juliette sest poussée, Mélanie a avancé sur moi et Sarah a guidé mon chibre en elle. Je ne sais pas si cest parce que jétais préparé ou quoi mais jai très bien senti son hymen se déchirer sous sa poussée. Elle a crié, le sang a coulé sur la pierre et jai vu sur le plafond de cette cave une ombre effrayante, elle nous regardait. Sarah sest mise à caresser le clitoris de Mélanie, ses gémissements de douleur se sont transformés et elle a commencé e bouger sur moi en même temps que lombre qui est descendue vers nous. Javais beau avoir très envie, je narrivais pas à jouir, cétais impressionnant, tellement bon.
Lombre est encore descendue puis elle est entrée en moi. Une hallucination ? Peut être, je ne sais pas. A partir de ce moment la, jai eut limpression que mon sexe grandissait en elle jusqu'à forcer la bouche de son utérus et là, jai lâché toute ma semence économisée depuis deux mois dans un orgasme faramineux qui ma fait perdre connaissance.
Quand jai refait surface, je bandais toujours et maintenant cétait Juliette qui sagitait sur ma bite.
Je me suis réveillé dans mon lit, javais très mal a la tête, la bouche pâteuse et comme des crampes dans tout le corps. Après avoir ouvert les yeux jai regardé autour de moi. Il faisait grand jour, la maison était silencieuse, Le lit était complètement défait et à coté de moi, entièrement nue, les jambes écartées, Sarah dormait profondément sur le drap au niveau de son sexe, une grosse tache humide. Je me suis levé, javais comme le vertige, jai pris une bonne douche et je suis parti la réveiller en la caressant doucement. Elle a ouvert les yeux.
- Non, arrête, on a tellement baisé hier soir que mon sexe me fait mal.
- On a baisé ? Hier soir ?
- Oui, tu ne ten souviens pas ?
- Non, mon dernier souvenir cest quand jai éjaculé au plus profond de Juliette, après cest le trou noir.
- Et bien ça alors ! Tu ne te souviens pas que tu nous as fait lamour à toutes les trois pendant toute la nuit, dans la cave ?
- Non.
- Tu ne te souviens pas non plus quune fois rentré à la maison au petit matin tu mas encore fait lamour trois fois.
- Non, pas du tout.
- Jai bien fait de te mettre au régime deux mois mais je ne pensais pas que tu puisses en faire autant.
- Viens, on va déjeuner.
Nous sommes partis à la cuisine il était déjà midi Mélanie et Juliette dormaient toujours. Après avoir bu un café et mangé un peu, jai demandé à Sarah comment je pouvais avoir fait tout ça. Habituellement après deux ou trois jouissances, je suis mort.
- Cest le Maître qui était en toi, maintenant, cest sur, tu étais possédé par le Maître.
Jai éclaté de rire. Et je lui ai proposé une petite promenade, elle a accepté et nous sommes sortis. Pendant la promenade elle sest mise a mexpliquer :
- Tu sais, ce ne sont pas des bêtises, maintenant le maitre est en toi, tu es a son service comme moi au tien.
- Arrête de raconter des sornettes, tu mas mis au régime sec et on a fait une très belle partie de jambes en lair, cest tout.
- Et comment expliques-tu ton endurance ?
- Cest surement le truc que tu mas fait boire et le régime de deux mois.
- Non, cest le maitre qui thabite. Tu en veux une preuve ?
- Oui, jaimerais bien que tu me le prouves.
- Ouvre ta chemise et regarde ton torse
- Oui, jai un bleu, un gros bleu même. Jai du prendre un coup cette nuit.
- Non, cest la marque, le maitre est en toi.
Jai éclaté de rire :
- Cest ça ta preuve ?
- Le maitre est revenu sur terre pour sy installer avec sa cour. Lui seul est revenu pour linstant, il est en toi. Grace à toi, il va faire revenir sur terre tous ses s.
- Ah bon et comment il va sy prendre, moi, jai ma vie et rien ne va la changer.
- Cest la que tu te trompes. Le maitre dirige ton corps et ton esprit maintenant.
- Fini ces sornettes, on rentre.
- Non, attends, je vais te prouver que le maitre est vraiment en toi.
- Et comment tu vas faire ?
- Moi, je ne vais rien faire mais suis moi et tu verras.
Nous sommes entrés dans le bistrot du coin, jai commandé deux cafés et nous nous sommes installés à une table en terrasse.
- Le maitre qui est en toi, na quune solution pour faire revenir ses adorateurs sur terre, il doit les faire renaitre, pour ça il a besoin de toi.
- Besoins de moi ?
- Pas vraiment de toi mais de ton corps, tu dois baiser des femmes pour les féconder et les bébés qui naitrons seront les s du maitre qui reviendrons sur terre.
- Mais je ne peu pas baiser comme ça toutes les filles que je rencontre, la plupart de celles que je connais prennent la pilule en plus alors pour les féconder...
- Non, tu ne féconderas que les filles que le maitre tindiquera.
- Et comment il les choisira et me les indiquera ?
- Cest simple, il ressent celles qui ne prennent pas de contraceptif et qui sont en pleine période dovulation. Cest comme ça quil les choisira.
- Et comment il mindiquera que cest cette fille que je dois courtiser ?
- Cest très simple, en la voyant tu banderas, en lui parlant tu lenvouteras et dans la foulée tu la baiseras et la féconderas.
- Cest un programme plaisant, ça commence quand ?
- Tout de suite, regarde ce groupe de filles à coté du bus.
- Oui et alors ?
- Tu ne ressens rien ?
- Non rien.
A ce moment passe devant le bistrot une femme, la trentaine, lair sérieuse, dun coup, je me met à bander.
- Avec les filles a coté du bus je ne ressens rien, par contre cette femme la, elle me fait bander.
- La vieille avec son panier.
- Oui, je pense, cest en la regardant que je bande. Pourtant elle est moins belle que toi.
- Merci quand même. Mais cest le maitre qui commande, va la voir et tus va la baiser pour engendrer le troisième fils du maitre.
- Le troisième ?
- Oui, hier soir, tu en as déjà fait revenir au moins deux.
Je me suis levé, je me suis approché de cette femme qui semblait attendre le bus en me demandant ce que je pourrais lui dire pour laborder et a ce moment la, une anse de son sac sest rompue et tout ce quil contenait sest répandu sur le sol. Je me suis précipité pour laider à ramasser ses courses.
- Merci beaucoup monsieur
Elle sest immobilisée ma regardé dans les yeux.
- Que puis-je faire pour vous servir Maitre ?
Je nen revenais pas, elle était comme hypnotisée.
- Posez votre sac et suivez-moi.
- Oui, maitre tout de suite.
Je suis parti vers une porte cochère, je suis entré suivi par cette femme dans un couloir sombre, je bandais tellement que ma bite me faisait mal.
- Relevez votre jupe, baissez votre culote et mettez vous à quatre pates ici.
- Oui, maitre.
Elle sest tout de suite exécutée, je nen revenais pas. Je me suis placé derrière elle, jai un peu caressé lentrée de son vagin, il dégoulinait. Jai ouvert ma braguette sorti mon instrument et je suis entré en elle dun coup. Elle a gémis de plaisir tout le temps et quand jai explosé elle a poussé un cri strident qui a du ameuter tout le quartier. Je me suis relevé, rajusté, elle restait la, immobile par terre.
- Relève-toi et rhabille-toi.
- Oui maitre.
- Retourne a ton bus.
- Oui maitre, merci maitre.
Elle est repartie comme si rien danormal ne sétais passé. Jen restais tout con, je suis retourné voir a la terrasse du bistrot ma chère Sarah, elle mattendait.
- Alors convaincue ?
- Je ne sais pas, cétais peut être une folle cette femme.
- Non, le Maitre qui est en toi te guide et fait tout ce quil faut pour que tous ses s reviennent le plus vite possible sur terre.
- Ah bon mais il lui faut quand même attendre neuf mois non ?
- Non, les s du Maitre se développent beaucoup plus vite, en six mois ils sont à terme et une fois né, ils vont grandir dun an par semaine. Bientôt, notre région sera envahie par les fils du maitre et eux aussi participerons au retour des adorateurs de lautre monde.
Je ne réponds pas pensant que ce qui venais de marriver nétais quun pur coup de chance, jétais tombé sur une ménagère en manque ou sur une vieille salope, cest tout. Au moment ou nous allions partir, nous nous sommes fait aborder par une gitane qui semblait mendier aux terrasses. La Bohémienne me dévisagea et me dit :
- Je suis très heureuse de te retrouver Maître, il y a très longtemps que je te cherche.
- Que vous me cherchez ?
- Oui, je sais tout sur toi et ta vie, nous avons passé quelques siècles ensemble.
- Quelques siècles ? Mais je nai que vingt cinq ans.
- Suffi, silence. Jappelle les autres pour les mettre au courant de ma découverte.
- Il faudra bien que vous me racontiez ma vie. Moi, je ny comprends rien si ce nest quil me semble que jai certains pouvoirs.
- Oh oui, Maître, mais tu dois trouver la clé des secrets pour me faire parler, répondit-elle, le sourire aux lèvres.
A suivre
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