Trixie Chap 11 - Un Petit Service
Je m 'habillais, mettant ma lingerie préférée un demi soutien gorge noir, un porte jarretelle soutenant des bas noirs bordés sur le haut de dentelle, j'allais enfiler un chemisier et une jupe, lorsqu'on sonna à la porte. Je pris ce qui me tombait sous la main pour me couvrir, en l'occurrence une blouse récupérée au boulot, boutonnais rapidement les trois premiers boutons les seuls rescapés, chaussais mes talons aiguilles et allais ouvrir, car la sonnette venait de retentir à nouveau. En marchant, la blouse s'écartait sur mes cuisses et laissait apparaître les attaches et les lanières de mon porte-jarretelle. Il faudrait que je fasse attention en ouvrant la porte.
C'était mon voisin, celui qui avec le noir, m'avait baisé à côté de la piscine cet été. Je le fis entrer. Il désirait que je lui rende un petit service. Il ne savait pas comme faire pour remplir des papiers et venait voir si je ne pouvais pas l'aider, car il savait que je travaillais plus ou moins dans le domaine comptable, et il y a quelques jours, mon mari lui avait signifié qu'il s'absentait pour quelques jours.
Je lui répondis que j' allais essayer de l'aider. Je n'étais pas dupe et savais que ce n'était qu'un prétexte pour s'introduire chez moi, me sachant seule et de profiter encore une fois de la situation pour éventuellement me baiser si je ne le repoussais pas. Je décidais, de jouer le jeu, et l'installais à la table de la salle à manger.
Il sortit ses papiers, je m'approchais et nonchalamment d'un geste naturel appuyais ma main contre ma hanche, posant mon pied sur le barreau de la chaise, la blouse s'écarta et dévoila ma cuisse et l'attache de mon porte jarretelle. Le regard du vieux se porta aussitôt sur le morceau de chair dénudé. C'était comme si donnais mon accord à ses désirs.
Il approcha sa main tremblante, il me m'observa ne sachant s'il pouvait continuer. Je le regardais gentiment en souriant, il s'enhardit et la passa sous la lanière, caressa la chair offerte, remontant vers le string transparent.
Je déboutonnais sa chemise, la lui ôtais. Il se mit debout, attrapa ma tête qu'il plaqua contre les poils blancs de son torse. J'adorais le contact des poils d'un homme, j' y frottais doucement ma joue, tandis que les mains du vieux déboutonnaient les boutons de ma blouse. Je le laissais me la quitter. Ses mains tremblantes de bonheur et d'excitation se plaquèrent sur mes seins et il les malaxa. Je le repoussais doucement, lui quittais son pantalon et son slip et le fit asseoir sur la chaise.
Je m'aperçus que la première fois, cet été, j'avais mal jugé la grosseur et la longueur de sa queue, après j'avais été trop accaparée par la grosse verge du noir. Elle était assez conséquente surtout pour un homme de son âge. Pour l'instant il ne bandait pas. Je me mis à genoux devant lui. Je décalottais deux ou trois fois le gland, il commença à réagir.
Mes mains se posèrent sur les épaules, puis descendirent lentement sur le torse ridé, elles s'attardèrent sur la verge, qui commençait maintenant à durcir, saisirent et caressèrent les couilles.
Il gémissait doucement. Posant un genou à terre, d''une main je lui relevais le sexe, tandis que ma langue lui léchait les testicules qui se contractaient de plaisir. Puis je la fis remonter jusqu'au gland et je le mis dans ma bouche. J'avalais par petites saccades, entièrement le pénis du vieux voisin. Je commençais à le sucer, en le faisant ressortir de ma bouche et en l'avalant à nouveau, tout en frottant les pointes durcies de mes seins sur les cuisses du vieil homme. Ma chatte était déjà humide. Il me caressait les cheveux.
Je me relevais, m'assis sur ses genoux, lui laissait agacer mes seins, tirer et mordiller mes tétons pour bien les ériger ce qu'il fit avec un plaisir gourmand.
Il voulait m'embrasser, sa langue était sortie, je lui la léchais à petits coups, mais sans l'embrasser, il était très excité.
Je reculais, et je commençais à ôter mon string, posant mes fesses nues sur le bord de la table, puis basculant sur le dos jambes en l'air, je le fis glisser jusqu'à mes chevilles et l'enlevais complètement. Il fixait mon entrejambe d'un regard lubrique, il n'avait pas prononcé un mot...
Puis m'asseyant à nouveau j'ouvris en grand les cuisses pour lui laisser apercevoir l'intérieur ma chatte largement béante, je dégageais mon clitoris et lui fit signe de venir sucer mon entre jambes.
Il se mit à genoux, ses lèvres se plaquèrent sur le bouton rose et il l'aspira doucement, le mordilla, je tressaillis de plaisir. Puis sa langue, se mit à parcourir ma fente ruisselante de foutre. Je me caressais les seins, tirais sur mes tétons en poussant des gémissements de plaisir et en disant au vieil homme que sa langue était merveilleuse. Mais je me traitais de salope, me disant que j'aimais me faire baiser par un presque vieillard... que je devais être un peu nymphomane car ce n'était pas la première fois que j'appréciais ce genre de situation.
N'y tenant plus, il se releva, je posais un pied sur son épaule et écartais au maximum mon autre jambe, mon sexe offert n'attendait plus que la pénétration. Il approcha sa bite, et avec le bout du gland me caressa longuement le clitoris. Puis il enfonça juste la partie décalottée, il recommença la même opération trois ou quatre fois, et d'un seul coup fit pénétrer son phallus jusqu'au bout dans mon sexe trempé, je poussais un cri de plaisir. Il me pénétra à grands coups de reins, je lui attrapais la tête et l'embrassais fougueusement.
Il me fit descendre de la table, poser mes épaules à plat sur le sol, me demanda de soulever mon bassin, de le soutenir en posant les mains sous mes reins et de basculer la pointe des pieds vers sa tête, cela dégageait ma chatte. Il se positionna jambes écartées au dessus de mon sexe largement ouvert et moite, fit pénétrer sa queue et les deux mains posées sur ses genoux commença de puissants va et vient, je le trouvais fringuant pour son âge .
Passant une main sur mes fesses, il chercha mon orifice anal, y fit pénétrer deux doigts, et jugeant l'ouverture suffisante, le força avec sa bite dégoulinant de mon foutre. Je poussais un grognement de satisfaction en l'incitant à me pénétrer plus profondément. Le vieux m'enfilait sa queue à tour de rôle une fois dans le vagin, une fois dans le cul. Je commençais à hoqueter de plaisir, mais cette position était fatigante pour moi, je lui demandais d'en changer.
Il se mit sur le dos, je m'empalais sur le sexe tendu, mais il voulait continuer à me sodomiser, il ne devait pas faire cela souvent surtout avec une jolie blonde consentante. Je le laissais faire, Il se dépêcha de remettre son sexe dans mon orifice anal. J'ouvris largement les jambes, lui pris les mains et lui entrais les doigts dans mon vagin. Il se mit d'une main à me caresser profondément et de l'autre à me titiller le clitoris. Je poussais des gloussements de plaisir, l'excitant de la voix. Je sentais le plaisir qui montait dans mes entrailles. Un bon bout de temps après, le vieil homme sentant venir son éjaculation, voulait déverser son sperme et éjaculer au fond de la chatte de la jolie jeune femme. Il me fit basculer sur le côté me leva une jambe et enfila son sexe avec violence dans mon vagin humide. Je sentis les soubresauts de la bite déversant sa semence tiède, je contractais mes parois vaginales sentant à mon tour monter la jouissance. Je m'étonnais que le vieil homme éjacule aussi longtemps. Il se retira enfin et je me penchais sur lui pour finir d'aspirer et lécher le sperme répandu sur son sexe qui perdait de sa rigidité. Il n'avait toujours rien dit, si ce n'est haleter et grogner de plaisir. J'avais un petit peu honte d'avoir joui, avec le vieux monsieur. La première fois, il y avait mon jeune voisin noir...mais là !!
C'est alors que la sonnette retentit à nouveau. J'en fut étonnée, je n'attendais personne, les coups de sonnette continuaient. J'attrapais ma blouse pour l'enfiler et aller ouvrir, mais le vieux me la prit des mains et m'ordonna d'aller ouvrir comme j' étais.
A peine la porte ouverte, deux mains velues se positionnèrent à mi-hauteur pour l'empêcher de se refermer, et la poussèrent fortement pour l'ouvrir plus largement. Je résistais en vain à la poussée. La tête qui passa par l'entrebâillement était hideuse, le visage porcin, au nez aplati était barré par une moustache abondante, le crâne chauve luisait. Les oreilles décollées augmentaient la bestialité. Il vit que je ne portais en tout et pour pour tout que des bas et un porte-jarretelle. Il enfonça presque la porte me faisant reculer, puis il la referma. Il devait mesurer 1,80 m et avoisinait les 110 kg. Il devait être légèrement plus jeune que mon voisin Paul. Il me détaillait de ses petits yeux chafouins qui brillaient d'excitation.
Je reculais ébahie. Je butais littéralement sur Paul qui referma ses bras autour de moi.
« N'ai pas peur, c'est un ami...je me suis permis de lui donner rendez-vous ici. Pour que tu puisses faire sa connaissance. Robert est le Pdg d'une boite de production cinématographique spécialisée dans, dirons-nous, les films...comment dire...érotiques. Et comme tu es vraiment super canon, que tu n'hésites pas à assurer le spectacle, que tu as l'air d'aimer vraiment le sexe...j'en ai eu quelques aperçus...J'ai pensé que tu aimerais peut-être te lancer dans le cinéma... Je lui ai parlé de toi et il désirait ardemment faire ta connaissance. Robert je te présente Trixie...»
J'étais un peu plus rassurée. Mon cerveau tournait à plein régime...
« Du cinéma, pourquoi pas pensais-je...Je commence à en avoir marre de cette routine...Mon mari qui n'est presque plus la...Si cela n'était pas trop contraignant, je pourrais cumuler avec mon boulot actuel...je pourrai gagner un paquet d'argent... »
Le Directeur n'arrêtait pas de m'étudier sous toutes les coutures, et il avait vraiment l'air satisfait de son examen...Il me tendit la main.
« Oui Trixie me dit-il, Paul ne m'avait pas menti quand à votre beauté... Vous feriez un tabac dans mes films...si vous acceptiez de tourner des scènes hard...Nous tournons des vidéoclips et commercialisons les DVD »
Oui... éventuellement...peut-être...
Écoutez, me dit-il, voilà le montant que vous toucheriez pour un jour de tournage.
La somme qu'il m'annonça, ôta mes derniers scrupules.
« Je suis d'accord...
Bon, eh bien voyons cela...nous allons en discuter...Mais d'abord... »
Ses yeux brillaient de plus en plus. Je me doutais de ce qu'il désirait Je reculais lentement, m'assis sur le canapé. Paul, nu appuyé contre le mur ne bougeait pas. Le gros homme s'approcha du canapé, défit la ceinture son pantalon en souriant et ôta le vêtement, il ne portait pas de slip, il quitta sa chemise. Mes yeux se portèrent sur la bite en érection qui pointait au dessus d'une abondante toison de poils gris, qui partant de son sexe remontait jusqu'à ses épaules.
Je n'avais jamais vu un sexe comme ça, pas tellement long, bien qu'il dût avoisiner les vingt centimètres, mais extrêmement large, au moins sept centimètres, le gland violacé était décalotté. Il la saisit à la base d'une main pour bien le dégager des poils et l'exhiber fièrement. Comme pour m'en faire apprécier la grosseur et la longueur. Il le caressa doucement, me regardant en souriant de ses chicots jaunâtres.
Il était vraiment plus que laid, mais si me faire engager devait passer par là...Je m'aperçus alors que sa verge était parsemée sous la peau d'une myriade de dômes gros comme des grains de riz, cela augmenta mon aversion.
« Putain, Paul il y a fichtrement longtemps que je n'ai pas baisé une fille aussi jolie...A côté d'elle, les autres nanas de la production sont des boudins... »
Il me mit la main sur ses énormes couilles velues. Mon aversion montait.
« Caresse les, soupèse les bien, elles sont lourdes et dures, hein ! Tu vas voir tout le sperme qu'elles contiennent, je vais tout te mettre dans la chatte et dans le cul ! »
Il m'avait couché sur le dos jambes ouvertes, pendantes du canapé les cuisses bien à plat, tétanisée je ne bougeais plus. Il se mit à quatre pattes entre mes jambes, posa les mains sur mes cuisses, à l'endroit ou la peau commençait a être découverte par les bas noirs. Il les fit remonter sous les lanières tendues, doucement vers mon sexe ouvert. Il progressait avec une lenteur calculée, les pouces arrivèrent au bas de la fente du sexe encore humide du sperme de Paul. Ils écartèrent les lèvres en remontant toujours doucement. Je croyais avoir le contrôle de mon corps, j'étais persuadée que je ne me laisserai pas m'exciter par ses attouchements, que je resterai sans réaction, il était répugnant, que c'était pour avoir un contrat qui pouvait rapporter beaucoup d'euros. Je pensais que mon esprit était assez aguerri par mes nombreuses expériences pour résister. Mais je sentais que petit à petit sous l'immonde caresse mon corps réagissait différemment, mon cur commençait à s'accélérer. Oui, j'allais céder. Moi que les hommes de la boîte ou je travaillais appelaient « Barbie », allait se laisser faire par ce qui était de par sa laideur l'antonyme de « Kent ».
Les pouces atteignirent mon clitoris, ils le dégagèrent. Les mains étaient toujours sous les lanières du porte-jarretelle, il commença à masser doucement avec deux doigts le petit bouton rose.
Je regardais les mains prodiguer leurs caresses et étais dégoûtée par le spectacle, mais quelque chose de bestial se réveilla dans mon esprit, quelque chose que je ne pouvais plus contrôler, quelque chose qui fit circuler mon sang plus vite, et rendit ma chatte humide. Je concentrais toute mon énergie à lutter contre cette sensation, mais je ne pouvais pas contrôler cet instinct le plus primaire. Je sentais mon foutre tremper mon vagin. Je me laissais aller à apprécier les caresses prodiguées par ce vieux d'une laideur repoussante. Là je me traitais vraiment de nymphomane et de fille vénale.
Le fossile émis un sifflement, je compris, qu'il avait remarqué mon excitation. De deux doigts, il écarta les lèvres.
« Ben dis donc Paul, elle coule...sa chatte, au cinéma c'est le top ! »
Il enfila son majeur velu dans mon sexe palpitant. Mon foutre lubrifiait l'insertion. Je sentais la montée de l'excitation et j'étais trempée maintenant. Il se releva un peu, sa poitrine poilue remonta doucement sur mon ventre, sa bouche se plaqua sur mon téton droit, il l'aspira puis le mordilla assez fortement, il fit subir le même traitement au téton gauche, je geins sous la douleur. Cela dut l'exciter car il recommença avec le droit. Je sentais le sang affluer aux extrémités de mes seins, mes mamelons durcissaient et s'érigeaient en deux pointes brunes, et se tendaient malgré moi vers la bouche fétide. Pendant ce temps, il essayait d'enfiler son majeur le plus profondément possible, il faisait des va et vient rapides. Je gémissais de plus en plus fortement sous les morsures et haletais sous le doigté. Mon esprit haïssait ce que mon corps désirait. Mais, je sentais que mon bassin se déplaçait pour répondre au doigt qui me fouillait. Je saisis la main pour l'enfoncer plus profondément en moi. Mon autre main griffait le tissus du canapé. Je râlais de plus en plus fort.
« Salope, tu commences à aimer, attends ce n'est qu'un début.... »
Il abandonna mes seins et sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue forçant mes dents, je cédais à son baiser, son haleine puait le vin. D'une main il dirigeait sa bite vers l'orifice béant de ma chatte palpitante. Je sentis l'énorme gland qui peinait légèrement pour pénétrer entre mes lèvres, puis il glissa doucement dans le conduit trempé, lorsque son gland fut entré, il stoppa la pénétration.
« Regarde, mon copain Paul, il bande le salaud et il se branle. Ça à l'air de l'exciter ce que je te fais, toi aussi salope, tu mouilles à mort !! Mes clients vont s'éclater à te regarder... »
Et disant cela, il m' enfonça sa bite d'un seul coup de rein. Je fus surprise par la raideur et la dureté du monstrueux tuyau qui me pénétrait. Je fus aussi agréablement étonnée par la sensation que me procuraient les petites vésicules qui parsemaient la peau du phallus qui m' écartait les parois vaginales. Je poussais maintenant des petits cris, les petites excroissances frottant l'intérieur des mon vagin augmentaient mon plaisir.
« Elle te plait ma grosse bite, Salope ! Je crois que je vais tourner un clip avec toi...»
Il me prit la jambe gauche et la posa sur son épaule. Je ne résistais plus, mon orifice vaginal s'ouvrit encore, d'un grand coup de rein il enfonça sa large queue jusqu'aux couilles. Il me tira un cri de plaisir.
« Putain Paul, tu l'as trop ouverte tout à l'heure, ça glisse tout seul, c'est pas marrant ! »
Il continua quand même ses pénétrations, je senti les couilles se contracter, un puissant jet de sperme inonda mon vagin. A la seconde contraction il sortit sa bite de mon vagin, relevant ma jambe encore plus haut, il positionna rapidement sa queue sur mon orifice anal, je senti couler une assez grande quantité de sperme chaud sur mon anus.
« C'est en prévision de ce qui va suivre, dit-il...Il faut que les clients en aient pour leur fric...je ne t'ai pas entendu jouir... »
Bien qu'il eut éjaculé, sa bite, ruisselante de sperme et de mon foutre, était toujours aussi grosse et tendue. Je me sentais frustrée, je n'avais pas joui.
Il me retourna, me fit mettre à genoux sur le sol devant le divan, la poitrine appuyée sur les coussins. Il s'assit à côté. Puis me caressant les fesses, il les écarta doucement pour dégager l'anus trempé par son sperme. Il commença avec son majeur à ramener le sperme dans le trou en l'effleurant doucement, je le contractais et le relâchais en attendant une pénétration du doigt qui tardait à venir. Puis je sentis qu'il écartait d'une main mon sphincter, du sperme mêlé à de la salive coula à l'intérieur. Le gros majeur velu glissa à l'intérieur, bientôt rejoint par l'index. Il les tournait doucement pour bien ouvrir l'orifice, son sperme facilitait la pénétration. Son annulaire avait été adjoint aux deux autres doigts et il forçait pour les enfoncer plus profondément. Cela m'excitait follement, je mordais le tissu du canapé pour ne pas crier d'extase. Mais j'attendais avec un peu d'appréhension la pénétration de son énorme queue.
Il ressortit ses doigts, il tenait toujours d'une main mon anus ouvert. Je sentis le gland violacé venir buter contre mon cul maintenant bien lubrifié et ouvert. Tout en me demandant si les petites boursouflures allaient me procurer autant de plaisir dans mon anus que dans mon vagin, j' essayais de me décontracter au maximum pour faciliter la monstrueuse pénétration. Il poussa doucement mais avec force, le gland rentrait, une légère douleur commençait à irradier mon anus. J' essayais de le repousser avec ma main. Il me saisit le bras et accentua sa poussée, je criais, mais le gland était entré entièrement. Il le ressortit, cracha sur la tête de sa bite et recommença l'opération, le gros rouleau glissa avec plus de facilité dans l'anus distendu. La douleur n'avait été que passagère. Maintenant il entrait et sortait sa bite et à chaque fois il gagnait un ou deux centimètres en profondeur. j' adorais maintenant la sensation que me procuraient les petits boutons de chair qui a chaque passage frottaient délicieusement contre ma paroi anale, je n'avais jamais ressenti une telle sensation, même lors des sodomies précédentes.
« Tu vois Paul, c'est nettement mieux ! C'est plus étroit, j'apprécie mieux. Toi aussi hein, Salope ! Dis moi le !!
- Oui, continue, plus profond, plus vite...aaahhhhh, aaaaaaaaaaahhhh.....j'aime ta grosse queue...
- Attends doucement, maintenant je suis moins pressé, tout à l'heure il y avait une éternité que je ne n'avais pas éjaculé dans une aussi jolie chatte !! Putain ce que tu peux être bandante avec tes bas et ton porte-jarretelle ! Tes vidéos vont se vendre comme des petits pains...»
En disant cela il m'avait saisi à la taille, passait ses mains sous le porte jarretelle, suivait les lanières.
Il me léchait dans le dos, m'attrapant par les cheveux, me tournant la tête il m'embrassa violemment m' aspirant la langue. Son abondante toison me caressait le dos, cela ne me déplaisait pas. Puis il accéléra la cadence de sa pénétration. Ses couilles me battaient les cuisses, les poils de la toison pubienne me chatouillaient les fesses. L'énorme queue bosselée faisait monter mon plaisir à toute allure. Je passais une main entre mes jambes et me caressais le clitoris. Mon orgasme arriva et je chavirais, un jet de foutre s'échappa de mon vagin.
Je criais, les muscles de mon sphincter se contractèrent et enserrèrent l'énorme queue qui l'emplissait. Le vieux me saisit les hanches dans un dernier spasme, il enfonça sa queue entièrement et se mit à éjaculer par de longs jets, qui le faisaient tressaillir à chaque fois. Je cru qu'il ne s'arrêterait pas de jouir. Puis haletant, il sortit sa queue et s 'assit sur le divan pour reprendre son souffle, Je me penchais sur la bite qui débandait et suçais le liquide séminal visqueux qui suintait encore du gland. Il eut encore deux sursauts lorsque je l'aspirais.
Puis je sentis, qu'on me tournait la tête, Paul était devant moi la bite tendue, il me la présenta en toute hâte, j' eu juste le temps de la mettre dans ma bouche, et il éjacula aussitôt, je déglutis et avalais le sperme chaud.
« Putain...Tu es vraiment parfaite Trixie...On commence les tournages le plus rapidement possible... »
A suivre...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!