Leslie Se44

Leslie SE44 – Seule, la petite transexuelle du bois

Je reviens d’une soirée chez une amie qui habite dans l’ouest de Paris, Laure étant absente de la maison, je suis seule et libre.
Il est vingt-trois heures, je roule sur l’autoroute de l’ouest et je vais m’engager ensuite après avoir passé le pont de Neuilly je vais m’engager dans les avenues du bois de Boulogne, pour aller rejoindre la voie sur berge et rentrer à la maison.
Je sais qu’à cette heure-là je vais certainement voir des créatures à la silhouette aguichante sur le bord de la route.
À cette heure-ci, ce n’est pas par hasard de voir des silhouettes qui ondulent ou traînent près d’un abri de bus en attendant l’éventuel client et comme nous sommes vendredi, fin de semaine, nombreuses sont les voitures avec des passagers recherchant, ou simplement matant, ces créatures qui peuplent la nuit venue le bois.

Au bout d’une avenue, je tourne à droite et m’engage sur l’avenue qui va me mener à la place Rhin et Danube, près de Roland Garos, avenue réputée pour accueillir les nombreuses transexuelles qui tapinent la nuit.
Je ne sais pas ce qui se passe en moi, mais je me dis que ce serait peut-être l’occasion de me faire une petite folie, comme celle que j’ai faite il y a bien longtemps dans le passé et pourquoi pas me laisser tenter par une petite aventure avec une congénère du même genre que moi.

Il y a des créatures de rêve, presque plus belles que des femmes et dans des tenues proche de la quasi nudité, certaines même n’hésitent pas à exhiber leur attribut en érection afin d’attirer un amateur en mal de câlins.
Le long de l’avenue je remarque au loin une silhouette légèrement en retrait sur le trottoir, à la limite du bois, presque cachée par les arbres dans la pénombre du bois, un endroit certainement choisit avec soin car il n’y a pas de réverbères à cet endroit et il faut être très attentionné pour remarquer cette créature dans l’attente.



Lorsque je passe, rapidement elle ouvre son long manteau pour m’apparaitre nue, le sexe bandé, avec juste les jambes gainées de bas que tient un porte-jarretelles blanc.
Une vraie beauté, jeune et belle, mais certainement timide pour être ainsi à l’écart.

Il est malheureusement trop tard pour que je m’arrête et me gare, pressée aussi par la voiture qui me suit, alors je continue de rouler pour faire le tour et revenir un peu plus tard, en espérant retrouver cette belle créature.
Après avoir fait le tour, me revoilà à nouveau près du lieu de mes attentes et tranquillement je me gare et descend pour rejoindre la belle, qui m’ayant vue est entrée un peu plus dans le sous-bois.
Je pense qu’elle n’a pas remarqué que je suis comme elle car je suis en pantalon et blouson, donnant l’illusion d’être un mec, ma coupe à la garçonne complétant l’illusion.

J’arrive près d’elle et je lis la surprise sur son visage, elle est vraiment jeune, tout au plus une vingtaine d’années, son manteau est fermée, je suis près d’elle et lui dis :
- Bonsoir.
- Bonsoir, me répond-t-elle.
- Tu fais quoi ?
- Tout je suce et je fais l’amour.
- Active ou passive ?
- Les deux comme tu veux ! Me dit-elle sans hésiter.
- Ici ou chez toi ?
- Chez toi aussi si tu veux, c’est suivant…
- Combien ? Lui demandais-je.
- Quarante je te suce ici, soixante l’amour dans le bois et cent au chaud.

Elle est trop belle, lentement pour me donner envie elle a lentement ouvert son manteau et me laisse voir son beau sexe bandé, elle est entièrement épilée et bande dur.
Sa voix est douce et me procure un début d’érection, j’ai soudain envie d’elle.
- C’est d’accord pour chez moi, lui dis-je tout simplement.
- Ok, on y va.
- Alors suis-moi, tu t’appelles comment ?
- Lola.
- Moi c’est Leslie !
- T’es trans ?
- Comme toi, ça te dérange.
- Pas du tout mais c’est drôle de se faire lever par une trans, c’est une première.

- D’autant que tu dois être nouvelle ici.
- Je suis là depuis deux mois.

Je me retourne et vais vers ma voiture suivi de Lola, elle monte et s’installe dans la voiture je mets le contact, allume mes phares et démarre, et me voilà en train de rentrer à la maison avec une prostituée transexuelle à mes côtés.
Nous sommes suivis par deux voitures, dont les occupants pensent que nous allons dans un coin isolé, mais les conducteurs décrochent rapidement quand ils s’aperçoivent que nous quittons le bois et que nous nous engageons sur la voie sur berge.

Dans la voiture, le manteau ouvert sur sa nudité, Lola se caresse le sexe, et soudain se tournant vers moi, elle me dit :
- Tu peux me toucher, me caresser si tu veux.
Mon sexe en érection me fait mal comprimé dans mon pantalon, Lola de sa voix douce me demande :
- Tu veux que je te mette à l’aise en ouvrant un peu ton pantalon, tu dois être à l’étroit ma chérie !
Et sans attendre ma réponse sa main dégrafe mon pantalon et sort mon sexe qui se dresse aussitôt.
- T’es pas mal fournie toi aussi, me dit Lola.
Ma main est déjà sur son membre, qui sursaute dans ma main, je la caresse doucement l’a faisant soupirer, et à son tour elle prend mon sexe dans sa main.
Nous roulons ainsi, nous caressant nos sexes jusqu'à la maison, je descends directe au parking et nous ne prenons même pas le temps de nous réajuster en sortant de la voiture.
Nos caresses continuent dans l’ascenseur et enfin nous voilà dans chez moi.
La queue à l’air, bandant bien dur nous nous déshabillons, elle ne prend même pas le temps de me demander son salaire, me demandant juste :
- Tu veux que je reste toute la nuit ?
- Si tu peux, pourquoi pas, mais…
- T’inquiètes pas, on s’arrangera !
Elle commence alors à me caresser les cuisses, puis me soupèse les couilles. Voyant que je bande déjà comme il faut, elle se redresse et sort un préservatif, et me le déroule avec ses mains d’experte.
Elle plonge alors sur ma queue, je soupire de bonheur, de plaisir.
Je ferme les yeux et me concentre sur la sensation de sa bouche qui aspire ma queue, sa langue qui tourne et son talent pour me gober entièrement, je fais de même et elle soupire.
Visiblement, elle est aussi excitée que moi cette petite transexuelle, elle est novice dans le métier et se laisse emporter par ses désirs, j’ai comme l’impression qu’elle est heureuse d’être avec moi et qu’elle a déjà oublié son boulot.
C’est à cet instant qu’elle prend ma tête avec ses deux mains et pose ses lèvres sur les miennes pour me donner un long baiser.
Je me laisse faire, c’est trop bon et tellement inespéré, surtout lorsque je sens sa langue forcer mes lèvres et s’insinuer dans ma bouche à la recherche de ma langue.
Dès l’ouverture faite sa langue s’enroule autour de la mienne et commence un balai infernal, no sexe battent la chamade contre nos cuisses, l’excitation mutuelle est à son paroxysme.

Lentement sans se presser nous nous dirigeons vers ma chambre toujours enlacées, et arriver au pied du lit nous restons là debout dans l’échange de notre baiser.
Elle se laisse aller à bien écarter les jambes pour me donner un accès parfait à sa queue que je commence à carrément branler, de son côté elle caresse mes fesses à la recherche de mon petit trou.
Ce n’est pas la première fois que je branle une queue, mais là c’est différent, la jeunesse de Lola et sa candeur, la douceur de sa peau et son parfum, tout n’est que féminité avec une queue bien raide et épilée comme moi, nous nous reconnaissons et avons le désir de vivre ensemble un moment inoubliable.
C’est chose là, ça se sent, pour peux que l’on soit un peu attentive.

Tu veux que je te suce ? Me demande Lola.
Et si nous nous sucions ensemble, tu as tout aussi envie que moi !
Sans un mot, nous montons sur le lit et nous nous plaçons en soixante-neuf, elle en dessous.
Aussitôt nous commençons à nous sucer la queue, celle de Lola est douce et légèrement parfumée à la mure, la sensation est divine, je la sens se tendre sous les caresses de mes lèvres, elle fait de même avec mon sexe et ensemble nous faisons quelques mouvements du bassin pour se baiser la bouche.

Après quelques minutes de ce régime de dégustation commune de queue, elle se dégage et me dit :
- Passons aux choses sérieuses maintenant !
Elle me dispose en levrette sur le lit, à genoux, cambrée au maximum et se place derrière moi entre mes genoux, elle se redresse et sort une capote et la déroule sur sa queue qui me paraît maintenant bien épaisse, une queue trapue.
Positionner derrière moi elle s’applique à poser son gland sur ma rondelle, et elle pousse son gland en moi sans forcer, sa queue rentre en moi, une légère douleur me vrille le cul, elle s’immobilise un moment, puis reprend sa progression, je sens ses mains sur mes hanches. Je me fais baiser et je bande comme un folle, j’aime ça.

Elle commence alors à aller et venir, doucement, puis avec une amplitude plus grande, sans ressortir de moi. C’est incroyable comme c’est bon, je sens que je m’abandonne à elle, mon cul est à elle, elle va me le baiser autant qu’elle veut. Je deviens même une chienne qui réclame.
- Vas-y, encore. Oui, baise-moi.
- Ça te plaît ma chérie, tu as un joli petit cul, bien étroit, hum, c’est trop, j’espère que tu apprécieras le mien car j’adore me faire prendre.

Je suis en train de partir, dans l’épais brouillard du plaisir et de la jouissance, plus rien n’existe, ses coups de boutoir en moi sont de plus en plus forts, je commence à haleter, à gémir de plaisir.
C’est ce moment que je choisis pour branler ma queue, mais tout ne me pistonnant de plus belle, Lola m’en empêche en me disant :
- Si tu jouis tu ne pourras pas me prendre correctement et je serais frustrée !
Et à peine sa phrase terminée elle redouble ses coups de reins, elle redevient virile, sa masculinité refait surface dans mon fondement, je jouis sous les va-et-vient continuels de Lola en râlant de plaisir et en la suppliant de continuer.
Puis ses assauts ont raison d’elle et elle se vide en moi remplissant son préservatif.
Elle est penchée sur moi et je sens sa bouche sur ma nuque, elle est en train de continuer de me défoncer, comme avant de jouir.
Je perçois sa nouvelle jouissance, elle se retire de mon cul et enlève son préservatif, pour gicler sur mes reins en se branlant fermement.
- Quel pied, me dit-elle, j’ai jouis comme une folle, à toi maintenant !

C’est à son tour de se placer en levrette sur le lit, je me place derrière elle, enfile un préservatif et m’enfonce sans un mot dans son étroit fondement.
Je l’ai enculé pendant un très long moment, la faisant hurler de plaisir et perdre connaissance dans une jouissance absolue. J’ai jouis dans la protection de latex au fond de son cul. Epuisée, sans voix et sans volonté, j’avais envie de rester là, en elle sans rien dire, mais Lola s’est libérée de mon étreinte en me disant :
- Si tu veux, nous avons toute la nuit pour nous aimer encore…
- Et pourquoi pas tout le week-end ?

Ce n’est plus une prostituée qui est près de moi, mais une femme à queue qui ne demande que de jouir de son corps ambigu, se faisant baiser et baisant un congénère comme elle, espérant oublier le temps d’un week-end la triste réalité de la vie.
Elle me sourit et je comprends qu’elle est heureuse, qu’elle est en train de vivre un moment magique qu’elle ne se refuserait pour rien au monde
Son travail est oublié dans cet espace-temps suspendu par le sexe et le plaisir, laisser la mémoire imprimer l’instant pour ne jamais l’oublier.

Deux jours et deux nuits de plaisir, qui se sont arrêter le dimanche soir lorsque Lola est partie pour retourner au bois, en me disant après un dernier baiser :
- Tu sais où me trouver désormais, jamais je ne t’oublierais…

A suivre…

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