Pierrette/Luc

Au lieu de faire l’amour normalement, elle pense toujours à la même chose : elle a trompé son chéri sur un coup de tête ou de bas ventre plutôt. Pierrette errait en ville en regardant les vitrines. En voyant un bistrot elle a eu envie d’un Perrier. Un peu intimidée, elle s’assoir à coté d’une table. Entre le moment où le garçon vient prendre la commande et celui ou elle commençais à boire, le café était rempli d’hommes sortant sans doute d’un grand bureau voisin, seule une jeune femme les accompagne. Ils plaisantent tous.
Pierrette restait seule quand un homme dans la quarantaine venait s’assoir à ses cotés. Malgré le sourire de son voisin, elle se demande ce qu’il lui veut. Il n’est pas mal, il lui plait même. Comme ça, brusquement c’est Pierrette qui lui adresse la parole.
- Vous êtes du quartier ?
Etonné l’homme lui répond que oui, il habite juste à coté.
Elle veut en savoir un peu plus.
- Vous êtes seul dans le vie.
- Oui, pourquoi, je vous intéresse ?
Pierrette se lâche complètement. Elle sent une boule dans le bas ventre. Elle sait fort bien ce que ça veut dire pour elle : elle a envie. Elle aurait pu aller aux toilettes, entrer dans une cabine, descendre son string, passer sa main sur la chatte, se caresser le bouton, comme souvent et se donner un bel orgasme. Non de tout ça, elle a envie de LUI.
Pourtant elle aime son mari qui le lui rend bien. Ils font l’amour pratiquement tous les jours. Elle demande elle même ce qu’elle veut, souvent une sodomie pour la deuxième pénétration avant de sucer la queue de son époux, pour se repaître du reste de sperme. La matin même elle s’est masturbée comme souvent sous la douche avec en plus un gode dans le cul. Maintenant elle a envie de baiser avec LUI.
- Je vous demande ça parce que vous me plaisez.
- Vous aussi vous me plaisez, j’aimerai même aller plus loin qu’un simple conversation qui ne mène à rien.
- Si : elle nous mène dans votre lit puisque vous n’habitez pas loin.

Flairant la bonne occasion, il ne se gêne pas pour se pencher en l’embrasser. Il met le feu à l’amadou. Pierrette se laisse embrasser par un inconnu. Il peut lui demander ce qu’il veut, d’avance elle est d’accord. Quand les deux salives se mélangent, Pierrette commence à mouiller. Il quitte la place en face d’elle pour venir s’assoit à ses cotés. Il l’embrasse encore, sans se soucier des personnes dans le café, il passe sa main sur un genoux. Pierrette écarte déjà les jambes. Il comprend qu’il n’a aucun effort à faire pour baiser cette inconnue. Il arrive vite sur le string, l’écarte pour toucher le sexe inondé de la donzelle. Il la branle pendant qu’elle ferme les yeux. Elle ne lui touche même pas la queue : elle jouit.
Pierrette se lève, Luc la suit. En sortant il la prend par le bras. Il la guide pour aller chez lui. En montant au premier étage, il s’arrête à chaque marche pour un nouveau baiser. Elle le laisse faire, participe toujours. C’est à mi étage qu’elle pense qu’il a une bite. Elle défait la fermeture de la braguette d’abord et sort ensuite le vit toujours bandé. Le couple s’arrête pendant qu’elle le masturbe un peu. Elle le lâche pour embrasser la queue juste sur le gland. Elle le lâche ensuite. Luc l’emmène dans son chez lui.
Il ne s’embarrasse pas de détail. Il la met totalement nue sans qu’elle proteste, ne serait-ce qu’un peu pour ne pas passer pour une Marie-couches-toi-là. Luc reste encore habillé quand il la fait assoir sur un divan. Elle y gagne une langue sur la chatte. Elle ouvre bien les cuisses, les passe sur les épaules de l’homme. Pierrette est trempée, la cyprine coule même sur son cul.
La bouche embrasse tout le sexe, la langue découvre les divers secrets du temple d’or. Elle gémit sans cesse : elle a envie d’autre choses de plus relevées qu’elle ne connait même pas. Les lèvres prennent son bouton, l’aspire dans la bouche. Un doigt découvre son vagin, un autre est déjà dans son cul. Il les fait aller à la même cadence comme dans une bonne double pénétration. Pierrette ne tient pas, elle jouit même s’il continue comme si de rien n’était. Elle caresse ses seins durcis par le désir. En pinçant légèrement ses propres tétons, elle se donne du plaisir en supplément. Elle devient déchaînée quand Luc remplace un doigt pas deux dans l‘anus. Elle prend la main pour accélérer le mouvement. De temps en temps, elle resserre le sphincter pour mieux sentir le doigt.
Pierrette doit jouir une bonne dizaine de fois sans que lui n’ai encore eu un seul orgasme : il est encore habillé, juste la queue dehors. Il est obligé de se déshabiller seul. Pierrette est étonnée de voir la grosseur de la queue ainsi que sa longueur. Elle sait qu’elle va avoir mal s’il veut l’enculer. Non, ce qu’il veut c’est son con. Ils vont se coucher dans la chambre. Nue, toujours, elle pose un genoux sur le lit, enjambe avec l’autre jambe. Elle écarte ainsi ses cuisses en montrant toute sa chatte. Luc ne tient plus, il met sa main entre les cuisses, directement il lui touche le cul bien visible. Elle se cambre pour qu’il le lui branle. Il la caresse à peine, avant de venir derrière elle. La queue est sur l’entrée de l’anus. Il sent qu’il s’élargit déjà avant qu’il entre.
Pierrette aime tellement se faire enculer qu’elle ne résiste pas : il entre doucement, il pénètre tout au fond. En gémissant sous le plaisir, Pierrette bouge comme Luc. Leurs mouvements communs font que Luc jouit juste avant elle. Il lui donne une bonne dose de sperme. Pourtant il reste en elle. Pierrette n’a même pas senti la grosseur de la queue qui la sodomisait. Luc commence à débander à peine quand elle resserre tellement le cul qu’elle le retient dans ses boyaux.
- Tu m’as bien enculé. Recommence une fois avant de me la mettre au con.
- Je voudrais te baiser avec de de la mettre encore une fois au moins quand le cul.
- D’accord, baises moi.
Il arrive difficilement à sortir de l’anus. Il change vite d’endroit quand elle se met sur le dos. Il l’embrasse encore sur la bouche, elle lui lèche les lèvres, entre à nouveau la langue au fond de la bouche. Puis, prenant sa queue à deux mains elle la plonge dans son vagin ruisselant. Pierrette passe ses jambes sur la taille de Luc, comment elle fait avec son mari. Il ne forment qu’un seul corps navigant vers le plaisir suprême. Toujours dans sa période de débauche Pierrette passe un doigt dans le cul de son amant. Ils ne se connaissaient pas assez pour savoir s’il aimerait cette faveur. Ce doit être un excellent traitement pour jouir encore plus. Elle arrive difficilement à passer une main vers son bouton pour se branler. Leur délectation est à la hauteur. Il gicle au fond de son con.
Cette fois il débande. Pierrette a encore envie de jouir. Elle fait mettre son amant sur le dos, s’assoit sur la bouche pour qu’il la lèche. Il ne s’en prive pas, surtout qu’en la suçant, il recommence à bander. Pierrette voyant la queue devenir dure se penche en 69. Ils se donnent encore du plaisir, elle plus que lui en dégustant la liqueur qu’il lui injecte dans la bouche.
Elle se rhabille lentement, branle encore une fois Luc, l’embrasse et part sans se retourner, comme si elle ne le voulait plus du tout
Le soir elle ne sait si elle pourra encore baiser son mari qui lui a envie comme tous les soirs. Elle le laisse faire ce qu’il veut. Il la baise, l’encule, la suce. Elle pensait de pas pouvoir avoir d’orgasmes. Elle jouit plus fort que les autres fois.
Pierrette pense que finalement elle retournera voir Luc pour avoir deux bites à elle, pour elle.