La Démoniaque Sarah 4
Maintenant, je savais exactement ce qui marrivait. Je me suis endormi par terre en songeant a ce quallait être ma vie future.
Cest les filles qui mont réveillé en rentrant.
Elles avaient avec elle une jeune fille qui semblait un peu perdue. Sarah ma dit
- Nous lavons trouvée au bord de la route, elle vient de vivre une étrange aventure quelle nous à raconté en chemin, nous te lavons amené par ce que tu connais sa patronne, cest la propriétaire de notre maison.
- Tu as bien fait de me lamener, elle va permettre la renaissance de mes frères de lenfer. Présente la moi.
Je lai regardé et jai senti mon sexe frétiller dans mon pantalon.
- Nous avons trouvé Blanche alors quelle rentrait chez elle. Nous avons pensé que ça te plairait Maitre de toccuper delle et de la féconder.
- Vous avez eut raison, je vais men occuper tout a lheure mais je moccuperais aussi de sa patronne, il faut maintenant passer à la vitesse supérieure. Nous devons faire notre possible pour féconder un maximum de femelles afin de laisser venir à nous mes frères et mes surs qui sont encore enfermés dans les enfers. Je monte dans la chambre préparez la.
Je suis couché sur le lit, elles frappent à la porte et la font entrer. Je la regarde.
Cest une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à lovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse de mon regard.
Son doux parfum envahi la pièce. Oh, comme je la désire! je bande un maximum
Elle me regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant?
Elle savance effrontée, je me lève, nous nous retrouvons face à face, plus de bruit, je lui souri pour la mettre en confiance.
Je glisse les doigts dans sa bouche, elle les lèche délicatement me regardant droit dans les yeux. Je dégrafe la boucle de la toge qui la couvre, elle mapparait entièrement nue
Jatt sa main et lembrasse au creux de la paume, du poignet, de lavant bras, du coude, sur lépaule, au creux du cou.
Je lui susurre des mots damour au creux de loreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, sallonge et sabandonne à mes caresses.
Elle se cambre sous le plaisir qui lenvahie.
Mes mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, jagace les deux pointes de mes pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça lexcite, mon sexe vient se dresser dun cran de plus. Ohhh, ces seins je les palpe, les savoure, prenant les pointes dans ma bouche tour à tour, elle est si cambrée que je passe une main sous ses reins pour les caresser.
Je touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Mes mains sont comme aimantées.
Je descends encore plus bas sans cesser de lembrasser, déposant des coups de langue de-ci de-là, glissant le bout de ma langue dans le nombril. Je suis sur ses cuisses prenant bien soin den éviter le centre, préférant la faire languir un peu.
Elle écarte les jambes me signifiant quil est temps de butiner son bouton damour.
Soit, je my dirige avec une lenteur calculée, jy suis : mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs.
Jen écarte les pétales veloutés et va my enivrer.
Mon sexe est tellement dressé quil me fait mal.
Ne pas saffoler, il faut lhonorer comme il se doit.
Je prends son bouton en bouche et le tète tout doucement. je le lèche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, je veut la pénétrer de ma langue et, surprise, la belle est encore vierge!
Je ne veux pas la blesser; la sentant pas loin de lorgasme, je retourne vers son clitoris et dun doigt doux et chaud je mactive sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresauts se met à pousser des petits cris plaintifs de jouissance extrême,
.Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui lenvahie des pieds à la tête, elle naurait cru pareille sensation possible, elle vole, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Je la prends dans mes bras, la laissant savourer la jouissance, je laccompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux.
Elle se sent si bien, elle veut me caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir quelle a de me toucher, de membrasser.
Elle me caresse comme je la caresse, sans précipitation, elle découvre mon sexe un peu inquiète de ce quelle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir que jai delle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche.
Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur, humm, elle ne sen lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux laspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, sattardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, lengloutissant de plus en plus profondément; elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Je suis comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ni tête. Elle a de nouveau envie de moi, envie que je la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc sallonger à mes côtés et dune voix rauque doù on sent tant démotions elle me dit:"
-fais-moi lamour mon Maitre, fais-moi femme.
Tant de douceur, de désir et dabandon me tétanise, mon sexe pourtant bien dur, se raffermit encore!
Je me positionne au -dessus delle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle je pourrais maîtriser toute ma fougue.
Je place mon gland à lentrée de son puits damour, dont il va être le premier visiteur.
Lorsque jentre au contact de la fine membrane qui protège lentrée, je cesse la progression pour quelle se détende, elle me saisit aux hanches dans un geste dacceptation totale et puis tout doucement, jappuie pour franchir cette barrière de chair.
Dans un petit cri, elle menlace et comme je ne bouge plus, craintif, elle mencourage avec un râle de plaisir.
Alors, jaccentue mes mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, nous gémissons de concert, saccordant dans cette danse du plaisir.
Mes puissants coups de reins nous amènent aux portes du plaisir suprême sentant ma jouissance monter, jaccélérai pour quelle atteigne le plaisir pour la deuxième fois en sentant ma chaude semence linonder au plus profond de son corps.
Voila, elle va porter le fruit de mon plaisir, ce sera le roi de notre nouvelle légion. La magie opère très vite et son ventre commence déjà à gonfler. Elle sest endormie tout de suite.
Jai enfin pu me reposer.
A suivre
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