Le Commencement 3
Un samedi matin, quelques semaines après quil mait fait subir cette petite séance de soumission, les s étant à lécole , nous avons passé la matinée au lit, et quelques orgasmes à répétition plus tard M.. me propose un dimanche après midi récréatif surprise, dans la ligne de ce quil a déjà commencé, les garçons devant aller faire un tournoi de foot avec le club.
Curieuse de ce quil a pu encore inventer, je lui donne mon accord avec entrain et après le repas, il me remet une liste des préparatifs que je dois effec :
_ épilation/rasage totale,
_ lingerie la plus sexy, de mon choix,
_ cheveux attachés en chignon,
_ ma robe ample et courte avec mon chemisier blanc presque transparent.
Après un repas bien arrosé (sur tout pour moi), nous descendons dans le garage où la chaleur extérieure na pas encore pénétré et il me fait monter en voiture, ce nest pas la nôtre, cest une grosse berline louée pour le travail ; là il me donne de larges lunettes que je crois de soleil, mais si elles sont effectivement très opaques, il a collé deux tampons de mousse qui viennent appuyer sur mes yeux et mempêchent de voir ; je lentends charger quelque chose dans le coffre, et nous partons.
Dès que nous sommes dehors, le soleil vient me brûler la peau, après lhiver cest très agréable et je me laisse bercer par le ronron du moteur ; M me demande alors de mettre mon siège en position repos, de remonter ma robe et ouvrir mon corsage.
Sa demande me plaît mais je suis un peu mal à laise, je lui dis que jai peur quon me voie, mais il est intraitable et me rappelle ce que jai déjà fait dimmoral. Nous roulons ainsi depuis quelques minutes, mon corps réchauffé par le soleil bien enfoncé dans mon siège, quand M. tout en conduisant me caresse les cuisses, frôle mon minou et mes seins, ce qui me met dans tous mes états.
La voiture ralentit un peu et M me dit : « baisse un peu ta culotte et pose tes pieds sur le tableau de bord, nous dépassons un camion, je veux quil te voie » ;
Nous arrivons à hauteur de la cabine lorsque M klaxonne, le chauffeur du camion commence à sortir la tête en criant, puis en me voyant ainsi ouverte et exposée, les pieds réunis par ma culotte et les cuisses ouvertes hurle « bravo, superbe ! Arrête-toi que je la baise ! », mais M accélère laissant lhomme sur sa faim.
- M : « comment te sens-tu ainsi exposée ?
-Moi : « tendue, anxieuse, jai peur mais je crois que je mouille un peu quand même, en fait ça mexcite »
-M : « bien, on va continuer, on nest pas encore arrivés »
-Moi : « parce que cest pas çà laprès-midi récréatif ? »
-M : « cest juste la mise en bouche ma chérie, maintenant, tu vas te caresser jusquà ce quon arrive à destination »
Mes deux mains descendent vers ma petite chatte, chauffée par le soleil, et je constate effectivement quelle est bien humide, jentreprends une longue masturbation, écartant bien mes grandes lèvres avec mes petits doigts et annulaires, pinçant et tirant mes petites lèvres entre pouces et indexes et massant mon clitoris qui sort de son fourreau, gonflé de désir. Jai la tête tournée vers mon pilote et je gémis doucement en lui commentant mon plaisir, je sais quil adore.
« cest bon tu sais, comme je suis bien, je me sens toute ouverte, ma chatte coule, je bande comme pas possible, je jouis et tu va me faire encore jouir mon chéri ! »
M passe sa main sur ma chatte, y fait tourner deux doigts pour louvrir puis je sens une grosse boule investir mon vagin, qui se referme sur lintruse.
M mannonce que nous dépassons une colonne de cyclistes qui essaient de saccrocher à la voiture, tellement il a ralenti pour quils profitent du spectacle et qui hurlent des encouragements lubriques ou des insultes jalouses ; de savoir quils voient ma chatte ouverte déclenche un petit séisme dans mon ventre.
M me prévient que nous arrivons bientôt et je me remets présentable.
M descend de voiture et vient mouvrir la portière, jai compris quil ne veut pas que je sache où nous sommes ; à lodeur, nous nous trouvons à la campagne, le parfum des feuilles et le chant des oiseaux sont indicateurs. Nous parcourons une cinquantaine de mètres, sur un terrain herbu mais ferme et je sens la boule qui veut sortir de ma chatte mobligeant à serrer mes muscles vaginaux, puis jentends souvrir une porte, qui grogne un peu comme les portes de granges.
Une bonne odeur de foin ou de paille et de bois humide accroche mes narines et la température me fait un peu suffoquer.
M sapproche de moi, il membrasse tendrement en pelotant mes seins gonflés de désir depuis maintenant presque une heure, descend sa main dans ma culotte et courtise un peu mon clitoris, mais arrête dès que je commence à gémir, accrochée à son cou ; « Déshabille toi, je te veux maintenant tout nue ! » me dit-il un peu sèchement en me repoussant.
Comme je ne sais pas où je suis, je ne bouge pas et fait tomber ma robe, puis mon soutien gorge et enfin ma culotte. Bien quil fasse très chaud, je frissonne un peu, autant dangoisse que dattente, intégralement nue.
M sapproche, je sens quil récupère mes vêtements, puis il me prend les poignets quil glisse dans de gros bracelets larges durs mais confortables, me glisse dans les mains une grosse chaîne et il fait de même avec mes chevilles. Une large ceinture de cuir me prend la taille, elle est accrochée à je ne sais quoi ni où.
Jentends maintenant un cliquetis et je sens mes bras qui sont emmenés vers le haut, ils passent au-dessus de mes épaules et je décolle presque du sol ; je me cramponne aux chaînes, puis mes bras et mes jambes sont écartés, si bien que je me retrouve ouverte, suspendue, mes pieds ne touchent plus le sol.
Quelques manipulations de chaînes plus tard, je suis hissée encore plus haut, mais je suis comme en appui sur mes entraves, je ne souffre pas de lécartèlement. Je sens lair sur ma chatte humide, comme une caresse. Quelle sensation bizarre de flotter, quand le moindre mouvement provoque des balancements incontrôlables.
Jentends des bruissements autour de moi, mais je ne distingue pas trop de quoi il sagit ; Une main vient sur ma chatte et prend possession de mes petites lèvres qui sont attachées je ne sais pas comment et je les sens tirées vers le bas par un quelconque poids, puis une pince large, sur une grande lèvre, puis sur lautre et elles aussi sont tirées vers le bas, par des poids plus lourds, cest exquis, chaque mouvement si minime soit-il provoque étirements et balancement de celles-ci.
Maintenant tout mon corps est caressé par des petites pointes inconnues, peut-être des petites triques cueillies alentour. Je nen compte pas moins de quatre différentes, je ne comprends pas trop dans quelle situation je me trouve, si ce nest que je suis impuissante, obligée de subir.
Puis je sens deux bouches saisir mes tétons, les aspirer, les téter pour les faire gonfler, quatre mains qui pétrissent avec vigueur des seins déjà bien durs. Mes tétons gonflés sont aussi pris par des pinces lestées qui les tirent vers le bas.
Encore sous le choc de comprendre que M nest pas seul, suspendue en lair, écartelée, la taille tenue mais légèrement penchée en avant, et six poids métirent de partout. Jai mal, mais jadore, je commence à croire ce que me dit M, que je suis maso.
Les quatre triques qui parcouraient mon corps sarrêtent soudain et je ressens une brûlure sur une cuisse, puis sur lautre, puis sur tout le corps, en évitant de frapper les poids qui vibrent, mes fesses sont copieusement rossées, puis mes seins, je ne sens plus quune immense brûlure sur tout le corps, mais je coule comme une fontaine.
Mes cris de douleur ne calment pas mes bourreaux, ils résonnent dans ce que je crois être un bois.
Après dix minutes, la correction sarrête, on libère mes lèvres et mes seins, jai un hoquet de bonheur quand je sens la boule dans ma chatte se mettre à vibrer en changeant de rythme puis peu à peu je me détend et je jouis dans un grand cri, et ma chatte lexpulse dans une puissante contraction orgasmique, mon jus coule le long de mes jambes.
Cliquetis de chaîne et je redescends par terre, mais toujours écartée. Une langue habile vient butiner mon clitoris, ce qui me détend rapidement. Je suis libérée de mes chaînes, on moffre du champagne frais à boire, cétait le chargement du coffre, on me fait avancer et on appuie sur mes épaules, en écartant mes cuisses.
Je comprend linvitation et je descends doucement , et cest une queue qui mattend et que en fait jaspire de tout mon être depuis quelques minutes, quand je suis bien installée, complètement empalée, je reconnaît M sous moi, et je me vautre littéralement sur lui ; il me tient les seins et moi je suis cramponnée à ses bras, je me fais jouir, je profite de lui comme une vengeance, puis une main vient sur mon épaule tandis que je sens une bête humide chercher mon anus. Jessaie de repousser mon enculeur, mais M me dit de me laisser faire.
Je suis bientôt investie des deux côtés et je mets à jouir sous la cadence alternée des deux queues ; jamais depuis ma matinée avec J et D je ne me suis sentie aussi remplie et la douleur initiale de mon petit cul serré est vite oubliée.
Je suis presque à plat-ventre sur M quand mon enculeur me relève la tête en me tire pas les cheveux et une bouche vient semparer de la mienne ; trois, ils sont trois, mon cerveau menvoie des signaux lubriques, je suis baisée par trois mecs. Je nen pouvais plus de jouir, autant physiquement que cérébralement quand la langue qui bataillait avec la mienne, séloigne. Ma tête est toujours tirée en arrière mais deux mains me la prennent de chaque côté et plaquent ma bouche sur un pubis de femme épilé. Jai un soubressaut de recul, mais M mordonne de lécher.
Me voila en train de donner de larges coups de langue sur une fente inconnue qui se met à gémir, ce qui mexcite au point que jatt ses deux fesses menues et fermes pour bien entrer dedans ; mes deux baiseurs accélèrent leur rythme et bientôt nous partons tous les quatre dans une apothéose de jouissance.
La lumière séteint.
Quand je reprends mes esprits, le calme est revenu, il ny a plus de bruit dans la cabane comme je lai appelée après, nous ne sommes que tous les deux ; quelques câlins plus tard et nous nous retrouvons sur le chemin du retour, et jai la tête pleine de questions.
Quand jenlève mes lunettes, le soleil est couchant, notre portail est en train de souvrir.
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