Découvertes Avec Pierrette
Il me semblait avoir fait une bêtise en cédant à sa prière. Pierrette était couchée sur son lit dhôpital après son accident : les deux bras plâtrés, une jambe cassée aussi. Elle nen avait pas pour longtemps dans sa chambre elle nallait pas tarder à sortir. Jétais venu la voir en copine que jétais à lépoque. Je lembrassais en entrant sur les deux joues pour la dernière fois.
- Comment va le moral ?
- Pas fort.
- Pourquoi, tu souffre ?
- Non, jai presque mal au bas ventre.
- Tu en as parlé au toubib ?
- Oui, il refuse de faire le nécessaire.
- Quel Est-ce nécessaire.
- Jai besoin de jouir, personne ne veut me branler.
Je suis charitable :
- Je ne lai jamais fait à une autre, je peux te le faire si tu y tiens.
- Tu nas jamais caressé une autre fille ?
- Jamais, mais je fais te le faire.
- Merci tu es un chou. Embrasse-moi sur la bouche.
Elle me tend ses lèvres que je frôle, je ne vais pas quand même lembrasser comme un garçon.
Jouvre son lit, elle a sa chemise montée au nombril. Je vois sa fourrure : elle écarte les jambes. Je peux toute sa chatte. Cest bien la première à part la mienne que je vois en vrai. Je vois bien tous les détails sans me douter que ma chatte est presque pareille. Je pose doucement ma main sur toute sa fente, je sens déjà que Pierrette mouille de désir.
Je me mets un peu à sa place : si je devais me passer de jouir plusieurs jours de suite je mourrais de manque. Aussi je vais mappliquer pour la faire bien jouir. Je men veux de ne pas lavoir embrassée dès le départ.
Je nai rien à chercher, elle se tend tellement quelle se donne en entier.
- Branles moi le bouton et ensuite le cul. Fais moi bien jouir plusieurs fois.
Je trouve facilement le clitoris qui est bien sorti de sa cachette. Il me semble plus gros que le mien. Cest assez facile de caresser cet endroit. Mes doigts vont et viennent comme je le fais pour moi.
- Oui, continue comme ça, même si je jouis.
- Tu nauras pas mal dans ce cas.
- Tu changeras un peu en me mettant deux doigts dans le con et le pouce sur le bouton.
Je fais comme elle veut, mes doigts accélèrent lallure sur le bouton. Elle se cambre comme elle peu avant de presque crier :
- Oui, encore, oui, je jouis.
Je change les doigts pour la pénétrer. Jentre le majeur et lindex dans son vagin tout mouillé, très chaud. Je la baise ainsi pendant que jagite le pouce sur toujours le clitoris.
Quelque chose me dit de descendre le drap, même si je la branle encore. Une infirmière entre me regarde bizarrement (je continue ma caresse) pour donner un remède à Pierrette.
Dès le départ de la soignante, Pierrette me sourit :
- Ca ma excitée que tu me branle quand elle était là. Elle le savait, la garce. Elle aurait pu me le faire aussi.
- Jouit maintenant.
Elle ferme les yeux pour se concentrer. Moi aussi je suis tellement concentrée sur ce que je fais que je commence à mouiller. Il me semble quelle pourrait me rendre aussi ce service.
Je la sens encore jouir. Je ne pensais jamais sentir lorgasme dune autre.
- Si tu avais un bras disponible je te demanderais de me branler aussi.
- Embrasse-moi.
Cette fois ci je pose mes lèvres sur les siennes sans complexe. Jouvre ma bouche pour chercher sa langue : elle est bonne à lécher.
- Tu naime que les filles.
- Oui. Continue branle moi le cul.
Ma main descend à peine pour atteindre son entre fesses. Je trouve vite son petit trou. Il me semble bien mignon. A peine frôlé je le sens se crisper un peu. Je ne sais trop comment faire : je ne touche jamais le mien. A tout hasard, je ne pose mon doigt quavec précaution. Ce doit être la bonne formule puisquelle arrive à faire venir son cul comme elle veut sur mes doigts. Je caresse à peine comme je le ferais sur une joue dun gravement malade. Elle gémit comme si elle avait mal.
- Oui, Oui, encore, encules moi. Mets moi tout ton doigt jusquau fond.
Pour bien faire les choses il me vient à lesprit la meilleure idée : je remets mon doigt dans son con pour le mouiller. Ensuite seulement je reviens sur son anus et jentre lentement tout mon doigt. Je le fais aller et venir.
- Oh, oui que tu sais bien menculer ; encore. Lèche moi un peu le con.
- Non, je ne sais pas faire ça et on nous verrait.
- Et alors, jaimerais bien me montrer pendant que te me suce le con.
- Non, plus tard.
Je ne sais comment me dépêtrer de ses demandes de sexe. Alors plus tard me permet de loublier un peu.
- Je jouiiiiiiiiiis.
Je lembrasse une dernière fois.
Revenue chez moi je me mets nue sur le divan. Je nai pas besoin dun partenaire : ma main suffit à me calmer. Je me faire jouir trois fois et la dernière en caressant mon cul, ce que je fais presque à chaque masturbation. Jaurais au moins appris ça.
Et puis deux ou trois mois ont passé. Je vais chez elle un après midi. Si nous nous faisons des bises normales sur les joues, nos lèvres se rejoignent vite. Sa main est sur ma chatte. Je ne pensais jamais quelle mexcite aussi vite. Jai envie quelle me branle à son tour.
Nous sommes nues dans sa chambre. Je suis couchée sur le dos, au centre des draps. Elle écarte mes jambes pour me caresser : ce nest pas ce que jattendais : ses mains caressent lintérieur des cuisses. Je mouille fortement, davantage que quand un garçon me fait la même chose. Elle passe sa tête pour venir membrasser le con. Membrasser nest pas exact, cest sa langue qui se pose sur mon abricot qui là est bien mur. Je sursaute quand je sens sa langue douce sur le clitoris. Cest bien meilleur que mes doigts. Elle cesse souvent ses lèchouïs pour faire durer mon plaisir. Et quand je pars je suis tendue mieux que larc de Robin des bois. Elle ne lâche pas lendroit où elle me fait du bien, elle se sert de ses doigts pour expérimenter, à mon avis, de nouvelle méthode.
Elle me fait jouir dune façon remarquable. Je ne voudrais pas quelle parte de mon entrejambe. Et pourtant elle se tourne entièrement, je me demande pourquoi.
Elle menjambe, me donne à voir toute sa féminité de très près. Elle prend encore la mienne pour la sucer. Ma bouche se colle à sa foufoune. Je sens des odeurs inconnues et un autre gout que le mien. Cest pourtant agréable davoir son antre dans ma bouche. Cest mieux quand je la sens se crisper à chaque fois quelle jouit. Je suis comme elle, je jouis sans gêne, je profite de sa langue et ses doigts au maximum. Aucun garçon ne ma donné autant de plaisir.
Cest entendu jaime cette fille ou plutôt jaime lamour avec elle. Nous sortons beaucoup. Pour éviter tous sentiments de possession elle me fait aller dans des boites à lesbiennes. Je ne sais combien damantes jai eu, toutes aussi sensuelles quelle. Je reste quand même la lesbienne obéissante, je naime pas être celle qui assume tout. Il nous arrive souvent, trop peut être de nous trouver à plusieurs pour baiser. Je suis devenue une fille totalement infréquentable pour les gens « normaux ».
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