Leslie Se43

Leslie SE43 – Seule, la petite Thaï membrée

Je l’ai rencontré dans le métro, ma voiture étant en révision et Laure toujours en déplacement aux States, je prenais exceptionnellement ce jour-là les transports en commun compte tenu que Laure ne rentrerait certainement pas avant encore quelques jours.
J’ai toujours été attiré par les femmes asiatiques, que je trouve très féminines et jolies, certaines sont d’une beauté incroyable, fines elles ont, pour celles qui m’attirent, le visage fin un peu typé et leur petite poitrine est un véritable enchantement.

Ce vendredi soir, je rentrais à la maison et je m’étais tranquillement installée au fond de la rame, à la Défense. Je l’ai vu rentré dans la rame à la station Charles de Gaulle Etoile.
De taille au-dessus de la moyenne pour une asiatique, certainement thaïlandaise, extrêmement fine avec des cheveux noirs s’arrêtant aux épaules et surtout un visage d’ange, des yeux noirs brillants d’intelligence, un petit nez fin, une bouche avec des lèvres peut-être un peu grosses mais séduisantes, une peau fine et brillante comme de la soie.
Elle était simplement vêtue, une jupe étroite sage s’arrêtant juste au- dessus du genou et un petit tee-shirt moulant qui laissait deviner deux petits seins fermes. Elle transportait avec elle quelques livres d’informatique en anglais et sortait vraisemblablement d’un quelconque cours.

La seule place libre dans la rame, à cette heure-là, était à côté de moi et elle vint s’y asseoir. Je suis d’habitude relativement timide mais cette fille m’attirait comme je ne l’avais jamais été auparavant. Je me décidais donc à lui parler.
Elle n’était pas trop farouche et j’appris qu’elle s’appelait Kalaya, avait 24 ans, était originaire de Bangkok où elle travaillait dans une boite d’import-export et était venue à Paris faire un stage d’informatique et se perfectionner en français, pour peut-être rejoindre l’agence installée à Paris.


Son français était approximatif, mais son anglais était parfait, sa voix un peu rauque et érayée m’excitait, juste le petit rien qui vous fait être attiré, la communication était possible et je me tentais à risquer ma chance en lui demandant son numéro, pour la recontacter et sortir un soir, après un moment d’hésitation, elle accepta puis disparu.
En arrivant à l’appartement, je me demandais si je n’avais pas rêvé, mais la preuve de la réalité des choses, était que j’avais un numéro de téléphone dans ma main.
Alors je décidais que je tenterais ma chance un peu plus tard.

Je l’ai appelé deux jours plus tard pour l’inviter à dîner dans un restaurant de Saint Germain des Prés, près de la maison, elle accepta et je fus très excitée à l’idée de la revoir.
Elle était à l’heure à notre rendez-vous plus belle que jamais, une jupe étroite s’arrêtant à mi-cuisses, un petit décolleté dévoilant un peu de ses petits seins ronds et fermes, un maquillage très discret et un rouge à lèvres qui me donnait envie de l’embrasser.
Le dîner se déroula très bien. C’était une fille intelligente et amusante, elle aimait la vie, les femmes et les hommes et le courant passait très bien entre nous.
Après le restaurant nous sommes allées dans un bar, nous avons discuté longuement sur tous les sujets, et comme une évidence nous nous sentions attirées l’une pour l’autre.
Je l’invitais à prendre un dernier verre dans mon appartement et elle accepta.
Visiblement elle voulait la même chose que moi.

Rentrés à mon appartement, je lui offrais un cocktail.
Il était temps de prendre l’initiative, mais je n’eus rien à faire.
Ma jusqu’ici timide thaï se jeta sur moi et m’embrassa furieusement, de longs et passionnés baisers qui me rendirent folle.
Je sentais mon sexe se gonfler d’excitation. J’embrassais son visage merveilleux, sa bouche, son cou, je la désirais tellement.
Elle m’allongea sur le canapé et vint me chevaucher, alors je commençais à lui masser ses petits seins durs sans ménagement et à lui caresser ses petites fesses parfaites.
Elle pouvait sentir sans aucun doute ma queue dure au travers de ma jupe.
Je n’en pouvais plus, je voulais libérer ma verge, la toucher, la pénétrer profondément.
Toutefois, alors que j’essayais de lui enlever sa jupe, je sentis une réticence de Kalaya.
- Non, Leslie, non, attends un peu.
Elle glissa et se mit à genoux en face de moi, elle libéra adroitement ma verge dure de sa prison de tissu et commença à l’embrasser et à la lécher.
- Il est gros Leslie.
- Tu aimes ?
Elle me sourit comme une petite coquine.
- Oui.
C’était divin. Elle me léchait le gland descendait jusqu’aux couilles puis remontait tout en serrant ma verge à la base car elle sentait que j’étais très excitée.
Mais jamais elle ne mettait le gland dans sa bouche. Cela dura très longtemps. Chaque fois que j’étais sur le point de jouir, elle arrêtait et serrait durement ma verge en me regardant dans les yeux.
- Attends Leslie, attends ...

Je la suppliais de me laisser jouir.
Finalement elle prit entièrement le gland dans sa bouche tout en caressant rudement mes couilles et en titillant mon anus. Sensation troublante de se faire doigter l’anus pendant que votre sexe subit une douce fellation.
Je pris sa tête entre mes mains et pénétrais profondément sa bouche. Kalaya ne protestait pas, elle soupirait juste de plaisir et d’envie.
Elle me suçait comme une reine, sa bouche douce et chaude prenait mon membre entièrement en elle, puis elle glissa une main sur son pubis et se mit à se caresser furieusement à travers sa petite jupe, tout en me suçant et en gémissant.

Je ne pouvais plus résister. La vision de mon sexe dans sa bouche d’ange était insoutenable, allais exploser et elle le sentit. Sans ôter mon sexe d’entre ses lèvres elle me serra une nouvelle fois la base de mon sexe et m’empêcha de jouir
Kalaya tout à coup se redressa et me dit :
- Tu me plais beaucoup, quand tu m’as abordé dans le métro, j’ai vu en toi une transexuelle, j’ai l’habitude, mais je ne sais pas si quelque chose est possible entre nous.

- Toi aussi tu me plais, alors pourquoi refuser ?
En me regardant, Kalaya se détend un instant et se laisse aller dans mes bras, alors nous nous embrassons passionnément, et doucement afin de ne pas la brusquer, je lui enlève son corsage et libère ses petits seins arrogants pour les lécher et les caresser de mes mains, Kalaya émit de petits cris et me dit :
- Mets-toi à quatre pattes !
- Pourquoi ?
- Laisses toi faire et tu verras.
J’écoutais Kalaya et me mettais en position. Kalaya m’enleva mon string et je me retrouvais donc, à quatre pattes, les fesses nues en l’air et mon sexe en pleine érection.

Je ne me posais même pas de question, je me trouvais là, offerte le cul à l’air, prête à me laisser emporter par les désirs de Kalaya, qui s’agenouilla derrière moi et commença à me lécher partout.
Mes couilles gonflées de sperme, ma verge en érection. Bientôt je la sentis écarter mes fesses et sa langue commença à titiller mon petit trou tandis qu’elle me branlait doucement avec sa main en faisant attention à ce que je ne jouisse pas.
Je ressentais le plaisir m’envahir et je ne pouvais me retenir de gémir tout en ondulant des fesses pour sentir encore mieux la petite langue de Kalaya contre mon cul.
- Tu aimes ça, petite cochonne, tu vas voir, je vais bien te faire jouir…
- Ohhh oui, Kalaya, oui…

Mon plaisir était immense mais je sentais que Kalaya me réservait autre chose, mais en confiance, je me laissais aller, elle prit mon sexe dans sa bouche, en glissant prestement sous moi qui étais toujours à quatre pattes. Je vis qu’une de ses mains avait glissé vers son sexe et ses petits cris me signalaient qu’elle était en train de se donner du plaisir.
Elle suçait très lentement mon sexe pour ne pas provoquer une éjaculation prématurée, et je l’entendis soupirer, ses caresses sur son sexe devaient lui apporter du plaisir.
Puis avec l’une de ses mains elle commença à me branler tout en me suçant, puis, je sentis tout à coup un doigt s’enfoncer dans mon anus mouillé qui n’opposa aucune résistance.

J’étais sucée, branlée et Kalaya me doigtait avec dextérité l’œillet, j’aurais voulu lui rendre les caresses et le plaisir qu’elle me donnait.

Cette fille magnifique au visage innocent et sa sensualité à fleur de peau me rendait folle, je voulais passer le reste de la nuit avec elle.
Kalaya me libère et aussitôt nous échangeons de longs baisers amoureux, je lui caresse ses petits seins et m’amuse à faire durcir ses petits tétons.
Elle gémit faiblement et ses mains se posent à nouveau sur mon sexe dur qu’elle recommence à branler doucement
Je lui caresse ses longues jambes fines et je remonte doucement vers son bas-ventre.
Je sens que Kalaya est très excitée et ses baisers sont de plus en plus passionnés.
Ma main remonte encore sur la peau fine de sa cuisse, plus que quelques centimètres avant de sentir l’intimité de Kalaya

Kalaya pose sa main sur la mienne pour stopper la progression de ma main en me disant :
- Attends ma chérie, ne me fais pas de mal.
- Je ne te ferais pas de mal, mais pourquoi ?
- Je suis une femme spéciale, comme toi !
- Tu veux me dire que tu es une transexuelle comme moi ?
- Oui, réponds-t-elle doucement.
Et elle remonte doucement sa jupe, pour me dévoiler sa petite culotte blanche en dentelle très sexy de laquelle une queue bien dure dépassait.
Je suis une lady boy, un jour je serai complètement femme mais je dois encore attendre.
L’excitation sexuelle était à son maximum, nous savions toutes les deux que nous n’étions pas des vraies femmes,

Kalaya reprit ma queue qu’elle fit durcir rapidement entre ses doigts. Je glissais aussi ma main entre ses cuisses et je caressais la petite queue de Kalaya qui durcit rapidement pour prendre une taille respectable.
Cette petite thaï, si fine et si jolie était relativement bien membrée, un sexe assez épais.
Je sentis mon excitation grandir, alors je glissais aussi ma main vers ses couilles qui étaient toutes douces et bien pleines, en plus Kalaya prenait grand soin à éliminer tous ses poils, elle était entièrement rasée.
- Humm, branle bien mon clitoris ! Me dit-elle.
Je me penchais pour sucer son clitoris, elle soupira en disant :
- Ohhh, oui.
Kalaya gémissait en disant :
- Oui, oui, ma chérie, suce moi bien, c’est bon !
Je me mis à genoux devant elle et la léchais partout, ses petites couilles, son gros clito et son petit trou. Je lui faisais subir le même sort qu’elle m’avait infligé peu de temps auparavant.
- C’est bon, tu aimes me sucer Leslie ?
- Oui Kalaya, j’aime sucer.
Je glissais un doigt sur sa rosette et la titillais, je sentais qu’elle voulait que je l’enfonce dans son petit cul mais je voulais l’entendre me le demander. Après un long moment à sucer et titiller la rosette de ma jolie Kalaya, elle craqua.
- Leslie, baise-moi s’il te plait, prends-moi dans le cul, je n’en peux plus !

Elle s’allonge aussitôt sur le dos dans le canapé et dès que je suis face à elle, sans un mot elle met ses genoux sur mes épaules, en disant :
- Prends-moi comme une femme !
J’enlevais sa petite culotte en dentelle pour libérer son gros clito et poussait ma queue contre son petit trou, et Kalaya hurla :
- Oui, vas-y, prends-moi !
Kalaya, comme pour me montrer ses désirs, me prit par les hanches et me tira le plus fort possible vers elle pour s’empaler littéralement sur ma queue.
Je succombais au plaisir et m’enfonçais au plus profond de son cul étroit, mouillé et chaud et commençais à la pénétrer lentement avec de profonds va et viens. Kalaya gémissait de plaisir.
- Leslie, ton sexe est si gros, c’est trop bon, je suis à toi, baise-moi et remplis mon petit cul.
Kalaya était véritablement excitante, dans ses mots et dans ses gestes, elle n’était que sexe, une transexuelle au corps magnifique, un visage sublime, et sa petite queue dure, tout était chez elle fait pour la jouissance.
Je n’en pouvais plus et accélérais la pénétration, je la baisais comme si cela devait être la dernière fois, ma queue dure allait et venait en Kalaya et à cet instant j’étais sur le point de jouir.
De ma main j’ai pris la petite queue de Kalaya, et commence à branler ma belle thaï qui peu de temps après jouit en copieux jets de sperme en hurlant :
- Ohhh oui, Leslie, oui, ohhh oui, je jouis, remplis-moi le cul !
J’explosais finalement et je jouis abondamment au plus profond d’elle, puis toujours plantée en elle, nous nous embrassons longuement.
- Ahhh, Leslie, je n’ai jamais autant joui.
Nous sommes restées longtemps lovées l’une contre l’autre, comme ça en se caressant et en échangeant des baisers, avant de tomber de sommeil.
Kalaya est partie le lendemain matin, aujourd’hui parfois, je pense encore à elle…

A suivre…

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