La Démoniaque Sarah 5
A mon réveil, je suis parti prendre une douche et la, jai découvert une sorte de tatouage sur ma poitrine, a la place du gros bleu, javais une sorte de dragon. Après mêtre rhabillé, je suis parti au manoir.
Cest Jean qui vient mouvrir
- bonjour, je désirerais voir Mme Valençon
- il est très tôt, Mme dort toujours.
- Ce nest pas grave, je vais dans sa chambre.
Je suis entré doucement sans frapper. Elle était entièrement nue, et javoue à présent, que je ressentie ma bite se raidir dun seul coup en entrant. Nétant pas un rustre, je mis mes pulsions de côté sur le moment pour mapprocher delle et lui demander ce quil se passait. Les yeux rouges, mais toujours le visage radieux et le corps dun mannequin, elle posa sa tête sur mon torse et pleura longuement.
- Que se passe-t-il?
- Je naurai jamais d
- Quest ce que tu racontes ? Tu es faite pour être mère !
- Pourquoi ça ne marche pas alors ?! Je suis maudite ou quoi ?!
- Tu nes pas maudite, tu es la plus belle des femmes et tu auras des s, je te le jure.
Sur ce, elle leva la tête et nos lèvres seffleurèrent. Elle navait jamais eut si bon goût. Les larmes perlant sur ses lèvres donnaient à ce baiser quelque chose de magique. Elle posa ses mains sur mes fesses et tandis que nous nous enlacions, je descendais ma main en direction de sa petite chatte que je caressai longtemps jusquà sentir lhumidité envahir cette antre du plaisir. Dans mon pantalon, mon sexe grossissait à vue dil et une bosse se forma à son niveau. Charlotte la ressentit et la palpa. Nous fusionnons presque et jétais prêt à exploser.
- Charlotte
je vais te faire un
- Cest le bon jour je crois, me dit-elle
- Je sais
Nous étions tout les deux comme des bêtes, nattendant quune chose : une jouissance immense!. Je savais quelle était prête, ma queue le savait.
Charlotte était déjà nue. Je la pris dans mais bras et allai lallonger sur son lit.
Mais, je néjaculais toujours pas! Ce nest pas que je nen avais pas envie, mais je sentais que jétais toujours à deux doigts mais quau dernier moment, ça ne venait pas ! Tout cela me procurait donc une jouissance continue et à Charlotte également ! Je ne me croyais pas capable de résister aussi longtemps, mais au bout dun certain temps, Charlotte eut un orgasme impressionnant, qui me fit frissonner ! Du même coup, je me mis à éjaculer à grands jets tout au fond de son vagin. Un long silence vint sabattre sur nous, nous sommes restés sur le lit de sa chambre, nos corps luisants sous le coup de la sueur. Nous nous sommes regardés longtemps, pendant un long instant, chacun devinant ce que lautre pensait. Nos deux corps enlacés, elle sest endormie amoureusement
Dix minutes plus tard, la porte de la chambre sest ouverte. Elodie la femme de chambre entre, nous regarde, semble hypnotisée par mon tatouage, elle sapproche, Nos langues se rejoignent, sa main vient toucher mon sexe qui se relève, je lui enlève et lui dis :
- Non, laisse-moi faire.
Je lassois sur le lit et, un genou à terre, défais les boutons de sa veste un à un. Non seulement elle na pas de chemisier dessous, mais elle na pas non plus de soutien-gorge. Je lui tète doucement les seins, ils sont plus petits et moins fermes que ceux de Charlotte, je suis un peu déçu, je les voyais plus fermes.
Je me relève et lui tends la main pour quelle se relève aussi. Je lembrasse à nouveau, puis je déboutonne et défais le zip de sa jupe, la descends délicatement et laide à lôter entièrement. Je recule, elle est en string noir avec un porte-jarretelles rouge et noir. Je la regarde dans les yeux et lui demande denlever son string, elle se met de dos, elle écarte doucement les côtés du fin morceau de tissu puis descend lentement celui-ci, la ficelle se dégage enfin des fesses. Elle se baisse, jambes raides, penchée en avant, son abricot brille sous ses fesses, elle est indécente et ô combien excitante.
Je reprends la partie et lui dis :
- Normalement, cest maintenant que je tattache.
Elle sallonge au milieu du lit et met ses bras en croix, je sors de mon sac des vieilles cravates et lui attache les deux mains au lit, puis lui pose un bandeau sur les yeux. Je lui dis :
- Ne bouge pas.
Je vais à la salle de bain, fais couler leau et reviens avec Charlotte qui était partie se rafraichir.
Nous nous asseyons tous les deux sur les fauteuils et restons silencieux. Cest Elodie qui commence à sinquiéter et qui demande ce que je fais. Je massieds sur le lit et commence à lui caresser le visage doucement, mon doigt descend sur son cou, se dirige entre les seins et remonte.
De ses doigts, Charlotte me montre sur elle-même, les caresses à effec. Elle ouvre son peignoir puis, tandis quun de ses doigts joue avec ses lèvres, elle se pince un téton. Je fais la même chose à Eva, accentuant les gestes de Charlotte, Elodie laisse échapper un petit cri. Nous continuons ce petit jeu, pendant près dune demi-heure, délaissant totalement le sexe dElodie.
Sans se servir de ses mains, elle plonge sa langue dans lintérieur des cuisses dElodie, elle mordille la peau juste au-dessus des bas, puis lui lèche le sexe dune manière passionnée. Je nen reviens pas de voir ma femme jouer avec le bouton dune autre sans moi. Elle sécarte, me sourit et me fait signe de prendre sa place.
Je reprends où en était Charlotte ; maidant de mes doigts, jécarte ses lèvres et excite son clitoris avec ma langue. Celui-ci est dressé, fier. Je lui plante maintenant un doigt dans son vagin, elle halète doucement et gémit des petits « oui » minvitant à aller plus loin, un deuxième doigt prend le relais du premier, elle est au bord de lexplosion.
Je marrête et dis doucement :
- Je crois que létape suivante est de me faire sucer.
Lentement, avec les deux doigts qui lont masturbée, je frôle les lèvres dElodie, qui sort sa langue pour les attr, mais je bats en retraite. Elodie pleurniche des :
- Viens maintenant, sil te plait.
Charlotte sest agenouillée à mes pieds, et me lèche doucement le gland, jagis avec mes doigts sur la bouche dElodie comme Charlotte agit sur mon sexe.
Quand Charlotte engloutit entièrement mon sexe, mes deux doigts senfoncent dans la bouche dElodie puis, de lautre main, jôte le bandeau dElodie. Elle tourne la tête dans tous les sens pour se libérer, je lui pose ma main sur la bouche en me collant contre son oreille et je lui dis doucement :
- Laisse-nous faire, nous venons pour te dépuceler.
Je massois alors sur le lit et Charlotte fait descendre et remonter ses lèvres sur ma colonne de chair bandée au maximum. Elodie lui dit :
- Ouvre encore plus la bouche et sors ta langue sur la fin.
Je sens ma queue qui force le passage de la gorge de Charlotte mais sans entrer. Elle lui donne ensuite dautres conseils, et cest vrai que Charlotte écoute notre coach et saméliore.
Ma main excite le capuchon dElodie, puis deux de mes doigts entrent à peine dans sa chatte et ressortent. Je remplace mes doigts par ma verge, jentre doucement, je sens son hymen résister, je pousse, entre, je nen peux plus, je suis pressé, je lui envoi un grand jet de foutre au fond de sa matrice, je ressors et recommence à lécher Charlotte. Puis, jhumidifie son petit illet et le caresse de deux doigts ; je fais retourner Charlotte qui se met à quatre pattes au-dessus dElodie. Je reprends mes caresses sur les fesses de Charlotte qui a défait les liens dElodie ; celle-ci se relève et vient en face de moi au-dessus de Charlotte.
Elle écarte les deux globes fessiers de Charlotte, jen profite pour entrer un doigt, je sens son anus se contracter et se relâcher autour de mon doigt. Je le retire et cest Elodie qui me remplace, un deuxième doigt rejoint le premier, elle tourne ses doigts dans le cul de Charlotte qui gémit par moments mais ne se plaint pas. Elle retire ses doigts et, après avoir salivé sur sa petite collerette, jy introduis à mon tour deux doigts. Charlotte est beaucoup plus relâchée, ses gémissements ressemblent de moins en moins à des petits cris de douleurs, mais plus à des soupirs de plaisirs. Elodie se met devant Charlotte et lui soulève la tête, elle lui dit :
- Tu veux quil tencule maintenant ?
- Oui.
- Demande-le !
- Oui Pierre, viens !
Je me positionne, mais Elodie me dit :
- Non Pierre, elle doit dire ce quelle veut.
- Sodomise-moi, Pierre ! répond Charlotte.
- Non, dis-lui que tu veux te faire enculer.
- Encule-moi Pierre.
- Sil te plait
- Encule-moi, Pierre, sil te plait.
Elodie a repris les fesses de Charlotte et les écarte. Mon gland est posé sur son anus et je pousse doucement, le gland est presque passé quand Charlotte se déplace en criant légèrement. Je me repositionne, je sens quelle est inquiète, je lui dis de se détendre et recommence ; mon gland est passé, je reste sans bouger. Elle halète, ses petits cris sont entre douleur et plaisir. Je pousse doucement, chaque millimètre la fait réagir. Elodie me fait signe de ressortir, puis de recommencer. Lintroduction est plus facile et je pense, moins douloureuse. Je progresse doucement, Elodie a relâché Charlotte. Mes mains sont sur ses hanches, je pousse doucement, avance petit à petit. Je suis presque entièrement entré, je commence des petits va-et-vient qui font geindre Charlotte puis je vais de plus en plus loin, de plus en plus profond. Cest une nouvelle sensation pour moi, je suis plus serré, ses fesses frappent sur mon ventre et font monter en moi lenvie de finir.
Charlotte saccroche aux draps, elle va jouir. Il faut que je tienne ! Il ne faut pas gâcher mon foutre démoniaque. Un long râle commence à sortir de sa bouche, elle a un orgasme merveilleux. Je me retire, att Elodie par la taille, menfonce en elle dun coup, je ne tiens plus et éjacule au plus profond delle. Je reste enfoncé, chaque jet la fait crier.
Je me retire doucement, elle sallonge sur le dos, la tête tournée de lautre côté. Charlotte est partie.
Jembrasse Elodie sur les épaules, elle me dit :
- Va te doucher, je veux rester seule un moment pour pleurer ma fleur.
Jobéis, je reste longtemps sous la douche brûlante, la porte souvre.
Myriam, la belle fille de Charlotte entre, elle vient dassister a nos ébats et elle est très excitée, elle se love dans mes bras ; elle baisse la température de leau, membrasse sur le torse et maspire les tétons. Mes mains lui caressent le dos, elle relève la tête et membrasse, nos langue se croisent, se battent, se caressent. elle prend mon sexe déjà tout bandé délicatement et me branle doucement pour me faire devenir encore plus dur puis, lorsquelle sent que cest suffisant, elle se retourne et, tenant toujours mon sexe, le présente et lintroduit dans le sien, sans difficulté.
Je menfonce doucement en elle, elle pose ses deux mains à plat sur le carrelage et se cambre de plus en plus. Je la lime à grands mouvements, tapant dans le fond de sa matrice et ressortant pratiquement. Elle écarte et recule de plus en plus ses jambes, je suis presque dos à la cabine et, sans signe avant coureur, elle se met à jouir. Ses jambes tremblent, elle crie, je la tiens collée à moi pour quelle ne glisse pas, sa respiration commence à se calmer. Je la plaque contre la paroi de la douche, jai plus de mal à la pénétrer comme cela, mais cest plus serré. Je sens sur mon sexe comme une multitude danneaux qui lenserrent et se relâchent. Ma main a réussi à passer entre la paroi et son sexe, je tapote son clitoris avec le bout des doigts, elle hurle maintenant, je sens une pression autour de mon sexe et je jouis à mon tour. Nous restons sous leau, moi en elle, de longues minutes collés lun contre lautre, puis elle se retourne et membrasse doucement en souriant.
- Dit moi, Myriam, il y a longtemps que tu fais lamour avec les hommes.
- Depuis lété dernier, pourquoi ?
- Je te croyais encore vierge, tu nas que dix huit ans.
- Et non, jen ai dix neuf et je ne le suis plus. En plus, jaime ça et je pense devenir une belle salope comme ma belle mère Charlotte.
- Jen conclu que ta première foie sest bien passée.
- Oh oui, très bien. Je me souviens dun soir où tout le monde, ma sur, ma cousine et moi avons rencontré Thomas, son frère et dautres dans un camping. Il faisait nuit, mais la lune éclairait bien le ciel et leau. Thomas, après un pari, sest jeté nu à leau. Je navais pu mempêcher dobserver avec beaucoup dattention ses fesses bien sûr, mais encore plus son pénis au repos, cétais déjà terriblement excitant pour une jeune fille vierge comme moi. Le soir, après le bain, je me suis assise sur ses genoux. Il a posé ses mains sur mes cuisses et ma doucement caressé. Cest le lendemain que nous nous sommes embrassés. Jétais dans leau. Je nageais seule et tranquillement. Il est arrivé par derrière. Il ma attrapée. Je me suis retournée. Jai entouré son bassin avec mes jambes. Je me rappelle très bien le regard à la fois gêné et avide de désir que nous avons échangé. Puis, il a approché ses lèvres sur lesquelles je me suis précipitée et que je nai cessé dembrasser pendant un long moment. Mis à part son corps assez bien fait, il nétait pas vraiment beau ni même mignon. Il était brun, portait des lunettes et louchait légèrement. Nous avons plusieurs soirs de suite joué à rouler sur les cailloux au bord de la rivière. Nous découvrions dans la pénombre nos corps. Et japprenais la douceur, la chaleur humaine et lintimité. Je vivais des choses très personnelles, des choses à moi, des choses que maman naurait pu menlever ou contrôler. Jétais loin delle. Étant partie pour la première fois non accompagnée de mes parents, jéchappais inexorablement et avec délice à son empire autoritaire. Je brûlais denvie. Je brûlais damour, mais je ne le savais pas encore. Les cailloux étaient inconfortables, mais cela nempêchait rien. Je prenais des initiatives. Sur lui, je frottais inlassablement mon sexe contre le sien tandis quil me malaxait les fesses. Je ne pouvais mempêcher de gémir. Jétais bien trop excitée. Je nosais pas demander plus.
- Encore, répétait-il à chaque fois que je faiblissais quelque peu.
Il disait aussi : Tu es belle, ou : Tu es douce. Et moi, ne sachant quoi répondre, je bredouillais :
- Je ne fais rien pour.
Jacquiesçai à toutes ses paroles me laissant bercer par le doux chant de sa voix. Puis un soir tout sest précipité, il ma dit
- Allons sous ma tente
- Je ne sais pas.
Quelques minutes plus tard, il réitéra sa demande. Javouai :
- Je
en fait
- Je sais, me coupa-t-il.
- Daccord alors.
Il a ouvert son antre et ma fait glisser sur son matelas. Nous avons commencé à échanger des baisers de plus en plus intenses. Ses lèvres pressaient les miennes goulûment. Il fait noir. Il enlève mon haut. Je ne porte pas de soutien-gorge. Il ne sy attendait pas. Ça a lair de lui plaire car il se met à embrasser mes seins nus. On dirait quil veut les recouvrir complètement de ses baisers. Je me laisse faire. Cest drôle et cest tellement agréable. Il mordille ensuite mes tétons. Jagrippe sa tête et le serre contre ma poitrine. Il continue à mordre délicatement. Et il glisse sur mon ventre. Il retire son haut et se blottit contre moi. Il me serre très fort contre lui. Je sens sa main défaire mon pantalon. Elle remonte de nouveau jusquà mes seins, mon cou et mon visage. Puis elle court se perdre dans mes cheveux. Il retire ensuite son bas et le mien. Mes yeux shabituent à la pénombre. Je perçois à présent son caleçon. Il est simple et blanc. Il lenlève et reste un instant assis à côté de moi sans me toucher. Je suis couchée et jobserve. Son pénis se dresse avec fierté. Je devine sa rigidité et les plaisirs quil peut offrir. En mon for intérieur, je demande « Y a-t-il plus beau quun homme nu ? ». Sans prévenir, il pose ses mains sur mes hanches et retire ma culotte. Lair glisse sur mes parties intimes. Il se couche contre moi et, se penchant sur mon oreille, murmure :
- Les filles se plaignent souvent de leur première fois.
- Auprès de toi ?
- Non. Dans les magazines. Cest pourquoi jirai tendrement.
- Daccord.
- Tu nas pas peur ?
- Non.
Je me rappelle que je ne voulais rien oublier. Jai tout noté. Les moindres détails sont là dans mon petit carnet : Ses doigts chatouillant mon clitoris et pénétrant mon vagin. Moi, je le masturbait doucement. Jai bien tenté en effet de lui donner moi aussi du plaisir. Mes gestes étaient imprécis, mais jai tout de même caressé son pénis de haut en bas. Cette peau qui glissait dans ma main mémoustillait. Je navais pas lhabitude, mais jétais comblée. Il déroule le préservatif sur sa verge vient sur moi et me pénètre. Enfin. Je me souviens que jai eu mal. Jai senti mon intérieur sélargir et brûler. Je nai pas caché ma douleur.
- Ça va ?
Je réponds que oui. Et pourtant. Je gémis, mais non pas de plaisir. Il me pénètre avec une grande douceur me tenant couchée et blottie contre lui. Il fait siffler un long « chut » pour mapaiser. Peu à peu de nouvelles sensations arrivent. Les poils présents sur son nombril viennent dabord caresser mon ventre. Je suis de nouveau excitée. La douleur nest plus aussi insupportable. Elle laisse même quelque peu place à un étrange sentiment de bien-être que je voudrais éternel.
- Je sais que ça fait mal, dit-il.
- Ça ne me fait pas que mal.
- Ça te fait quoi ?
- Des choses.
Jai chaud, de plus en plus chaud, malgré mon inactivité. Je sens sa verge passer et repasser inlassablement. Chaque coup me fait frémir. Il accélère. Je nai plus le temps de reprendre mon souffle. Je hurle de plaisir. Il répète « chut », mais ses mots se transforment en cris. Il transpire. Je sens sa sueur tomber sur moi. Ça redouble mon excitation. Je me mets à remuer le bassin, un peu au hasard. Peu importe ! Moi aussi je veux bouger ! Et je veux, encore, sentir, un peu plus, cette verge qui me pénètre, sans pudeur. Jai dailleurs limpression quil senfonce de plus en plus, en moi. Je rugis voracement. Lui aussi ne se maîtrise plus. Cest le désordre le plus complet. Nos gestes ne sont pas du tout accordés, et pourtant quest-ce que cest bon. Il tire sur mes cheveux. Jagrippe sa peau. Le plaisir est beaucoup trop intense. Je sais que nous sommes dans une tente et que tout le monde nous entend. Pourtant, je crie de plus belle. Je mouvre à la vie, oubliant pour ainsi dire tout le reste. Alors, il prend une profonde inspiration, comme sil allait mourir. Il seffondre sur moi. Il sest arrêté. Il a joui. Je dis :
- Non ! Encore !
- Je nen peux plus, avoue-t-il.
Comme un bébé, je répète :
- Encore !
Il se détache de moi, glisse le long de mon corps. Il sattaque à mon intimité. Avec sa bouche ! Il embrasse mon clitoris. Il le lèche. Il le mord. Cest bon, mais ce nest pas assez. Je crie :
- Plus, je veux plus.
Deux doigts entrent brutalement en moi. Ce nest plus douloureux du tout. Mais, sous leffet de lexcitation, jémets un hurlement strident. Thomas continue à me sucer le clitoris. Dans le même temps, il commence un rapide mouvement de va-et-vient avec ses doigts.
- Plus vite ! Plus fort ! je demande.
Il obéit. Je ne me reconnais plus. Je tremble. Je me tords dans tous les sens. Cest beaucoup trop bon. De plus en plus bon. Je suis trempée. Mon intimité est mouillée. Je transpire à nen plus finir. Et puis sans crier gare, cette chose étrange, ce spasme qui joue avec les muscles de mon corps et moffre un plaisir sans nom, arrive. Je ne connais pas cette chose. Je ne sais comment y faire face. Elle est beaucoup trop forte, beaucoup trop violente. Je saisis les cheveux de Thomas et le plaque contre ma vulve. Lorgasme me fait alors crier comme une folle hystérique. Tout de suite après ça, je me sens faible. Je vacille. Les doigts de Thomas sont toujours en moi. Je nen ai plus envie. Pas maintenant. Je veux profiter de ce qui vient de marriver. Je veux y repenser calmement. Impossible. Il est toujours là. Je prends sa main et je suce ses doigts. Ils sont mouillés. Cest amer. Jadore.
- Cétait bien, dit-il. Tu me passeras ton numéro de téléphone ?
- Non.
- Pourquoi ?
Je ne réponds pas. Cette chose, elle est à moi. Elle ma donné naissance. Je nen parlerai jamais à personne. Elle mappartient tout entière. Je ne veux pas revoir Thomas. Je dois à présent faire mes premiers pas seule.
- Oui, cest une très belle histoire. lamour cest très bon mais pour une jeune fille comme toi, il y a des choses a savoir. Avec ce que tu viens de me faire maintenant, tu vas gonfler, je viens juste de te féconder comme ta belle mère Charlotte et Elodie. Vous accouchez en même temps dans neuf semaines.
- Non, ce nest pas possible.
- Oui, je tassure, je suis venu ce matin pour demander à Charlotte daccueillir des filles que jai engrossé. Il ny en a que pour quelques semaines et votre maison est très grande.
- Non, je ne veux pas me retrouver enceinte.
- Cest trop tard, tu les déjà rien ne peu changer.
Je suis reparti, sur les trois femmes une seule était heureuse ce soir, cétais Charlotte, elle avait ce quelle voulait.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!