Damien 69 - Aimé
Le lundi matin après avoir fait mes adieux à Pierre, je rentrai chez moi pour prendre ma valise.
Une demi-heure plus tard je prenais la route pour QUIBERON où j'arrivai dans la soirée, l'hôtel que j'avais réservé était très bien.
Ces quelques jours passés à réfléchir tout en me promenant, soit au bord de la plage soit dans l'arrière pays, me firent un bien énorme.
Le mercredi alors que je circulai sur une route de la région, je vis un homme qui faisait signe aux voitures à l'entrée d'une aire de repos, je m'arrêtai pour lui demander ce qu'il avait, il avait crevé, son cric s'était bloqué et ne pouvait pas réparer.
C'était un homme d'une cinquantaine d'année, un peu ventripotent, je me garai à côté de sa voiture et lui prêtai mon cric.
Après qu'il eut changé sa roue, l'homme me remercia et m'invita à prendre un verre dans sa voiture, il y avait un mini bar, il me servit un whisky et comme je n'étais pas pressé nous nous mîmes à discuter de choses et d'autres.
Je ne sais pas comment cela arriva mais nous nous mîmes à discuter de sexe, il avait fait pas mal d'expériences en tout genre et me demanda si j'avais déjà eu des rapports homosexuels, sans que je m'en rende compte je lui répondis que j'étais pédé et que seuls les hommes m'intéressaient.
C'est ainsi que comme dans un rêve, je me retrouvai avec la main d'Aimé, car c'est ainsi qu'il se prénommait, sur ma cuisse et ses lèvres sur les miennes, sa bouche avait un goût d'alcool mélangé au tabac et sa langue fouillait tout l'intérieur de ma bouche.
Je ne sais pas si c'était le fait d'être resté seul pendant plusieurs jours, mais j'avais envie de me donner à cet homme qui pourtant n'était ni beau ni séduisant.
Il me dit "Ça te dirait de passer un moment agréable avec moi?
- Oui beaucoup.
- On pourrait voir ça comme le prix de ton aide.
- Pourquoi pas".
Lâchant ma jambe il me dit "Monte dans ta voiture et suis- moi"
Nous fîmes quelques kilomètres et Aimé sengagea dans une allée de forêt et sarrêta au bout dune centaine me mètres.
Il me fit signe de venir le rejoindre dans sa Mercedes.
Il mit les sièges en position couchette puis il ouvrit sa braguette, il ne portait pas de slip et une queue épaisse toute érigée apparut, posant sa main sur ma nuque il m'indiqua ce qu'il voulait, comme je me penchais vers son sexe turgescent.
J'enfournai l'objet de ma dévotion et me mis à monter et descendre dessus tout en le mordillant et en enroulant ma langue autour, sa main toujours posée sur moi mon homme rythmait la cadence à laquelle il voulait que je le suce.
Sous les effets de ma fellation lente, la bite grandit encore, la main quitta ma nuque et se glissa sous moi, il défit mon pantalon, je me levai légèrement et ma culotte ainsi que mon slip glissèrent au bas de mes chevilles, cela faisait tout drôle d'avoir le cul à l'air dans cette obscure voiture qui sentait bon le cuir neuf, un doigt inquisiteur s'insinua entre mes fesses et vint titiller mon anus, celui-ci s'ouvrit aussitôt sous la caresse "Oh là là !! Mais on dirait que ce joli petit cul accueillant a lhabitude de se faire fourrer et quil est en manque. Ne t'inquiètes pas je vais bien te tringler et entre nous tu suces vraiment comme une déesse".
Pendant qu'il parlait un de ses doigts avait mon anneau et glissait dans mon cul, une douce chaleur avait envahi mon bas-ventre et affluait vers mon visage par vagues, je me mis à pomper le phallus plus vigoureusement, ma croupe était brûlante et j'avais besoin qu'il m'élargisse entièrement le fion, un deuxième doigt vint rejoindre le premier puis un troisième et un quatrième, la pastille béante je me mis à rouler des hanches.
A cet instant plaquant ma tête contre son pubis, mon mec éjacula en feulant, je reçus une formidable giclée de foutre au fond de la gorge que je bus avec délice.
Aimé car c'était son prénom me releva et me dit "Viens déloques-toi, allons derrière, on sera mieux".
Il enleva son short et ses espadrilles tandis que je finissais de me déshabiller, il passa à l'arrière et je pus vérifier que je ne m'étais pas trompé, cet homme était gras et pas très athlétique, une fois nu je le suivis.
Cette voiture qui était une MERCEDES haut de gamme était très spacieuse, Aimé appuya sur un bouton, et la banquette se déplia prenant l'aspect du lit.
Comme je m'allongeais aux côtés de mon amant, je vis qu'il n'avait pas débandé, maintenant qu'il était étendu je pouvais voir son sexe entièrement, il était non seulement épais mais aussi très long, quand à ses testicules ils étaient gonflés pleins de sève, je portai ma main à son entrejambes et me mis à caresser ses bourses légèrement, se cambrant mon homme respira plus bruyamment, soudain il me prit dans ses bras et me mit sur le dos, couché sur moi il écrasa mes lèvres, ma bouche s'ouvrit, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand il m'abandonna j'avais les joues en feu, il me dit de me mettre à quatre pattes au bord du lit, il se positionna derrière moi, le priape dressé se glissa dans le sillon de mon fessier et se posta contre ma corolle affamée, d'un petit coup de reins il fit pénétrer son gland turgescent, bien que très ouvert je ne pus m'empêcher de laisser échapper un cri de douleur quand son bout durci écarta mes chairs, posant ses mains sur mes hanches mon mec s'enfonça en moi lentement, il me sembla que l'intromission dura un temps infini mais quand je sentis contre mes fesses les poils follets de son pubis je sus qu'il était entièrement en moi, Aimé s'immobilisa, je sentais le membre palpiter au plus profond de mon corps.
Petit à petit mon sphincter se décontracta et une lame de désir me submergea, je tendis mon arrière-train vers ce merveilleux vit qui m'obstruait le fondement, à cet instant mon amant se mit à aller et venir lentement m'arrachant des petits cris à chaque passage.
Sous les assauts répétés de mon homme mon anus céda complètement, à présent le phallus coulissait en moi sans gène aucune, j'avais rejeté la tête en arrière et savourais pleinement la montée du plaisir dans mon être, Aimé me possédait de toute la longueur de son pénis sortant presque entièrement de moi pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante, dans l'état de manque où j'étais je ne fus pas long à sombrer dans l'univers de la jouissance, le canal complètement éclaté je râlais sous les coups de boutoir que mon amant m'assenait, cambré au maximum je m'offrais totalement à ce formidable priape qui me forait les reins, j'avais atteint le point de non-retour, je voulais qu'il me prenne plus vite et je me mis à le supplier de la faire, mais sourd à mes cris il continuait à me besogner avec une régularité de métronome, son ventre épais claquait contre ma croupe en feu à me faire mal, chaque poussée contribuait à me faire perdre pied un peu plus, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me bourrait, j'avais l'impression que de la lave de déversait dans mon tunnel bouillant, mes râles de bonheur s'étaient transformés et je hurlais sans discontinuer sous les assauts répétés de mon mec.
Il me pilonnait maintenant l'arrière-train avec vigueur ponctuant par des "HAN" de bûcheron chaque fois qu'il se plongeait au fond de mon cul en fusion, dans l'état d'excitation où je me trouvai, je ne vis pas que d'autres poids lourds s'étaient arrêtés à côté du notre, soudain une boule de chaleur se forma dans mon ventre et éclaboussa ma figure, je me mis à délirer.
A cet instant s'enfonçant au plus profond de moi, Aimé juta, ses jets de foutre crémeux m'inondèrent le fondement me provoquant un orgasme dévastateur, je me cambrais pour accen la pénétration et hurlai de jouissance puis tombai sur la banquette lourdement, je sentis le pénis sortir de mon antre.
Quand je revins à la réalité, Aimé fumait en souriant, il me dit "Tu es fantastique, tu as vraiment un cul en or.
- Je sais tous ceux qui m'ont enculé me l'ont dit.
- C'est vrai, j'en ai pourtant vu au cours de ma vie, mais jamais un spécimen comme toi, tu baises mieux qu'une pute en chaleur.
- Non, car je suis une pute en chaleur, j'adore me faire baiser.
- J'ai envie de t'en remettre un coup.
- Vas-y, ne te gène pas, j'ai encore envie de ta bite.
- Eh bien, je vais t'en foutre encore un coup".
Deux heures plus tard, après qu'Aimé m'ait repris une fois, nous nous quittâmes et je rentrai à l'hôtel.
Bien que mes ébats de la veille aient été physiquement super, le jeudi matin ma décision était prise, j'irai vivre avec Pierre c'est près de lui que je me sentais bien, mon aventure de la veille avait bien mis la chose en lumière, j'avais bien joui, mais après coup mon impression avait été que si au point de vue purement sexuel ça avait été bien, au point de vue sentimental ça avait été le néant, cela n'avait été qu'un accouplement bestial, certes réussi mais simplement bestial, je ne m'étais pas, comme avec Pierre, donné corps et âme, en somme je n'avais pas ressenti d'amour.
Le soir je fis mes bagages et le vendredi matin je rentrai su PARIS.
Arrivé chez moi, je pris un long bain puis après m'être rasé les jambes et la poitrine, je m'enduis tout le corps de crème rendant la peau douce et élastique, après je dînai sobrement et avant de me coucher je posai sur mon visage un masque de nuit.
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