J'Apprécie Nathalie
Depuis 20 ans que je la connais, je navais jamais eu la moindre attirance pour Nathalie, la nièce de Sylvie mais depuis que ma femme me délaisse, tout me semble baisable.
Agée maintenant de 36 ans, moche, vivant encore avec papa maman, elle mexcite tout de même.
Dimanche, nous la recevions accompagnée de ses parents et de ma belle-mère et je ne pouvais mempêcher de penser sexuellement à ce que je pourrais faire avec elle.
Le repas terminé, chacun vaquait à son passe-temps : ordinateur, bronzette
Je me retrouvais seul à côté de Nathalie dans le jardin.
Ce fut alors plus fort que moi : je lui touchais les fesses, lui faisant croire quune plume sétait accrochée à son pantalon. Nathalie ne bougea pas et se laissa faire.
Je reluquais son décolleté et remarquais une griffure. Je passais le doigt dessus en lui demandant ce quelle sétait fait là.
Rien me dit-elle, ce nest pas grave.
Je posais ma main sur sa taille et lattirais contre moi.
Elle me regardait en souriant et il était évident quelle appréciait lattention nouvelle que je lui portais mais nous étions bien trop proches de la famille pour aller plus loin sans risques.
« On fait le tour du jardin ? » lui demandais-je innocemment
Nathalie accepte et memboite le pas.
Nous voici côte à côte à avancer dans lallée. Dès que nous sommes hors de vue je la prends par la taille et Nathalie en fait autant. Je la caresse sans quelle émette la moindre protestation.
Je prétexte lobservation dun merle pour me placer derrière elle et me coller contre elle. Je commence à bander et je suis sûr quelle sent ma bite contre ses fesses. Je la serre contre moi, les deux mains sur son ventre. Je me penche sur elle et lembrasse tendrement dans le cou. Nathalie rejette sa tête en arrière pour me permettre de mieux lembrasser et mes mains remontent doucement sous ses seins. Peu à peu elles se posent sur eux sans que Nathalie ne sen offusque.
- Tu aimes, Nathalie ?
- Oui
- Tu sais je ne veux pas tennuyer
- Tu ne mennuies pas Daniel.
- Tu ne diras rien à personne surtout ?!
- Non.
- Ce sera notre secret daccord ?
- Oui
Mes mains reprennent alors leur exploration et se posent sur la braguette du pantalon que je masse doucement.
Inexorablement, mes lèvres remontent sur son cou et emprisonnent bientôt sa bouche.
Nathalie se tourne et passe ses bras autour de mon cou pour mencourager.
Je lembrasse, lui caresse les fesses, lui pelote les seins.
- Nathalie, tout à lheure sans doute Sylvie proposera-t-elle une promenade. Moi je prétexterai mon mal au dos pour ne pas y aller. Tu devrais prétexter la chaleur pour rester avec moi. On pourra continuer ce que lon vient de commencer
- Hummm, oui !...
Je soulève son teeshirt et dégage ses seins
hummm, je la tète doucement, roule ma langue autour de ses tétons dressés
Nathalie gémit doucement tandis que mes doigts fébriles tentent de déboutonner son pantalon.
- Non, Daniel
on peut nous surprendre, je naurai pas le temps de me rhabiller
- Tu as raison ma chérie
rentrons
Nous rejoignons la famille juste comme ma femme propose son idée de promenade.
Nous laissons tout le monde accepter avant de décliner linvitation et nous voilà tranquilles pour au moins 30 minutes.
Jentraine aussitôt Nathalie dans la chambre et allume les caméscopes.
Nous avons peu de temps et je veux la voir nue aussi je lui dis de se dévêtir tandis que jen fais autant.
La voilà nue. Jenfouis mon visage entre ses cuisses et la lèche goulument. Elle se tord sous mes caresses, mouille, gémit
Hummm, cette vulve trempée, ce clitoris gonflé
Ma langue dure lui pénètre la chatte et je bois son liquide amoureux.
Je soulève ses cuisses, lui écarte les fesses et lui lèche lanus
- Daniel !... arrête !... cest trop bon !...
Accroupi à hauteur de son visage, je lui enfourne la queue dans la bouche et la saisissant par les cheveux, lui imprime un mouvement de va et vient.
Elle manque de s mais je ne men soucis pas, trop pris par mon plaisir.
Je me couche sur elle.
Trempée, elle noppose aucune résistance et je fouille son intimité.
Nous échangeons un long baiser et lodeur de ma bite sur ses lèvres mexcite.
Je la pilonne, tripote ses seins, att ses fesses, la traite de salope, de pute tandis quelle hurle son plaisir.
Sentant la sève monter, je sors de son vagin et finissant manuellement, je crache tout mon sperme entre ses seins.
Je lui lèche ma semence et lui offre ce chaud liquide mélangé de salive au cours dun très long et très poisseux baiser.
Afin de ne courir aucun risque je lentraine dans la salle de bain pour une toilette rapide qui efface les odeurs indiscrètes et nous nous rendons au salon attendre la famille tout en poursuivant nos caresses
- Nathalie, il faut que tu tarranges pour passer quelques jours ici que lon puisse baiser à notre aise tandis que ma femme sera au boulot.
- Oui, je vais essayer
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