La Démoniaque Sarah 6
Je suis rentré, tout le monde dormais dans la maison. Moi, je navais pas sommeil, jai tourné et viré un moment dans la maison puis jai pris la voiture. Jai roulé sans but précis, jai vu un bar, me suis arrêté puis, je suis entré boire un verre. Et réfléchir aux derniers évènements. Tout en buvant, mon regard a fait le tour de la salle. Rien dintéressant, quelques paysannes avec leurs copains qui riaient et de lautre coté un groupe de fille assez moche. Jai commandé un autre verre, les filles se sont approchées de moi. Je me suis déplacé comme si je les fuyais. Elles ne mont pas suivi. . Je me suis tourné et il y avait toujours cette bonne femme près de moi. Elle nétait franchement pas terrible. Elle était maigre, beaucoup trop maigre, la poitrine pas intéressante, les bras avec la peau sur les os. Je naimais pas sa gueule non plus : un nez trop crochu, une espèce de bouton près de la bouche. Bref, en temps normal, je ne laurais même pas prise comme femme de ménage. Seulement là en la voyant, je me suis remis a bander. En plus, elle me regardait en souriant bizarrement. Je me suis souvenu des paroles de la prêtresse « quand une femme ovulera, tu banderas, tu la charmeras et la combleras » Elle voulait sûrement baiser avec moi, ses yeux globuleux ne quittaient pas mon torse. Je me suis levé et ça a semblé la décevoir. Les autres ne me prêtaient plus la moindre attention. Jai hésité et me suis mis à réfléchir en regardant la moche qui me collait. Et jai senti mes couilles qui ne demandaient quà exploser. Jai pris une grande inspiration et jai demandé à la meuf :
- Il faut que je sorte. Tu maccompagnes ?
On aurait dit que la nana venait de remporter un jeu télévisé. Elle ma suivi comme une chienne et nous avons été jusquà ma voiture, qui se trouvait dans un parking non couvert près de là. Je lai invitée à entrer et elle sest exécutée avec toujours ce grand sourire qui ménervait un peu.
Nous nous sommes rapidement dévêtus, enfin, surtout elle.
- Bon, me suis-je dit, trempe ta queue, regarde ailleurs et ça ira mieux.
Elle ma regardé, a souri, ma tendu un préservatif. Je ne sais pas pourquoi, après avoir regardé une nouvelle fois mon tatouage, elle a posé le préservatif sur le tableau de bord et sest abandonnée. Sans la moindre délicatesse, je lai installée dans la position qui me convenait le mieux, une espèce de levrette, et jai enfilé ma bite dans ce laideron. Ça ne ma pas fait leffet attendu. Elle par contre sest mise à gémir tout de suite. Jai dû faire pas mal de mouvements répétitifs avant davoir enfin quelques sensations. Elle criait maintenant et je sentais son jus couler entre ses jambes.
Jai posé mes mains sur son cul, là où il y avait un minimum de chair. Vite, se vider, et laisser là cette fille trop moche. Accélérer la manuvre, ne pas faire attention aux bruits louches quelle fait, trop heureuse de pouvoir au moins une fois se faire culbuter par un bel homme. La pousser légèrement contre la banquette, là où cest le plus sombre. Voilà, comme ça cest bien, je ne vois plus que son cul à lair, défoncé par mes coups de reins. Le parking est toujours désert, Je ferme les yeux. Jimagine que je ne défonce non plus un laideron sans intérêt mais une splendide Asiatique, une Africaine aux formes sublimes, une Cubaine qui se déhanche avec grâce et sensualité. Comme ça cest bien. Jaccélère, je sens que ça vient, lAsiatique se met à crier, lAfricaine rugit et me donne de bons coups de cul et la Cubaine sagite dans tous les sens.
La fille sest retournée et ma refait un grand sourire. Je me demandais ce quelle attendait pour aller se faire reconstruire une dentition correcte. Jai pensé à plein de saloperies à lui dire, et puis, je me suis dit que ce nétait pas une façon correcte de la remercier. Elle sest approchée de moi et sest mise à embrasser mon torse en murmurant.
- Merci maître, merci de mavoir ainsi si bien honoré. Je sens déjà ta semence travailler en moi.
Je métais lâché, je me sentais mieux. Jy voyais plus clair aussi. Moi, javais sauté ça ? Comment javais pu ? Cétait vraiment dégueu, vraiment trop.
Ses baisers se faisaient de plus en plus appuyés, sa bouche est descendue sur mon corps et elle sest mise à me sucer. Rapidement je me suis remis à bander, elle a voulu monter sur moi pour que je la baise une nouvelle fois, je lai arrêté. Ella a semblée déçue.
- Les autres filles du bar qui étaient avec toi sont tes copines ?
- oui, maître
- Rhabille-toi et va en chercher une pour que je lhonore de ma semence.
- Elles sont quatre, laquelle veux-tu maître.
- Peu importe lordre, je les veux toutes les quatre lune après lautre.
- Bien maître, je tamène Sylvie, cest la plus jeune du groupe.
- Cest bien, va vite.
Elle est partie en courant puis est revenue avec une jeune fille assez jolie. Je suis sorti de la voiture, le torse découvert et mon chibre bien dressé. Elle sest approchée de moi, les yeux fixés sur mon tatouage.
- Jai peur, me confia-t-elle. En sapprochant
- Laisse-toi aller, lui dis-je, tout ira bien.
Et jentrepris de lui lécher tout le corps. De sa bouche, je partis en direction de ses oreilles, descendis vers son cou, je lui enlevai son t-shirt, lui léchai ses petits seins raidis, lui mordillais les tétons, descendant sur son ventre, remontant sur son dos et sa nuque, redescendant dans le creux de ses reins, lui mordant les fesses, descendant le long de ses cuisses, remontant par lintérieur de ses jambes, lui tirant sa petite culotte jusquà lenlever avec mes dents, remontant une nouvelle fois.
- Aaaahhhh
je sais plus où je suis, javais jamais ressenti ça
Je la laissais reprendre ses esprits, mais jétais en même temps trop excité. Peu après, je la vis se relever et glisser sa main sur mon chibre. Elle commença à me branler doucement. Sans trop hésiter, elle se mit à genou et le prit dans sa bouche. Elle laspirait, faisant tourner sa langue autour de mon gland, avant de me sucer frénétiquement de haut en bas et de bas en haut. Elle sy prenait plutôt bien ; jamais je ne sentis ses dents.
Mais à force, cela devenait trop, je mourrais denvie de la prendre sauvagement mais je savais que je ne pouvais pas la brusquer. Je la tirai vers moi, lallongeai sur le capot de la voiture et lui fis comprendre que le moment était venu.
- Oh oui, vas-y, sil te plaît maître. Prend moi, féconde-moi.
Par chance, elle était très excité, son vagin était parfaitement lubrifié et dilaté autant quil pouvait lêtre. Je commençai donc à la pénétrer doucement, tout en plongeant mes yeux dans les siens. Au fur et à mesure que javançais, elle poussait des petits cris de douleur, jai poussé plus fort et son hymen a cédé. Elle a crié, jai continué à menfoncer doucement en elle, le plaisir reprenait le dessus, je continuai jusquà atteindre le bout, jai butté contre la bouche de son utérus que je sentais palpiter.
Après un moment, je pris ses jambes et la retournai de manière à ce quelle soit à plat ventre sur le capot, les fesses sur le rebord. Je recommençai à la troncher, elle men demandait encore, et encore
A force de rebondir sur ses fesses, je ne pus tenir plus. Elle semblait être prise dun nouvel orgasme, jen profitais pour me décharger en elle avec des derniers coups violents de ma part et cris de la sienne. Cette apothéose indescriptible dura un bon moment, après quoi nous tombâmes essoufflés. Je me suis retiré, un long filet de sperme reliait ma queue a ce qui était une des dernières vierges de la région. Derrière moi, une autre fille attendait, je lai regardé, elle nétait pas très belle mais elle aussi me faisait bander, je lai prise brutalement et elle a eut droit a ma semence puis la suivante est venue, devant elle jai arrêté de bander, elle était pourtant assez mignonne. Je lai repoussé puis la suivante encore plus moche que la première sest présentée la, mon sexe a relevé la tête et je lai possédé comme une chienne a quatre pattes sur le parking. Sauvagement je lai remplie de mon foutre. En sautant la dernière, je navais même plus de plaisir, je me contentais de les inséminer. En regardant ces filles, jétais heureux davoir fait mon devoir.
La fille que javais repoussée sest approchée de moi, elle voulait, elle aussi avoir sa dose comme ses copines, elle ma supplié de lhonorer. Je lui ai répondu quelle était stérile et donc nétait pas apte à porter ma semence, elle a insisté, supplié puis devant moi, elle a plongé ses doigts dans son sexe trempé et en a ressorti un diaphragme. Ma queue sest levée presque tout de suite, je lai poussé contre la voiture, jai relevé ses jambes et je suis entré en elle. Elle a crié sa jouissance tout de suite, lai possédé sauvagement et quand elle sest mise à crier sous lorgasme qui lenvahissait, je lai remplie complètement.
Quand jai fini de me vider en elle, elle ma remercié pour loffrande que je venais de lui faire.
Ça paraissait complètement surréaliste, jétais la, au milieu de ce parking entouré par cinq filles en adoration que je venais de baiser.
Jai rajusté ma tenue et je suis parti me coucher en me disant dans ma tête « si je continue comme ça, le maître va avoir rapidement une grande descendance ».
A suivre
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