Une Drôle D'Amoureuse
(Après quelques mois d'absence, je reprends l'écriture, à la demande de ma jeune amie Kang. Merci d'avance pour vos commentaires)
Il y a quelques mois, je suis allé à un congrès professionnel en Champagne.
Comme dhabitude, je parcourais les stands des fournisseurs, papotant avec lun ou lautre de mes interlocuteurs habituels. Puis je vois un stand dune société que je ne connais pas et décide daller minformer sur leurs produits.
Un homme me renseigne, bien mis de sa personne, et je trouve ses offres intéressantes. Nous discutons et nous convenons dun rendez-vous une fois rentré sur Paris.
Le soir, il y avait un diner de gala et je me retrouve à la même table que lui. Il est accompagné dune jeune assistante dont je tombe instantanément amoureux : brune, les cheveux mi- longs, les yeux verts, une frimousse rieuse, une magnifique paire de seins tendant le tissus de son chemisier, et, comme je men aperçois en regardant sous la table, après avoir fait tomber exprès ma serviette, une jupe se terminant au-dessus des genoux.
Je la regarde, tout le repas, et elle sen rend compte peu à peu, et me rend mes sourires.
Alors, prenant mon courage à deux mains, jenlève mes chaussures et tends mon pied vers ses jambes. Je lui touche le mollet, tout en la regardant et en souriant. Elle ne se recule pas. Je remonte mon pied le long de sa jambe. Elle me sourit toujours. Je finis par atteindre, en essayant de ne pas me faire remarquer, le haut de ses cuisses, quelle ouvre sous ma caresse.
Ma queue est bien dure, et heureusement le dîner touche à sa fin. Tout le monde se lève pour rentrer à son hôtel. Jai appris pendant le repas quelle et son manager sont au même hôtel que moi.
Je lui glisse une carte de visite après avoir écrit dessus : chambre 125. Et nous partons, chacun de notre côté.
Je me dépêche de rejoindre ma chambre, prend une douche rapide en résistant à lenvie de me branler.
A minuit pile, jentends de petits coups à ma porte. Jéteins la télé, ouvre, et la voilà qui entre, lair un peu timide mais un sourire aux lèvres.
Alors je lembrasse, à peine la porte fermée, et notre premier baiser exprime notre désir contenu toute la soirée.
- Tu es si belle, je tai aimée dès que je tai vue.
- Tu es charmant, et jai eue envie de toi quand jai vu la douceur de ton regard sur moi.
Je lui ouvre son chemisier, et libère ses seins. Elle avait pris soin denlever son soutien- gorge avant de venir.
- Tu nas pas de culotte non plus ? lui dis-je ?
- Autant que toi sous ton peignoir, petit coquin.
Je passe la main sous sa jupe, et jatteints son abricot déjà humide. Je passe deux doigts de part et dautre de sa fente, dans le creux de laine, là où je sais que les filles adorent quon les caresse avant de titiller leur clitoris.
- Mmm, cest bon, minaude-t-elle en avançant son bassin et en tendant une main vers ma queue qui sest frayé un chemin hors du peignoir.
Elle commence à me branler lentement, me regardant droit dans les yeux.
Cest doux, tendre, et ses doigts qui enserrent ma tige viennent buter sur le gland puis repartent vers mes couilles.
- Jai eu le temps de me raser pour toi, lui dis-je, jaime comme tu me caresses.
Mes mains ne restent pas inactives, lune caressant ses seins, lautre senfonçant dans sa chatte ouverte.
Je nen peux plus, alors je la bascule le ventre sur le bureau, lui soulève la jupe et plonge ma langue entre ses fesses, lui léchant la vulve et son illet brun qui frémit.
- Dis-moi petit ange qui vient dilluminer ma vie, on dirait que tu as déjà eu quelques gourdins dans ton cul non ?
- Beau chevalier, je ne te cacherai rien. Oui, jaime me faire enculer. Et jattends avec impatience de sentir ta queue en moi. Mais dabord, tu me prendras la chatte sur le lit, en me bouffant les seins.
Je continue de lui lécher la raie cependant, enfonçant un peu ma langue dans son petit trou.
Puis, pendant que je la porte sur le lit, je la déshabille entièrement et ôte mon peignoir. Nos corps nus sont sublimes de désir, denvie de jouir.
Allongée, elle écarte les jambes et entame une caresse sur son mont de vénus, descendant vers les plis de son sexe tout mouillé. Je me branle en la regardant, cest si beau une femme qui se donne du plaisir
Dun signe, elle me demande, et je positionne mon sexe à lentrée du sien. Jaime ces premières fois, ce moment où la rencontre se fait vraiment, ou lon va découvrir la joie du partage.
Et je menfonce en elle, lentement, la regardant avec intensité, pour savourer cet instant magique où elle se donne à moi pour la première fois. Elle est belle, magnifique, ses seins se soulèvent dexcitation, ses lèvres sont un peu ouvertes, et je sais que bientôt elle mordillera ses lèvres.
Je vais, je viens, tout doucement, et elle gémit. Je lui mange un sein après lautre.
- Plus vite, hombre, me lance-t-elle.
Alors je me relève et accélère mon rythme, et elle souffle son plaisir, prenant ses seins et les malaxant pendant que je la pilonne fortement.
Soudain, elle se retire, se met à quatre pattes.
- Baise-moi puis encule-moi, fort !
Comment résister ! Son cul superbe soffre, sa chatte ouverte mappelle, et je menfonce à nouveau fortement, lui prenant les hanches. Puis je crache sur son illet brun qui palpite déjà dans lattente de la saillie. Je pose mon gland sur son anus, et menfonce dun coup, sans prévenir.
- AHHHHH, tu me fais mmmmm
du bien, mon bel homme tout neuf.
- Comme tu es bonne, comme ton cul est accueillant, répond-je tout en lui mettant ma queue au fond du cul jusquaux couilles.
- EEEEEnnnnnccccooorrrre, cest trop bon, ouiiiiiiiii, je te sens bien.
Je deviens fou.
Je lui défonce le cul, agrippé à ses fesses, je ne vois plus que ce trou qui en veut encore et encore, qui sélargit sous mes coups, qui suinte le plaisir.
Et soudain, elle jouit du cul, lançant un long râle qui doit réveiller les voisins. Et moi, je décharge toute ma sauce dans ce cul, nen laissant pas une goutte dehors tant je la pénètre profondément.
Calmés, nous nous allongeons sur le lit. Je la caresse, lembrasse dans le cou, lui susurre des mots doux.
- Je te veux, je veux vivre avec toi, tu es parfaite pour moi.
- Mmmm, mais petit coquin, je suis mariée moi, avec celui que tu as pris pour mon manager.
- Mais, mais
- Mais jai adoré cette séquence, et quand tu viendras commander chez nous, je saurai te remercier.
- Alors, cétait une baise de bienvenue commerciale ? Tu fais ça avec tous les nouveaux clients ?
- Cest la crise, beau chevalier !
Et dun bond elle se lève, se rhabille, et se dirigeant vers la porte :
- Dabord, je ne le fais pas avec tous les clients. Seuls ceux qui mattirent vraiment y ont droit. Et comme mon mari est impuissant, il mautorise quelques escapades. Dailleurs, une autre fois, peut-être viendra-t-il nous mater en train de baiser. Cela te dirait ?
Abasourdi, mon amour tout neuf fracassé dès la naissance, je reste sans voix.
- Je le sais que tu reviendras, et jen ai très envie ! Je suis même prête à me réserver pour toi, car tu mas si bien fait jouir. Veux-tu devenir mon amant officiel ?
Quauriez-vous fait à ma place ?
Depuis, je suis son esclave dévoué. Si cela vous dit, je vous raconterai.
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